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Assemblée Nationale / Comm des Aff. Européennes - Rapport d'information sur l... - 0 views

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    La Commission européenne progresse à l'heure actuelle - à grands pas - vers la conclusion de sa stratégie pour un marché unique du numérique. Il s'agissait là d'une des grandes priorités politiques de la Commission de Jean-Claude Juncker et l'activité de la présidence estonienne à cet égard témoigne de l'importance du sujet. Le marché unique du numérique comprend par définition un vaste éventail de secteurs, tous touchés par la révolution digitale. L'ambition première qui préside à cette politique est donc de faire advenir un marché intérieur dans lequel la grande majorité des barrières nationales injustifiées auraient disparu, en vue de faciliter les échanges et notamment la circulation des données. Cette ambition initiale, destinée à favoriser la croissance d'entreprises numériques qui souffrent encore trop souvent, en France et en Europe, d'une petite taille par rapport à leurs concurrents mondiaux, s'est doublée d'une seconde dimension : la volonté de réguler le secteur numérique. Les bouleversements technologiques récents nécessitent en effet une adaptation de la législation de l'Union sur, là encore, un vaste champ d'actions, de la valorisation des œuvres culturelles au respect d'une juste contribution aux budgets publics. Les questions de sécurité et de protection de la vie privée justifient également l'intervention publique. C'est dans cette perspective que vos rapporteurs ont souhaité aborder cet ensemble très hétérogène sous l'angle des propositions récentes en matière de législation européenne, et plus précisément par le biais de quatre axes. En premier lieu, la proposition de règlement dite « ePrivacy », qui vise à adapter les principes de protection des données personnelles issus du Règlement général de protection des données (RGPD) au domaine des télécommunications, tire sa légitimité de l'obsolescence des textes précédents. L'irruption d
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Crédoc - Baromètre du numérique - édition 2023 - Rapport - 0 views

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    "Les résultats présentés sont des résultats redressés : ils sont donc représentatifs de la population de 12 ans et plus résidant en France métropolitaine et, à ce titre, mis en regard des précédents résultats, issus d'enquêtes menées en face-à-face. Les résultats sont présentés en trois parties : La première partie s'intéresse aux principaux taux d'équipements (en téléphone fixe, téléphone mobile, ordinateur à domicile, mais aussi smartphone, tablette, connexion internet à domicile et télévision) et présente la proportion d'internautes et d'internautes quotidiens dans la population française ainsi que les modes de connexion les plus couramment utilisés à domicile. D'autres équipements plus récents sont également passés en revue : enceinte connectée, objets connectés La seconde fait le point sur les usages, en distinguant les usages sur téléphone mobile (navigation sur internet et messageries instantanées) et, plus largement, en étudiant les usages sur internet (achat, réseaux sociaux, e-administration, recherche d'emploi …). Pour la première fois, des questions s'intéressent à la pratique de jeux en ligne. Un volet de l'enquête est dédié cette année à la satisfaction des usagers quant à la qualité de service sur les réseaux fixes et mobiles. Des questions sur le télétravail ont été reprises, et, pour la première fois on s'intéresse à l'usage radiophonique et télévisuel, en tentant de dresser les pratiques et les préférences des Français en la matière. La dernière partie évoque plus largement le numérique dans la vie quotidienne, que ce soit en termes de temps passé sur les écrans (dont le temps passer à jouer) ou de rapport au numérique et précautions prises, ou pas, dans l'usage d'internet : confiance, place donnée aux plateformes, protection de la vie personnelle, paramétrage des cookies, recours à la reconnaissance digitale ou faciale, recours aux fo
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CNCDH - Communiqué - Protéger la vie privée à l'ère du numérique - 0 views

