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Véronique Ginouvès

La place Jamaâ El Fna se dote de nouvelles structures - MarocZone - 0 views

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    Le nouveau mobilier comprend des tables ainsi que des sièges plus confortables où les consommateurs pourront mieux apprécier leurs repas. Des lave-mains ont aussi été installés afin d'améliorer les conditions d'hygiène. Les employés sur place s'attendent aussi au « renouvellement de plus de 60 stands de restauration » installés à Jamaâ El Fna afin « d'améliorer les services proposés sur place ». Des restaurateurs sur place se plaignent pourtant « qu'on les ait obligés à payer une somme de 35 000 dirhams afin d'acquérir un salon au sein des nouvelles structures » sans que l'Initiative nationale du développement humain (INDH) n'intervienne, selon le portail d'information arabophone Hespress. Les employés déplorent aussi le fait que la place ne soit toujours pas branchée à l'électricité, l'eau potable et les réseaux d'assainissement. Contacté par Hespress, un responsable de l'INDH à Marrakech à précisé que « cette initiative n'aide que les personnes dans le besoin, certains restaurants sur la place gagnent plus de 10 000 dirhams quotidiennement ».
Véronique Ginouvès

La naissance du mythe de Marrakech du Musée social à Internet - 1 views

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    "Cette conférence retrace les grandes lignes du développement urbain mis en place à Marrakech pendant le protectorat marocain et plus particulièrement pendant la période lyauteyenne. L'accent est mis, d'une part, sur l'origine d'une série de stéréotypes qui ont été "spatialisés" à travers la conception du plan de la ville et, d'autre part, sur la mise en valeur d'éléments communs entre la politique urbaine de la période coloniale et les plans de développement actuels de la ville. En effet, le colonialisme a produit, par le biais de la littérature et de l'art, une série d'images ayant alimenté un imaginaire collectif qui se sont par la suite concrétisées dans l'espace urbain. Les descriptions littéraires et les tableaux orientalistes représentant un paysage exotique et envoûtant ont en effet influencé la perception de la ville et sa conception chez les urbanistes. De cette manière, les éléments du skyline de Marrakech (Haut-Atlas, Koutoubia, murailles, palmiers) ont été codifiés pour devenir les points de repère de la ville et les bases de la conception de son plan. Ces images ont, en outre, contribué à former un discours très cohérent sur le Maroc en général et sur Marrakech en particulier, qu'on retrouve encore aujourd'hui. Rachele Borghi est géographe, chargée de recherche à l'université Ca'Foscari de Venise."
Véronique Ginouvès

UNESCO Secteur de la culture - Patrimoine immatériel - Convention 2003 : - 0 views

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    "20 mai 2014 - Du 20 au 27 mai 2014 la ville de Marrakech accueille un premier atelier de formation sur l'élaboration d'un inventaire participatif du patrimoine culturel immatériel. Cette formation s'inscrit dans le cadre d'un programme plus large de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel financé grâce à la généreuse contribution de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel. Il fait suite à un premier atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel qui a eu lieu en mars dernier à Agadir. L'objectif principal de cette rencontre, qui réunira des professionnels du patrimoine culturel immatériel, des représentants du Ministère de la culture, de l'artisanat et de l'économie sociale et solidaire, des organisations non gouvernementales et des étudiants sera de réfléchir sur le rôle des communautés dans l'élaboration des inventaires du patrimoine culturel immatériel, ainsi que sur les techniques et méthodes nécessaires pour leur mise en place. L'atelier sera encadré et animé par deux membres du réseau de facilitateurs de l'UNESCO, M. Mohamed Lemine Ould Beidjeu (Mauritanie) et M. Ahmed Skounti (Maroc)."
Véronique Ginouvès

