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IFRI - Le paysage des énergies renouvelables en Europe en 2030 - 0 views

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    Cette étude analyse les règles européennes destinées à promouvoir les énergies renouvelables, en pointant leurs nouveautés et les difficultés qu'elles soulèvent. Elle souligne les conséquences de certaines des mesures envisagées et accorde une attention particulière au marché de l'électricité. La Commission européenne a déposé le 30 novembre 2016 un ensemble de propositions, le « Paquet Energie Propre », touchant un large spectre d'activités. La présente étude analyse les dispositions de ce paquet visant à améliorer l'efficacité énergétique de 30 % et à donner aux énergies renouvelables une part de 27 % de la consommation en 2030. En 2014, les Etats avaient demandé que ces objectifs s'apprécient pour toute l'Union européenne ; néanmoins la Commission souhaite obtenir un mandat pour contrôler que chaque État apporte une contribution honnête à l'effort collectif. L'étude souligne que l'objectif de 30 % retenu pour l'efficacité énergétique affaiblit le rôle dévolu au marché du CO2 ; les simulations révèlent que cette faiblesse bénéficiera au charbon, qui gardera en 2030 une place supérieure à celle qu'il aurait occupée avec un objectif de 27 %, le gaz naturel étant au contraire pénalisé par un faible prix du CO2. Il apparait également qu'en demeurant trop bas, le prix du CO2 dissuadera certains investissements en faveur des énergies renouvelables qui auraient vu le jour naturellement avec à un prix élevé ; il sera donc nécessaire de déployer des politiques publiques coûteuses pour déclencher ces investissements, afin que la part de ces énergies totalise 27 % en 2030. Les simulations montrent aussi que l'objectif relatif aux énergies renouvelables sera atteint en grande partie grâce à une croissance très rapide de l'électricité d'origine éolienne et solaire. Les propositions du 30 novembre 2016 visent donc à favoriser le développement de ces deux filières, en réformant le ma
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AN - Aff. Etrangères - Rapport d'information Dérèglements climatiques et conf... - 0 views

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    Mobiliser la diplomatie climatique pour atténuer les dérèglements climatiques et réduire leur impact sur les conflits 1) Renforcer les efforts diplomatiques entrepris pour faire respecter l'Accord de Paris (COP21), en encourageant des stratégies nationales plus ambitieuses et plus concrètes ; 2) Revoir les objectifs fixés à Paris à la hausse lors des prochaines COP ; 3) Accélérer la transition énergétique de la France et de l'Union européenne pour parvenir aux objectifs de neutralité carbone affichés ; 4) Organiser une nouvelle conférence internationale de recapitalisation du Fonds vert pour le climat à Paris afin de financer des projets d'atténuation et d'adaptation aux dérèglements climatiques dans les pays en voie de développement ; 5) Renforcer le partenariat entre l'Agence française de développement (AFD) et le Fonds vert pour le climat ; 6) Utiliser la COP26 pour redéfinir les financements climat après 2020, augmenter leur montant et les orienter davantage vers les pays en développement les plus vulnérables ; 7) Promouvoir la thématique climat et sécurité au sein de toutes les organisations internationales pertinentes, et notamment au sein des organisations régionales ; 8) Soutenir la mise en œuvre de la feuille de route Changement climatique et défense proposée par le Service européen d'action extérieure (SEAE) ; 9) Organiser des sommets internationaux dédiés à la thématique et des événements parallèles (side events) lors des conférences internationales sur le climat ; 10) Maintenir une diplomatie active sur la thématique au sein du Conseil de sécurité de l'ONU et financer le développement du Mécanisme climat et sécurité ; 11) Promouvoir la thématique « climat et sécurité » au sein de l'OTAN en créant un centre de recherche dédié ; 12) Proposer un cadre juridique plus protecteur pour les déplacés climatiques ; 13) Accroître le soutien financier de la France et de l
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Réseau Action Climat - Pour donner à chacun le pouvoir de vivre : l'urgence d... - 0 views

