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Les genres du cinéma - 1 views

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    La théorie des genres élaborée par Aristote distingue la comédie de la tragédie. Dans la tragédie, le conflit apparent est surdéterminé par des forces métaphysiques, morales ou sociales qui échappent aux personnages. La comédie peint les travers d'une société. Gérard Genette dira ainsi que c'est un critère de distance qui distingue les deux genres majeurs du théâtre grec : la distance vis à vis du réel vécu par les personnages. La position du metteur en scène par rapport au réel vécu par ses personnages peut aussi définir huit genres sur l'axe des distances. L'appartenance à l'un de ces huit premiers genres n'est pas exclusive de l'appartenance aux douze suivants. Ceux-ci sont les genres classiques du cinéma. Ils se sont en effet définis par rapport à un autre critère que celui de la distance : celui du thème.
d m

Les questions posées par la notion de genre - 2 views

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    Working paper, Jacques Araszkiewiez, 16 décembre 2003 La question des genres est une question transversale à de nombreux domaines (genres cinématographiques par exemple). On peut tenter de décrire le genre par sa forme intrinsèque : le film policier par exemple. Il présente par définition du suspense, son héros se rapproche généralement de l'Anti-sujet entendu au sens de la grammaire narrative proposée par Algirdas Julien Greimas (il ne progresse pas à la différence du sujet et n'est pas glorifié en fin de parcours). Mais cette définition intrinsèque du genre s'effondre devant le renvoi à de nouvelles définitions et sa tendance tautologique. Si le film policier, c'est le suspense, qu'est-ce alors que le suspense ? Et ne trouve-t-on pas du suspense dans des films non policiers ?
d m

La comédie » - Dossier de présentation - 1 views

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    La comédie est peut-être le genre le plus facile à définir a priori : tout le monde sait qu'une comédie est un film destiné à faire rire. C'est en tout cas le genre plus populaire (les films français qui ont fait le plus d'entrées depuis cinquante ans sont tous des comédies, depuis La Grande Vadrouille jusqu'à Bienvenue chez les ch'tis...), même s'il est loin d'être le plus prestigieux (les grandes récompenses officielles du type César ou Oscar, les prix dans les festivals lui échappent quasiment toujours). C'est en tout cas un genre qui a tenu un rôle très important dans l'histoire du cinéma. Historiquement, la première fiction du cinéma est une comédie : L'Arroseur arrosé, un film de… 42 secondes des Frères Lumière, faisait partie de la première séance payante du cinématographe du 28 décembre 1895. Par la suite, ce sont les films comiques, assurant à un large public un délassement franc et immédiat, qui vont faire le succès fulgurant de ce divertissement de masse. C'est le règne du « slapstick », héritier de genres populaires comme la farce ou le théâtre de Guignol : personnages très typés voire réduits à une silhouette, rythme effréné (la poursuite est une figure récurrente du genre), avalanche de gags simples et efficaces (chutes, bagarres, tartes à la crème). Certains acteurs et metteurs en scène vont toutefois faire évoluer le genre vers plus de subtilité, à commencer par Charles Chaplin.
d m

"L'Humanité" de Bruno Dumont analysé par Philippe Rouyer - 0 views

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    Philippe Rouyer, critique à Positif et Psychologies magazine, est chroniqueur régulier dans les émissions "Mauvais genres" sur France Culture et "Le Cercle" sur CANAL+ Cinéma. Il est l'auteur de "Initiation au cinéma" (Éd. Edilig, 1990) et de nombreux essais sur le cinéma de genre. Dans une petite ville du nord de la France, l'enquête sur le viol et le meurtre d'une fillette prend les allures d'une quête existentielle pour le policier qui en est chargé. Comment, par ses choix de mise en scène, Bruno Dumont filme frontalement la souffrance et la misère du monde pour interroger l'existence du Mal au coeur de la condition humaine ? (Philippe Rouyer)
d m

"Minority Report" de Steven Spielberg analysé par Philippe Rouyer - 0 views

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    Critique à Positif et Psychologies magazine, Philippe Rouyer est chroniqueur régulier dans les émissions "Mauvais genres" sur France Culture et "Le Cercle" sur CANAL+ Cinéma. Il est l'auteur de "Initiation au cinéma" (Éd. Edilig, 1990) et de nombreux essais sur le cinéma de genre. Dans cette adaptation de Philip K. Dick située à Washington en 2054, Spielberg a essayé de représenter de la manière la plus réaliste notre futur. Un futur où la police emploie des médiums pour visualiser des crimes à venir, donc non encore commis. (Philippe Rouyer)
d m

