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abrugiere

Silke HELFRICH : pour une société des communs - Millenaire3 - 2 views

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    La reconnaissance et la préservation de ce monde commun qui fonde la vie en société (le vivant, les ressources naturelles ou encore le patrimoine immatériel de l'humanité) est au cœur de la réflexion et de l'engagement de SilkeHelfrich. Prenant acte des difficultés rencontrées par le marché et le politique pour apporter de véritables réponses à l'enjeu des communs, elle a pris le parti d'explorer, de partager et de promouvoir les solutions développées par les communautés locales elles-mêmes. Reposant sur une attention et une implication de chacun, ces initiatives témoignent de la capacité de ces communautés à se donner des normes et des règles, et parviennent non seulement à protéger durablement leurs ressources mais également à renforcer les liens sociaux qui les animent. Pour SilkeHelfrich, chacun est appelé à prendre conscience de ses responsabilités en tant que copossesseur des « choses qui nous sont communes », afin d'en tirer davantage de liberté et de communauté.
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    Le terme « communs » décrit les relations particulières qui se nouent entre des ressources d'usage commun (ou biens communs) et un groupe d'individus, la communauté. Ces relations particulières ne sont pas des relations de propriété mais plutôt de possession collective et de responsabilité. Ce dont il est question n'est pas l'eau, l'atmosphère, ou les connaissances partagées sur Wikipédia, mais plutôt des humains, de leurs relations sociales et des décisions qu'ils prennent par rapport à ces bien partagés.  Le processus des communs est un processus réflexif qui fait qu'un individu qui s'engage dans la communauté contribue à transformer le monde mais se transforme lui-même en même temps. Et pour faciliter cette bascule d'une société de l'argent à une société des liens, la logique des communs est particulièrement intéressante. Plutôt que de se focaliser sur « de quoi avons-nous besoin ? », nous devrions nous demander « qu'est-ce que nous avons ? », « sur quoi pouvons-nous compter ? », et surtout « quelles ressources pouvons-nous mettre en commun ? ». En effet, c'est en mettant nos ressources en commun que nous pouvons produire de la nourriture, se loger et résoudre toutes sortes de problèmes auxquels nous sommes confrontés. Cette logique de mise en commun de ressources nous permet aussi de reprendre confiance en nous et du coup de se sentir capable de se prendre en main et gérer ces ressources ensembles.
marinealbarede

In the Sharing Economy, Workers Find Both Freedom and Uncertainty - NYTimes.com - 1 views

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    L'économie collaborative promet aux individus de nouvelles perspectives d'activité voire d'entrepreneuriat... dans les faits, ceux-ci y trouvent parfois plus de liberté que dans l'emploi salarié. Mais est-ce pour autant pour eux une situation tenable ? Temps de travail à rallonge, conciliation d'activités multiples pour assurer un minimum de revenus, précarité de la situation, absence d'assurance ou de garanties quelconque...
abrugiere

The Rise of Anti-Capitalism - NYTimes.com - 3 views

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    Article de J Rifkin  vrai paradoxe du capitalisme : la dynamique de compétitivité des marchés qui tend à réduire toujours plus les coûts, associée à une révolution technologique, est en train de produire des biens et des services en abondance : à coût nul ou marginal.  Aujourd'hui, avec l'internet des objets, cela va s'étendre à l'économie entière. L'internet des objets, c'est en 2020, 50 bilions de capteurs connectés.  rattachés à des ressources naturelles, des lignes de production, des smart gris, des réseaux de logistiques, dans les maison, les bureaux, les magasins...  Les individus pourront connecter leur réseau et exploiter les données par des big data, des algorithmes, et par là accélérer l'efficience des objets, des réseaux, et donc diminuer toujours plus les coûts d'utilisation. Cisco prévoit que vers 2022 les gains de productivité du secteur privé engendrés par l'internet des objets excédera les 14 trillion de dollars.  La question est de donc de savoir ce que deviendra l' économie quand des millions d'individus pourront produire et partager des biens et des services gratuitement ?  L'internet des objets est une plateforme en train de changer la donne, car capable de faire émerger des biens communs collaboratifs à côté du marché capitaliste.  L'enjeu = partager l'accès plutôt que privatiser la propriété
marinealbarede