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    A l'heure de l'entrée en vigueur du Règlement général sur la protection des données (RGPD), la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) alerte sur la nécessité de préserver le droit à la vie privée face aux mutations engendrées par les usages numériques. La CNCDH soulignera d'abord la menace que fait peser le numérique sur le respect de la vie privée, cette menace devant toutefois être mesurée à l'aune des nouveaux visages de la vie privée (I). Elle recherchera, ensuite, les moyens les plus appropriés pour renforcer l'effectivité des garanties offertes (II). La Commission s'efforcera, enfin, de proposer des mesures permettant d'atteindre un équilibre protecteur et pérenne dans l'architecture des droits de l'homme (III). La CNCDH formule une dizaine de recommandations pour que soient garantis et protégés le droit à la vie privée, le consentement libre et éclairé, la liberté d'expression.
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CNCDH - Avis - Protéger la vie privée à l'ère du numérique - 0 views

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    A l'heure de l'entrée en vigueur du Règlement général sur la protection des données (RGPD), la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) alerte sur la nécessité de préserver le droit à la vie privée face aux mutations engendrées par les usages numériques. La CNCDH soulignera d'abord la menace que fait peser le numérique sur le respect de la vie privée, cette menace devant toutefois être mesurée à l'aune des nouveaux visages de la vie privée (I). Elle recherchera, ensuite, les moyens les plus appropriés pour renforcer l'effectivité des garanties offertes (II). La Commission s'efforcera, enfin, de proposer des mesures permettant d'atteindre un équilibre protecteur et pérenne dans l'architecture des droits de l'homme (III). La CNCDH formule une dizaine de recommandations pour que soient garantis et protégés le droit à la vie privée, le consentement libre et éclairé, la liberté d'expression.
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Usbek & Rica - Charge mentale, parents épuisés : et si le problème venait de ... - 0 views

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    "Le concept de charge mentale, popularisé notamment par la BD de la dessinatrice Emma, est aujourd'hui rentré dans le vocabulaire courant. Il désigne un flux mental et inextinguible de tâches sans beaucoup d'intérêt - et surtout sans reconnaissance - ressenti par beaucoup de femmes, épuisées de devoir « penser à tout ». Plus récemment, le succès du hashtag #parentsépuisés libère sur les réseaux sociaux et dans les conversations un tiraillement présent chez de très nombreux parents, hommes et femmes confondus : d'un côté la joie naturelle, instinctive, de faire des enfants, et de l'autre la frustration d'être aliéné par une avalanche de contraintes, de bruit, d'agitation et de fatigue. Un renoncement à sa vie d'avant en quelque sorte, un renoncement à sa vie libre.  Une phrase revient souvent dans les conversations sur le sujet : « Mais comment faisaient nos parents ? ». On peut se cacher derrière le fait que nos mères étaient des femmes au foyer soumises et silencieuses. C'est faux. On se trompe d'une génération : les baby-boomeuses étaient des femmes actives pour la majorité d'entre elles, qui avaient fait mai 68. Cet argument est d'autant plus douteux qu'aujourd'hui les pères mettent la main à la patte dans une proportion largement supérieure aux générations passées, ce qui aurait dû théoriquement répartir la charge d'une manière sinon égalitaire, du moins plus supportable.  Il est possible que cette frustration existe depuis toujours sans avoir été nommée jusqu'ici. Après tout, il y avait depuis bien longtemps des allergiques au gluten qui n'avaient pas de terme précis pour expliquer leurs maux de ventre chroniques, ou des hypersensibles injustement traités de « petite nature ». Il est également possible que la charge mentale de notre génération (de jeunes parents, j'entends) soit augmentée par la vie connectée et à haute fréquence, qui constituerait la goutte d'eau f
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Credoc - Baromètre du numérique - Edition 2021 - 0 views