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    L'ancien ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot et le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, lancent avec 19 ONG et syndicats un pacte pour faire face à l'urgence sociale et environnementale. Opposer l'urgence sociale à l'urgence climatique relève d'un non sens. C'est ce que défendent 19 organisations, dont La Fondation Nicolas Hulot, la Fondation Abbé Pierre, la CFDT, La Cimade, Réseau Action Climat... Ces acteurs de la société civile ont présenté, mardi 5 mars, 66 propositions réunies dans un pacte social et écologique. Ce dernier explore notamment la question de l'accès universel aux droits, la solidarité et la justice sociale, la transition écologique et l'enjeu démocratique, à destination de l'exécutif, des élus, des décideurs et des citoyens. Véritable « projet de société », ce pacte devrait déboucher sur la création d'un « Observatoire » pour mieux évaluer les politiques publiques grâce à des indicateurs sociaux et environnementaux. Concrètement, pour lier social et écologie, les organisations proposent par exemple d'en finir avec le mal logement et les « passoires énergétiques », en finançant leur rénovation et en interdisant leur mise en location. Les 66 propositions ne sont toutefois pas très détaillées. Cet appel à l'alliance du social et de l'écologie a-t-il des chances d'être entendu ?« L'exécutif n'a pas encore répondu à notre première demande de rendez-vous », note Samuel Léré, porte-parole de la Fondation Nicolas Hulot. En pleine période de Grand Débat National, ces acteurs porteront leurs propositions lors de tables rondes et de la Marche pour le Climat. « Nous allons nous réunir prochainement pour voir comment nous pouvons faire vivre concrètement ce pacte, notamment dans les territoires ». Reste à savoir s'il pourra constituer un moyen de pression suffisant. « C'est un projet global. Le gouvernement ne pourra pas choisir parmi les propo
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Cese - Résolution - La valeur de la matière première secondaire : l'exemple d... - 0 views

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    C'est dans le contexte imposé par les pollutions des sols et des océans et l'urgence climatique liées à l'omniprésence de l'usage du plastique issu du pétrole que le projet de loi « anti-gaspillage pour une économie circulaire » a été présenté en juillet en Conseil des ministres, en vue d'une adoption annoncée pour mars 2020. Parmi les principales mesures, le texte réintroduit la consigne avec pour objectif d'améliorer la collecte séparée de produits à des fins de réemploi ou de recyclage. Longtemps pratiquée en France pour les emballages de boissons en verre, la consigne a peu à peu disparu dans les années 1980 avec le développement des emballages à usage unique et la mise en place du tri sélectif. Pourtant, parce qu'elle donne une « valeur » aux emballages, la consigne est un outil de la REP (responsabilité élargie du producteur) qui peut favoriser un changement de comportement chez les consommateurs. Au cœur d'un vif débat entre d'un côté le Sénat, les collectivités et les recycleurs qui s'opposent à la consigne pour recyclage et le gouvernement et les industriels qui la souhaitent, le CESE propose une troisième voie pour encadrer le principe de retour de la matière plastique pour recyclage et prioriser le financement des dispositifs de réemploi (verre). En effet, la seule mise en place de la consigne pour recyclage risque de maintenir le modèle actuel d'utilisation des contenants plastique à usage unique ; c'est pourquoi il s'agit de coupler le cadrage de la consigne pour recyclage et la mise en place systématique de la consigne pour réemploi. Concernant les flux financiers impactant les collectivités et les consommateurs, le CESE recommande la réalisation d'une étude d'impact afin, entre autres, d'estimer les conséquences de la mise en place du retour matière ou de la consigne pour recyclage plastique pour les collectivités, d'estimer et compenser les sommes de la déconsi
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IFOP - Les Français et le développement durable - 0 views

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    Plutôt méfiants à l'égard des actions des différents gouvernements pour agir en faveur du développement durable (confiance notée à 4,5/10) et conscients que les actions efficaces en faveur de la protection de la planète se font avant tout au travers d'initiatives citoyennes (les citoyens sont le premier acteur jugé le plus capable d'agir avec 37% de citations, devant l'Etat ou les entreprises), les Français semblent aujourd'hui prêts à investir cette problématique. En effet, plus de 8 sur 10 d'entre eux se sentent concernés par le développement durable (82%), près d'un quart affirmant être « tout à fait concernés » (24%). Dans les faits, la quasi-totalité d'entre eux réalise déjà certaines actions en sa faveur, en particulier via le tri des déchets (88%) ou encore le fait d'éviter la surconsommation (80%), qui sont de loin les deux actions les plus populaires. Viennent ensuite - et dans une mesure bien moindre - des actions ayant trait à : La consommation - recourir le plus possible à l'achat en vrac (43%) ou consommer uniquement du Made in France (38%) - puis le recours à des énergies vertes (30%) ; Sur les transports, les Français font des efforts pour les déplacements en avion (58%)- probablement car ils demeurent très occasionnels -, mais bien moins pour la voiture (36%). En revanche, l'engagement auprès d'associations luttant en faveur de l'environnement via la participation à des actions terrain (22%) ou le don (16%) ne concerne qu'une faible partie de la population. Si les plus jeunes se montrent plus concernés par le sujet (35% des 18-24 ans se déclarent « très concernés ») que leurs aînés (17% des 65 ans et plus), ils ont pourtant moins tendance à réaliser les gestes durables les plus communs. Ainsi, alors que 92% des plus de 35 ans déclarent pratiquer systématiquement le tri sélectif, ils ne sont que 69% chez les 18-24 ans. Le même phénomène s'observe nota
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Observatoire des territoires - Rapport complet - Les mobilités résidentielles... - 0 views

