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hubert guillaud

Que signifient les poussées tarifaires d'Uber ? - NYTimes.com - 1 views

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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
hubert guillaud

Arrêtons avec l'«économie du partage» | Slate.fr - 4 views

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    Bien que j'aime beaucoup des entreprises qui tombent sous cette appellation, je suis de plus en plus agacé par le terme d' «économie du partage» [«sharing economy» ], qui est utilisé comme raccourci pour catégoriser un éventail assez divers d'entreprises, dont pratiquement aucune n'implique sérieusement le partage. Dans ces circonstances, j'ai été heureux de voir la présentation de Rachel Botsman sur le fait que l'économie du partage manque d'une définition partagée , dans laquelle elle tente de sauver le concept en adoptant une typologie plus fine.
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
marinealbarede

From Sharing Cities to a Sharing World - Shareable - 0 views

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    Alors que l'économie du partage attire désormais l'attention des médias et du public, un vrai débat émerge sur son importance globale et son avenir. Si le paradigme du partage risque de s'étendre face aux grands enjeux du XXIe siècle, il reste encore à faire, pour passer du partage à l'échelle locale et individuelle à une échelle globale.
Veronique Routin

Un grand du transport face aux taxis - Le blog de Stéphane Soumier - 2 views

  • Cela rentre dans un plan Global des géants du transport pour développer ce qu'ils appellent le "transport à la demande", la gestion des derniers kilomètres, un transport totalement individualisé. Pour Transdev cela représente 8% du chiffre d'affaire, et l'ambition est de la porter à 13%
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    Transdev se lance sur le marché du VTC. Cela rentre dans un plan Global des géants du transport pour développer ce qu'ils appellent le "transport à la demande", la gestion des derniers kilomètres, un transport totalement individualisé. Pour Transdev cela représente 8% du chiffre d'affaire, et l'ambition est de la porter à 13%
Aurialie Jublin

Michel Bauwens : « Uber et Airbnb n'ont rien à voir avec l'économie de partag... - 0 views

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    Extrait: A Séoul, en Corée du Sud, la municipalité de gauche a choisi d'interdire Uber, non pas pour protéger les taxis mais pour développer des applications locales, parce qu'il n'y a aucune raison qu'une société américaine gère les trajets d'une ville asiatique. Cela peut se faire avec une coopérative d'usagers ou une coopérative municipale qui permet de stimuler l'économie locale, et où la valeur reste équitablement répartie. Il faut développer l'imaginaire social et juridique ! Il existe des groupes de juristes en France comme Share Lex qui travaillent à transformer les lois en faveur de l'économie du partage, à créer une jurisprudence du commun. Les chartes sociales telles que celle de Wikipedia, l'encyclopédie collaborative par exemple, sont déjà de bons exemples de chartes du commun.
Aurialie Jublin

L'économie collaborative ne partage que les restes - Influencia - 0 views

  • Ceci est le point culminant logique d’un processus qui a commencé il y a trente ans lorsque les entreprises ont commencé à sacrifier des emplois à temps plein pour des travailleurs temporaires, indépendants ou freelancers et consultants. C’était un moyen de déplacer les risques et inconnues sur le travailleur et une façon de contourner les lois du travail imposant des standards minimums de salaire, du nombre d’heures et des conditions de travail. Celles là mêmes qui permettent aux employés de se mettre ensemble pour négocier des salaires et bénéfices plus intéressants.
  • Les partisans de l’économie collaborative soulignent également que comme le travail à la demande continue de grandir, les travailleurs assemblent leur force pour acheter une assurance et d’autres bénéfices en groupe. Mais, clairement, ils ne se rassemblent pas pour négocier une part plus importante du revenu ou des horaires plus fixes. Cela s’appellerait un syndicat – quelque chose dont Uber, Amazon et les autres entreprises à la demandent ne veulent pas entendre parler.   Certains économistes font l’éloge du travail à la demande car c’est une façon plus efficace d’utiliser une force de travail. Mais le plus gros challenge économique auquel nous faisons face n’est pas l’efficacité. C’est la distribution du travail et une redistribution plus équitable de ses gains. Sur ce dernier sujet, l’économie de partage (des restes), sur certains points, nous renvoie encore bien en arrière...
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    "Et si l'économie collaborative en plus de ne pas profiter à tout le monde tuait le rêve du partage équitable et nous renvoyait à une époque où les droits et la protection des employés étaient inexistants ? La thèse de Robert Reich, l'ancien ministre du travail de Bill Clinton, méritait bien une traduction."
marinealbarede