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    "Ce rapport s'intéresse aux principaux taux d'équipements (en téléphone fixe, téléphone mobile, ordinateur à domicile, mais aussi smartphone, tablette, connexion internet à domicile et télévision) et présente la proportion d'internautes et d'internautes quotidiens dans la population française ainsi que les modes de connexion les plus couramment utilisés à domicile. La seconde partie fait le point sur les usages, en distinguant les usages sur téléphone mobile (navigation sur internet et messageries instantanées) et, plus largement, en étudiant les usages sur internet (achat et vente, réseaux sociaux, e-administration, recherche d'emploi et aussi temps passé sur les écrans). Un zoom est réalisé cette année sur les pratiques audiovisuelles (sur réseau fixe ou réseau mobile, en direct ou différé, gratuit ou payant, sur téléviseur ou autre support) ainsi que sur la qualité ressentie et les choix effectués en la matière. La dernière partie évoque plus largement le numérique dans la vie quotidienne. Sont notamment évoquées la protection de la vie privée et les considérations sanitaires en lien avec la téléphonie mobile et les possibles précautions prises. De nouvelles questions abordent le rapport à l'équipement numérique, à la fin de vie des terminaux et appareils détenus ainsi qu'à une possible intention écologique au moment de l'achat. Après avoir fait le point sur quelques usages numériques pendant les périodes de confinement, sont également abordées ici les stratégies mises en œuvre par nos concitoyens lorsqu'ils n'arrivent pas à s'approprier les outils informatiques et numériques. Enfin, la question de l'open data est posée pour la première fois sous l'angle de la notoriété et des avantages associés."
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Rapport - Rapport d'infor... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Infographie - Rapport d'i... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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IREF - Le numérique et ses ennemis : lever les obstacles à la libre exploitat... - 0 views

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    "* La prolifération des données personnelles doit être accueillie avec optimisme. Elle permettra d'améliorer la condition des êtres humains dans une multitude de secteurs d'activité. * Le marché du traitement des données personnelles ne comporte pas de déséquilibres commerciaux particuliers. Son succès et les études marketing révèlent au contraire que les services numériques financés en contrepartie de l'accès aux données personnelles des internautes génèrent une valeur inestimable pour ces derniers. Les services en question sont beaucoup plus valorisés que la vie privée concédée. * Il est de la responsabilité des utilisateurs de s'informer sur le fonctionnement des plateformes, quitte à le faire au travers des leaders d'opinion, des vulgarisateurs ou d'autres tiers de confiance pour pallier les obstacles que la technicité des conditions d'utilisation fait peser sur leur compréhension. * Les gouvernements doivent se contenter d'abolir les restrictions à la libre circulation et à la libre exploitation des données. Les efforts de l'Union européenne pour abolir les restrictions à la localisation et au transfert des données au sein de ses frontières doivent être salués. L'Union européenne doit cependant résister à la tentation de reproduire un protectionnisme numérique à ses frontières. * Les réglementations relatives à la protection de la vie privée restent les obstacles les plus redoutables au déploiement d'une économie compétitive fondée sur les données. Avec sa réglementation, l'Europe nuit à sa compétitivité et risque de manquer la révolution des données. Nous proposons de remplacer la réglementation par une logique contractuelle où les normes de confidentialité seraient édictées par la libre-confrontation des producteurs et des consommateurs sur un marché libre des services numériques. * Les missions des autorités de contrôle doivent être revues. La CNIL doit êt
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Observatoire des Libertés et du Numérique - Chiffrement, sécurité et libertés - 0 views

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    Depuis quelques temps, certaines volontés politiques s'affichent afin de remettre en cause les protections techniques et juridiques garanties par les méthodes de chiffrement. Pour s'opposer à ces propositions dangereuses pour, l'Observatoire des Libertés et du Numérique publie son positionnement argumentaire concernant la défense du droit au chiffrement, outil indispensable à la protection des libertés à l'ère numérique. Les capacités (techniques et légales) de surveillance des États à l'ère numérique sont aujourd'hui telles que le droit fondamental à la vie privée, garant de la liberté d'expression, d'opinion, d'information, dans une société démocratique, a été profondément remis en cause ces dernières années, en France et dans le monde. Dans ces conditions, la capacité de chiffrer ses communications numériques et ses données informatiques est une condition indispensable à la préservation des droits et libertés fondamentales, et l'un des derniers remparts, individuels et collectifs, aux intrusions arbitraires et illégales de nombreux acteurs, étatiques, privés, ou criminels. Le chiffrement va bien au-delà d'une question de droits de l'Homme : alors que le numérique a investi l'ensemble des champs d'activité humains, l'affaiblir, quelle que soit la technique utilisée, reviendrait à fragiliser considérablement l'économie, mais aussi la sécurité collective. Répétons-le, il n'existe pas de technique d'affaiblissement systémique du chiffrement qui ne permettrait de viser que les activités criminelles : l'ensemble des citoyens seraient alors aussi potentiellement visés. Il n'existe pas non plus de technique d'affaiblissement du chiffrement qui ne profiterait qu'à des acteurs « bien intentionnés ». Si une faille est créée pour un État (police, justice, service de renseignements…), elle sera alors disponible pour tous les autres acteurs (Autres États, organisations criminelle
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Zenit - Académie pour la vie : « Roboéthique. Les personnes, les machines et ... - 0 views

