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Eurostat - Un portrait statistique des villes, agglomérations et banlieues da... - 0 views

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    La satisfaction prévaut parmi les habitants des capitales de l'UE Regroupant près des trois quarts de la population de l'Union européenne (UE), les zones urbaines jouent un rôle important dans nos vies. Les villes peuvent être considérées à la fois comme la source et la solution à bon nombre de défis économiques, sociaux et environnementaux. D'une part, les villes sont des moteurs de l'économie de l'UE, véritables plates-formes de création de richesse et pôles d'attraction d'un grand nombre de personnes du fait des multiples opportunités économiques, éducatives et sociales qu'elles offrent. D'autre part, elles sont confrontées à de nombreux défis sociaux et environnementaux, comme la mise à disposition de logements à des prix abordables ou la lutte contre la pauvreté, la criminalité, l'encombrement et la pollution. Aujourd'hui, Eurostat, l'office statistique de l'Union européenne, sort sa publication phare « Urban Europe - statistics on cities, towns and suburbs ». Ses treize chapitres présentent les statistiques relatives à la vie urbaine dans l'UE. La première partie de la publication se concentre sur les possibilités et les défis générés par les villes, la taille et la distribution spatiale du développement urbain, la prépondérance des capitales, le développement de villes intelligentes et vertes, ainsi que le tourisme et la culture dans les villes. La deuxième partie est consacrée aux personnes qui y sont nées, y vivent et y travaillent. Elle débute par une description générale de la vie dans les villes et examine ensuite plus en détail les thématiques du travail, des conditions de logement, de l'immigration, de la pauvreté et de l'exclusion sociale, ainsi que ceux ayant trait à la satisfaction et à la qualité de la vie dans les villes.
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CGET - Portraits de la France : vers un baromètre au service de la cohésion d... - 0 views

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    Pour agir sur la cohésion des territoires, l'État et les acteurs locaux doivent avoir une compréhension partagée des enjeux. Lors de la 2e Conférence nationale des territoires, le 14 décembre, a été présentée la première pierre de cette ambition : 16 indicateurs, cinq études et une grande synthèse pour construire, dans les mois à venir, une vision partagée et des priorités d'action. La cohésion des territoires ne se limite pas à un événement à l'agenda politique. C'est aussi une vision, qui fait de la co-construction avec les acteurs territoriaux une condition de réussite. Et une ambition pragmatique : être à la hauteur des enjeux territoriaux et sociétaux qui engagent l'avenir du pays en renforçant son unité. C'est pour répondre à cette ambition que Jean-Benoît Albertini, commissaire général à l'égalité des territoires, et Jean-Luc Rigaut, président de l'Assemblée des communautés de France (AdCF), ont présenté un projet de baromètre. Un diagnostic partagé de la cohésion des territoires C'est tout l'enjeu du baromètre de la cohésion des territoires, établi autour de six enjeux qui participent de la cohésion territoriale : réduction des inégalités, développement soutenable, qualité de vie, capacité de développement, capital social et coopération entre les territoires. C'est pour les caractériser, au sein et entre les territoires, que le CGET - avec l'appui de son Observatoire des territoires - propose de mettre en place un baromètre régulier. Ce projet développera une approche statistique d'observation, sous la forme de fiches thématiques (ordonnées autour des six questions clés, évoquées ci-dessus) afin de contribuer à la construction d'un diagnostic partagé sur l'état de la cohésion du territoire national, les priorités collectives, les stratégies d'action, mais aussi l'identification des moyens et des responsabilités pour mettre en œuvre ces objectifs.
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CGET - Projet de baromètre de la cohésion des territoires - 0 views

