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France Stratégie - La Géographie de l'ascension sociale - 0 views

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    Les chances des enfants de classes populaires d'accéder à des postes qualifiés varient aujourd'hui du simple au double selon le département de naissance. La note analyse ces écarts entre les territoires et esquisse les politiques publiques à mettre en œuvre pour les réduire. Note d'analyse 36 - La géographie de l'ascension sociale (PDF - 2.35 Mo ) Document de travail - La géographie de l'ascenseur social français (PDF - 2.9 Mo ) Auteur(s) Clément Dherbecourt Les chances d'ascension sociale des individus d'origine populaire (soit les enfants d'ouvriers et d'employés) varient du simple au double selon leur département de naissance. L'ascenseur social fonctionne bien dans certaines régions - Île-de-France, Bretagne, Midi-Pyrénées - et mal dans d'autres - Poitou-Charentes, Picardie, Nord-Pas-de-Calais. Pour les individus d'origine populaire, la mobilité ascendante apparaît faiblement liée au dynamisme économique des territoires. Elle est en revanche fortement liée à l'éducation - en particulier à l'obtention d'un diplôme du supérieur. La massification de l'enseignement secondaire puis supérieur a certes favorisé globalement la mobilité sociale ascendante qui a augmenté au cours des dernières décennies, mais sans faire disparaître les « trous noirs » de l'éducation et de la promotion sociale. L'analyse économétrique tend à montrer qu'il ne s'agit pas d'un problème de rendement de l'éducation mais plutôt d'accès à l'éducation. Or les inégalités territoriales d'accès au supérieur sont restées inchangées jusqu'à aujourd'hui. Augmenter les chances de mobilité ascendante dans les territoires défavorisés suppose donc une démocratisation réelle de l'accès à l'enseignement supérieur là où celui-ci est le plus difficile. Au-delà des politiques visant une meilleure égalité des chances face à l'éducation en amont de l'université, cela peut passer
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CGET - Portraits de la France : vers un baromètre au service de la cohésion d... - 0 views

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    Pour agir sur la cohésion des territoires, l'État et les acteurs locaux doivent avoir une compréhension partagée des enjeux. Lors de la 2e Conférence nationale des territoires, le 14 décembre, a été présentée la première pierre de cette ambition : 16 indicateurs, cinq études et une grande synthèse pour construire, dans les mois à venir, une vision partagée et des priorités d'action. La cohésion des territoires ne se limite pas à un événement à l'agenda politique. C'est aussi une vision, qui fait de la co-construction avec les acteurs territoriaux une condition de réussite. Et une ambition pragmatique : être à la hauteur des enjeux territoriaux et sociétaux qui engagent l'avenir du pays en renforçant son unité. C'est pour répondre à cette ambition que Jean-Benoît Albertini, commissaire général à l'égalité des territoires, et Jean-Luc Rigaut, président de l'Assemblée des communautés de France (AdCF), ont présenté un projet de baromètre. Un diagnostic partagé de la cohésion des territoires C'est tout l'enjeu du baromètre de la cohésion des territoires, établi autour de six enjeux qui participent de la cohésion territoriale : réduction des inégalités, développement soutenable, qualité de vie, capacité de développement, capital social et coopération entre les territoires. C'est pour les caractériser, au sein et entre les territoires, que le CGET - avec l'appui de son Observatoire des territoires - propose de mettre en place un baromètre régulier. Ce projet développera une approche statistique d'observation, sous la forme de fiches thématiques (ordonnées autour des six questions clés, évoquées ci-dessus) afin de contribuer à la construction d'un diagnostic partagé sur l'état de la cohésion du territoire national, les priorités collectives, les stratégies d'action, mais aussi l'identification des moyens et des responsabilités pour mettre en œuvre ces objectifs.
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CGET - Projet de baromètre de la cohésion des territoires - 0 views

