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Group items matching
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Miguel Membrado

Hal Varian on how the Web challenges managers - The McKinsey Quarterly - Hal Varian web challenge managers - Strategy - Innovation - 0 views

  • Google’s chief economist says executives in wired organizations need a sharper understanding of how technology empowers innovation.
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    Google's chief economist says executives in wired organizations need a sharper understanding of how technology empowers innovation.
Koppany Varga

a good sentence about bill gates - 0 views

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    Bill Gates The digital demagogue earned billions by anticipating the market's needs. Now, his philanthropic foundation is helping others across the globe.
Christophe Deschamps

Businesses Can't Hide From 2.0: A Look At 2.0's Impact Across Industries - 0 views

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    Nombreux outils ou suite d'outils 2.0 pour l'entreprise
Yan Thoinet

Le microblogging au service de la communication des entreprises (E-business et TIC dans l'entreprise, Focus d'actualité) - 0 views

  • Le microblogging au service de la communication des entreprises
  • phénomène de communications instantanée
  • Toutefois, la force principale de ces services ne réside pas uniquement dans cette très large accessibilité, mais bien dans leur capacité à construire autour d'eux, grâce à des interfaces de programmation ouvertes (API), un puissant écosystème qui renforce encore leur attractivité en les plaçant au centre des interactions des internautes.
  • ...4 more annotations...
  • permet de tenir informés de son activité, les différents membres de son réseau grâce à une fonction d'envoi de messages courts de 140 caractères au maximum
  • nécessaire concision des messages qui favorise une communication plus spontanée
  • renouveler leur communication (présence dans les foires et salons, état et qualité de la production, traçabilité des articles et gestion des retours, etc.).
  • intgrer le microblogging comme outil de relation-client
Yan Thoinet

Mes prévisions pour 2.0 08 | Bloc Note de Bertrand DUPERRIN - 0 views

  • au départ des projets localisés, sans grans bénéfices mais faciles à mettre en place, pour en arriver à la redéfinition du périmètre business, qui offre d’immenses bénéfices pour une transformation de grande ampleur.
  • une affaire de productivité et de coûts…)
Yan Thoinet

France Angels et Microsoft lancent un réseau thématique - Journal du Net > Solutions - 0 views

  • France Angels, Association française pour la promotion de l'investissement par les Business Angels, et Microsoft France annoncent le lancement d'un nouveau réseau thématique dédié aux secteurs du logiciel.
Yan Thoinet

http://www.earlystageinvestors.org - .:: Easy ::. Early Stage Investors - France Angels announces new initiative with Microsoft France - 0 views

  • On 22nd October France Angels and Microsoft France launched a new national network of business angels dedicated to software and internet entrepreneurial opportunities.
Yan Thoinet

Blinkx Player: Attensa: Managed RSS for Enterprise 2.0 - 0 views

shared by Yan Thoinet on 26 Feb 08 - Cached
  • Attensa: Managed RSS for Enterprise 2.0Scott Niesen of Attensa explains how a managed enterprise RSS environment based around and RSS server and RSS feed readers can channel critical business information to the right people at the right time. For more information go to http://www.atten...
Willis Wee

NEW Google Ad Exchange May Change How Display Ads Work [Video] | Penn Olson - 0 views

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    Google is launching a DoubleClick Ad Exchange, which aims to grow the display advertising pie for everyone. That means Google, advertisers and publishers alike! The concept is simple. The new Ad Exchange is a real-time marketplace that helps large online publishers and advertisers buy and sell display advertising space.
Eric Salviac