Le net devait sonner la fin du capitalisme - 2 views

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    Le net devait sonner la fin du capitalisme... c'est aussi ce qu'annonce Jeremy Rifkin dans son dernier ouvrage, la fin du capitalisme. Et si au contraire, internet permettait à celui-ci de se renforcer, s'appuyant sur la production des individus sans la rémunérer...
marinealbarede

How To Design For The Sharing Economy | Co.Design: business + innovation + design - 1 views

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    La définition et le rapport à la propriété évolue ; la consommation collaborative s'étend. En posant plusieurs questions, parmi lesquelles "comment repenser des biens et des modèles de distribution en adéquation avec ces nouveaux comportements?" Plusieurs pistes, pour permettre à plusieurs individus d'accéder en même temps à un bien, pour repenser les cycles de vie des produits, etc.
marinealbarede

Cooperatives give new meaning to sharing economy - SFGate - 2 views

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    Aux côtés des plateformes de la consommation collaborative qui ont un modèle "capitaliste", des modèles coopératifs existent : pour Loconomics, il s'agit d'une plateforme de services proposés par des individus en freelance ; ce sont eux qui possèdent la plateforme. Tout reste à inventer dans la consommation collaborative, autour de ces modèles coopératifs, si l'on souhaite une meilleure répartition de la valeur.
marinealbarede

Owning is the New Sharing - Shareable - 1 views

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    Après les premiers temps de son développement, la Sharing Economy semble commencer à s'intéresser à des modèles de financement, de développement et de gestion différents de ceux des pionniers devenus plus ou moins grands (Airbnb, etc.). Des modèles plus et décentralisés, qui commencent à voir le jour... mais dont la pérennité n'a pas encore été démontrée (modèles coopératifs, fondés sur des technologies déccentralisées proches de celles du Bitcoin, etc., financés par des individus qui croient dans les projets.... ). Comment rediriger les flux de valeur pour mieux la redistribuer ?
Aurialie Jublin

L'économie collaborative ne partage que les restes - Influencia - 0 views

  • Ceci est le point culminant logique d’un processus qui a commencé il y a trente ans lorsque les entreprises ont commencé à sacrifier des emplois à temps plein pour des travailleurs temporaires, indépendants ou freelancers et consultants. C’était un moyen de déplacer les risques et inconnues sur le travailleur et une façon de contourner les lois du travail imposant des standards minimums de salaire, du nombre d’heures et des conditions de travail. Celles là mêmes qui permettent aux employés de se mettre ensemble pour négocier des salaires et bénéfices plus intéressants.
  • Les partisans de l’économie collaborative soulignent également que comme le travail à la demande continue de grandir, les travailleurs assemblent leur force pour acheter une assurance et d’autres bénéfices en groupe. Mais, clairement, ils ne se rassemblent pas pour négocier une part plus importante du revenu ou des horaires plus fixes. Cela s’appellerait un syndicat – quelque chose dont Uber, Amazon et les autres entreprises à la demandent ne veulent pas entendre parler.   Certains économistes font l’éloge du travail à la demande car c’est une façon plus efficace d’utiliser une force de travail. Mais le plus gros challenge économique auquel nous faisons face n’est pas l’efficacité. C’est la distribution du travail et une redistribution plus équitable de ses gains. Sur ce dernier sujet, l’économie de partage (des restes), sur certains points, nous renvoie encore bien en arrière...
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    "Et si l'économie collaborative en plus de ne pas profiter à tout le monde tuait le rêve du partage équitable et nous renvoyait à une époque où les droits et la protection des employés étaient inexistants ? La thèse de Robert Reich, l'ancien ministre du travail de Bill Clinton, méritait bien une traduction."
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