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    Pour agir sur la cohésion des territoires, l'État et les acteurs locaux doivent avoir une compréhension partagée des enjeux. Lors de la 2e Conférence nationale des territoires, le 14 décembre, a été présentée la première pierre de cette ambition : 16 indicateurs, cinq études et une grande synthèse pour construire, dans les mois à venir, une vision partagée et des priorités d'action. La cohésion des territoires ne se limite pas à un événement à l'agenda politique. C'est aussi une vision, qui fait de la co-construction avec les acteurs territoriaux une condition de réussite. Et une ambition pragmatique : être à la hauteur des enjeux territoriaux et sociétaux qui engagent l'avenir du pays en renforçant son unité. C'est pour répondre à cette ambition que Jean-Benoît Albertini, commissaire général à l'égalité des territoires, et Jean-Luc Rigaut, président de l'Assemblée des communautés de France (AdCF), ont présenté un projet de baromètre. Un diagnostic partagé de la cohésion des territoires C'est tout l'enjeu du baromètre de la cohésion des territoires, établi autour de six enjeux qui participent de la cohésion territoriale : réduction des inégalités, développement soutenable, qualité de vie, capacité de développement, capital social et coopération entre les territoires. C'est pour les caractériser, au sein et entre les territoires, que le CGET - avec l'appui de son Observatoire des territoires - propose de mettre en place un baromètre régulier. Ce projet développera une approche statistique d'observation, sous la forme de fiches thématiques (ordonnées autour des six questions clés, évoquées ci-dessus) afin de contribuer à la construction d'un diagnostic partagé sur l'état de la cohésion du territoire national, les priorités collectives, les stratégies d'action, mais aussi l'identification des moyens et des responsabilités pour mettre en œuvre ces objectifs.
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Institut Montaigne - Résumé - Les quartiers pauvres ont un avenir - 0 views

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    Opérations Habitat et Vie Sociale, politique de Développement social des quartiers (DSQ), création de Zones d'éducation prioritaires (ZEP), plan "Banlieues 89", Plan national pour la rénovation urbaine (PNRU), etc. Au cours des quarante dernières années, les gouvernements qui se sont succédés ont quasiment tous mis en œuvre des "plans banlieues", centrés sur les quartiers pauvres. Un point commun à ces initiatives : elles ont presque toutes abordé ce sujet exclusivement sous un angle social ou une perspective de rénovation immobilière. Mais l'angle économique est absent des réflexions : comment y amener de l'activité, former ses habitants, développer les richesses ? Et non pas se focaliser uniquement sur la rénovation des bâtiments et la multiplication des systèmes d'aides sociales. C'est dans ce contexte que l'Institut Montaigne a réalisé un travail statistique inédit et une réflexion autour des dynamiques économiques des quartiers pauvres, à partir de 300 tableaux statistiques, 40 cartes et 35 entretiens individuels, afin de comprendre les enjeux économiques de ces quartiers, lutter contre les idées reçues et proposer des pistes d'action utiles au débat public. Il y a de l'espoir pour les quartiers pauvres, nous proposons d'impulser une nouvelle dynamique pour la politique de la ville, sans se focaliser sur la rénovation urbaine et sans envisager une hausse conséquente de la dépense publique dans les quartiers pauvres. En renversant la perspective traditionnelle qui fait de ces quartiers une exception et en les replaçant dans l'économie générale de la France, le rapport compare les quartiers pauvres avec le reste du territoire afin de comprendre leurs spécificités et proposer des solutions fondées sur un potentiel économique.
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Institut Montaigne - Infographie - Les quartiers pauvres ont un avenir - 0 views