Gartner Identifies New Approach for Enterprise Architecture - 0 views

  • Gartner has identified seven properties that differentiate emergent architecture from the traditional approach to EA: 1. Non-deterministic - In the past, enterprise architects applied centralised decision-making to design outcomes. Using emergent architecture, they instead must decentralise decision-making to enable innovation. 2. Autonomous actors - Enterprise architects can no longer control all aspects of architecture as they once did. They must now recognise the broader business ecosystem and devolve control to constituents. 3. Rule-bound actors - Where in the past enterprise architects provided detailed design specifications for all aspects of the EA, they must now define a minimal set of rules and enable choice. 4. Goal-oriented actors - Previously, the only goals that mattered were the corporate goals but this has now shifted to each constituent acting in their own best interests. 5. Local Influences: Actors are influenced by local interactions and limited information. Feedback within their sphere of communication alters the behaviour of individuals. No individual actor has data about all of an emergent system. EA must increasingly coordinate. 6. Dynamic or Adaptive Systems: The system (the individual actors as well as the environment) changes over time. EA must design emergent systems sense and respond to changes in their environment. 7. Resource-Constrained Environment: An environment of abundance does not enable emergence; rather, the scarcity of resources drives emergence.
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    Enterprise architects must adopt a new style of enterprise architecture (EA) to respond to the growing variety and complexity in markets, economies, nations, networks and companies, according to Gartner, Inc. Analysts advised companies to adopt 'emergent architecture', also known as middle-out EA and light EA, and set out definitions of the new approach.
Christophe Deschamps

Management guru offers solutions to combat worker disengagement - 0 views

  • Ehin developed his new leadership model which he calls "unmanagement" after analyzing research on human nature which shows that human productivity is at its peak in informal, co-evolving relationships, as opposed to within formal systems where people are stifled by bureaucracy and not allowed to work openly with their counterparts and peers.
  • He has discovered that this sweet spot is the place where the most productive and innovative work of an organization takes place, largely because people tend to want to follow their self-interests and do so through developing informal social networks in the workplace.
  • This cutting edge management book offers guidance to business leaders searching for ways to increase the innovative dynamics, motivation and performance of their knowledge workers.
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    Théorie du non-management pour rendre productif l'informel. Semble particulièrement en phase avec l'entreprise 2.0.
Christophe Deschamps

Socialiser son entreprise ? Qu'est ce que ce cela veut dire - 0 views

  • Dites “on va lancer une démarche KM” ne présage en rien de sa réussite mais permet à n’importe qui dans l’entreprise de comprendre de quoi on parle. Dites donc “la solution est une démarche entreprise 2.0″ et voyez l’air dubitatif de 95% des collaborateurs et vous comprendrez que vous n’êtes pas sorti de l’auberge.
  • Toute le monde a besoin de comprendre “pourquoi, quoi, comment ?”. C’est la condition préalable à l’appropriation indispensable qui est une condition de réussite. Et cette appropriation nécessite donc non d’amener l’interlocuteur sur un terrain inconnu donc considéré comme hostile, mais de partir d’un terrain connu et d’en repousser les frontières. Le tout en ayant du sens par rapport à leur quotidien, à ce qui constitue leur paradigme actuel.
  • la nécessité d’impliquer le client dans un grand nombre de processus qui, auparavant, étaient exclusivement internes, est aujourd’hui évidente. Et l’impact sur le cœur du business l’est tout autant. Cela répond à la question “pourquoi faire autrement ce que je fais aujourd’hui très bien en isolant et cloisonnant”
  • ...7 more annotations...
  • La question n’est pas de mettre du “social” partout et n’importe où mais d’en mettre là où cela contribue à faire mieux.
  • La socialisation permet donc ici d’identifier, mobiliser et faire intéragir de manière plus ou moins provisoire des personnes extérieures à l’équipe “formelle”. Voire de favoriser les intéractions au sein de cette équipe et favoriser la formalisation des expériences “au fil de l’eau”.
  • L’objectif est clair : rendre possible l’exécution d’un process, d’une succession de tâches, en minimisant les retards liés aux circonstances imprévues et en l’améliorant au vu des “correctifs” effectués.
  • ci on crée des intéractions en fonction de besoins réels, de problèmes quotidiens sans essayer de donner corps à d’hypothétiques communautés qu’on aimerait voir échanger dans le vide.
  • un process de résolution de problème et d’amélioration permanent. Une logique qui s’outille avec des wikis, blogs, profils riches, outils de microblogging, réseaux sociaux… mais dont la logique est compréhensible de tous.
  • Bien sur tout ne se socialise pas, d’une part, et selon des périmètres restreints, d’autre part. Parfois ce sera au sein d’une équipe, parfois au niveau de l’entreprise, parfois avec des clients, et d’autres avec le grand public.
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    L'objectif ici n'est pas de disserter sur une quelconque approche du management mais de positionner l'entreprise 2.0 par rapport à l'entreprise "réelle".
Pierre Varinard

