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hubert guillaud

Arrêtons avec l'«économie du partage» | Slate.fr - 4 views

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    Bien que j'aime beaucoup des entreprises qui tombent sous cette appellation, je suis de plus en plus agacé par le terme d' «économie du partage» [«sharing economy» ], qui est utilisé comme raccourci pour catégoriser un éventail assez divers d'entreprises, dont pratiquement aucune n'implique sérieusement le partage. Dans ces circonstances, j'ai été heureux de voir la présentation de Rachel Botsman sur le fait que l'économie du partage manque d'une définition partagée , dans laquelle elle tente de sauver le concept en adoptant une typologie plus fine.
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
abrugiere

The Rise of Anti-Capitalism - NYTimes.com - 3 views

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    Article de J Rifkin  vrai paradoxe du capitalisme : la dynamique de compétitivité des marchés qui tend à réduire toujours plus les coûts, associée à une révolution technologique, est en train de produire des biens et des services en abondance : à coût nul ou marginal.  Aujourd'hui, avec l'internet des objets, cela va s'étendre à l'économie entière. L'internet des objets, c'est en 2020, 50 bilions de capteurs connectés.  rattachés à des ressources naturelles, des lignes de production, des smart gris, des réseaux de logistiques, dans les maison, les bureaux, les magasins...  Les individus pourront connecter leur réseau et exploiter les données par des big data, des algorithmes, et par là accélérer l'efficience des objets, des réseaux, et donc diminuer toujours plus les coûts d'utilisation. Cisco prévoit que vers 2022 les gains de productivité du secteur privé engendrés par l'internet des objets excédera les 14 trillion de dollars.  La question est de donc de savoir ce que deviendra l' économie quand des millions d'individus pourront produire et partager des biens et des services gratuitement ?  L'internet des objets est une plateforme en train de changer la donne, car capable de faire émerger des biens communs collaboratifs à côté du marché capitaliste.  L'enjeu = partager l'accès plutôt que privatiser la propriété
marinealbarede

Tout partager : Pourquoi notre mode de consommation a définitivement changé -... - 0 views

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    L'économie du partage connaît une place croissante dans nos villes, et si le moteur de cette économie n'est pas unique, il se trouve selon l'auteur particulièrement du côté de la densification des villes et de l'augmentation de la population, mais aussi du côté de motivations économique. Et au niveau de la ville, les bénéfices de ce partage pourraient être immenses, encore faudra-t-il que les villes et les acterus urbains s'adaptent à cette nouvelle économie.
abrugiere

Économie circulaire : les nouveaux "business models" - 3 views

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    La forte croissance de la population et sa concentration dans les zones urbaines va entraîner une très forte augmentation de la demande en matières premières. L'accès aux ressources naturelles dont les réserves sont limitées va devenir de plus en plus difficile et concurrentiel Les industriels vont devoir adopter de nouveaux business models, des business models qui gèrent les ressources en boucle grâce à la réutilisation, à la réparation, à la refabrication ou au recyclage : les business models de l'économie circulaire (voir figure). Avec un schéma sur plusieurs modes d'économie circulaire :  - recyclage des matières 1e en boucle longue - recyclage des matières 1e en boucle courte - prolongement de la durée de vie des produits - mise en place des symbioses industrielles (écologie industrielle) - vente de l'usage d'un produit (économie de la fonctionnalité) - partage de l'utilisation d'un produit (économie collaborative)
marinealbarede

The Sharing Economy Just Got Real - Shareable - 1 views

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    "On résoudra pas les problèmes de l'économie actuelle en reproduisant les structures économiques qui sont à l'origine des problèmes" : un article à la fois profond et concret de la part d'une juriste américaine spécialisée dans l'économie du partage.
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    Un article nuancé sur l'économie du partage, cette "sharing economy" que l'on met à toutes les sauces et dont on commence à bien se rendre compte que ce qu'on met derrière n'est pas vraiment du partage ; en s'appuyant sur quelques ambiguités de cette économie (travail gratuit, risque de croissance des inégalités...), l'auteur prône une transformation des AirBnB, Uber et autres vers des modèles coopératifs, vraiment plus proches du partage.
hubert guillaud