Nouveaux regards sur l'interprétation et les centres d'interprétation - 0 views

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    "Dans un dossier déjà ancien de la Lettre de l'OCIM (n° 61, 1999), nous avions publié une série de textes sur l'interprétation 1. L'interprétation y était décrite comme une notion singulière, polysémique, mais plutôt appétissante au point d'être de plus en plus employée dans le monde des musées. Parler dorénavant d'un équipement en précisant qu'il s'agit d'un centre d'interprétation (et non pas d'un musée) ou d'un parcours d'interprétation et non pas d'un sentier pédagogique ou d'un itinéraire de découverte est devenu presque banal. Certes, le flou de la notion de musée et les difficultés de désigner une offre culturelle aménagée hors d'un bâtiment dédié à cet effet appellent à renouveler le vocabulaire de la communication. Rappelons pourtant que les centres d'interprétation ne sont nouveaux qu'en Europe puisque c'est sur le modèle des parcs nationaux, de l'autre côté de l'Atlantique, qu'ils ont été importés vers la fin des années 1970."
Véronique Ginouvès

Le Cor des Alpes suisses en concert à la place Jamaâ El Fna - 0 views

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    " Grand ensemble de l'Académie suisse des Cor des Alpes mettra le cap la semaine prochaine sur Marrakech et Essaouira, avec à l'affiche des concerts envoûtants sur la mythique place Jamaâ El Fna à Marrakech, à Essaouira ou encore à Imlil, au pied de l'imposante montagne de Toubkal. "C'est l'une des rares représentations en dehors de la Confédération helvétique pour ce groupe d'amateurs désireux de promouvoir un instrument traditionnel plein de symboles tout en faisant appel à l'amitié, aux cinq sens et à la culture", a déclaré à la MAP le président de l'Académie, Francis Scherly."
Véronique Ginouvès

Une première approche sur la transmission du chant diphonique en Mongolie - 0 views

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    "Une première approche sur la transmission du chant diphonique en Mongolie A first approach on the transmission of overtone singing in Mongolia Johanni Curtet Résumé | Index | Plan | Notes de l'auteur | Texte | Bibliographie | Notes | Citation | Auteur Résumés FrançaisEnglish Transmis par l'oralité de génération en génération dans les provinces de l'Altaï, l'enseignement du chant diphonique mongol (höömij) est aussi entré dans les milieux urbains et la sphère institutionnelle de l'université dans les années 1990. Face aux changements sociaux rapides que la Mongolie a connus en moins d'un siècle, d'importantes transformations ont été apportées au chant diphonique. À travers trois générations, les pratiques de transmission du höömij ont évolué et des enjeux identitaires se sont progressivement installés entre les chanteurs de höömij, mais aussi dans le monde politique. La transmission du chant diphonique n'est plus la même lorsque l'on passe du local au global ni quand le höömij fait l'objet d'une inscription sur la liste représentative du Patrimoine Culturel Immatériel de l'Unesco."
Véronique Ginouvès

La place Jemaa el-Fna au « printemps marocain » - 0 views

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    Cet article propose un éclairage sur l'attentat ayant frappé le 28 avril 2011 un café situé sur la Place Jemaa el-Fna, haut lieu touristique et patrimonial de Marrakech. Comprendre les impacts de cet événement nécessite d'une part d'aborder la complexité du lieu (ses symboliques, ses usages, ses acteurs) et d'autre part de décrypter le contexte politique particulier dans lequel il s'est produit (printemps marocain). L'analyse permet de mettre en exergue trois types d'impacts : socioéconomique (baisse de la fréquentation touristique), identitaire (exacerbation des tensions) et politique (accélération des réformes au niveau national).
Véronique Ginouvès

Magazine "Espace Maroc - Centrale de réservation des propriétaires" | Insolit... - 0 views

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    "Tous les curieux d'une culture, qu'ils habitent à Marrakech ou qu'ils soient de passage, tous ceux qui se sont interrogés sur ces conteurs de la Place Jamaa El Fna et leur pouvoir hypnotique, vont pouvoir obtenir quelques réponses. Le matin très tôt ou le soir à la tombée du jour, sur cette place bouillonnante, ils sont là, seuls ou avec quelques comparses musiciens et même sans comprendre la langue on ne peut s'empêcher de s'arrêter et d'écouter."
Véronique Ginouvès

Les questions juridiques de la numérisation du patrimoine culturel immatériel... - 0 views

