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"Minority Report" de Steven Spielberg analysé par Philippe Rouyer - 0 views

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    Critique à Positif et Psychologies magazine, Philippe Rouyer est chroniqueur régulier dans les émissions "Mauvais genres" sur France Culture et "Le Cercle" sur CANAL+ Cinéma. Il est l'auteur de "Initiation au cinéma" (Éd. Edilig, 1990) et de nombreux essais sur le cinéma de genre. Dans cette adaptation de Philip K. Dick située à Washington en 2054, Spielberg a essayé de représenter de la manière la plus réaliste notre futur. Un futur où la police emploie des médiums pour visualiser des crimes à venir, donc non encore commis. (Philippe Rouyer)
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Jean Baudrillard and Cinema: The Problems of Technology, Realism and History | Coulter ... - 1 views

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    Jean Baudrillard loved cinema and was fascinated by the collusions which occur between it and life. He also believed that technologies of virtualization and the pursuit of realism were deeply harmful to the quality of the cinematic image. Precisely at the time when cinema was subject to these forces he pointed out that it is coming to play a far more important role in the collective understanding of history than are the best scholarly histories. Because of the focus he took concerning cinema his work will remain important to discussions of the intersections between film and philosophy well into the future.
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« Le cinéma face à l'histoire » - Dossier de présentation - 2 views

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    Une fascination immédiate De même que les mondes futurs ou imaginaires, les mondes passés ont toujours fasciné le cinéma. Avec leurs décors grandioses, leurs costumes chatoyants (on parle souvent de « films en costume » pour souligner leur importance), les films historiques offrent une promesse de grand spectacle et de dépaysement immédiat. A côté de son célèbre Voyage dans la lune et autres fantasmagories, George Méliès tourne ainsi une Cléôpatre et une Jeanne d'Arc. Mais ce sont deux films produits la même année qui par leur succès vont marquer leur temps et célébrer les noces du couple « cinéma et histoire ». L'Assassinat du duc de Guise (1908) d'André Calmettes est à la fois l'une des premières tentatives de reconstituer une scène historique, et le premier « film d'art », pour reprendre le nom de la société qui le produit : il a été écrit par un académicien, interprété par des comédiens de la Comédie Française, mis en musique par Camille Saint-Saëns. Son succès va sortir le « cinématographe » des baraques de foire et du mépris dans lequel le tiennent les intellectuels, et constituer le film historique comme un genre à part entière. Au même moment Luigi Maggi tourne en Italie Les Derniers Jours de Pompéi (1908), premier avatar d'un genre, le peplum, qui va faire les beaux jours du cinéma italien (Cabiria de Giovanni Pastrone, 1918) puis américain (voir les fresques bibliques de Cecil B. de Mille).
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