La montée de l'anti-capitalisme - NYTimes.com - 3 views

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    Nous commençons a assister à un paradoxe au coeur du capitalisme, estime Jeremy Rifkin, le dynamisme inhérent aux marchés concurrentiels fait que de nombreux biens et services parviennent à un coût si bas, qu'ils n'y sont plus soumis. Si les économistes ont toujours évoqué la réduction du coût marginal, ils n'ont jamais envisagé qu'une révolution technologique pourrait les faire tomber à zéro. Depuis Napster, le numérique est venu considérablement perturber les industries culturelles et s'attaque désormais à l'énergie, la fabrication, l'éducation... Le phénomène est sur le point d'affecter l'ensemble de l'économie estime Rifkin. Que se passera-t-il quand nous pourrons produire des biens et des services pour presque rien ? Les biens communs, la collaboration, l'accès, la participation de tous inaugure une nouvelle économie de partage et l'internet des objets est la plateforme qui permet au bien commun de se développer aux côté du marché capitaliste, estime Rifkin. De nombreux économistes estiment que le secteur sans but lucratif n'est pas une force économique autonome, mais un parasite. Reste qu'il est aujourd'hui un moteur puissant de nos économies et qu'il dessine un avenir pour le partage des biens communs mondiaux.
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    Le système capitaliste (à part dans le titre, il ne parle finalement pas de capital'isme') comme simple « aggrégateur de service »; j'avoue n'être pas sûre qu'il s'agisse, au premier degré, d'une prospective, ou bien d'un stratagème argumentaire destiné à neutraliser la dimension idéologique du sujet (exacerbée dans le titre). On retrouve souvent ce type de décentrement rhétorique chez Rifkin. Il joue avec habileté de sa double posture d'augure, volontiers sybillin, et de protagoniste actif, disposant d'une influence sur les hauts cercles de la décision. Je parle en simple lecteur, il y a sans doute bien plus spécialistes aux alentours!
marinealbarede

Le Monde - Les collectivités locales doivent soutenir l'économie collaborative - 1 views

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    "Si la crise est régulièrement commentée et analysée, les solutions peinent à émerger. Comme souvent, la théorie est en retard sur les usages. Pourtant, nous commençons à percevoir des tendances fortes, annonciatrices de nouvelles formes de réponses. Parmi celles-ci, il en est une qui nous semble plus particulièrement remarquable, impliquant des notions de partage et de confiance, de nouvelles manières d'appréhender nos façons de vivre, de consommer et de travailler, et qui répond aux attentes unanimes de plus en plus fortes d'un nouveau modèle économique, d'une « économie autrement »." La CUB et le Conseil Général de la Gironde ont récemment décidé de s'intéresser à cette économie, en lançant début juillet le premier forum de l'Economie collaborative en France.
marinealbarede

Veblen Institute - De nouvelles formes de partage : la solidarité au-delà de ... - 1 views

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    "Dressant un vaste panorama de nouvelles pratiques collaboratives, Jean-Michel Servet propose dans cet essai la notion des biens communs pour distinguer les formes de partage à caractère réellement solidaire des modèles économiques qui ne le sont pas vraiment, bien qu'ils se réclament du partage à travers la collaboration."
Aurialie Jublin

L'économie collaborative ne partage que les restes - Influencia - 0 views

  • Ceci est le point culminant logique d’un processus qui a commencé il y a trente ans lorsque les entreprises ont commencé à sacrifier des emplois à temps plein pour des travailleurs temporaires, indépendants ou freelancers et consultants. C’était un moyen de déplacer les risques et inconnues sur le travailleur et une façon de contourner les lois du travail imposant des standards minimums de salaire, du nombre d’heures et des conditions de travail. Celles là mêmes qui permettent aux employés de se mettre ensemble pour négocier des salaires et bénéfices plus intéressants.
  • Les partisans de l’économie collaborative soulignent également que comme le travail à la demande continue de grandir, les travailleurs assemblent leur force pour acheter une assurance et d’autres bénéfices en groupe. Mais, clairement, ils ne se rassemblent pas pour négocier une part plus importante du revenu ou des horaires plus fixes. Cela s’appellerait un syndicat – quelque chose dont Uber, Amazon et les autres entreprises à la demandent ne veulent pas entendre parler.   Certains économistes font l’éloge du travail à la demande car c’est une façon plus efficace d’utiliser une force de travail. Mais le plus gros challenge économique auquel nous faisons face n’est pas l’efficacité. C’est la distribution du travail et une redistribution plus équitable de ses gains. Sur ce dernier sujet, l’économie de partage (des restes), sur certains points, nous renvoie encore bien en arrière...
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    "Et si l'économie collaborative en plus de ne pas profiter à tout le monde tuait le rêve du partage équitable et nous renvoyait à une époque où les droits et la protection des employés étaient inexistants ? La thèse de Robert Reich, l'ancien ministre du travail de Bill Clinton, méritait bien une traduction."
marinealbarede

How to Lose Funds and Infuriate Users: Couchsurfing, a Cautionary Tale From the "Sharin... - 1 views