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    Opérations Habitat et Vie Sociale, politique de Développement social des quartiers (DSQ), création de Zones d'éducation prioritaires (ZEP), plan "Banlieues 89", Plan national pour la rénovation urbaine (PNRU), etc. Au cours des quarante dernières années, les gouvernements qui se sont succédés ont quasiment tous mis en œuvre des "plans banlieues", centrés sur les quartiers pauvres. Un point commun à ces initiatives : elles ont presque toutes abordé ce sujet exclusivement sous un angle social ou une perspective de rénovation immobilière. Mais l'angle économique est absent des réflexions : comment y amener de l'activité, former ses habitants, développer les richesses ? Et non pas se focaliser uniquement sur la rénovation des bâtiments et la multiplication des systèmes d'aides sociales. C'est dans ce contexte que l'Institut Montaigne a réalisé un travail statistique inédit et une réflexion autour des dynamiques économiques des quartiers pauvres, à partir de 300 tableaux statistiques, 40 cartes et 35 entretiens individuels, afin de comprendre les enjeux économiques de ces quartiers, lutter contre les idées reçues et proposer des pistes d'action utiles au débat public. Il y a de l'espoir pour les quartiers pauvres, nous proposons d'impulser une nouvelle dynamique pour la politique de la ville, sans se focaliser sur la rénovation urbaine et sans envisager une hausse conséquente de la dépense publique dans les quartiers pauvres. En renversant la perspective traditionnelle qui fait de ces quartiers une exception et en les replaçant dans l'économie générale de la France, le rapport compare les quartiers pauvres avec le reste du territoire afin de comprendre leurs spécificités et proposer des solutions fondées sur un potentiel économique.
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Institut Montaigne - Rapport complet - Les quartiers pauvres ont un avenir - 0 views

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    Opérations Habitat et Vie Sociale, politique de Développement social des quartiers (DSQ), création de Zones d'éducation prioritaires (ZEP), plan "Banlieues 89", Plan national pour la rénovation urbaine (PNRU), etc. Au cours des quarante dernières années, les gouvernements qui se sont succédés ont quasiment tous mis en œuvre des "plans banlieues", centrés sur les quartiers pauvres. Un point commun à ces initiatives : elles ont presque toutes abordé ce sujet exclusivement sous un angle social ou une perspective de rénovation immobilière. Mais l'angle économique est absent des réflexions : comment y amener de l'activité, former ses habitants, développer les richesses ? Et non pas se focaliser uniquement sur la rénovation des bâtiments et la multiplication des systèmes d'aides sociales. C'est dans ce contexte que l'Institut Montaigne a réalisé un travail statistique inédit et une réflexion autour des dynamiques économiques des quartiers pauvres, à partir de 300 tableaux statistiques, 40 cartes et 35 entretiens individuels, afin de comprendre les enjeux économiques de ces quartiers, lutter contre les idées reçues et proposer des pistes d'action utiles au débat public. Il y a de l'espoir pour les quartiers pauvres, nous proposons d'impulser une nouvelle dynamique pour la politique de la ville, sans se focaliser sur la rénovation urbaine et sans envisager une hausse conséquente de la dépense publique dans les quartiers pauvres. En renversant la perspective traditionnelle qui fait de ces quartiers une exception et en les replaçant dans l'économie générale de la France, le rapport compare les quartiers pauvres avec le reste du territoire afin de comprendre leurs spécificités et proposer des solutions fondées sur un potentiel économique.
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3c0bff50-9d55-4959-b468-ced903636343 - 0 views

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    "Quasi un quart de l'ensemble des citadins menacés de pauvreté ou d'exclusion sociale. Regroupant une part importante de la population âgée de 20 à 64 ans dans l'Union européenne (UE), les villes peuvent être vues comme étant à la fois la source et la solution de nombreux défis économiques, sociaux et environnementaux actuels. Parmi les citadins de l'UE âgés de 20 à 64 ans, 70% avaient un emploi . Par ailleurs, le risque de pauvreté ou d'exclusion sociale touchait environ 24% de l'ensemble des citadins. Aujourd'hui, les ministres de l'UE responsables des affaires urbaines se rencontrent pour approuver le Pacte d'Amsterdam, établissant un Agenda urbain pour l'UE. À cette occasion, Eurostat, l'office statistique de l'Union européenne, publie des données sur la population, l'emploi et le risque de pauvreté dans les villes. De plus amples données sont disponibles sur le site web d' Eurostat. Une publication phare fournissant un portait détaillé du développement urbain et de la vie urbaine en Europe sera diffusée en septembre."
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Fédération des agences d'urbanisme - Métroscope : 50 indicateurs pour les mét... - 0 views

