Skip to main content

Home/ ShaREvolution/ Group items tagged système

Rss Feed Group items tagged

marinealbarede

Revues.org - La consommation collaborative, le versant encore équivoque de l'... - 4 views

  •  
    La consommation collaborative a le vent en poupe ; elle peut être définie comme le versant "consommatoire" de l'économie de la fonctionnalité, son extension naturelle dans le domaine tu BtoC ou du C2C. Mais quelles sont leurs interrelations ? Comment la consommation collaborative peut-elle contribuer à l'économie de fonctionnalité (et d'ailleurs, le peut-elle?) dans une logique de durabilité ? Cet article de recherche souligne aussi la dualité du consommateur, qui s'engage dans de nouvelles pratiques "hors système" tout en restant dans le système marchand. Sans doute, la consommation collaborative doit-elle interroger plus qu'elle ne le fait aujourd'hui la dimension politique de la consommation, tout en s'articulant mieux avec l'économie de fonctionnalité, pour être véritablement soutenable.
marinealbarede

Numerame - Amazon reçoit un brevet pour revendre des biens numériques d'occasion - 0 views

  •  
    Aux États-Unis, Amazon a obtenu un brevet lui permettant de créer un système pour revendre des fichiers numériques "usagés". En réintroduisant le principe de rareté dans la sphère numérique, via les verrous numériques (DRM), le site de e-commerce pourrait ainsi créer un marché d'occasion pour revendre des fichiers MP3, des vidéos, des applications ou encore des livres électroniques.
hubert guillaud

Drôle de monnaies, une ethnographie des monnaies locales - Ethnography Matters - 3 views

  •  
    L'ethnographe Mario Campana s'est intéressé aux monnaies complémentaires, et notamment à celle de Brixton en Grande-Bretagne. Si la plupart des travaux mettent en avant l'impact positif de ces systèmes sur la communauté locale (favorisant la résilience, la cohésion sociale...), le chercheur pointe les différences de perception de cette monnaie. Alors que les émetteurs, les initiateurs de cette monnaie la voit avec une forte composante idéologique, les utilisateurs sont plus pragmatiques. Ceux-ci sont surtout de jeunes professionnels de la classe moyenne bien éduqués et disposant de bons revenus et l'utilisent pour son côté pratique et économique (la monnaie de Brixton est disponible au format électronique et payer avec permet d'avoir une réduction de 10%), donc assez hédoniste. Quant aux entreprises qui acceptent cette monnaie, on se rend compte qu'elle marche mieux dans les pubs et restaurants que pour acheter de la viande ou des légumes locaux, mais montre un certain engagement idéologique avec les créateurs. Enfin, la plupart de la communauté locale rejette cette monnaie considérée comme un gadget qui appartient à la nouvelle communauté gentrifiée de Brixton. Pour Campana, la monnaie locale reproduit un discours de pouvoir local.
pierremallet

Quelles stratégies de développement pour l'économie circulaire ? - - L'Hubser... - 0 views