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    Pour agir sur la cohésion des territoires, l'État et les acteurs locaux doivent avoir une compréhension partagée des enjeux. Lors de la 2e Conférence nationale des territoires, le 14 décembre, a été présentée la première pierre de cette ambition : 16 indicateurs, cinq études et une grande synthèse pour construire, dans les mois à venir, une vision partagée et des priorités d'action. La cohésion des territoires ne se limite pas à un événement à l'agenda politique. C'est aussi une vision, qui fait de la co-construction avec les acteurs territoriaux une condition de réussite. Et une ambition pragmatique : être à la hauteur des enjeux territoriaux et sociétaux qui engagent l'avenir du pays en renforçant son unité. C'est pour répondre à cette ambition que Jean-Benoît Albertini, commissaire général à l'égalité des territoires, et Jean-Luc Rigaut, président de l'Assemblée des communautés de France (AdCF), ont présenté un projet de baromètre. Un diagnostic partagé de la cohésion des territoires C'est tout l'enjeu du baromètre de la cohésion des territoires, établi autour de six enjeux qui participent de la cohésion territoriale : réduction des inégalités, développement soutenable, qualité de vie, capacité de développement, capital social et coopération entre les territoires. C'est pour les caractériser, au sein et entre les territoires, que le CGET - avec l'appui de son Observatoire des territoires - propose de mettre en place un baromètre régulier. Ce projet développera une approche statistique d'observation, sous la forme de fiches thématiques (ordonnées autour des six questions clés, évoquées ci-dessus) afin de contribuer à la construction d'un diagnostic partagé sur l'état de la cohésion du territoire national, les priorités collectives, les stratégies d'action, mais aussi l'identification des moyens et des responsabilités pour mettre en œuvre ces objectifs.
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Fédération des agences d'urbanisme - Métroscope : 50 indicateurs pour les mét... - 0 views

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    Créées pour répondre à la montée en puissance du « fait métropolitain », la France compte début 2017 quinze métropoles au sens institutionnel du terme, quinze métropoles qui se caractérisent par une grande diversité de configurations, d'atouts territoriaux comme de gouvernance, dont trois métropoles de statut particulier, celles d'Aix-Marseille, de Lyon et du Grand Paris. Dans le cadre du Pacte État Métropole signé le 6 juillet 2016, la Fédération des agences d'urbanisme (FNAU), France Urbaine et l'Assemblée des communautés de France (AdCF), associées au Commissariat général à l'Égalité des Territoires (CGET) ont souhaité initier une démarche de connaissance et d'observation en réseau des métropoles françaises. (…) Cette dynamique a abouti à la construction collective d'indicateurs originaux à l'échelle nationale, appuyés sur des statistiques nationales - notamment de l'INSEE - ou de données collectés sur les territoires. Mais surtout la démarche se caractérise par l'analyse partagée des indicateurs entre les acteurs de l'observation. Cette publication s'attache ainsi à la mise en perspective d'une cinquantaine d'indicateurs qui rendent compte des dynamiques métropolitaines, de la qualité de vie et de la cohésion sociale, de l'attractivité et du rayonnement des quinze premières métropoles françaises, en associant analyses, cartographies, data-visualisation et zooms locaux. Refusant d'établir un classement, l'enjeu est de permettre aux acteurs locaux comme nationaux, de situer la spécificité de chaque métropole dans le contexte national, mais aussi de saisir les tendances communes et les différenciations à l'œuvre. L'objectif est de pouvoir inscrire cette connaissance dans le temps, de l'élargir aux six nouvelles métropoles, à de nouvelles problématiques ainsi qu'à une inscription dans un contexte élargi européen. Métroscope donne à voir et à comprendre l
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Institut Montaigne - Rapport - Seine-Saint-Denis : les batailles de l'emploi et de l'in... - 0 views