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    Quels sont les impacts territoriaux des mobilités résidentielles, en France ? Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires analyse ces mouvements et identifie certains enjeux qu'ils soulèvent pour la cohésion sociale et territoriale. Et nouveauté, cette année, le rapport - présenté à la presse, le 22 février, par Pierre Mirabaud, président du conseil d'orientation de l'Observatoire des territoires, et par l'équipe de l'Observatoire - s'accompagne d'un outil interactif de diagnostic territorial et d'une synthèse immersive pour permettre à tous de mieux appréhender les données de l'étude. Les mobilités résidentielles participent d'une lente transformation des territoires français et contribuent, notamment, à accentuer ou à atténuer leur dynamisme démographique. Aux échelles régionales et départementales, les disparités de dynamisme migratoire sont de plus en plus fortes. Au contraire, à l'échelle locale, les écarts se réduisent entre les différents types de territoires (pôles urbains, espaces périurbains ou communes rurales), sous l'effet d'un mouvement de desserrement de la population, mais leur spécialisation sociale s'accroît. Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires dévoile ainsi les différentes facettes des mobilités résidentielles dans notre pays. Une mobilité de proximité et des effets contrastés Le rapport révèle quelques caractéristiques de la mobilité en France. « Une idée reçue voudrait que les Français soient peu mobiles. C'est à la fois vrai et faux : chaque année, un peu plus d'un Français sur dix change de logement, mais ce taux de mobilité est supérieur à la moyenne européenne (11 % contre 9 % par an), expose l'équipe de l'Observatoire. Plus des deux tiers de ceux qui déménagent se réinstallent dans le même département. L'ancrage territorial reste bien le phénomène majoritaire. » Mais, à y regarder de plus près, l'étu
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Observatoire des territoires - Synthèse - Les mobilités résidentielles en Fra... - 0 views

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    Quels sont les impacts territoriaux des mobilités résidentielles, en France ? Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires analyse ces mouvements et identifie certains enjeux qu'ils soulèvent pour la cohésion sociale et territoriale. Et nouveauté, cette année, le rapport - présenté à la presse, le 22 février, par Pierre Mirabaud, président du conseil d'orientation de l'Observatoire des territoires, et par l'équipe de l'Observatoire - s'accompagne d'un outil interactif de diagnostic territorial et d'une synthèse immersive pour permettre à tous de mieux appréhender les données de l'étude. Les mobilités résidentielles participent d'une lente transformation des territoires français et contribuent, notamment, à accentuer ou à atténuer leur dynamisme démographique. Aux échelles régionales et départementales, les disparités de dynamisme migratoire sont de plus en plus fortes. Au contraire, à l'échelle locale, les écarts se réduisent entre les différents types de territoires (pôles urbains, espaces périurbains ou communes rurales), sous l'effet d'un mouvement de desserrement de la population, mais leur spécialisation sociale s'accroît. Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires dévoile ainsi les différentes facettes des mobilités résidentielles dans notre pays. Une mobilité de proximité et des effets contrastés Le rapport révèle quelques caractéristiques de la mobilité en France. « Une idée reçue voudrait que les Français soient peu mobiles. C'est à la fois vrai et faux : chaque année, un peu plus d'un Français sur dix change de logement, mais ce taux de mobilité est supérieur à la moyenne européenne (11 % contre 9 % par an), expose l'équipe de l'Observatoire. Plus des deux tiers de ceux qui déménagent se réinstallent dans le même département. L'ancrage territorial reste bien le phénomène majoritaire. » Mais, à y regarder de plus près, l'étu
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Elabe - Infographie - Les Français et le logement - 0 views

