Flexitaérien, mode d'emploi: mérites comparés de l'avion et du train | L'inte... - 0 views
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[pop-up] urbain on 12 Mar 19"Flexitaérien, néologisme assumé, désignera celui qui ne prend pas systématiquement l'avion, qui essaie de l'éviter, parce que l'avion, ça pollue, ça fait du bruit, et surtout ça émet énormément de CO2. Les enjeux de ce débat émergeant sont résumés dans cet excellent article de la journaliste du Monde Pascale Krémer, ici. La discussion fait rage. Certains prônent le renoncement total à l'avion. Finies les découvertes de pays lointains, les visites à des amis expatriés, les reportages au Caire ou à Kiev, les conférences à Montréal ou à Fort-de-France. D'autres, à l'opposé, prônent de ne rien changer. Après tout, s'il y a des avions et des aéroports, c'est pour qu'on s'en serve. Et puis, d'ailleurs, « on n'a pas le choix », ajoutent-ils parfois, sans craindre la provocation. Et entre ces deux positions radicales, toute la panoplie du flexible, de la déontologie personnelle, du « cadre moral que chacun se fabrique de bric et de broc », comme dit Pascale Krémer, qui livre aussi un « mode d'emploi » destinés aux accros à l'avion."