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    "« Nous ne sommes pas enfermés en nous-mêmes, nous sommes une Église en sortie, en chemin et dans la grande agora du débat contemporain ». C'est ce qu'a déclaré Mgr Vincenzo Paglia, président de l'Académie pontificale pour la vie, en clôturant les travaux de la 25e Assemblée qui avait pour thème « Roboéthique. Les personnes, les machines et la santé », indique un communiqué de l'Académie pour la vie le 27 février 2019."
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Unicef - La situation des enfants dans le monde 2017 : Les enfants dans un mo... - 0 views

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    Malgré la présence en ligne massive des enfants - un internaute sur trois dans le monde est un enfant - trop peu de mesures sont prises pour les protéger des dangers du monde numérique et pour augmenter leur accès à un contenu en ligne sûr, selon un rapport du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) publié lundi. Le rapport intitulé 'La situation des enfants dans le monde en 2017 : les enfants dans un monde numérique' présente le premier regard de l'UNICEF sur les différentes façons dont la technologie numérique affecte la vie des enfants, en identifiant les dangers et les opportunités. Il affirme que les gouvernements et le secteur privé n'ont pas suivi le rythme du changement, exposant les enfants à de nouveaux risques et laissant de côté des millions d'enfants défavorisés. « Pour le meilleur et pour le pire, la technologie numérique est maintenant un fait irréversible de nos vies », a déclaré le Directeur exécutif de l'UNICEF, Anthony Lake. « Dans un monde numérique, notre double défi est de savoir comment atténuer les inconvénients tout en maximisant les avantages d'Internet pour chaque enfant ». Le rapport explore les avantages que la technologie numérique peut offrir aux enfants les plus défavorisés, y compris ceux qui grandissent dans la pauvreté ou qui sont affectés par des crises humanitaires. Cela inclut augmenter leur accès à l'information, renforcer leurs compétences numériques pour le monde du travail, et leur donner une plate-forme pour se connecter et s'exprimer. Mais environ un tiers des jeunes dans le monde - 346 millions - ne sont pas en ligne, ce qui exacerbe les inégalités et réduit la capacité des enfants à participer à une économie de plus en plus numérique. Le rapport examine également comment Internet accroît la vulnérabilité des enfants aux risques, y compris l'utilisation abusive de leurs renseignements personnels, l'accès à du contenu préjudiciable et la cyberintimidat
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IRIS - Géopolitique et Bitcoin : la technologie blockchain dans le monde arab... - 0 views

