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Home/ Cinéma et Philosophie/ Group items tagged Société

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Le retour à la nature : une quête d'authenticité ? Quelques regards philosoph... - 0 views

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    Ce film aborde un thème majeur de la philosophie politique, celui de la place de l'homme entre nature et société. Plus précisément, ce thème est traité au travers du sujet de la quête de réalisation de soi à l'âge moderne, qui prend la forme de ce que le philosophe canadien Charles Taylor appelle l'idéal d'authenticité[2], c'est-à-dire un idéal de vérité par rapport à soi. Il nous semble intéressant d'étudier dans quelle mesure le retour à la nature permet, ou non, au protagoniste d'Into the Wild de réaliser cet idéal d'authenticité. Poser cette question implique, en contraste, d'étudier dans quelle mesure la société nous éloigne, ou non, de la réalisation de cet idéal.
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"Cinéma et histoire" de Marc Ferro, 1977 présenté par Jean-Pierre Bertin-Maghit - 0 views

shared by d m on 09 Aug 11 - No Cached
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    Docteur d'État en Histoire, Jean-Pierre Bertin-Maghit, spécialiste notamment du cinéma de propagande et du cinéma français sous l'Occupation, est professeur d'études cinématographiques à La Sorbonne Nouvelle Paris 3. En 1973, Marc Ferro fait paraître dans Les Annales un article dans lequel le film, considéré comme un document d'histoire plus révélateur des zones d'ombre d'une société que les sources écrites, permet de bâtir une contre-analyse de la société. Jean-Pierre Bertin-Maghit présente cette problématique à travers un des textes majeurs de l'auteur. Cours du 4 décembre 2009
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Le dernier samouraï (exposé CPES) - fredericgrolleau.com - 0 views

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    Le dernier Samouraï se déroule au Japon, pendant l'Ere Meiji au XIXème siècle. Le Japon se modernise et pour favoriser cela, une désamouraïsation de la société est mise en place. La modernité et la tradition se battent pour l'âme du Japon mais l'Empereur considère les Samouraï comme un obstacle a la modernisation et au bien-être du Japon.
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SEV7N (exposé CPES) - 1 views

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    Quelles sont, dans ce film, les notions philosophiques utilisées par le réalisateur pour dénoncer ce qui lui semble être une société fondé sur les vices et les péchés ?
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Cinéma et sociologie politique - 3 views

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    Ce cours a pour objectif d'ouvrir un espace de réflexion sur la pratique artistique selon différentes problématiques liant pratique artistique, politique et société(s) : la fonction de l'art et de l'artiste dans les différents types de société; la reconnaissance et la légitimation de l'oeuvre; le rapport aux publics; les relations avec les institutions; les motivations des mouvements sociaux dans le champ social et politique de l'art; l'analyse historique des divers engagements politiques de la pratique artistique, notamment à travers les cas de la musique et du cinéma. Des études de cas illustrent les concepts abordés. Frédéric GIMELLO-MESPLOMB, Maître de conférences
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Fight Club. Edited by Thomas Wartenberg - 1 views

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    Released in 1999, Fight Club is David Fincher's popular adaption of Chuck Palahniuk's cult novel, and one of the most philosophically rich films of recent years. This is the first book to explore the varied philosophical aspects of the film. Beginning with an introduction by the editor that places the film and essays in context, each chapter explores a central theme of Fight Club from a philosophical perspective.
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Community. Sitcoms et contrat social. S01E01 - 1 views

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    "Sitcom". Le mot vient comme l'on sait de la contraction de "Situation comedy". On suggère par ce nom que les personnages ne sont pas développés pour eux-mêmes. L'intérêt provient plutôt de leurs interractions comiques. Et si on déploie le concept jusqu'au bout, on peut en déduire que dès qu'un personnage se met à changer en profondeur et devient l'enjeu de la série, cela signifie qu'on est en train de basculer dans le genre du drame, où l'action n'est plus fragmentaire ou cyclique, mais linéaire. La plupart des sitcoms, pour ancrer leurs situations comiques nécessitent donc un cadre très défini, quasi rituel, où rien ne change qui affecte directement les personnages. Elles supposent par exemple une bande d'amis, où chacun connaît sa place. A la qualité d'être comique s'appose alors une deuxième qualité peut-être aussi importante : avoir passé un pacte social.
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Community : Sitcoms et contrat social. S01E02 - 1 views

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    La coopération sociale peut-elle être favorisée par un t-shirt col en V et un regard sexy ?
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Sexe, sang et devenir minoritaire : les vampires ont-ils des droits ? - 1 views

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    La dernière idée jetée dans le grand accélérateur de théories est la suivante : « Et si les vampires n'étaient seulement condamnés pour l'éternité, ou condamnés à devoir tuer pour satisfaire leurs pulsions, mais s'ils étaient dans le fond une minorité politique en mal de reconnaissance ? » Et c'est True Blood, la dernière production d'Alan Ball (le créateur génial de Six Feet Under, et scénariste d'American Beauty), qui prend en charge le problème.
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Les genres du cinéma - 1 views

