"Starting Tuesday, Inkling is making its free digital publishing platform, Habitat, available to everyone. The company is also introducing an enterprise product, with publishers including Pearson and Wolters-Kluwer as launch clients.
Inkling has spent three years and $30 million to build Inkling Habitat, a cloud-based set of digital publishing tools that let users create and collaborate on high-quality, interactive ebooks. Last year, the San Francisco-based startup opened the platform up to a few publishers. Starting Tuesday, it is available to anybody for free and includes the Google search integration that Inkling launched in January."
"Dans son combat contre les DRM, l'April soutient la Journée internationale contre les DRM de la Free Software Foundation (Fondation du Logiciel Libre) le 4 mai 2012.
Cette journée est l'occasion de rappeler à quel point ces menottes numériques sont dangereuses pour les utilisateurs comme pour les développeurs de logiciels libres, et empêchent des usages légitimes sur les contenus numériques.
Le 4 mai 2012, la Free Software Foundation organise la Journée internationale contre les DRM, une journée d'information sur les dangers des DRM, des systèmes de gestion de contrôle d'usage des fichiers numériques. Ces DRM sont présents sur de nombreux fichiers comme une partie de la musique en ligne, certains livres numériques mais aussi sur les supports physiques comme les DVD et les BlueRays pour la vidéo. Ils encodent le contenu de manière à le rendre illisible pour qui n'a pas la clé numérique pour le décoder. Les DRM ont pour principal objectif d'établir un contrôle de l'usage dans le cercle privé, jusqu'ici impossible à mettre en œuvre."
"Readmill for Android sports the same clean, distraction-free reading experience as our iOS app. It stores your entire library and syncs it across your devices. You'll also find free books in Explore to fill your library in no time."
"Graphic novel and comic publisher 2000AD is making all of its titles available DRM-free.
Readers will be given access to DRM-free copies of books and comics by 2000AD, even if bought through stores such as the iOS and Android app. A new ID system will link together all purchases, meaning that a title can be bought on one system, but will be made available on other systems. 2000AD said it planned to expand this to Amazon Kindle and Windows apps in future."
"Une solution intermédiaire pourrait donc être le fait de payer un peu plus cher pour le même livre, mais sans DRM. Pour voir si les lecteurs peuvent adhérer à cette option, Digital Book World propose un ouvrage sans DRM pour un dollar de plus que le même ouvrage chez Amazon."
L'article original de Digital Book World : http://www.digitalbookworld.com/2013/how-much-more-would-you-pay-for-a-drm-free-ebook/
"Just over a quarter of Americans currently buy ebooks and nearly half plan to do so in a year's time, according to a new survey from free ebook service Bookboon.
According to the survey, conducted in person and over the internet among nearly 6,000 U.S. adults, 27.1% currently buy ebooks and 22.7% expect to within a year, meaning that by 2014 about half of Americans will be buying ebooks."
"L'éditeur de science-fiction et de fantasy britannique Tor avait décidé il y a un an de supprimer les DRM sur les titres de son catalogue, au profit d'un marquage numérique (watermark). Une décision unique en son genre, tant le marché anglo-saxon est dominé à la fois par Amazon qui ignore le "sans-DRM" de son modèle de distribution et des éditeurs américains toujours ancrés sur leurs positions de protection. Un an après c'est l'heure d'un premier bilan. Rappeler déjà que cette décision avait eu un formidable écho du côté de leurs auteurs. Certains avaient même parlé de "victoire pour les consommateurs, d'un jour mémorable dans l'histoire de l'édition"."
Billet original : http://www.tor.com/blogs/2013/04/tor-books-uk-drm-free-one-year-later
"Accord avec Google, numérisation du fonds de la BNF, affaire Free, accueil du rapport Colin/Collin... Les derniers évènements autour du numérique sèment le doute sur la volonté du gouvernement de définir un projet d'ensemble sur le sujet et de défendre un Internet libre."