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    Créées pour répondre à la montée en puissance du « fait métropolitain », la France compte début 2017 quinze métropoles au sens institutionnel du terme, quinze métropoles qui se caractérisent par une grande diversité de configurations, d'atouts territoriaux comme de gouvernance, dont trois métropoles de statut particulier, celles d'Aix-Marseille, de Lyon et du Grand Paris. Dans le cadre du Pacte État Métropole signé le 6 juillet 2016, la Fédération des agences d'urbanisme (FNAU), France Urbaine et l'Assemblée des communautés de France (AdCF), associées au Commissariat général à l'Égalité des Territoires (CGET) ont souhaité initier une démarche de connaissance et d'observation en réseau des métropoles françaises. (…) Cette dynamique a abouti à la construction collective d'indicateurs originaux à l'échelle nationale, appuyés sur des statistiques nationales - notamment de l'INSEE - ou de données collectés sur les territoires. Mais surtout la démarche se caractérise par l'analyse partagée des indicateurs entre les acteurs de l'observation. Cette publication s'attache ainsi à la mise en perspective d'une cinquantaine d'indicateurs qui rendent compte des dynamiques métropolitaines, de la qualité de vie et de la cohésion sociale, de l'attractivité et du rayonnement des quinze premières métropoles françaises, en associant analyses, cartographies, data-visualisation et zooms locaux. Refusant d'établir un classement, l'enjeu est de permettre aux acteurs locaux comme nationaux, de situer la spécificité de chaque métropole dans le contexte national, mais aussi de saisir les tendances communes et les différenciations à l'œuvre. L'objectif est de pouvoir inscrire cette connaissance dans le temps, de l'élargir aux six nouvelles métropoles, à de nouvelles problématiques ainsi qu'à une inscription dans un contexte élargi européen. Métroscope donne à voir et à comprendre l
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Un outil pour mieux détecter les copropriétés dégradées | La-Croix.com - 1 views

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    "L'agence nationale de l'habitat (Anah) a lancé lundi 18 février un instrument statistique permettant d'identifier et d'anticiper la détérioration des immeubles les plus fragiles. "
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Caisse des dépôts - Rapport ONPV 2016 : le chômage baisse (un tout petit peu)... - 0 views

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    "L'Observatoire national de la politique de la ville (ONPV, ex-Onzus) a rendu son rapport 2016, avec tout un tas d'indicateurs sur les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) nouvelle génération. Les chiffres du chômage 2015, boostés par les dispositifs d'aide à l'emploi, apparaissent encourageants par rapport aux années passées, mais demeurent préoccupants. A signaler une typologie des quartiers qui exprime judicieusement la diversité des situations et invite à repenser des politiques publiques plus fines selon les caractériques des sites. En 2015, le taux de chômage dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) est de 26,4%. C'est une bonne nouvelle dans la mesure où, l'année précédente, il était à 26,7%, soit 0.3 point de moins. "La situation s'est stabilisée par rapport à 2014 avec une diminution du taux de chômage de 0,3 %", souligne le 2e rapport annuel 2016 de l'Observatoire national de la politique de la ville (ONPV, ex-Onzus) remis le 6 avril, par le préfet Jean-François Cordet, son président, à Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, et à Hélène Geoffroy, secrétaire d'Etat chargée de la Ville. Le document, de près de 150 pages, est toujours une mine statistique concernant les 435 contrats de ville, qui accueillent 5,4 millions d'habitants (8,2 % de la population française habite en QPV), dans 1.514 QPV situés dans 859 communes, et qui sont pilotés pour 70% d'entre eux à l'échelle intercommunale comme l'exige la loi Lamy de 2014*."
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INSEE - La France et ses territoires - 0 views