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    "Durant la crise financière mondiale de 2007-2008, une personne ou un groupe de personnes se présentant sous le nom de Satoshi Nakamoto diffuse sur internet le 31 octobre 2008 un document technique présentant le concept d'une nouvelle technologie portant le nom de blockchain. Quelques mois plus tard, le 3 janvier 2009, la devise virtuelle Bitcoin est créée sur la première blockchain, donnant ainsi vie au concept présenté quelques mois auparavant. Presque dix ans plus tard, la flambée des cours du Bitcoin et de la grande majorité des autres cryptomonnaies durant les mois de décembre 2017 et janvier 2018 a accentué une vague d'enthousiasme internationale autour de la technologie blockchain qui sous-tend la quasi-totalité de ces cryptomonnaies. Malgré l'effondrement des cours durant le reste de l'année 2018, une bonne partie des investisseurs préservent leur optimisme à l'égard du marché des cryptomonnaies. Ces derniers sont également dithyrambiques sur la technologie de la blockchain qui est perçue comme révolutionnaire à tout égard. L'émergence de cette nouvelle technologie s'accompagne, néanmoins, d'une multitude de représentations erronées tendant à fondre différents débats dans un ensemble très abstrait et difficile d'accès pour les néophytes. Ainsi, disons-le tout d'abord et sans détour, l'avenir de la technologie blockchain semble radieux au regard de la multiplication des applications concrètes de la technologie (que nous verrons par la suite) et du fort investissement de firmes technologiques majeures sur tous les continents. Concernant les cryptomonnaies le débat est tout autre et il mérite d'être détaché du débat initial sur l'utilité de la technologie blockchain. "
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Harris Interactive - « Des petits riens du quotidien à l'homme augmenté : viv... - 0 views

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    "Les zooms de L'Observatoire Cetelem s'intéressent aux nouveaux modes de vie et proposent d'investiguer en profondeur des grands thèmes de société, sollicitant l'avis des Français sur chacun de ces thèmes au travers de trois vagues de sondage. Les zooms viennent ainsi compléter et enrichir le dispositif d'observation et d'études existant de L'Observatoire Cetelem. La deuxième édition des zooms de L'Observatoire Cetelem porte sur la santé, un thème à la fois central dans la vie des Français et un précieux indicateur de l'évolution des modes de vie. Après avoir exploré les habitudes des Français et les dynamiques de confiance qui opèrent dans le secteur de la santé, L'Observatoire Cetelem s'intéresse à l'avenir : « Et demain, quelle santé ? » Troisième et dernière étude du cycle, cette étude Harris Interactive met en lumière les espoirs et les craintes des Français pour le futur de la santé, où la technologie occupe une place de plus en plus importante."
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Comment concilier une approche éthique, spirituelle et médicale de la fin de ... - 0 views

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    "Accompagner la vie. Nouvelles responsabilités à l'ère technologique», c'est le thème de la XXIII assemblée générale de l'Académie pontificale pour la vie. Une rencontre, qui se tient au Vatican du 5 au 7 octobre 2017, près d'un an après la publication des nouveaux statuts de l'Académie prévoyant notamment une nouvelle section pour les "jeunes chercheurs", âgés de moins de 35 ans."
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The Conversation - Numérique, ville et nature : reconnecter les citadins à le... - 0 views

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    "L'espace urbain est devenu le milieu dominant des êtres humains, et sa progression questionne aujourd'hui l'habitabilité des villes. L'imperméabilisation, la densité des constructions et des flux liés au modèle de la ville fonctionnelle contribuent à la perte de biodiversité, à la création d'îlots de chaleurs et à la pollution. Le bien-être et la santé sont également mis à mal dans un contexte générateur d'anxiété. En bref, l'urbanisation des modes de vie favorise une déconnexion à la nature et à ses bienfaits multiples. En parallèle, le développement du numérique et la vitesse de son déploiement dans la plupart des sociétés traduisent un désir de connexion qui interroge moins qu'il attire. Si la déconnexion à la nature semble évoluer de pair avec la connexion numérique, une réflexion sur les implications psychologiques, sociales et urbaines s'impose pour mesurer les enjeux de cette évolution."
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BVA - L'engagement à l'heure du numérique - 0 views

