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"sept lauréates de l'appel à projet « urbanisme transitoire » lancé mi-mai par la région, qui s'intéresse de près à ce phénomène d'occupation temporaire de locaux par des collectifs culturels, des associations, ou des coworkers. Depuis 2012, les projets se multiplient sur le territoire régional où le foncier est cher et les procédures d'urbanisme très longues. L'Institut d'aménagement d'Ile-de-France en a recensé 62. Chacune des deux parties y trouve son avantage : des loyers modestes pour les collectifs - contrepartie d'une occupation éphémère et d'installations sommaires -, cet des économies sur le gardiennage et les charges pour les promoteurs."

Jusqu'au 30 juin a lieu le débat public autour du projet d'Europacity. Les débats sont relativement calmes pour un projet suscitant tant d'opposition (en terme d'emplois locaux, de nuisances écologiques, de surfaces commerciales et d'impacts aux franges du projet). Certains promettent à Europacity un avenir à la Notre-Dame-des-Landes, d'autres y voit comme un moyen de redorer le blason de la Seine Saint Denis auprès du grand public, et des touristes.

Jusqu'au 30 juin a lieu le débat public autour du projet d'Europacity. Les débats sont relativement calmes pour un projet suscitant tant d'oppositions (en terme d'emplois locaux, de nuisances écologiques, de surfaces commerciales et d'impacts aux franges du projet). Certains promettent à Europacity un avenir à la Notre-Dame-des-Landes, d'autres y voit comme un moyen de redorer le blason de cette

Les journées nationales de l'habitat participatif, le premier et 2 juin prochain à Strasbourg sont une occasion d'analyser ce type d'habitat émergent et de plus en plus plébiscité. Ce mode de conception « sur-mesure » de l'habitat ébranle la classique vente sur plan largement répandue dans les projets immobiliers. L'implication des ménages dès la conception est une des clé de la réussite de ces expériences. Mais au-delà de la conception, c'est l'ensemble des décisions requièrent la participation des habitants. Un fonctionnement qui reste encore à intégrer dans le quotidien des habitants.

Les journées nationales de l'habitat participatif, le premier et 2 juin prochain à Strasbourg sont une occasion d'analyser ce type d'habitat émergent et de plus en plus plébiscité. Ce mode de conception « sur-mesure » de l'habitat ébranle la classique vente sur plan largement répandue dans les projets immobiliers. L'implication des ménages dès la conception est une des clé de la réussite de ces expériences. Mais au-delà de la conception, c'est l'ensemble des décisions requièrent la participation des habitants. Un fonctionnement qui reste encore à intégrer dans le quotidien des habitants.

"L'essor des infrastructures ­cyclables pose la question de leur ­continuité. Les experts ont inventé l'expression « réseaux sans couture », l'idée étant que, pour faciliter la pratique, il faut supprimer les obstacles."

Un état des lieux cartographié et très renseigné de 90 initiatives franciliennes sur les sept champs de l'économie circulaire, à savoir : l'approvisionnement durable, l'éco-conception, l'écologie industrielle et territoriale, l'économie de la fonctionnalité, la consommation responsable et le réemploi/réutilisation/réparation et recyclage.

Passage en revue de 90 initiatives franciliennes emblématiques sur : approvisionnement durable, éco-conception, écologie industrielle et territoriale, économie de la fonctionnalité, consommation responsable, réemploi/réutilisation/réparation et recyclage.

Du maire de commune qui demande à ses agents de se parler au lieu de s'envoyer des mails, aux grandes entreprises qui testent le "off line", la question de la surcharge des mails rejoint le "droit à la déconnexion" du projet de loi El Kohmri… Et pose celle des impacts environnementaux de la croissance exponentielle des mails (demandant toujours plus de serveurs énergivores).

8,9% de contrevenants dans les bus parisiens, contre 1% à Londres ou 2,18% à New-York. Un récent rapport de la Cour des Comptes épingle le comportement des franciliens dans les transports publics et estime la fraude à 366 millions d'euros par an. Un constat qui pousse à des mesures plus strictes et à un renforcement des pouvoirs des agents de sécurité internes à la RATP et à la SNCF...

Le mode de vie fraudeur des Français coute cher.

"Le secteur de la construction est responsable de 19% des gazs à effet de serre, de 40% de l'énergie consommée au niveau mondial."