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    "Les questions juridiques de la numérisation du patrimoine culturel immatériel par Wang Li. Résumé du programme de recherche du même titre financé par le National Social Science Foundation of China. Ce programme est dirigé par Wangli Li (Associate professor, Faculty of Law, Central-South University, China PR. - Chercheur associée, EHESS-CNRS - Professeur invitée, Université Paris-Sud) L'origine de la problématique du patrimoine culturel immatériel (ci-après PCI), remonte aux  années 1950 avec la question de la protection du « folklore ». Le questionnement était double : d'une part la revendication d'une reconnaissance des identités culturelles des pays dits du Sud, d'autre part la question du droit de propriété intellectuelle pour protéger ces éléments culturels vivants. Longtemps, les solutions envisagées se positionnèrent uniquement dans la vision de conférer des droits exclusifs aux communautés sur leurs éléments culturels. Se trouvait ainsi au centre la question de l'appropriation de ces éléments. Or, les recherches ont démontré que le droit de propriété intellectuelle classique est inadapté pour opérer cette appropriation et par conséquent, pour offrir une protection à ces éléments. La Convention pour la sauvegarde du PCI de l'Unesco (2003) propose une vision différente. Elle évoque la sauvegarde des éléments de PCI en tant que tels notamment par les moyens du droit administratif et des actions publiques, au lieu de chercher à protéger les droits sur ces éléments. Les actions publiques ont comme fondement les intérêts de la diversité culturelle et des identités culturelles des communautés, cette identité culturelle se trouvant au centre de la définition du PCI proposée par l'article 2 de la convention. On est amené alors à se demander si cette vision de sauvegarde hors de l'appropriation est pertinente et suffisante. Au demeurant, la question de la protection des éléments de P
Véronique Ginouvès

http://www.igespar.pt/media/uploads/dgpc/Politicas_Publicas_para_o_Patrimonio_Imaterial... - 0 views

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    Les inventaires: un dispositif obligatoire, validé par les Etats -Parties Si les diverses mesures contenues dans la convention n'ont aucun caractère contraignant pour les Etats signataires, il en est une, en revanche, qui est obligatoire. Elle concerne l'établissement d'inventaires, dont les modalités générales sont précisées à l'article 12.1 : «chaque Etat partie dresse (en anglais shall draw up), de façon adaptée à sa situation, un ou plusieurs inventaires du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire» art 12.1). A titre de comparaison, il faut noter que l'article 13 consacré aux «autres mesures de sauvegarde» (mise en place de programmes d' éducation, de sensibilisation et de renforcement des capacités etc), utilise un vocabulaire beaucoup moins contraignant: «En vue d'assurer la sauvegarde, le développement et la mise en valeur du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire, chaque Etat partie s'efforce de(…)[dans la version anglaise: shall endeavour to]». La création puis la mise à jour d'inventaires est une tâche impérative pour les Etats signataires, alors que les «autres mesures de sauvegarde» sont présentées dans le texte comme des actions souhaitables mais pas obligatoires. La finalité de ces inventaires est de permettre aux Etats d' «assurer l'identification en vue de la sauvegarde», afin d'«assurer la viabilité du patrimoine culturel immatériel, y compris [son] identification […]» (art. 2.3). La convention présente donc la réalisation des inventaires à la fois comme une mesure de sauvegarde en soi et comme une condition préalable à toutes les autres mesures de sauvegarde.
Véronique Ginouvès

Préservation du patrimoine culturel: La Fondation nationale des musées mise s... - 0 views

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    "La Fondation nationale des musées mise sur la multiplication des partenariats avec des acteurs nationaux et étrangers aussi bien publics que privés pour poursuivre l'effort de préservation du patrimoine culturel national, a affirmé son président, l'artiste-peintre Mehdi Qotbi. "La politique muséale engagée par le Maroc ne peut se suffire de l'apport de l'Etat, car le patrimoine appartient à tous les Marocains, de quelque confession soient-ils", a souligné M. Qotbi, lors d'une rencontre vendredi à Bruxelles au Centre de la culture judéo-marocaine."
Véronique Ginouvès