  •  
    "Hub : Pourquoi cette approche masquée ?   FJSA : Parce que quand on parlait d'économie circulaire et que l'on essayait tout de suite de partager le concept avec notre interlocuteur, il y avait beaucoup d'incompréhensions et cela nous empêchait soit de travailler, soit nous ne pouvions garantir un retour rapide sur investissement. Dans les deux cas, notre démarche était déceptive. Comme pour le covoiturage, il y a un effet seuil pour qu'un tel système fonctionne. Si l'on est dix sur la plateforme, il ne se passe pas grand-chose. Dans les premiers temps on demandait beaucoup de temps à l'entreprise pour discuter avec elle, observer ses flux, faire une comptabilité de ses coûts produits, nous abordions plein de sujets, sans l'assurance d'une réponse à court terme.  "
  • ...2 more comments...
  •  
    "Hub : Une démarche comme la vôtre serait-elle automatisable et partageable entre d'autres acteurs ? FJSA : Oui nous avons développé un logiciel à ces fins et plus particulièrement pour capitaliser la donnée, la géolocaliser et la rendre « parlante ». Cet outil, est une application de gestion des flux, permettant l'échange et la mutualisation de matière, d'énergie, d'eau et de services entre entreprises d'un territoire dans une perspective d'économie circulaire. Conçu pour potentialiser l'action d'un conseiller de terrain, il lui fournit les moyens de construire au fur et à mesure de son travail une cartographie du métabolisme de son territoire d'action. Cette cartographie fait ainsi apparaître les liens pouvant être tissés entre les acteurs économiques existants et les chaînons manquants dans les chaînes de valeurs du territoire."
  •  
    "Nous avons mis l'outil de production d'échange en second niveau de nos relations mais cette démarche est maintenant ventilée dans la mission de tous les collaborateurs de la CCI. Ce temps de collecte d'information est partagé et génère des pratiques plus mutualisées entre les collaborateurs. Plus que de viser un résultat court terme, nous construisons maintenant, avec cet outil, une solution d'intelligence partagée."
  •  
    "Ce produit nous a appris la transversalité et nous en mesurons l'intérêt. La multiplication des regards sur nos actions nous permet, sur le terrain, d'être beaucoup plus performants. Personnellement, je m'autorise aujourd'hui à travailler sur des questions de co-investissement, de partage de salariés, sujets bien loin de ma spécialité, mais jugée essentielle auprès des entrepreneurs. Les premiers à avoir créer de la synergie, c'est nous même."
  •  
    "Retenir les données donne un certain pouvoir à court terme mais à moyen / long terme cela va à l'encontre de l'effort de la dynamique de transversalité et d'échange que nous visons. Notre légitimité c'est notre capacité à analyser les données, à les partager, à animer ce réseau d'acteurs qui participe à l'alimentation de l'outil. Cette approche de médiation territoriale est dans le sens de l'histoire."
marinealbarede

Helsinki's ambitious plan to make car ownership pointless in 10 years | Cities | thegua... - 1 views

  •  
    Helsinki souhaite développer un système de mobilité à la demande, qui intègrerait toutes les formes de transport public (vélos, bus, ....), facilitant la constitution d'un bouquet de mobilité accessible, ce qui rendrait les voitures privées obsolètes.
pierremallet

Economie collaborative : entre promesses d'avenir et fragilisation des modèle... - 0 views

  •  
    "La quatrième promesse de l'économie collaborative est celle de la résilience du territoire. Dans sa capacité transformative, le collaboratif reprend la notion de circuit court et d'adaptation aux ressources locales. L'effet d'échelle qui justifiait l'uniformisation des produits et services est en partie remplacé par le jugaad, un bricolage "modeste et génial" dirait D.Mermet... Et connecté par la galaxie Internet au milliard de sites où trouver le système D qui lui manque. Dans un territoire frappé par le manque d'emploi, d'argent, de ressources, le collaboratif entend faire baisser le coût de la vie local et favoriser le vivre ensemble par la solidarité, la minga comme disent en quechua les expérimentateurs andins. C'est aussi cela l'économie collaborative, les concepts qui s'assemblent dans un globish dont la langue-origine n'est plus seulement l'anglais.   Résistance d'une communauté locale face à un malheur inéluctable, réappropriation des ressources et des moyens, construction de réseaux d'échanges mondiaux, de Séoul à Barcelone, de Naples à Nairobi, les sharing cities affichent un dynamisme opposé au fatalisme de l'austérité proposé par les Etats-nations. Alors oui, par angélisme ou par cynisme, l'économie collaborative détruit des emplois, fragilise les modèles économiques et industriels du copyright et du brevet. Dans le même temps, c'est une proposition radicalement nouvelle pour de nombreux territoires de la Catalogne au Nord Pas-de-Calais."
pierremallet

Uber lance UberPool, un service d'auto-partage, Tourisme - Transport - 2 views

  •  
    "La société américaine Uber, bête noire des taxis en France qui estiment sa concurrence déloyale, continue de faire de Paris son laboratoire d'expérimentation : après avoir lancé plus tôt dans l'année le service UberPOP, qui met en relation les clients avec des chauffeurs non-professionnels et dont les prestations sont moins chères, Uber a annoncé aujourd'hui le lancement d'UberPool, un système d'auto-partage. Si un utilisateur d'UberPOP choisit l'option « pool » lors de la commande, il partage le trajet avec un autre passager et le prix de sa course est divisé par deux, ou bien l'algorithme n'aboutit pas et il reste seul mais a quand même une ristourne de 10 %."
pierremallet