"Digital Rights Management (DRM) is any technological constraint on what a user can do with a document. Usually, DRM involves some kind of encryption that locks a document to a user's identity, so that they can't share it with anyone else. Whether you choose to use DRM on your ebooks is up to you, and should depend on your sales and distribution strategy for each book or list of books. At Electric Book Works we always recommend not using DRM; but we know not everyone agrees with us. The question you should ask yourself is not 'Shall we go DRM-free' or 'What DRM should we use', but 'Do we need DRM on this?' That said, if you do choose to use DRM, at some point you'll have to choose DRM settings for an Adobe Content Server. Read on for guidance."
"Décidément, les associations de défense de droits des aveugles ne chôment pas aux Etats-Unis. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils prennent la question de l'accès aux livres numériques très au sérieux. La NFB (National Federation of the Blind) vient de trouver un accord avec la Free Library of Philadelphia à la suite du procès lancé en mai par quatre clients soutenus par l'association."
"« He's a radical thinker » (« C'est un penseur radical ») semble prévenir Alain Pierrot en nous accueillant au Labo de l'édition, tandis que l'ebook star Bob Stein écoute sagement le résumé de ses faits d'armes : dès l'apparition des écrans informatiques, dès la naissance des dispositifs de stockage et du réseau Internet, Stein proposait une nouvelle conception du livre. Ça tombe bien, l'édition numérique a besoin d'idées. [...]
C'est un modèle économique que propose aussi le penseur : le « Free to read, pay to engage » (« Lecture gratuite, achat pour s'engager »), un concept qui coule évidemment d'open-source. La monétisation, pour permettre à l'édition numérique de subsister et de rémunérer ses auteurs, passe par là. « J'ai récemment lu A Tale of Two Cities, de Charles Dickens. Il était libre de droits, mais j'aurais sans aucun doute payé pour les commentaires d'un historien ! » [...]
Les éditeursi « doivent se montrer capables de réunir une communauté » à même d'équilibrer les rapports de force auteurs-éditeurs-revendeurs, en un mot : faire de la chaîne du livre un réseau."
"Les questions du financement de la création, de la délimitation des contours du domaine public et du droit d'auteur sont plus que jamais sous le feu des projecteurs en France. Plusieurs évènements récents sont venus réveiller les consciences. [...] Face à cette avalanche d'évènements, j'ai éprouvé le besoin de prendre du recul, et je me suis dit : il faudrait relire Lawrence Lessig, qui a souvent abordé ces questions, notamment dans Free Culture (2004) et Remix (2008), mais aussi, auparavant, dans The Future of Ideas (2001). Et aussitôt deux questions sont apparues. D'une part les propositions de Lessig constituent-elles des pistes d'action concrète ? D'autre part, sont-elles toujours valables en 2012 ou bien l'accélération de la technique les a-t-elle rendues obsolètes ?" Une réflexion riche, dense et nécessaire, en une dizaine de points.
"À l'origine était la PirateBox, développée et popularisée par le professeur David Darts de l'Université de New York. De quoi s'agit-il ? C'est tout simple : imaginez qu'en arrivant dans un lieu donné, votre tablette, votre smartphone ou votre ordinateur vous indique l'existence d'un signal wi-fi ouvert dont le nommage ne ressemble pas aux réseaux habituellement connus… Sous le nom de PirateBox ou s'y apparentant, votre appareil se connecte à ce réseau et là, pour paraphraser Jack London, « sur les murs de la PirateBox, je vis un monde surgir de l'horizon. »
C'est à partir de ce cet enthousiasme que Jason Griffey, directeur de la bibliothèque universitaire du Tennessee a eu l'idée d'adapter la PirateBox à son contexte. En respectant bien entendu l'esprit du projet (FLOSS pour "Free, Libre and Open Source Software"), il a publié sur son site tous les ingrédients et la recette nécessaires à la mise en place d'une LibraryBox."
"This week, ebook lovers got yet another reminder of why DRM (Digital Rights Management) is terrible for ebooks. While attending a library conference in Singapore, Jim O'Donnell lost access to the titles in his Google Play Books app. Apparently, the app detected that he was in a country where Google Books aren't available and subsequently denied him access to his books. Stories like this crop up every now and then, each time highlighting some crazy ebook restriction or policy that most people aren't even aware of. The way things are set up, you kind of need to protect the digital books you buy from the companies that sell them. There are a growing number of ways and reasons why Amazon, Google, or a book publisher might strip you of your digital library.