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    "Cet ouvrage offre un panorama des questions économiques, sociales et environnementales au niveau territorial. En utilisant les zonages d'études actualisés en 2020, l'ouvrage fait le point sur les disparités géographiques en France, sur les forces et faiblesses des divers territoires ainsi que sur les conditions de vie de la population."
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Insee - Une croissance démographique marquée dans les espaces peu denses - 1 views

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    "Au 1ᵉʳ janvier 2017, 66 524 000 habitants vivent en France hors Mayotte, soit une croissance moyenne de 0,5 % par an depuis dix ans. La population augmente plus vite dans les communes peu denses notamment celles situées dans la périphérie des principales villes, témoignant ainsi de la poursuite de l'étalement urbain. Les communes densément peuplées connaissent une nette progression de leur densité liée à un excédent des naissances sur les décès. Les communes peu denses attirent de nouveaux habitants, cette attractivité se diffuse sur des territoires de plus en plus éloignés. La croissance des espaces de faible densité concerne 80 % des départements."
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Insee - La mixité sociale est plus forte en journée sur les lieux d'activité ... - 0 views

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    "Les données de mobilité issues de la téléphonie mobile permettent d'analyser la mixité sociale au-delà des seuls lieux de résidence. En effet, les personnes à hauts revenus et à bas revenus se déplacent et ainsi se côtoient pendant la journée. La mixité sociale est plus importante en journée lorsque les personnes sont en dehors de leur lieu de résidence dans les agglomérations de Paris, Lyon et Marseille. La ségrégation est minimale entre 10 heures et 18 heures quand la plupart des gens ont rejoint leur lieu de travail, alors qu'elle est maximale la nuit. Bien que la mixité sociale augmente avec les déplacements en journée, les personnes à bas revenus restent majoritaires dans le nord-est de l'agglomération parisienne et les personnes à hauts revenus dans l'ouest. La différence entre le jour et la nuit est plus marquée à l'ouest qu'à l'est. Dans les villes, l'organisation des infrastructures de transport entre le centre et la périphérie facilite ou, au contraire, freine les déplacements. Les personnes à bas revenus habitent plus souvent dans les espaces où il est plus difficile de se déplacer (centre à Marseille, périphérie à Lyon et Paris)."
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Insee - Conditions de vie-Société - Les habitants des quartiers de la politiq... - 0 views

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    "En France métropolitaine, 4,8 millions de personnes vivent dans les 1 300 quartiers de la politique de la ville. La population de ces quartiers, de par leur définition même, est fréquemment touchée par la pauvreté. Les habitants sont plus jeunes qu'en moyenne dans la population urbaine. Il s'agit également plus souvent de familles nombreuses ou monoparentales ou d'étrangers. Au-delà de la pauvreté monétaire, la population des quartiers de la politique de la ville présente des fragilités dans plusieurs domaines. Notamment, elle s'insère difficilement sur le marché du travail et manque de formation et de qualification. Dans les quartiers de la politique de la ville, le logement social est très présent : 8 logements sociaux pour 10 ménages, soit trois fois plus que dans l'urbain englobant ces quartiers."
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De plus en plus de Français banlieusards - La Croix - 0 views

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    "Les 65,9 millions de Français vivent de plus en plus souvent en périphérie des grandes villes, selon les chiffres officiels publiés lundi 2 janvier par l'Insee."
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INSEE - La prédominance démographique des plus grandes communes s'atténue - 0 views

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    "De 2009 à 2014, la croissance démographique des plus grandes communes reste dans l'ensemble inférieure à celle des communes moins peuplées, malgré des dynamiques contrastées. La part de la population vivant dans les cent communes françaises les plus peuplées continue de diminuer, à un rythme cependant moins soutenu qu'au cours des décennies passées. Ces tendances se retrouvent dans toutes les régions, même si la part de la population concentrée dans les plus grandes communes est assez variable. "
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Insee - Population - La localisation géographique des immigrés - Une forte co... - 0 views