Transport: L'autopartage, pas si écolo que ça? - Société - lematin.ch - 4 views

  •  
    "Une étude menée par Civity en Allemagne égratigne le côté verdoyant de l'autopartage. Le cabinet de consultance conclut que ce système de mise à disposition de véhicules ne permet ni de réduire le trafic ni de protéger l'environnement, contrairement à ce que l'on pourrait penser."
marinealbarede

BlaBlaCar avale le covoiturage local, c'est grave ? - Rue89 - L'Obs - 0 views

  •  
    "Le leader du covoiturage a brusquement fusionné des plateformes locales avec son propre site. De quoi être accusé de « faire rimer économie collaborative avec ultralibéralisme, dents longues et business agressif ». Pour certains, une simple stratégie économique, pour d'autres, une opportunité d'améliorer réellement un système.
pierremallet

Jeremy Rifkin : "La nouvelle mondialisation, c'est partager plutôt que posséder" - 0 views

  •  
    "La jeune génération est très critique à l'égard de la mondialisation. Elle nous dit que nous avons des centaines d'entreprises qui contrôlent une grande partie de la production économique mondiale, et qui l'automatisent. De nombreuses personnes se retrouvent sans emploi, la croissance du PIB ralentit, et davantage de revenus reviennent au haut de l'échelle, c'est-à-dire aux actionnaires. Ces jeunes gens estiment que le monde est bloqué. Alors, ils se sont mis à créer une économie de partage, basée sur des biens communs collaboratifs. Nous assistons à un évènement historique remarquable, celui de la naissance d'un nouveau modèle économique. Il s'agit du premier système économique à voir le jour depuis le capitalisme et le socialisme, au début du XIXe siècle. "
pierremallet

De nouveaux modèles pour créer sa propre place de marché émergent | L'Atelier... - 2 views

  •  
    "On connaît déjà Airbnb (partage de maisons) ou TaskRabbit (petits travaux et tâches). En parallèle, les plateformes en ligne pour des interactions de particuliers à particuliers en "marque blanche" font leur entrée dans l'économie collaborative tels que Near Me, ShareTribe ou encore MyTurn. Celles-ci sont conçues pour faciliter l'accès à tout le monde, à la création de sa propre place de marché pour partager n'importe quel produit ou service. Ces entreprises se veulent être les systèmes de gestion de contenus (SGC) de l'économie collaborative, comme WordPress est un SGC pour la publication en ligne, Magento pour l'e-commerce et CrowdHoster pour le crowdfunding. La startup Californienne Near Me offre une plateforme pour les places de marché entre particuliers, qui ne nécessite aucune compétence en codage."
pierremallet

Influencia - Consommation : l'expérience plus forte que la possession ? - 0 views

  •  
    "Le constat des résultats obtenus surprend par son évidence. Si les gens ont conscience qu'il est impossible de faire sans consommation, ils en attendent une évolution. Pour 76% des personnes interrogées le progrès sera de consommer mieux et non plus. Cela passe par privilégier le partage sur la possession, organiser le recyclage et la circulation des objets plutôt que l'obsolescence programmée et le gaspillage. « A cet égard, le partage émerge comme une nouvelle manière de faire plus avec moins et de réduire la tension entre profiter et économiser, être soucieux de la planète et continuer à accéder de manière déculpabilisée au bonheur de consommer… », reconnaît l'étude"
  •  
    "Partager plus c'est bien, mettre ses biens en circulation c'est encore mieux. Pour 77% des sondés, ils souhaitent, au moins une fois par an, se débarrasser de leurs possessions inutiles. C'est à ce besoin que H&M et Ikea ont par exemple répondu en proposant leur propre système de recyclage et d'échange. Constater que 83% des consommateurs les plus avancés aimeraient que les marques étendent leur garantie à leur produit et non pas uniquement au premier acheteur du produit est pour le moins évocateur d'une vraie tendance de fond."
abrugiere