L'entreprise 2.0 face au défi de la crise économique - 0 views

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    Débat de très bonne qualité sur nombre d'aspects de l'Entreprise 2.0
Elise Carbone

Determining the ROI of Enterprise 2.0 - 0 views

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    Un récent article qui se penche sur le ROI de l'entreprise 2.0.
Christophe Deschamps

Obtenir des résultats grâce aux réseaux sociaux - 0 views

  • Il est donc plus que jamais temps de comprendre que : • Business (or corporate) Social Netwoks have nothing to do with General Public  Social Networks on the web.
  • • Le réseau social n’est pas né avec les logiciels du même nom qui ne sont que des catalyseurs. C’est la manière dont travaillent effectivement les collaborateurs depuis longtemps. Votre entreprise est truffée de réseaux sociaux quand bien même aucun collaborateur n’aurait d’ordinateur à sa disposition.
  • • Le réseau social n’est pas quelque chose de figé et stable que l’on “met en place”, c’est quelque chose de mouvant, de vivant, dont l’activité interne n’est pas prévisible.
  • ...4 more annotations...
  • • Le réseau social n’est pas un enchevêtrement de personnes qui se “lient” et échangent (ou non) de l’information. C’est une manière de travailler afin d’obtenir des résultats. On parle trop de Facebook alors que le concept même de réseau social en entreprise n’a rien à voir, a des règles et des objectifs qui lui sont propres
  • En effet ça n’est pas parce que ces réseaux sont pas définition informels que l’entreprise doit les négliger, ou pire, les combattre. Il y a des méthodologies permettant de comprendre le fonctionnement des réseaux internes à l’entreprise, d’en identifier les acteurs clé, d’identifier les circuits de création de valeur afin de pouvoir en tirer le meilleur. Et essayer de les développer là où ils sont nécessaires.
  • la contribution d’un individu à la création de valeur n’est pas forcément liée à son poste mais peut résulter de son rôle central dans un réseau ou entre deux réseaux.
  • Je suis d’ailleurs surpris du nombre d’entreprises qui se lancent dans des projets de réseaux sociaux sans avoir pris la peine de comprendre leur rôle actuel dans leur organisation et essayent de développer des réseaux en partant de rien et en recopiant leur organigramme tout en négligeant totalement de procéder à une analyse de l’existant.
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    Compte-rendu de l'ouvrage Driving Results Through Social Networks de Robert Cross.
Christophe Deschamps

Enterprise 2.0 Vs Diffusion of Innovation - 3 views

  • Relative advantage : what value does it bring ? Compatibility : how much effort to transition to this innovation ? Complexity : how much learning is required to apply it ? Triability : How easy is it to try the innovation ? Observability : How visible are the results ?
  • None of these intangible assets (human, organizational and informational capital – i.e databases, Information systems, networks, technology infrastructure) has value that can be measured separately or independently.
  • Mc Afee still recommend to build some kind of business case with the following elements
  • ...10 more annotations...
  • Costs and time lines
  • Expected benefits
  • Technology footprint
  • People make relative evaluations Reference point is status quo People are loss-adverse : a prospective loss of X is 3 times more painful that a gain of X is pleasurable.
  • These elements lead to the fact that we value what we have far more highly that what we could have instead. The result is what Gourville calls the 9x effect : people rate what they have 3 times more than their actual value and prospective items three times less than what they’re actually worth. A new item must therefore be at least 9 times better to justify the (perceived) effort required for the adoption.
  • As a result, McAfee quotes Gourville and recommends not to oversell the collaborative platform and make it clear that the adoption will be a long phase.
  • The objectives is to help them realize that these tools are the root cause of many of their daily work frustrations
  • So a 30 days trial might not be enough to see the full benefits of such solutions. However it can still proves how easy it is to use them.
  • A good strategy to make the results visible is to locate some teams of social networks enthusiasts (IT or HR departments might be a first good guess). And start to deploy the solution on such narrow teams.
  • In a transparency and observability purpose, it might be a good idea to monitor the knowledge workers perceived value of their tools and measure the progress. Preparing a questionnaire with a set of questions around the subject of collaboration, innovation, productivity and knowledge management could be a good starting point.
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    Revue du livre de McAfee par @ceciil
Christophe Deschamps