Jemaa el fna: Appellation de la place - 0 views

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    "Au début du XVIIIème siècle, la place est pour la première fois mentionnée dans une chronique en tant que lieu de spectacle, à travers la référence à la halqa, cette sphère créée entre le conteur et son public. Par-delà le divertissement, c'est toute la société marocaine de l'époque que l'historien al-Youssi dépeint dans ses différentes composantes, ethniques et linguistiques, rurales et citadines. Survolons les siècles jusqu'à l'année 1921, date à laquelle un arrêté viziriel de Mohamed El Mokri propose pour la première fois le classement de Jemaâ el Fna parmi les sites à sauvegarder. La place commence à prendre l'aspect actuel : les bâtiments de la poste et de la banque du Maroc viennent d'y être aménagés, plusieurs hôtels et cafés-restaurants sont ouverts autour de la place. Mais la promulgation du dahir interdit toute construction qui mettrait en péril l'identité de Jemaâ el Fna. Le travail architectural du lieu consiste à optimiser l'espace en dedans, l'idée étant que le spectacle est sur la place. C'est tout le peuple qui fait l'attrait de cet endroit légendaire. En 1985, la médina de Marrakech et donc la place Jemaâ el Fna qui en fait partie intégrante sont inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. En mai 2001,Jemaâ el Fna est proclamée patrimoine oral et immatériel de l'Humanité. Les activités de la place sont issues d'une tradition ancestrale, en perpétuel renouvellement, liées à la ville. De plus elle constitue un témoignage unique d'une tradition vivante mais menacée. "
Véronique Ginouvès

Animaux sur la place Jemma El-Fna | Free Dolphins Belgium - 0 views

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    "Force est de dire qu'à côté du réjouissant spectacle des acrobates, conteurs, diseuses de bonne aventure, gargotes et autres marchands de jus d'orange, l'agressivité des charmeurs de serpents et des dresseurs de singes gâche l'ambiance. Ils abordent d'autorité toute personne qui s'approche en lui agitant un cobra flasque sous le nez ou en lui collant un singe sur les épaules. Ensuite, ils exigent d'être payés pour la photo. Les discussions peuvent s'envenimer et c'est une plaie pour les touristes que d'être ainsi harcelés puis insultés, s'ils ne paient pas."
Véronique Ginouvès

La place jemaa el fna se sépare de ses stands de restauration fixes sur made ... - 0 views

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    "ACTUS Les autorités locales ont mené, entre hier soir et ce matin, une opération spéciale sur la Place Jemaa el Fna, afin de la libérer des stands de restauration fixes, installés durant le mois d'avril dernier. Cette décision impose désormais aux restaurateurs de démonter leurs snacks, chaque soir, pour laisser libre cours à l'art de la halqa."
Véronique Ginouvès

Marrakech/Patrimoine Un plan de sauvegarde pour la médina : Trois ministres a... - 0 views

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    L'occasion était la célébration du 30e anniversaire de la déclaration de Marrakech en tant que patrimoine historique. Anniversaire célébré le week-end dernier par le conseil communal de la ville à l'initiative des associations concernées par la préservation du patrimoine. Trois ministres ont fait le déplacement: Amine Sbihi, Mustapha El Khalfi et Mohamed El Ouafa, ministres respectivement de la Culture, de la Communication, et chargé des Affaires générales et de la Gouvernance, mais aussi ancien président du conseil communal… Jaafar Kansoussi, président du comité d'organisation de cet anniversaire se réjouit de cette prise de conscience de l'intérêt culturel, identitaire et économique de ce patrimoine et regrette l'absence d'un département très concerné: le ministère du Tourisme. Il y a 30 ans, l'Unesco inscrivait la médina de Marrakech en tant que patrimoine mondial de l'humanité. De par ses monuments grandioses qui remontent à l'époque des Almoravides (1056-1147) comme la mosquée de la Koutoubia, dont le minaret de 77 mètres représente un monument essentiel de l'architecture musulmane, ses remparts, ses portes monumentales et ses jardins… Et ce sont les critères qui ont poussé les experts de l'Unesco à l'inscrire parmi les 1.022 patrimoines mondiaux, tout comme l'Alhambra en Espagne. 30 ans plus tard, il y avait lieu de s'arrêter sur les défigurations qui risquent de nuire à ce patrimoine. D'abord le ciment qui dévore la médina et les vieilles maisons qui tombent en ruine qui demandent des interventions immédiates. Et puis il y a tout le tissu économique de la médina qui a été négligé. La ville intramuros abrite, pour rappel, le quart de la population marrakchie avec une économie basée sur le tourisme, le commerce et l'artisanat. Mais face à un laisser-aller, c'est une médina qui se déprécie de plus en plus et que ses habitants eux-mêmes préfèrent fuir. - See more at: htt
Véronique Ginouvès