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    La théorie des genres élaborée par Aristote distingue la comédie de la tragédie. Dans la tragédie, le conflit apparent est surdéterminé par des forces métaphysiques, morales ou sociales qui échappent aux personnages. La comédie peint les travers d'une société. Gérard Genette dira ainsi que c'est un critère de distance qui distingue les deux genres majeurs du théâtre grec : la distance vis à vis du réel vécu par les personnages. La position du metteur en scène par rapport au réel vécu par ses personnages peut aussi définir huit genres sur l'axe des distances. L'appartenance à l'un de ces huit premiers genres n'est pas exclusive de l'appartenance aux douze suivants. Ceux-ci sont les genres classiques du cinéma. Ils se sont en effet définis par rapport à un autre critère que celui de la distance : celui du thème.
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Le miracle au cinéma - 1 views

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    Le sacré suppose une coupure. C'est ce qui est au-dessus, hors d'atteinte, transcendant. Le sacré, l'intérieur du temple, s'oppose au (pro)fanum, l'entrée du temple. Cette coupure évite les confusions, confusions entre les jours, entre hommes et femmes. Ces réalités séparées sont des réservoirs de forces qu'une société utilise pour exister. Le thème du sacré, intervient dès qu'il y a coupure entre l'humain et quelque chose hors d'atteinte. L'existence du sacré peut être "prouvée" par un miracle qui transforme le monde ou par un coup de grâce qui transforme le personnage.
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Le discours mytho-écologique dans "Princesse Mononoke". par Chiwaki... - 2 views

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    A travers l'étude du film d'animation japonais, "Mononoke Hime", couramment traduit par "Princesse Mononoke", réalisé par Hayao Miyazaki, le professeur Chiwaki Shinoda nous révèle les différents thèmes abordés. Les personnages évoluent dans un univers sylvestre mythique, peuplé d'esprits, de démons, de dieux zoomorphes appartenant au fonds culturel japonais. Ainsi, retrouve-t-on un thème cher à la littérature japonaise : l'exil du prince. Ashitaka ayant été envoûté par l'empoisonnement du dieu sanglier, se voit banni de son village et condamné à l'exil dans la forêt. En même temps se posent les questions du devenir des exclus dans une société paysanne pétrie de préjugés. Une autre question, essentielle dans le film, est celle de la symbiose avec la nature et de l'équilibre complexe entre les activités humaines et le respect de cette nature. Complexe, car l'ambivalence marque souvent le comportement des uns et des autres acteurs de cet équilibre écologique. Un dernier thème se détache, et ponctue la fin du film, la destruction nécessaire au renouvellement de la nature.
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Land of the Dead (Romero) : Critique urbaine radicale. Par Max Rousseau - 1 views

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    Sorti sur les écrans français à l'été 2005, Land of the Dead est le dernier volet de la quadrilogie du réalisateur américain George Romero, inaugurée en 1968 avec Night of the Living Dead . Bien qu'appartenant au genre horrifique (1), ces films n'en présentent pas moins l'ambition, revendiquée par leur réalisateur, d'aborder des thématiques politiques : « En surface, je fais du cinéma populaire. Mais j'ai besoin de m'appuyer sur un contenu pour trouver une certaine satisfaction. Cela ne date pas d'aujourd'hui, le fantastique a toujours servi de parabole à l'expression de la critique sociale . »
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« Le cinéma face à l'histoire » - Dossier de présentation - 2 views

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    Une fascination immédiate De même que les mondes futurs ou imaginaires, les mondes passés ont toujours fasciné le cinéma. Avec leurs décors grandioses, leurs costumes chatoyants (on parle souvent de « films en costume » pour souligner leur importance), les films historiques offrent une promesse de grand spectacle et de dépaysement immédiat. A côté de son célèbre Voyage dans la lune et autres fantasmagories, George Méliès tourne ainsi une Cléôpatre et une Jeanne d'Arc. Mais ce sont deux films produits la même année qui par leur succès vont marquer leur temps et célébrer les noces du couple « cinéma et histoire ». L'Assassinat du duc de Guise (1908) d'André Calmettes est à la fois l'une des premières tentatives de reconstituer une scène historique, et le premier « film d'art », pour reprendre le nom de la société qui le produit : il a été écrit par un académicien, interprété par des comédiens de la Comédie Française, mis en musique par Camille Saint-Saëns. Son succès va sortir le « cinématographe » des baraques de foire et du mépris dans lequel le tiennent les intellectuels, et constituer le film historique comme un genre à part entière. Au même moment Luigi Maggi tourne en Italie Les Derniers Jours de Pompéi (1908), premier avatar d'un genre, le peplum, qui va faire les beaux jours du cinéma italien (Cabiria de Giovanni Pastrone, 1918) puis américain (voir les fresques bibliques de Cecil B. de Mille).
john_doe

L'illustration d'un tort absolu - 1 views

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    C'est à partir d'un film de Claude Sautet, un « cœur en hiver » (1992), riches en dialogues, que nous pourrions illustrer cette idée de conversation (une idée que Stanley Cavell défend contre le théoricien politique John Rawls). La scène cruciale tient en quelques minutes dans une discussion et la représentation que se donne toute une micro-société bourgeoise. Conversation au sens politique et conversation au sens ordinaire sont les deux faces du film qui montre notre destin d'être condamné à l'expressivité. Qu'advient-il à celui qui le refuse .. et aux autres ?
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