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    "Au 1er janvier 2012, la France compte 65,2 millions d'habitants dont 5,7 millions d'immigrés. La population immigrée est davantage concentrée sur le territoire que celle des non-immigrés. Ainsi, huit immigrés sur dix résident dans des grands pôles urbains, contre six non-immigrés sur dix. En particulier, 38 % des immigrés (2,2 millions de personnes) habitent dans l'aire urbaine de Paris, où résident par ailleurs 17 % des non-immigrés (10,2 millions de personnes). Les immigrés sont en revanche moins présents que les non-immigrés dans les zones peu ou très peu densément peuplées. La répartition territoriale de la population immigrée est le résultat de plusieurs vagues d'immigration, notamment vers le sud-ouest de la France et les zones urbanisées et industrialisées des années 1960 ; elle varie toutefois selon le pays de naissance. La concentration géographique des populations immigrées évolue peu au fil des années. De fait, les immigrés arrivés en France depuis moins de cinq ans s'installent dans des lieux où vivent déjà beaucoup ceux arrivés depuis longtemps."
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Insee - Population - Trente ans de démographie des territoires - 0 views

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    "Entre 1982 et 2011, la France a gagné 9,4 millions d'habitants, dont 20 % dans l'aire urbaine de Paris et 30 % dans les 13 plus grandes aires urbaines de province. L'influence de ces dernières ne cesse de s'étendre. Dans de nombreuses agglomérations, la ville-centre perd des habitants au profit des communes avoisinantes. Dans l'ensemble, les communes rurales ne perdent plus d'habitants depuis les années 1970. Elles en gagnent même lorsqu'elles sont proches de grandes agglomérations. "
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Insee - Conditions de vie-Société - Habiter en HLM : quels avantages, quelles... - 0 views

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    "Les logements sociaux, notamment ceux gérés par un organisme d'habitations à loyer modéré (HLM), offrent des loyers largement inférieurs au secteur locatif privé. En 2006, selon l'enquête Logement, les ménages logés en HLM s'acquittaient chaque mois, en moyenne, d'un loyer de 310 euros. Au regard des prix des locations privées présentant des caractéristiques et une localisation comparables, ils bénéficiaient d'un avantage implicite évalué à 261 euros par mois, représentant 46 % de la valeur locative du logement. Les ménages logés en HLM n'habiteraient pas le même type de logements s'ils n'avaient pas obtenu de logement social. L'emménagement en HLM permettrait ainsi d'occuper une habitation d'une valeur locative légèrement supérieure. Ce logement serait plus grand, de 2,5 m² en moyenne, mais serait moins souvent une maison et serait situé plus souvent dans un quartier modeste. Bénéficier d'un logement HLM améliore le niveau de vie. Les économies réalisées sur le loyer ont permis aux ménages concernés d'augmenter leur consommation hors logement et leur épargne d'un montant évalué à 227 euros par mois. L'avantage HLM en termes de loyer est plus important en Île-de-France et équivaut à 394 euros par mois, soit 53 % de la valeur locative du logement. Les locataires HLM de région parisienne habitent des logements d'une valeur locative supérieure à ceux qu'ils occuperaient dans le secteur privé, plus grands de 10,7 m², mais situés dans des quartiers nettement plus modestes. Le logement social ne bénéficie pas qu'aux ménages modestes. Les ménages aisés logés dans le parc social sont certes plus rares, mais ils habitent des logements pour lesquels l'économie de loyer est plus importante. Ce texte est un résumé de l'étude « Habiter en HLM : quels avantages, quelles différences ? » de Corentin Trevien, publiée dans la collection Documents de travail (n° G2013/02)"
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Eurostat - 5 octobre 2015 - Journée mondiale de l'habitat - 0 views

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    "Un peu plus de 40% de la population de l'UE vit en ville"
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