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    Que connaissons-nous réellement de la Seine-Saint-Denis ? Ce département est un territoire paradoxal. Lieu d'accueil de sièges sociaux de grandes entreprises, vitrine que la France offre au monde lors d'événements planétaires tels que la Coupe du Monde de football ou les Jeux Olympiques, ce département est également celui d'une grande pauvreté, des émeutes de 2005 ou de l'explosion du communautarisme. Plongée dans une profonde crise sociale et économique suite à la désindustrialisation qu'elle a connue dans les années 70, la Seine-Saint-Denis fait l'objet d'une tentative de reconquête par les pouvoirs publics depuis les années 80. Objet de toutes les politiques, de tous les dispositifs prioritaires, de toutes les expérimentations, la Seine-Saint-Denis attire l'attention des autorités publiques qui tentent d'assurer son bon développement. L'Institut Montaigne, avec le soutien de J.P. Morgan, a souhaité conduire un travail relatif à l'insertion et à l'accès à l'emploi dans ce territoire complexe et très particulier. Pourquoi plusieurs décennies d'intervention des pouvoirs publics n'ont pas permis d'endiguer la constitution d'une extrême pauvreté et de générer des chemins vers l'emploi pour des milliers de Séquanos-Dionysiens ? De quelles opportunités dispose la Seine-Saint-Denis pour permettre aux personnes les plus éloignées de l'emploi de vivre du fruit de leur travail ? De quels atouts disposent le département dans les années à venir ? Ce travail formule l'hypothèse qu'avec une meilleure coopération entre les différents acteurs, les politiques déployées pourraient être beaucoup plus efficaces. Il s'attache donc à mieux comprendre leurs interactions et ce qui se joue à l'intersection de la mise en œuvre des politiques publiques nationales, de l'action des collectivités locales, des acteurs de l'économie sociale et solidaire et des entreprises. Il identifie également les
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Institut Montaigne - Résumé - Seine-Saint-Denis : les batailles de l'emploi e... - 0 views

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    Que connaissons-nous réellement de la Seine-Saint-Denis ? Ce département est un territoire paradoxal. Lieu d'accueil de sièges sociaux de grandes entreprises, vitrine que la France offre au monde lors d'événements planétaires tels que la Coupe du Monde de football ou les Jeux Olympiques, ce département est également celui d'une grande pauvreté, des émeutes de 2005 ou de l'explosion du communautarisme. Plongée dans une profonde crise sociale et économique suite à la désindustrialisation qu'elle a connue dans les années 70, la Seine-Saint-Denis fait l'objet d'une tentative de reconquête par les pouvoirs publics depuis les années 80. Objet de toutes les politiques, de tous les dispositifs prioritaires, de toutes les expérimentations, la Seine-Saint-Denis attire l'attention des autorités publiques qui tentent d'assurer son bon développement. L'Institut Montaigne, avec le soutien de J.P. Morgan, a souhaité conduire un travail relatif à l'insertion et à l'accès à l'emploi dans ce territoire complexe et très particulier. Pourquoi plusieurs décennies d'intervention des pouvoirs publics n'ont pas permis d'endiguer la constitution d'une extrême pauvreté et de générer des chemins vers l'emploi pour des milliers de Séquanos-Dionysiens ? De quelles opportunités dispose la Seine-Saint-Denis pour permettre aux personnes les plus éloignées de l'emploi de vivre du fruit de leur travail ? De quels atouts disposent le département dans les années à venir ? Ce travail formule l'hypothèse qu'avec une meilleure coopération entre les différents acteurs, les politiques déployées pourraient être beaucoup plus efficaces. Il s'attache donc à mieux comprendre leurs interactions et ce qui se joue à l'intersection de la mise en œuvre des politiques publiques nationales, de l'action des collectivités locales, des acteurs de l'économie sociale et solidaire et des entreprises. Il identifie également les
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La Croix - Le fondateur des Chevaliers de Colomb béatifié le 31 octobre aux É... - 0 views

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    "Le père Michael McGivney, qui a fondé les Chevaliers de Colomb en 1882 dans le Connecticut pour venir en aide aux veuves et aux orphelins, sera béatifié le 31 octobre dans la cathédrale d'Hartford."
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