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    1/ Le numérique, vecteur d'engagement citoyen * Pour 27% des Français, les nouvelles formes de concertation et d'implication rendues possibles par le numérique sont une révolution. * 22% des Français déclarent d'ailleurs que le numérique a changé leurs pratiques en termes d'engagement citoyen, car il leur permet d'être davantage impliqué dans la vie publique. * Notons que le fait d'être déjà un minimum engagé dans la vie publique, indépendamment des outils offerts par le numérique, influe fortement sur les résultats. 2/ Concrètement, comment les Français s'engagent-ils via le numérique ? * Près de la moitié des Français (49%) ont déjà signé ou diffusé une pétition en ligne (vs 38% qui ont déjà signé une pétition en format papier). * Près d'un Français sur 5 a déjà suivi le compte Facebook ou Twitter de sa commune, de son département ou de sa région (19%), ou a déjà participé à une consultation en ligne pour une institution publique (18%), des pratiques qui nécessitent un niveau d'engagement encore plus élevé. * A l'avenir, 45% souhaiteraient pouvoir voter en ligne à des référendums locaux pour porter de nouvelles expérimentations au sein de leur territoire, et 33% souhaiteraient avoir la possibilité d'interpeller directement le Parlement, via un dispositif de pétitions en ligne. 3/ Des freins qui subsistent toutefois à l'engagement citoyen via le numérique * Face à ces changements, l'immobilisme persistant des institutions françaises est le principal frein à l'utilisation des nouvelles formes de concertation et d'implication offertes par le numérique. En effet, près d'un tiers (32%) de ceux qui n'ont pas encore expérimenté ces pratiques numériques estiment que ces nouvelles formes d'engagement sont inutiles, car non prises en compte dans les décisions des pouvoirs publics. * De plus, la moitié des Français considèrent l'engagement citoyen
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INJEP - La participation politique en ligne des jeunes à travers le prisme de... - 0 views

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    Le numérique et les médias sociaux apparaissent aujourd'hui comme les principaux supports et vecteurs de la participation politique des jeunes. Signer une pétition en ligne, participer à des groupes de discussion politiques sur les réseaux sociaux ou encore partager des vidéos de candidats apparaissent comme autant de modalités participatives plébiscitées par la jeunesse. Loin de se désengager de la vie de la cité, les jeunes semblent ainsi continuellement renouveler les formes de leur engagement au gré des avancées technologiques. Plus ou moins « conventionnelles », plus ou moins chronophages, plus ou moins assumées, ces nouvelles formes de participation sont néanmoins loin de former un tout homogène. Ce rapport propose d'éclairer ces différentes facettes de la participation en ligne, en les articulant aux profils des jeunes qui y ont recours. À cette fin, l'auteur a mené une enquête multi-méthode (questionnaire, entretiens et observation de comptes en ligne) auprès d'un millier de jeunes, aux origines sociales et aux parcours scolaires diversifiés. Catégorie sociale composite et hétérogène, la jeunesse est en effet traversée par de nombreuses inégalités que le numérique n'a pas fait disparaître. Qu'ils soient décrocheurs scolaires ou étudiants de grandes écoles, les jeunes interrogés apparaissent tous comme hyper connectés. Pour autant, tous ne développent pas les mêmes usages sociaux et politiques du numérique. Il apparaît alors que le rapport à la participation en ligne dépend très étroitement de l'acquisition de ressources très inégalement distribuées au sein de la jeunesse (capital culturel des parents, capital scolaire, etc.). À partir des résultats d'une analyse multivariée, le rapport établit plus précisément une typologie de quatre grands rapports à la participation numérique. Une typologie qui permet de rendre compte de tout
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The Conversation - Vie privée et risque d'un « capitalisme de la surveillance... - 0 views

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    "La rentrée parlementaire du 15 septembre dernier aura été marquée par de vives discussions sur le développement du réseau 5G. Une rentrée d'autant plus « électrique » que le président de la République avait, pas plus tard que la veille, confirmé sa volonté de « prendre le tournant » de la cinquième génération des standards pour la téléphonie mobile. Emmanuel Macron avait de surcroît tourné en dérision la demande de moratoire d'élus de l'opposition en évoquant des opposants à cette volonté qui préféreraient le modèle « amish » et le « retour à la lampe à huile ». Si la 5G fait autant débat, c'est qu'elle interroge ! Elle « hystérise » à tel point qu'elle a même été prise en otage pour nourrir des thèses conspirationnistes, à l'image des, contenus sur ses liens supposés avec la propagation du coronavirus. Cette situation exige de tous les acteurs des réponses étayées, fondées sur des faits, aux nombreuses questions que pose son déploiement sur le territoire national, qui devrait débuter en fin d'année."
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