The sharing economy must share the risks - FT.com - 0 views

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    Dans un contexte de transformations du travail, d'augmentation du nombre des indépendants ou du travail "à la tâche", les garantes sociales du XXe siècle, ne semblent plus totalement adaptées. Comment faire en sorte que les sociétés qui font travailler ces nouveaux indépendants (Uber, etc.) ne profitent pas de ces derniers en transférant sur eux toute la responsabilité, mais aussi les risques ? Comment la société peut-elle s'adapter à ces évolutions, en offrant de nouvelles formes de garanties ?
Veronique Routin

The sharing economy: a short introduction to its political evolution | Share The World'... - 0 views

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    Un bon texte de synthèse sur l'actualité politique de l'économie du partage ; les débats et controverses qu'elle suscite, la vision politique, économique et sociale qui la porte, etc.
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    Quelles politiques de l'économie du partage? Un article qui soulève certaines questions et tensions autour du sujet de l'économie collaborative. Quelle définition, poids réel de l'économie du partage et quelles sont les directions possibles.
marinealbarede

The Sharing Economy Just Got Real - Shareable - 1 views

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    "On résoudra pas les problèmes de l'économie actuelle en reproduisant les structures économiques qui sont à l'origine des problèmes" : un article à la fois profond et concret de la part d'une juriste américaine spécialisée dans l'économie du partage.
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    Un article nuancé sur l'économie du partage, cette "sharing economy" que l'on met à toutes les sauces et dont on commence à bien se rendre compte que ce qu'on met derrière n'est pas vraiment du partage ; en s'appuyant sur quelques ambiguités de cette économie (travail gratuit, risque de croissance des inégalités...), l'auteur prône une transformation des AirBnB, Uber et autres vers des modèles coopératifs, vraiment plus proches du partage.
hubert guillaud

La montée de l'anti-capitalisme - NYTimes.com - 3 views

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    Nous commençons a assister à un paradoxe au coeur du capitalisme, estime Jeremy Rifkin, le dynamisme inhérent aux marchés concurrentiels fait que de nombreux biens et services parviennent à un coût si bas, qu'ils n'y sont plus soumis. Si les économistes ont toujours évoqué la réduction du coût marginal, ils n'ont jamais envisagé qu'une révolution technologique pourrait les faire tomber à zéro. Depuis Napster, le numérique est venu considérablement perturber les industries culturelles et s'attaque désormais à l'énergie, la fabrication, l'éducation... Le phénomène est sur le point d'affecter l'ensemble de l'économie estime Rifkin. Que se passera-t-il quand nous pourrons produire des biens et des services pour presque rien ? Les biens communs, la collaboration, l'accès, la participation de tous inaugure une nouvelle économie de partage et l'internet des objets est la plateforme qui permet au bien commun de se développer aux côté du marché capitaliste, estime Rifkin. De nombreux économistes estiment que le secteur sans but lucratif n'est pas une force économique autonome, mais un parasite. Reste qu'il est aujourd'hui un moteur puissant de nos économies et qu'il dessine un avenir pour le partage des biens communs mondiaux.
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    Le système capitaliste (à part dans le titre, il ne parle finalement pas de capital'isme') comme simple « aggrégateur de service »; j'avoue n'être pas sûre qu'il s'agisse, au premier degré, d'une prospective, ou bien d'un stratagème argumentaire destiné à neutraliser la dimension idéologique du sujet (exacerbée dans le titre). On retrouve souvent ce type de décentrement rhétorique chez Rifkin. Il joue avec habileté de sa double posture d'augure, volontiers sybillin, et de protagoniste actif, disposant d'une influence sur les hauts cercles de la décision. Je parle en simple lecteur, il y a sans doute bien plus spécialistes aux alentours!
marinealbarede

Tout partager : Pourquoi notre mode de consommation a définitivement changé -... - 0 views

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    L'économie du partage connaît une place croissante dans nos villes, et si le moteur de cette économie n'est pas unique, il se trouve selon l'auteur particulièrement du côté de la densification des villes et de l'augmentation de la population, mais aussi du côté de motivations économique. Et au niveau de la ville, les bénéfices de ce partage pourraient être immenses, encore faudra-t-il que les villes et les acterus urbains s'adaptent à cette nouvelle économie.
julien camacho

Cradle to cradle selon Steven Beckers : ne jetez plus, innovez ! » Demain La ... - 0 views

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    Démarche d'éco-conception et d'application de l'économie circulaire née fin des années 1980, le Cradle to Cradle (« du berceau au berceau ») séduit de plus en plus de professionnels du design, du bâtiment et de l'urbanisme. Rencontre avec l'architecte belge Steven Beckers, un des pionniers de cette approche promise à un bel avenir
marinealbarede