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    Une majorité de Français estime vivre dans un logement qui correspond à ses besoins. Ce constat ressort d'une étude réalisée, début 2018, par le cabinet Elabe pour le compte du Crédit Foncier, auprès d'un échantillon représentatif de la population française, de 2 400 personnes âgées de 18 ans et plus. Quatre personnes interrogées sur cinq répondent que le logement qu'elles occupent correspond totalement (9 %) ou en grande partie (70 %) à leurs besoins ; 85 % d'entre elles considèrent leur habitation comme un cocon et un lieu de vie pour recevoir. Seuls 14 % des Français décrivent un logement purement fonctionnel « un lieu de passage, un toit sous lequel dormir ». La plupart des Français partagent également une définition commune des critères « qui comptent » pour choisir ce logement : ils identifient pas moins de huit exigences (importance attribuée supérieure à 7/10 sur une échelle de 0 à 10), aux premiers rangs desquels la charge mensuelle de logement, le type d'habitation (maison ou appartement), l'état général, la surface totale, le nombre de pièces et l'exposition/la luminosité. Concernant la localisation et l'environnement du logement, ils ajoutent la proximité aux lieux fréquentés (travail pour les actifs, établissements scolaires pour les parents) et le calme. Même si l'on doit nuancer ces chiffres selon les régions et la taille de la commune de résidence, ce sont toujours au minimum les trois quarts des personnes interrogées qui déclarent avoir réussi à trouver un logement répondant à leurs besoins : le niveau d'adéquation du logement est d'autant plus élevé que les prix de l'immobilier sont plus bas, c'est-à-dire dans les communes de moins de 20 000 habitants et en province. On peut noter aussi que les propriétaires sont plus satisfaits que les locataires, et les occupants de maisons davantage que ceux d'appartements. Les Français projettent, lors de leur installation,
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The Shift Projet - Dossier de presse - Mobiliser l'enseignement supérieur pou... - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Résumé - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Rapport - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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Ademe - Synthèse - Etude sur la caractérisation des effets rebonds induits pa... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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Ademe - Rapport final - Etude sur la caractérisation des effets rebonds indui... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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Elabe - Résultats - Les Français et le logement - 0 views

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    Une majorité de Français estime vivre dans un logement qui correspond à ses besoins. Ce constat ressort d'une étude réalisée, début 2018, par le cabinet Elabe pour le compte du Crédit Foncier, auprès d'un échantillon représentatif de la population française, de 2 400 personnes âgées de 18 ans et plus. Quatre personnes interrogées sur cinq répondent que le logement qu'elles occupent correspond totalement (9 %) ou en grande partie (70 %) à leurs besoins ; 85 % d'entre elles considèrent leur habitation comme un cocon et un lieu de vie pour recevoir. Seuls 14 % des Français décrivent un logement purement fonctionnel « un lieu de passage, un toit sous lequel dormir ». La plupart des Français partagent également une définition commune des critères « qui comptent » pour choisir ce logement : ils identifient pas moins de huit exigences (importance attribuée supérieure à 7/10 sur une échelle de 0 à 10), aux premiers rangs desquels la charge mensuelle de logement, le type d'habitation (maison ou appartement), l'état général, la surface totale, le nombre de pièces et l'exposition/la luminosité. Concernant la localisation et l'environnement du logement, ils ajoutent la proximité aux lieux fréquentés (travail pour les actifs, établissements scolaires pour les parents) et le calme. Même si l'on doit nuancer ces chiffres selon les régions et la taille de la commune de résidence, ce sont toujours au minimum les trois quarts des personnes interrogées qui déclarent avoir réussi à trouver un logement répondant à leurs besoins : le niveau d'adéquation du logement est d'autant plus élevé que les prix de l'immobilier sont plus bas, c'est-à-dire dans les communes de moins de 20 000 habitants et en province. On peut noter aussi que les propriétaires sont plus satisfaits que les locataires, et les occupants de maisons davantage que ceux d'appartements. Les Français projettent, lors de leur installation,
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CESE - Rapport complet - Se donner un nouveau cap : Rapport annuel sur l'état... - 0 views