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    Comment perdre des fonds et enrager les utilisateurs: couchsurfing, un récit édifiant de l'économie de partage
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    Couchsurfing aura 10 ans en 2014, et revendique plus de 6 millions de voyageurs ou d'hôtes rassemblés par une même vision. Mais depuis quelques années, le site semble entrer dans une phase de déclin : devenu une organisation à but lucratif, dans laquelle des investisseurs ont investi plusieurs millions, l'esprit de départ, autour du "partage" (d'expérience, de valeurs, d'un canapé) semble s'éroder. Spécificité d'une initiative de l'économie du partage ou situation pouvant arriver à n'importe quelle startup?
marinealbarede

The Sharing Economy Needs to Start Sharing Its Data Too | Business | WIRED - 3 views

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    Les grandes plateformes de la consommation collaborative (Airbnb, Uber...), bâtissent leur empire sur des données personnelles ; parce qu'elles ont besoin de collecter et traiter un maximum de données pour construire un cadre de confiance adéquat, en affichant des profils détaillés, en assurant les transactions en ligne... des actifs considérables sur lesquelles elles construisent la valeur, et que bien qu'engagées dans l"'économie du partage", elles ne sont absolument pas prêtes à partager.
marinealbarede

Why Airbnb wants you to know how much its users are spending - Washington Post - 2 views

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    La plupart des startups ne sont pas autant préoccupées qu'AirBnb a montrer ses résultats : des utilisateurs qui restent deux fois plus longtemps que des touristes normaux et qui dépensent 300$ de plus en moyenne par voyage... Parce que les startups de l'économie collaborative doivent montrer qu'elles favorisent la consommation et l'activité économique pour justifier leur place dans le bouleversement qu'elles instaurent et limiter les effets de la réglementation qui les menace. Pour répondre à la critique que les locations d'AirBnb auraient un impact à la hausse sur les loyers, la startup a commandé une étude à Ken Rosen, président du Centre Fisher pour la recherche en économie urbaine de Berkeley. Pour Rosen, à San Francisco, le nombre de propriété offert à la location sur AirBnb est trop faible pour que le site ait un impact sur la hausse des loyers. Sans compter que 82% des offreurs de biens sur AirBnb partagent la maison qu'ils habitent.
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    Airbnb enquête auprès de ses usagers, afin de savoir combien ils dépensent lors d'un séjour... afin de démontrer comment les villes en bénéficient d'un point de vue économique. La startup en a même fait un véritable argument de promotion (comment ses utilisateurs consomment plus, consomment différemment, comment les retombées économiques se font dans des quartiers moins touristiques que ceux concernés habituellement par l'hôtellerie, etc.)
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    Il existe déjà des formes de coopération dans le vieux monde. Les impôts, les taxes, les aides, notamment les aides au logement en France. Prenons un exemple: le coût élevé du logement social (loyer modéré, ou programmes types Duflot), en particulier dans Paris, est un effort positif auquel consent la société pour permettre de réduire la charge incombant au bénéficiaire à la partie congrue. Cet effort sera complètement dévoyé lorqu'il serva à démultiplier la rentabilité d'une location de ce logement en chambre d'hôte. Hors qu'est ce qui empêche fondamentalement que le marché ne se développe dans ce sens, dans une ville touristique où nombre de logement à faible loyer sont indiscernables de logement classiques en terme de standing? Tout business qui va dans le sens d'une déconcentration et d'une collaboration de pair à pair comporte sans doute en lui une vertue. Mais la valeur d'une innovation ne peut pas se fonder uniquement sur la suppression pure et simple de mécanismes de régulation ou de redistribution sociale. Sans quoi la société s'y opposera, et malheureusement elle aura toute légitimité à le faire.
Aurialie Jublin

Michel Bauwens : « Uber et Airbnb n'ont rien à voir avec l'économie de partag... - 0 views

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    Extrait: A Séoul, en Corée du Sud, la municipalité de gauche a choisi d'interdire Uber, non pas pour protéger les taxis mais pour développer des applications locales, parce qu'il n'y a aucune raison qu'une société américaine gère les trajets d'une ville asiatique. Cela peut se faire avec une coopérative d'usagers ou une coopérative municipale qui permet de stimuler l'économie locale, et où la valeur reste équitablement répartie. Il faut développer l'imaginaire social et juridique ! Il existe des groupes de juristes en France comme Share Lex qui travaillent à transformer les lois en faveur de l'économie du partage, à créer une jurisprudence du commun. Les chartes sociales telles que celle de Wikipedia, l'encyclopédie collaborative par exemple, sont déjà de bons exemples de chartes du commun.
marinealbarede

Lift14: La face sombre de l'économie du partage - High-Tech - lematin.ch - 2 views

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    Covoiturage, location de vélos ou échange d'appartements: l'économie du partage est en plein boom. Mais ce nouvel eldorado a aussi ses détracteurs, comme Scott Smith, spécialiste et critique des tendances émergentes, qui cite pêle-mêle la perte d'emplois et le discours trompeur tenu par les acteurs de l'économie du partage.
pierremallet

