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Yan Thoinet

Le microblogging au service de la communication des entreprises (E-business e... - 0 views

  • Le microblogging au service de la communication des entreprises
  • phénomène de communications instantanée
  • Toutefois, la force principale de ces services ne réside pas uniquement dans cette très large accessibilité, mais bien dans leur capacité à construire autour d'eux, grâce à des interfaces de programmation ouvertes (API), un puissant écosystème qui renforce encore leur attractivité en les plaçant au centre des interactions des internautes.
  • ...4 more annotations...
  • permet de tenir informés de son activité, les différents membres de son réseau grâce à une fonction d'envoi de messages courts de 140 caractères au maximum
  • nécessaire concision des messages qui favorise une communication plus spontanée
  • renouveler leur communication (présence dans les foires et salons, état et qualité de la production, traçabilité des articles et gestion des retours, etc.).
  • intgrer le microblogging comme outil de relation-client
Christophe Deschamps

Why The Big Fuss Over Microblogs? | The View from Forrester Research | ZDNet.com - 0 views

  • I believe two factors are at play: Mobility makes us omnipresent, but short on time. Microblogging appeals to those who use mobile devices. It provides a channel that honors our thumbs and encourages us to say just a few words. And we can connect to the intranet from anywhere. For some, this is true power. The list of people I “follow” may be interesting to you. Although Web 2.0 tools present information, their use becomes increasingly more interesting when we look at the network of people who generate and care about the information. In the case of the microblog: my “follow -list” may be more interesting to you than my micro-posts.
Christophe Deschamps

Portals and KM: Forrester on Enterprise 2.0 for KM Professionals - 1 views

  • Some of these tools can be cloud based but they also need to be business based.
  • They picked the same 11 technologies studied in the vendor report: blogs, forums, mashups, microblogs, podcasts, prediction markets, RSS, social bookmarks, social networks, widgets, and wikis
  • But microblogging will only become valuable to the enterprise once it truly integrates with other enterprise processes and applications, and only after a whole set of additional tools are added to help filter content and refine the value of aggregated information.
    • Christophe Deschamps
       
      Est-ce vraiment la solution? Est-ce que l'intérêt du micro-blogging n'est pas justement dans le fait de plugger ces solutions sur l'existant et d'attendre... Micro-blogging as usual.
  • ...2 more annotations...
  • On the other hand, in talking with a few implementers, they have not yet seen the big wave of demand for enterprise 2.0 tools.
  • I think the preconditions for making microblogging useful will appear sooner than later
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    Bill Ives revient sur un rapport de Forrester consacré aux technologies du web social pour l'entreprise qui s'adresse aux responsables KM et souligne les opportunités qu'ils peuvent en tirer.
Eric Delcroix

Le temps réel n'exclut pas le contenu - 0 views

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    Les Twitter et autres outils de diffusion en temps réel remettent en cause des outils plus traditionnels. Ainsi il se dit que le microblogging va remplacer le blogging, même si pour le contenu c'es...
Ray Dacteur

Deploying microblogging in organisations » Step Two Designs, Catherine Grenfell - 1 views

  • Microblogging is a quick informal channel people can subscribe to with a low time commitment
  • Create opportunities for staff to connect
Christophe Deschamps

