La possibilité de recourir aux téléphones, tablettes ou autres appareils personnels des élèves et des enseignants en classe a fait son chemin dans le paysage éducatif mondial. Qu’en est-il des conditions logistiques et pédagogiques d’une telle intégration, parfois en contradiction avec les dispositions réglementaires, comme c’est le cas en France ? Quelles potentialités éducatives du BYOD ont pu être identifiées à ce jour ?