Déperdition de la tradition orale: le cri de cœur d'Ouidad Tebaa | H24info - 0 views

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    "Ouidad Tebaa participe d'ailleurs le 26 février à une conférence organisée par la Fondation Dar Bellarj sur l'apprentissage et la transmission de la tradition orale et se penche sur le cas de Jamaâ El Fna. La conférencière tentera à cette occasion d'apporter des éléments de réponse à la question de la pérennité d'une telle culture, qui se pose  de manière de plus en plus pressante. "Comment sauvegarder le patrimoine oral dans le sillage de la proclamation de l'Unesco? Car la conservation, l'enregistrement, l'archivage sont un préalable nécessaire, mais pas suffisant" se demande-t-elle. "
Véronique Ginouvès

:: Le Matin :: Le projet «Marrakech, cité du renouveau permanent» avance à pa... - 0 views

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    "istoriques, sites touristiques et souks mitoyens de la place mythique de Jamaâ El Fna. C'est ainsi que lors de ses visites successives à Semmarine, Rahba Laqdima, Souk Laghzel, aux tombeaux saâdiens et à l'école Ben Youssef des explications ont été données au wali sur les travaux de réaménagement et de restauration de ces espaces qui démarreront incessamment et sur les transformations que ces infrastructures sont appelées à connaître. Avec ce programme grandiose, la ville de Marrakech est en train de connaître une métamorphose dans la mesure où le projet s'attaque aux axes clés que sont la valorisation du patrimoine culturel, l'amélioration de la mobilité urbaine, la promotion de la bonne gouvernance, l'intégration urbaine et la préservation de l'environnement. Tirant sa substance d'une approche novatrice en termes de transversalité, d'intégration "
Véronique Ginouvès

Festival On Marche: La libre expression du corps - Leconomiste.com - 1 views

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    "LA vague contemporaine continue de déferler sur Marrakech. Pendant la Biennale et son art dans tous ses états, c'est au festival On Marche d'entamer ses ballets, à Dar Attakafa, la maison de la culture du quartier populaire de Daoudiate. Jusqu'au 9 mars 2014, ce lieu préservé, qui abrite une riche et ancienne bibliothèque, s'anime au rythme des représentations de danse contemporaine."
Véronique Ginouvès

Le Biennale de Marrakech tente de s'inscrire dans la ville | Le nouvel Economiste - 0 views

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    "Les bons sentiments ne font pas toujours les bonnes biennales. Celle de Marrakech est née en 2005 sous l'impulsion de Vanessa Branson, sœur de Richard Branson ancien propriétaire de Virgin. De ses propres mots, celle-ci a été conçue "en réponse au sentiment anti-musulman qui se développait dans la presse occidentale. J'étais très en colère contre cela, et j'ai pensé qu'à ma mesure, je pouvais faire quelque chose pour redresser la balance, créer un événement artistique qui amène une discussion et qui relie les gens". Les premières éditions jouaient toutefois un peu trop sur un ghetto arty. "
Véronique Ginouvès

8e Festival Awaln'Art Quand l'art descend dans la rue - Leconomiste.com - 0 views

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    "VACANCES et festival font souvent un bon duo. Celui d'Awaln'Art entame sa dernière ligne droite dans une ville remplie de touristes. Et quand la grande parade se promène sur Jemaâ El Fna, c'est forcément un succès. Dans une joyeuse déferlante de bidons, roues géantes et tricycles, la création 2014, menée par des acrobates, a sonné la reprise des derniers jours de fête de ce festival dédié aux rencontres artistiques en places publiques.
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