Jeremy Rifkin : "La nouvelle mondialisation, c'est partager plutôt que posséder" - 0 views

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    "La jeune génération est très critique à l'égard de la mondialisation. Elle nous dit que nous avons des centaines d'entreprises qui contrôlent une grande partie de la production économique mondiale, et qui l'automatisent. De nombreuses personnes se retrouvent sans emploi, la croissance du PIB ralentit, et davantage de revenus reviennent au haut de l'échelle, c'est-à-dire aux actionnaires. Ces jeunes gens estiment que le monde est bloqué. Alors, ils se sont mis à créer une économie de partage, basée sur des biens communs collaboratifs. Nous assistons à un évènement historique remarquable, celui de la naissance d'un nouveau modèle économique. Il s'agit du premier système économique à voir le jour depuis le capitalisme et le socialisme, au début du XIXe siècle. "
marinealbarede

Four Myths on How Consumers React to the Share Economy - The Accelerators - WSJ - 2 views

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    Et si les promesses de l'économie du partage, en matière d'expérience de consommation était fausses ? Cet article, basé sur des études de cas et entretiens dans le domaine de l'autopartage, dé-construit 4 mythes autour des consommateurs (préoccupations environnementales ou sociales, importance de la communauté, confiance P2P et identité d'un consommateur collaboratif), quitte à généraliser (un peu vite) que ce qui fait une des spécificités de l'économie du partage n'existe en réalité pas...
marinealbarede

From Sharing Cities to a Sharing World - Shareable - 0 views

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    Alors que l'économie du partage attire désormais l'attention des médias et du public, un vrai débat émerge sur son importance globale et son avenir. Si le paradigme du partage risque de s'étendre face aux grands enjeux du XXIe siècle, il reste encore à faire, pour passer du partage à l'échelle locale et individuelle à une échelle globale.
asselinj

Taxes Won't Kill Bitcoin, but Tax Reporting Might - 0 views

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    Conclusion applicable aux alternatives aux hotels, taxis, transports en communs, dispositifs d'échanges de services de pair à pair en général?
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    Si on est favorable à ces évolutions, mieux vaut anticiper ces questions plutôt que d'attendre qu'elles ne se constituent en menaces. Le "sharing" de "sharing economy" crée de la valeur ajoutée. L'extraction des contraintes sociales classiques (réglementations, impôts, charges sociales,...), auxquelles sont soumis les autres acteurs économiques, ne peut pas être l'unique source de cette valeur. Au-delà du marché et des questions de concurrence par corporation, ce risque pèse sur une assiette de bénéficiaires large. Exemple: si je propose un service sans payer les charges sociales afférentes, je peux quand même subir une maladie professionnelle, et être soigné, simplement ce sont les autres qui paieront pour moi -la réciproque n'étant pas vrai. La nouvelle économie, basée sur un model distributif, peut certainement trouver des solutions pour organiser de façon vertueuse son "empreinte sociétale". Et sans doute être plus efficiente que la "vielle économie", où la dissymétrie des profits entre société, consommateur et producteur domine les rapports. Cette question de responsabilité devient un évidence dans un contexte ou de nombreux petits ou grands opérateurs de l'économie du partage trouvent des façons de monétiser ces nouveaux usages; de leur donner des coordonnées tangible dans le champs de l'économie. C'est une très bonne chose (et surement le sens de l'Histoire), à condition que cela ne devienne pas une version relookée du "mutualiser les risques, privatiser les profits"...
marinealbarede

trendwatching.com présente le Trend Briefing "10 Tendances Consommateurs Indi... - 1 views

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    L'année 2013 sera un véritable tourbillon de nouvelles opportunités et de nouvelles demandes. Certaines économies se maintiendront à niveau tandis que d'autres sombreront dans les abysses. Mais quel que soit le marché ou le secteur, les acteurs qui bénéficieront d'opportunités sont ceux qui répondront aux attentes du marché et qui comprendront les nouvelles tendances de consommation. Une économie mondiale réorganisée, de nouvelles technologies (ou des technologies déjà existantes utilisées de manières novatrices), de nouveaux modèles économiques... que demander de plus ? Voici donc un aperçu des 10 tendances de consommation déterminantes à prendre en considération pour les 12 prochains mois (sans ordre particulier).
marinealbarede

Shareable - http://shareable.sharedby.co/share/wq7sEQ - 0 views

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    L'économie du partage continue son bout de chemin, avec la création de Peers, une nouvelle organisation ayant vocation de promouvoir les pratiques de partage, réfléchir à leur devenir, comment les faire grandir comme autant d'alternatives aux solutions proposées par les institutions et les grandes organisations. Une vision positive qui aura sans doute tout de même à réfléchir aux tensions qui traversent l'économie du partage.
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