The best way to protect yourself is to break the DRM on your ebooks for the purpose of keeping a local, personal backup."
"Ce sont 101 projets portés par des jeunes de moins de 25 ans qui ont été récompensés mardi 3 décembre, au soir, par Jacques-Antoine Granjon (Ventes-privees.com), Marc Simoncini (fondateur du site de rencontres Meetic) et Xavier Niel (Free et actionnaire à titre individuel du Monde). Avec 25 000 euros pour chaque lauréat, sous forme d'apport en fonds propres, l'enveloppe globale de dotation dépasse 2,5 millions d'euros."
"Read is a free iOS app to read EPUB that really helps pro-readers remember more from their readings.
Read is our new app to better understand how mobile reading should feel. Our previous iterations, Addr, an iPad app, uses collective annotations as an alternative reading workflow. Libr, a side-project, works like a P2P network and enables readers to share their ebooks within the app.
The startup has its roots in Thomas' research on e-reading. His expertise drives our startup on a daily basis. Today, we think ourselves as a studio iterating around one core question: how to read on a screen? We somehow believed in "mobile first" before reading Ben Evans' blog. Our job is to foresee what readers will look for when reading on a pocket computer in the near future."
"La Recording Industry Association of America (RIAA) vient de publier des chiffres qui démontrent qu'aux États-Unis, les ventes de disques vinyles ont rapporté plus d'argent que les services de streaming basés sur la publicité Spotify Free, YouTube et Vevo réunis. Selon Cary Sherman, PDG de la RIAA, si le vinyle génère plus de revenus que le streaming sans abonnement, c'est que quelque chose ne va pas sur le marché."
"Ever wonder who exactly is stealing eBooks? Whoishostingthis.com has created an infographic that aims to answer this question.
According to the graphic, 75 percent of eBooks in the US are bought and not copied or downloaded for free and 69 percent of eBook owners purchased every eBook in their collection."
"Le service, instauré en juillet 2013, s'intéresse depuis quelque temps à une offre d'abonnement pour le livre numérique, avec des modèles encore inédits. En somme, il s'agit de coupler la vente d'un lecteur ebook, la Kobo Aura, avec une offre d'abonnement mensuel, le tout décliné en deux possibilités. L'enseigne réfléchit ainsi à une offre qui tient autant du service que Free peut proposer dans le monde du mobile, une formule de location-vente, que d'un système propre aux opérateurs téléphoniques, couplant achat de smartphone et forfait téléphonique. Sans oublier un modèle d'abonnement tout à fait classique."
"Google Fonts, Fontsquirrel, DaFont, Open Font Library, The League of Moveable Type, 1001FreeFonts… Aujourd'hui, les sites qui permettent de récupérer des centaines de polices (libres et) gratuites ne manquent pas ; la difficulté réside plutôt dans le choix de polices soignées donc réellement utilisables.
Nous pourrions imaginer que les articles du type « best (free) fonts » accessibles en une simple recherche aident à sélectionner les bonnes polices mais ce n'est pas tout à fait le cas : on y croise souvent des polices très originales, qui invitent à un travail graphique, ou des polices qui ne proposent qu'un style Roman1.
Malheureusement, trouver de bonnes polices - une activité pour le moins chronophage - ne suffit pas ; c'est leur rendu d'affichage qui nous importe vraiment. Dans ce domaine, nous ne pouvons pas dire que nous sommes gâtés, les bogues de rendu étant suffisamment nombreux pour nous inciter à la prudence. Et puis il y a bien d'autres pièges dans lesquels nous pouvons tomber : les licences aux conditions pouvant parfois se révéler opaques, les langues supportées, la qualité du hinting 2, du lissage 3 et des approches, etc. Il n'y a pas vraiment de recette miracle à l'heure actuelle, la seule manière de s'en sortir est de tester les polices sur le maximum d'appareils… Alors comment s'organiser pour gérer au mieux les polices voire même gagner du temps ? Voici quelques éléments de réponse."
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