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"La Commune (Paris, 1871)" de Peter Watkins analysé par Sébastien Layerle - 0 views

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    Entièrement tourné en studio, le film de Peter Watkins, expérience cinématographique et télévisuelle hors norme, bouscule les codes de représentation de la fiction historique. Donnant à l'événement une forte résonance contemporaine, il s'impose en outre comme un modèle de création collective qui en appelle au sens critique et vise "l'éveil des consciences". (Sébastien Layerle) Maître de conférences à l'université Paris 3 Sorbonne Nouvelle, Sébastien Layerle a consacré plusieurs travaux à la question de l'engagement au cinéma. Il est l'auteur de "Caméras en lutte en mai 68" (Nouveau monde éd., 2008)
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Autour du Sixième sens de M. Night Shyamalan + séquence - 1 views

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    Continuons notre exploration des mondes propres (point de vue de leur conscience) ou des perspectives possibles sur le monde extérieur (rapport de la perception à la chose en soi) qui s'ouvrent à des êtres réellement ou hypothétiquement dotés de sens extraordinaires (Spiderman, Microcosmos, Daredevil, la famille Addams, le seigneur des Anneaux...).
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THE TRUMAN SHOW, de P. Weir - Existe-t-il un monde en dehors de la conscience ? - 2 views

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    Truman Burbank mène une vie calme et heureuse. Il habite dans un petit pavillon propret de la radieuse station balnéaire de Seahaven. Il part tous les matins à son bureau d'agent d'assurances dont il ressort huit heures plus tard pour regagner son foyer, savourer le confort de son habitat modèle, la bonne humeur inaltérable et le sourire mécanique de sa femme, Meryl. Mais parfois, Truman étouffe sous tant de bonheur et la nuit l'angoisse le submerge. Il se sent de plus en plus étranger, comme si son entourage jouait un rôle. Pis encore, il se sent observé. ...
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Devant quel(s) film(s) ressentez-vous un plaisir coupable ? - 2 views

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    À Critikat, nous nous targuons d'être des critiques cinéphiles, des spectateurs avertis ayant une haute idée du cinéma en tant qu'art. Est-ce pour autant que nous n'avons pas nos petits plaisirs coupables, ces films que nous aimons malgré tout, et surtout malgré notre bonne conscience − pour laquelle nous nous devons de préférer a priori un film d'Orson Welles à un film de Luc Besson ? Pour montrer qu'un critique de cinéma est aussi faillible, les rédacteurs de Critikat ont accepté de dévoiler une fois pour toutes leurs amours adultères...
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La "chose" de la famille Addams de Barry Sonnenfeld ou ce que c'est qu' "avo... - 1 views

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    Soit une simple main dotée de mobilité et de conscience. Elle se balade au sein de notre monde - du moins celui de la famille Addams - en animal de compagnie. Mais que peut-elle bien percevoir de la réalité ?
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Lutte des classes au cinéma - 1 views

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    Dans le cinéma classique, le peuple est là, même opprimé, trompé, assujetti, même aveugle ou inconscient. Dans le cinéma soviétique, le peuple est déjà là chez Eisenstein, qui le montre opérant un saut qualitatif dans La ligne générale, ou qui en fait dans Ivan le terrible, la pointe avancée que le tsar retient ; et chez Poudovkine, c'est chaque fois le cheminement d'une prise de conscience qui fait que déjà le peuple a une existence virtuelle en train de s'actualiser ; et chez Vertov et Dovjenko, de deux manières, il y a un unanimisme qui convoque les peuples différents dans un même creuset d'où sort l'aveni
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NOSFERATU - Désir et pulsion de mort - 1 views

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    NOSFERATU: «Ce mot ne sonne-t-il pas à tes oreilles comme le cri d'un oiseau de mort à minuit. Garde-toi de le prononcer, sinon les images de la vie pâliront et deviendront des ombres, de ton coeur monteront des songes fantomatiques qui se nourriront de ton sang (2)». C'est ce jeu se situant entre le rêve et la réalité, entre le double et son créateur, entre le désir et la pulsion de mort, qui fascinera Murnau tout au long de cette aventure. C'est en jouant avec l'Oedipe et les instances de la conscience et de l'inconscience, là où les désirs refoulés deviennent objets de mort, que le spectateur impassible pourra affronter, comprendre et vivre le point de choc direct entre l'«Éros» et le «Thanatos» de cette «Symphonie de l'horreur».
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Je est un autre, Les transmutations dans l'oeuvre de David Cronenberg - Par S... - 1 views

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    En 2000, David Cronenberg, analysant son œuvre, déclarait : « J'ai peu à peu pris conscience que, pour moi, le corps est synonyme de vie humaine (1). C'est pourquoi je traite le corps dans mes images et dans mes récits également. Je m'intéresse aussi à la transformation, mais pas au sens abstrait, spirituel. En tout cas pas au début. Je la traite physiquement » (2). Effectivement, depuis Stereo (1969), son premier long métrage (inédit en France), jusqu'à sa dernière réalisation, Spider (2002), Cronenberg ne cesse d'exposer et d'explorer le corps humain à l'écran, de le soumettre à toutes sortes de distorsion, de métamorphoses et de mutations. ...
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