"Mon oncle" de Jacques Tati analysé par Stéphane Goudet - 0 views

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    Spécialiste du genre burlesque et notamment de Jacques Tati, Stéphane Goudet est maître de conférences à l'université Paris 1. Ancien critique à Positif, il dirige également le cinéma Méliès de Montreuil. La machine, dans Mon oncle, est associée à l'un des seuls moments où Hulot travaille, dans la séquence des tuyaux qui revisite À nous la liberté et Les Temps modernes. Mais elle est également présente par le biais des voitures, préfigurant l'engin dont Hulot deviendra concepteur dans Trafic. (Stéphane Goudet)
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Gilles Deleuze, "La crise de l'image-action" présenté par Jean-Baptiste Thoret - 0 views

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    Spécialiste du Nouvel Hollywood et du cinéma de genre, Jean-Baptiste Thoret est critique à Charlie Hebdo et chroniqueur à France Culture. À paraître : "Michael Mann, un Saturne américain" (Éd. Cahiers du cinéma, 2010). Gilles Deleuze clôt "L'Image-Mouvement" par un chapitre, "La crise de l'image-action", dans lequel, à partir des films d'Hitchcock (Fenêtre sur cour), il identifie la fin de cette grande forme propre au cinéma hollywoodien, qui se manifeste d'abord par la perte du "lien sensorimoteur". Quelles furent les conséquences esthétiques et formelles de cette crise ? Aujourd'hui, après la redécouverte du cinéma américain des années 70, ce concept est-il toujours valide ? Cours du 9 octobre 2009.
d m

A propos de Pi de D. Aronofsky et Matrix des frères Washowsky. Démon de Laplace et connaissance du troisième genre + Séquences - 1 views

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    1) Préalable : "Tout est nombre" - quelques justifications philosophiques 2) Analyse de la première séquence 3) Vers la connaissance du troisième genre ? Pi et Matrix
john_doe

Les comédies de remariage - 2 views

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    Le genre tient en 7 films de 1934 à 1949 Date Title Director Starring Poster 1934 It happened one night Frank Capra Clack Gabble / Claudette (...)
john_doe

Les mélodrames de la femme inconnue - 0 views

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    UN GENRE DÉRIVÉ DES COMÉDIES DE REMARIAGE
john_doe

New York-Miami (It Happened One Night, 1934) - 1 views

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    Voici le film qui inaugura le genre de la comédie américaine en 1934. Un bon millésime, oeuvre d'’un Frank Capra génial, qui réjouit par sa cocasserie et son rythme endiablé. Naissance d'un genreNew York-Miami est la première d'un type bien particulier de comédies qui se développa aux Etats-Unis pendant la décennie 1930, et qui suscita un nom précis : la " screwball comedy ".
d m

Figures et figures du discours dans Parle avec elle d'Almodóvar - 1 views

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    par  Natalia SkradolCet article explore l'éthique des relations interpersonnelles physiques et verbales, qui s'expriment elles-mêmes comme déplacements et intersections des genres dans le film de Pedro Almodóvar, Parle avec elle (Hable con ella, 2002). L'éthique doit être comprise ici dans le sens étroit du souci de soi, qui présuppose toujours le souci de l'autre. Je soutiendrai que le film suggère la démétaphorisation de l' expérience corporelle comme voie menant vers des rapports éthiques entre les êtres humains. Je suggèrerai également que le film propose un féminisation du masculin comme étape permettant d'atteindre un niveau plus élevé d'humanisme et de compréhension mutuelle.
d m

« Le cinéma face à l'histoire » - Dossier de présentation - 2 views

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    Une fascination immédiate De même que les mondes futurs ou imaginaires, les mondes passés ont toujours fasciné le cinéma. Avec leurs décors grandioses, leurs costumes chatoyants (on parle souvent de « films en costume » pour souligner leur importance), les films historiques offrent une promesse de grand spectacle et de dépaysement immédiat. A côté de son célèbre Voyage dans la lune et autres fantasmagories, George Méliès tourne ainsi une Cléôpatre et une Jeanne d'Arc. Mais ce sont deux films produits la même année qui par leur succès vont marquer leur temps et célébrer les noces du couple « cinéma et histoire ». L'Assassinat du duc de Guise (1908) d'André Calmettes est à la fois l'une des premières tentatives de reconstituer une scène historique, et le premier « film d'art », pour reprendre le nom de la société qui le produit : il a été écrit par un académicien, interprété par des comédiens de la Comédie Française, mis en musique par Camille Saint-Saëns. Son succès va sortir le « cinématographe » des baraques de foire et du mépris dans lequel le tiennent les intellectuels, et constituer le film historique comme un genre à part entière. Au même moment Luigi Maggi tourne en Italie Les Derniers Jours de Pompéi (1908), premier avatar d'un genre, le peplum, qui va faire les beaux jours du cinéma italien (Cabiria de Giovanni Pastrone, 1918) puis américain (voir les fresques bibliques de Cecil B. de Mille).
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Ressources et écrits sur l'image - Le documentaire - 1 views