Management.fr Vs 21ième siècle : le coût de la hiérarchie et du contrôle - 2 views

  • Right now, your company has 21st-century Internet-enabled business processes, mid-20th-century management processes, all built atop 19th-century management principles. (Gary Hamel – The Future Of Management)
  • Cette étude visait à démontrer que la culture d’entreprise ne pouvait pas être la même dans toutes les filiales car elle ne faisait nullement disparaître la culture nationale ; dans le meilleur des cas, elle se juxtaposait à elle.
  • Dans le cadre de cette étude, Hofstede mesure les distances hiérarchiques des différentes filiales. Pour un indice médian de 57, il mesure des distances hiérarchiques faibles dans les pays scandinaves (moins de 31) et anglo-saxons (moins de 40) et élevé en France (68).
  • ...5 more annotations...
  • Dans cette même étude, Hofstede mesure le contrôle d’incertitude.Le contrôle faible suppose davantage d’acceptation des situations comme ambiguës, réversibles dans leurs malheurs et leurs bonheurs. Les personnes sont acceptées comme pouvant changer d’humeur et de décision. Le contrôle fort veut s’appuyer sur des bases assurées qui peuvent aller de précautions concrètes à des précautions juridiques voire religieuses. Le contrôle fort est très en rapport avec le développement de la culture scientifique et techniqueEncore une fois, la France se classe en haut du tableau avec un contrôle fort de l’incertitude (un score de 86) tandis que les pays anglo-saxons ou nordiques affichent des résultats faibles attestant d’un contrôle faible de l’incertitude.
  • la primauté de la hiérarchie va à l’encontre des valeurs ayant emergé de la culture collaborative internet
  • Depuis au moins dix ans, la France est en retard sur les principaux pays de l’OCDE en matière de développement du télétravail (notamment dans l’administration), quelles que soient les sources ou les approches statistiques. Dans les pays scandinaves et anglo-saxons notamment, il concerne deux à trois fois plus de salariés.
  • ce détail a un coût. Cisco a ainsi publié un rapport intitulé the The Economics of Collaboration, et dans lequel l’entreprise explique comment en mettant en oeuvre des outils collaboratifs et en facilitant la mobilité des employés avec entre autres une démocratisation du télétravail, celle-ci a obtenu des résultats étonnants : Cisco IBSG analysis shows that Cisco realized net benefits of $691 million/year through its Web 2.0 and visual collaboration investments in FY08. (…) These benefits represent a 4.9 percent productivity increase for Cisco. We believe this is just the beginning of the value creation we will see around the new collaborative web.
  • These solutions achieve their remarkable benefits by removing the costs and inefficiencies with which our employees have been struggling. Eliminating these inefficiencies not only brings financial benefits to the company; it also increases employees’ work/life balance, reduces stress and fatigue from extensive travel, and increases job satisfaction.
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    Analyse d'études sur le contrôle et la hiérarchie dans les entreprises. Le modèle français est-il encore adapté?
Christophe Deschamps

Transformer les conversations en 'business - 1 views

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    Interview de Carlos Diaz, PDG de BlueKiwi Software
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