Ce qui manque aux médias sociaux ? L'intelligence - 4 views

  • La valeur de ces outils dans l’entreprise repose sur l’intelligence, et ce à double titre :- l’intelligence que les utilisateurs y déposent- l’intelligence dont ils font preuve pour s’y retrouver
  • Aujourd’hui les utilisateurs les plus actifs en entreprise sont ceux qui satisfont le second critère, que ce soit par habitude personnelle ou capacité à apprendre vite. Ce qui pose deux problèmes :- la valeur résultant d’un certain niveau critique d’utilisation, il faut aller au delà de ce premier groupe de personnes et rendre les choses simples pour n’importe qui dans l’entreprise.- tout étant question de temps, il est logique qu’au niveau de l’entreprise on soit soucieux de voir les collaborateurs utiliser leur temps pour partager de l’intelligence et l’utiliser dans le cadre de leur travail que la trier pour se la rendre utilisable.
  • il serait bon de ne pas seulement se fier à l’intelligence des utilisateurs mais également essayer d’incorporer une forme d’intelligence dans le produit. Autrement dit, après avoir exploré la manière de mettre les logiques de social media au service de la Business Intelligence, essayons de mettre la BI au service de ces outils.
  • ...5 more annotations...
  • il importe donc de réunir l’ensemble de ces signaux en un endroit unique où ils pourront être traités sans que le collaborateur ne se disperse, ce qui rend encore plus indispensable de rendre cet endroit unique intelligent. Cela peut se faire de deux manières :- en laissant l’utilisateur “dire” à l’outil ce qui est le plus important pour lui- en rendant l’outil capable de comprendre les priorités de chacun en apprenant de leurs usages, ce qui est un pur travail de BI.
  • on ne s’attend pas une seconde à ce qu’un outil métier anticipe un besoin et vienne se mêler à une conversation. C’est pourtant quelque chose de souhaitable qui finira bien par arriver.
  • . Plus on rendra le système intelligent plus le collaborateur pourra se consacrer à des tâches où sa valeur ajoutée est unique, où il est irremplaçable. L’outil métier, avant d’intéragir avec l’utilisateur doit en effet être capable d’apprendre de lui.
  • Une dernière raison à cette évolution inéluctable : lorsqu’on regarde le marché des logiciels “sociaux” d’entreprise on ne peut que constater deux choses :- leur valeur réside dans l’intelligence des collaborateurs- en termes de produit n’importe qui peut, avec quelques moyens, développer une application comprenant blogs, wikis, boomarks, microblog, espaces communautaires et activity stream. La preuve : de nouvelles plateformes voient le jour chaque semaine et la plupart se ressemblent trait pour trait.
  • Pour exister durablement sur ce marché, un éditeur devra apporter une valeur ajoutée propre, interne au produit. On va donc passer d’outils “qui ne font rien” et tirent leur valeur de ce que font les utilisateurs à des outils qui “font” et apportent une valeur ajoutée à l’utilisateur.
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    Bertrand Duperrin pour l'intégration d'algos apprenants et de BI dans les plateformes sociales, au service de l'utilisateur final. Comment être contre?
Christophe Deschamps

Communote - professionell microblogging - 0 views

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    Encore un
Miguel Membrado

The AppGap » » Yammer, Twitter plus the corporate directory: News, views, and... - 0 views

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    Yammer: Twitter for the enterprise... Take a look. SaaS model.
Christophe Deschamps

How companies are benefiting from web 2.0: McKinsey Global Survey Results - 0 views