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    En décembre 2019, une centaine d'habitant de la province chinoise du Hubei développe les symptômes d'un virus inconnu. À la stupeur générale, les premiers cas de ce qui deviendra la crise du « Covid-19 » se transforment en quelques semaines en une crise sanitaire d'échelle planétaire. Les mesures de confinement et de quarantaine se succèderont, entrainant une crise économique mondiale sans précédent. Dans ce contexte inédit, le rapport annuel sur l'état de la France 2020 devait se démarquer des éditions précédentes : les indicateurs de richesse complémentaires au PIB, utilisés habituellement pour analyser la société française, ne permettaient pas de saisir toutes les dimensions de cette crise. C'est donc un rapport au format nouveau qui est présenté ici : le regard de la société civile organisée sur cette crise, à travers les contributions de onze formations de travail et de six CESER. Il est important de rappeler que la propagation de ce virus en France est intervenue dans un contexte particulier. Comme le CESE l'avait souligné à de nombreuses reprises, le pays pâtissait de fragilités structurelles liées à notre système de santé, mais aussi de fragilités sociales, économiques, financières ou institutionnelles et affrontait des mouvements de contestation de plus en plus nombreux en raison d'une montée persistante des inégalités. La crise est venue jeter une lumière crue sur toutes ces faiblesses. Elle les a amplifiées. Le rapport du CESE a pour objectif de souligner les interrogations auxquelles cette pandémie a confronté notre société et les défis à surmonter pour sortir de la crise. Les préconisations contenues dans ce rapport annuel du CESE se veulent concrètes, articulées autour d'un projet collectif ambitieux, afin que la relance soit plus efficace, qu'elle favorise un projet de développement durable et solidaire, que la France soit mieux préparée pour affronter les prochaines crises
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CESE - Synthèse - Se donner un nouveau cap : Rapport annuel sur l'état de la ... - 0 views

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    En décembre 2019, une centaine d'habitant de la province chinoise du Hubei développe les symptômes d'un virus inconnu. À la stupeur générale, les premiers cas de ce qui deviendra la crise du « Covid-19 » se transforment en quelques semaines en une crise sanitaire d'échelle planétaire. Les mesures de confinement et de quarantaine se succèderont, entrainant une crise économique mondiale sans précédent. Dans ce contexte inédit, le rapport annuel sur l'état de la France 2020 devait se démarquer des éditions précédentes : les indicateurs de richesse complémentaires au PIB, utilisés habituellement pour analyser la société française, ne permettaient pas de saisir toutes les dimensions de cette crise. C'est donc un rapport au format nouveau qui est présenté ici : le regard de la société civile organisée sur cette crise, à travers les contributions de onze formations de travail et de six CESER. Il est important de rappeler que la propagation de ce virus en France est intervenue dans un contexte particulier. Comme le CESE l'avait souligné à de nombreuses reprises, le pays pâtissait de fragilités structurelles liées à notre système de santé, mais aussi de fragilités sociales, économiques, financières ou institutionnelles et affrontait des mouvements de contestation de plus en plus nombreux en raison d'une montée persistante des inégalités. La crise est venue jeter une lumière crue sur toutes ces faiblesses. Elle les a amplifiées. Le rapport du CESE a pour objectif de souligner les interrogations auxquelles cette pandémie a confronté notre société et les défis à surmonter pour sortir de la crise. Les préconisations contenues dans ce rapport annuel du CESE se veulent concrètes, articulées autour d'un projet collectif ambitieux, afin que la relance soit plus efficace, qu'elle favorise un projet de développement durable et solidaire, que la France soit mieux préparée pour affronter les prochaines crises, qu'elles soi
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Elabe - Les Français et leur logement - 0 views

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    Une majorité de Français estime vivre dans un logement qui correspond à ses besoins. Ce constat ressort d'une étude réalisée, début 2018, par le cabinet Elabe pour le compte du Crédit Foncier, auprès d'un échantillon de 2 408 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Quatre personnes interrogées sur cinq répondent que le logement qu'elles occupent correspond totalement (9 %) ou en grande partie (70 %) à leurs besoins ; 85 % d'entre elles considèrent leur habitation comme un cocon et un lieu de vie pour recevoir. Seuls 14 % des Français décrivent un logement purement fonctionnel "un lieu de passage, un toit sous lequel dormir". La plupart des Français partagent également une définition commune des critères "qui comptent" pour choisir ce logement : ils identifient pas moins de huit exigences (importance attribuée supérieure à 7/10 sur une échelle de 0 à 10), aux premiers rangs desquels la charge mensuelle de logement, le type d'habitation (maison ou appartement), l'état général, la surface totale, le nombre de pièces et l'exposition/la luminosité. Concernant la localisation et l'environnement du logement, ils ajoutent la proximité aux lieux fréquentés (travail pour les actifs, établissements scolaires pour les parents) et le calme. Même si l'on doit nuancer ces chiffres selon les régions et la taille de la commune de résidence, ce sont toujours au minimum les trois quarts des personnes interrogées qui déclarent avoir réussi à trouver un logement répondant à leurs besoins : le niveau d'adéquation du logement est d'autant plus élevé que les prix de l'immobilier sont bas, c'est-à-dire dans les communes de moins de 20 000 habitants et en province. On peut noter aussi que les propriétaires sont plus satisfaits que les locataires, et les occupants de maisons davantage que ceux d'appartements. Les Français projettent, lors de leur installation, d'y
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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