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    * Le genre documentaire existe-t'il ? * La limite des genres d'un point de vue sémiologique d'un point de vue narratologique d'un point de vue cognitif d'un point de vue sociologique globalement donc... * L'analogie comme "preuve" du réel * Reportages, magazines, documentaires * Quel termes utiliser ? * Qu'est ce qu'un documentaire finalement ?
john_doe

Les larmes de Stella Dallas - 0 views

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    Stella Dallas (1937) est le plus ancien "des mélodrames de la femme inconnue" repérés par Stanley Cavell,un genre spécifique dans lequel l'"éducation" et ses pouvoirs de transformation sont thématisés.
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Dossier Space Invaders / Le cinéma Extra-terrestre - 1 views

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    La ponctualité des genres du cinéma américain, de ses résurgences à ses interruptions, étant esclave de son histoire et son actualité, autant commencer par la genèse du film d'invasion martienne. En 1947, le pilote Kenneth Arnold, en mission de vol, témoigne par radio de l'apparition d'étranges disques l'accompagnant tels des dauphins un navire. Le terme de « flying saucers / Soucoupes volantes » fait dès le lendemain son entrée dans le langage courant via les unes de la presse britannique et dans l'imagination des cadres de Hollywood. Dans la décennie des fiveties, la déferlante de films d'invasion extra-terrestre au sein des drive-in devient dès lors proportionnelle aux soit-disant apparitions d'engins dans le ciel du Texas, de Roswell à Corona.
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Le rire en perspective. Des bronzés à l'extension du domaine de la lutte + séquences - 1 views

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    Ces deux ensembles de séquences sont très proches : dans les deux cas, il s'agit d'un homme au physique ingrat qui désire ardemment mettre une femme dans son lit et qui toujours échoue. Et cependant seul le film Les Bronzés appartient au genre comique, l'Extension du domaine de la lutte étant rien moins que gai. Pourquoi donc ? Pourquoi le premier nous fait-il rire alors qu'à l'inverse le second tend à nous serrer la gorge ? Pourquoi ce qui est, en un certain sens, la même scène apparaît-elle ridicule et risible d'un côté et de l'autre fait-elle naître notre compassion ?
d m

Community. Sitcoms et contrat social. S01E01 - 1 views

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    "Sitcom". Le mot vient comme l'on sait de la contraction de "Situation comedy". On suggère par ce nom que les personnages ne sont pas développés pour eux-mêmes. L'intérêt provient plutôt de leurs interractions comiques. Et si on déploie le concept jusqu'au bout, on peut en déduire que dès qu'un personnage se met à changer en profondeur et devient l'enjeu de la série, cela signifie qu'on est en train de basculer dans le genre du drame, où l'action n'est plus fragmentaire ou cyclique, mais linéaire. La plupart des sitcoms, pour ancrer leurs situations comiques nécessitent donc un cadre très défini, quasi rituel, où rien ne change qui affecte directement les personnages. Elles supposent par exemple une bande d'amis, où chacun connaît sa place. A la qualité d'être comique s'appose alors une deuxième qualité peut-être aussi importante : avoir passé un pacte social.
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Fondements de la représentation cinématographique - 2 views

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    Ce cours magistral, qui s'appuie sur la projection de près de 70 extraits de films (classiques du cinéma, films de genre...), a pour vocation de fournir aux étudiants des outils méthodologiques leur permettant d'approcher les films (documentaires et fictions) tournés pour le cinéma par le biais des techniques de la mise en scène et des techniques narratives. Une attention particulière est apportée à la caractérisation des personnages, la construction du récit et de l'intrigue. Frédéric GIMELLO-MESPLOMB, Maître de conférences
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La représentation des hallucinations dans les films de David Cronenberg - 2 views

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    Article de Nicolas Debarle - Depuis le début de sa carrière de cinéaste, David Cronenberg a toujours considéré le corps humain comme son centre d'intérêt capital, son principal objet. Dans chacun de ses films, le corps est toujours placé au centre des événements. Le réalisateur canadien, dans ses interviews, ne cesse de répéter par ailleurs que le corps est le fait primordial de l'existence, que le premier événement de la vie est précisément d'avoir un corps (D'après David Cronenberg, Entretiens avec Serge Grünberg, p.100) La condition humaine selon Cronenberg est avant tout corporelle. Bien que ses films s'inscrivent dans le genre fantastique et pour certains d'entre eux dans celui de l'horreur, ils ne proposent aucune histoire de fantômes et ne font jamais allusion à de quelconques esprits ou autres revenants. La seule horreur envisageable est celle qui provient de l'intérieur de soi : « Chez Cronenberg, il n'y a d'horreur vraie, réellement vécue, que dans le corps » (Charles Tesson, propos rapportés par Serge Grünberg, David Cronenberg, p. 85 n. 4).
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