The Rise of Anti-Capitalism - NYTimes.com - 3 views

  •  
    Article de J Rifkin  vrai paradoxe du capitalisme : la dynamique de compétitivité des marchés qui tend à réduire toujours plus les coûts, associée à une révolution technologique, est en train de produire des biens et des services en abondance : à coût nul ou marginal.  Aujourd'hui, avec l'internet des objets, cela va s'étendre à l'économie entière. L'internet des objets, c'est en 2020, 50 bilions de capteurs connectés.  rattachés à des ressources naturelles, des lignes de production, des smart gris, des réseaux de logistiques, dans les maison, les bureaux, les magasins...  Les individus pourront connecter leur réseau et exploiter les données par des big data, des algorithmes, et par là accélérer l'efficience des objets, des réseaux, et donc diminuer toujours plus les coûts d'utilisation. Cisco prévoit que vers 2022 les gains de productivité du secteur privé engendrés par l'internet des objets excédera les 14 trillion de dollars.  La question est de donc de savoir ce que deviendra l' économie quand des millions d'individus pourront produire et partager des biens et des services gratuitement ?  L'internet des objets est une plateforme en train de changer la donne, car capable de faire émerger des biens communs collaboratifs à côté du marché capitaliste.  L'enjeu = partager l'accès plutôt que privatiser la propriété
hubert guillaud

La montée de l'anti-capitalisme - NYTimes.com - 3 views

  •  
    Nous commençons a assister à un paradoxe au coeur du capitalisme, estime Jeremy Rifkin, le dynamisme inhérent aux marchés concurrentiels fait que de nombreux biens et services parviennent à un coût si bas, qu'ils n'y sont plus soumis. Si les économistes ont toujours évoqué la réduction du coût marginal, ils n'ont jamais envisagé qu'une révolution technologique pourrait les faire tomber à zéro. Depuis Napster, le numérique est venu considérablement perturber les industries culturelles et s'attaque désormais à l'énergie, la fabrication, l'éducation... Le phénomène est sur le point d'affecter l'ensemble de l'économie estime Rifkin. Que se passera-t-il quand nous pourrons produire des biens et des services pour presque rien ? Les biens communs, la collaboration, l'accès, la participation de tous inaugure une nouvelle économie de partage et l'internet des objets est la plateforme qui permet au bien commun de se développer aux côté du marché capitaliste, estime Rifkin. De nombreux économistes estiment que le secteur sans but lucratif n'est pas une force économique autonome, mais un parasite. Reste qu'il est aujourd'hui un moteur puissant de nos économies et qu'il dessine un avenir pour le partage des biens communs mondiaux.
  •  
    Le système capitaliste (à part dans le titre, il ne parle finalement pas de capital'isme') comme simple « aggrégateur de service »; j'avoue n'être pas sûre qu'il s'agisse, au premier degré, d'une prospective, ou bien d'un stratagème argumentaire destiné à neutraliser la dimension idéologique du sujet (exacerbée dans le titre). On retrouve souvent ce type de décentrement rhétorique chez Rifkin. Il joue avec habileté de sa double posture d'augure, volontiers sybillin, et de protagoniste actif, disposant d'une influence sur les hauts cercles de la décision. Je parle en simple lecteur, il y a sans doute bien plus spécialistes aux alentours!
pierremallet

Evgeny Morozov | Don't believe the hype, the 'sharing economy' masks a failing economy ... - 2 views

  •  
    Verizon, un des plus grands opérateurs mobile des US, vient de lancer un nouveau service qui s'aventure du côté de l'économie du partage : AutoShare, qui grâce à un système de QR code, permet de réserver et utiliser simplement un véhicule (ou un autre bien), en utilisant son smartphone. Evgeny Morovoz, qui n'est habituellement pas tendre avec la consommation collaborative, voit ici de nouvelles limites dans cette nouvelle technologie visant à fluidifier le marché du "partage" : celle d'une nouvelle forme de consommation qui soignerait juste les conséquences d'une économie dysfonctionnelle, plutôt que de s'attaquer aux véritable causes de ces dysfonctionnements.
  •  
    "There's no denying that the sharing economy can - and probably does - make the consequences of the current financial crisis more bearable. However, in tackling the consequences, it does nothing to address the causes. It's true that, thanks to advances in the information technology, some of us can finally get by with less - chiefly, by relying on more effective distribution of existing resources. But there's nothing to celebrate here: it's like handing everybody earplugs to deal with intolerable street noise instead of doing something about the noise itself. "
1 - 16 of 16
Showing 20 items per page