Shareable: Sharing for Profit - I'm not Buying it Anymore - 0 views

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    Quand "l'économie du partage" s'illustre par ses nombreux exemples marchands (Zipcar, AirB&b), est-ce encore du partage? Ou la marchandisation d'une expérience? Quelques réflexions et inquiétudes à propos du "sharingWashing" qui est à la mode actuellement.
hubert guillaud

Le piège de la consommation collaborative - Medium - 0 views

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    Le piège de la consommation collaborative : que se passera-t-il quand nous partagerons tous nos vêtements pour de revenus tout juste suffisants ? Le risque de dépendance de ces services et plateformes pour un revenu tout juste suffisant, une des principales tensions de la consommation collaborative?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
marinealbarede

Sharing the World's Resources - An Introduction | Share The World's Resources (STWR) - 0 views

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    Une économie durable pour le 21e siècle doit se baser sur un nouveau cadre éthique, qui reflète et encourage le liens humains. Le processus du partage pourrait assurer que les ressources mondiales, les biens et services soient enfin accessibles pour tous... Un article très riche sur le potentiel du partage pour répondre aux grands défis du siècle.
marinealbarede

Lift14: La face sombre de l'économie du partage - High-Tech - lematin.ch - 2 views

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    Covoiturage, location de vélos ou échange d'appartements: l'économie du partage est en plein boom. Mais ce nouvel eldorado a aussi ses détracteurs, comme Scott Smith, spécialiste et critique des tendances émergentes, qui cite pêle-mêle la perte d'emplois et le discours trompeur tenu par les acteurs de l'économie du partage.
abrugiere

The Rise of Anti-Capitalism - NYTimes.com - 3 views

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    Article de J Rifkin  vrai paradoxe du capitalisme : la dynamique de compétitivité des marchés qui tend à réduire toujours plus les coûts, associée à une révolution technologique, est en train de produire des biens et des services en abondance : à coût nul ou marginal.  Aujourd'hui, avec l'internet des objets, cela va s'étendre à l'économie entière. L'internet des objets, c'est en 2020, 50 bilions de capteurs connectés.  rattachés à des ressources naturelles, des lignes de production, des smart gris, des réseaux de logistiques, dans les maison, les bureaux, les magasins...  Les individus pourront connecter leur réseau et exploiter les données par des big data, des algorithmes, et par là accélérer l'efficience des objets, des réseaux, et donc diminuer toujours plus les coûts d'utilisation. Cisco prévoit que vers 2022 les gains de productivité du secteur privé engendrés par l'internet des objets excédera les 14 trillion de dollars.  La question est de donc de savoir ce que deviendra l' économie quand des millions d'individus pourront produire et partager des biens et des services gratuitement ?  L'internet des objets est une plateforme en train de changer la donne, car capable de faire émerger des biens communs collaboratifs à côté du marché capitaliste.  L'enjeu = partager l'accès plutôt que privatiser la propriété
marinealbarede

Le net devait sonner la fin du capitalisme - 2 views

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    Le net devait sonner la fin du capitalisme... c'est aussi ce qu'annonce Jeremy Rifkin dans son dernier ouvrage, la fin du capitalisme. Et si au contraire, internet permettait à celui-ci de se renforcer, s'appuyant sur la production des individus sans la rémunérer...
Veronique Routin

Ne prenons pas (tous) les scouts numériques de l'économie collaborative pour ... - 3 views

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    Interrogation autour du partage, sharing dans économie collaborative : - s'appuie sur les utilisateurs : la multitude (Colln Verdier,) le travail du consommateur (Marie-Anne Dujarier), la pollinisation de l'économie (Yann Moulier-Boutang), - se fonde sur une désintermédiation là où ces sociétés via des plateformes sont de nouveaux intermédiaires - s'inspire du mode de travail open source -
pierremallet

« Le droit a un train de retard sur l'économie collaborative » - 1 views

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    "Peut-on se livrer à un peu de prospective sur l'avenir de la législation de l'économie collaborative ?   M. L. : C'est dur pour un secteur si jeune. À mon avis, durant les dix ans à venir, on va continuer à faire du bricolage au cas par cas car il n'y a pas de jurisprudence. À terme cependant, on ne voit pas du tout comment on pourrait, vu la diversité et l'ampleur de l'économie du partage, faire un régime séparé. Tout le monde finira par être au même régime sans qu'il y ait de protection pour les acteurs économiques traditionnels. "
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