  • 69 percent of respondents report that their companies have gained measurable business benefits, including more innovative products and services, more effective marketing, better access to knowledge, lower cost of doing business, and higher revenues. Companies that made greater use of the technologies, the results show, report even greater benefits.
  • We found that successful companies not only tightly integrate Web 2.0 technologies with the work flows of their employees but also create a “networked company,” linking themselves with customers and suppliers through the use of Web 2.0 tools. Despite the current recession, respondents overwhelmingly say that they will continue to invest in Web 2.0.
  • When we asked respondents about the business benefits their companies have gained as a result of using Web 2.0 technologies, they most often report greater ability to share ideas; improved access to knowledge experts; and reduced costs of communications, travel, and operations. Many respondents also say Web 2.0 tools have decreased the time to market for products and have had the effect of improving employee satisfaction.
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  • Respondents also say they have been able to burnish their innovation skills, perhaps because their companies and customers jointly shape and cocreate products using Web 2.0 connections.
  • The median level of gains derived from internal Web 2.0 use ranged from a 10 percent improvement in operational costs to a 30 percent increase in the speed at which employees are able to tap outside experts.
  • Web 2.0 delivers benefits by multiplying the opportunities for collaboration and by allowing knowledge to spread more effectively. These benefits can accrue through companies’ use of automatic information feeds such as RSS2 or microblogs, of which Twitter is the most popular manifestation. Although many companies use a mix of tools, the survey shows that among all respondents deriving benefits, the more heavily used technologies are blogs, wikis, and podcasts—the same tools that are popular among consumers
  • Similarly, among those capturing benefits in their dealings with suppliers and partners, the tools of choice again are blogs, social networks, and video sharing. While respondents tell us that tapping expert knowledge from outside is their top priority, few report deploying prediction markets to harvest collective insights from these external networks.
  • Comparing respondents’ industries, those at high-technology companies are most likely to report measurable benefits from Web 2.0 across the board, followed by those at companies offering business, legal, and professional services
  • These survey results indicate that a different type of company may be emerging—one that makes intensive use of interactive technologies. This networked organization is characterized both by the internal integration of Web tools among employees, as well as use of the technologies to strengthen company ties with external stakeholders—customers and business partners.
  • As such, companies reporting business benefits also report high levels of Web 2.0 integration into employee workflows. They most often deploy three or more Web tools, and usage is high throughout these organizations
  • Respondents reporting measurable benefits say their companies, on average, have Web 2.0 interactions with 35 percent of their customers. These companies forged similar Web ties to 48 percent of their suppliers, partners, and outside experts. An organizational structure that’s more porous and networked may make companies more resilient and adaptive, sharpening their ability to access knowledge and thus innovate more effectively.
  • The survey results confirm that successful adoption requires that the use of these tools be integrated into the flow of users’ work (Exhibit 5). Furthermore, encouraging continuing use requires approaches other than the traditional financial or performance incentives deployed as motivational tools.
  • They also say role modeling—active Web use by executives—has been important for encouraging adoption internally.
    • Christophe Deschamps
       
      Cf le président de Cisco
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    L'entreprise 2.0 n'est pas qu'un concept et cette étude menée sur 1700 dirigeants le prouve.
Christophe Deschamps

Socialiser son entreprise ? Qu'est ce que ce cela veut dire - 0 views

  • Dites “on va lancer une démarche KM” ne présage en rien de sa réussite mais permet à n’importe qui dans l’entreprise de comprendre de quoi on parle. Dites donc “la solution est une démarche entreprise 2.0″ et voyez l’air dubitatif de 95% des collaborateurs et vous comprendrez que vous n’êtes pas sorti de l’auberge.
  • Toute le monde a besoin de comprendre “pourquoi, quoi, comment ?”. C’est la condition préalable à l’appropriation indispensable qui est une condition de réussite. Et cette appropriation nécessite donc non d’amener l’interlocuteur sur un terrain inconnu donc considéré comme hostile, mais de partir d’un terrain connu et d’en repousser les frontières. Le tout en ayant du sens par rapport à leur quotidien, à ce qui constitue leur paradigme actuel.
  • la nécessité d’impliquer le client dans un grand nombre de processus qui, auparavant, étaient exclusivement internes, est aujourd’hui évidente. Et l’impact sur le cœur du business l’est tout autant. Cela répond à la question “pourquoi faire autrement ce que je fais aujourd’hui très bien en isolant et cloisonnant”
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  • La question n’est pas de mettre du “social” partout et n’importe où mais d’en mettre là où cela contribue à faire mieux.
  • La socialisation permet donc ici d’identifier, mobiliser et faire intéragir de manière plus ou moins provisoire des personnes extérieures à l’équipe “formelle”. Voire de favoriser les intéractions au sein de cette équipe et favoriser la formalisation des expériences “au fil de l’eau”.
  • L’objectif est clair : rendre possible l’exécution d’un process, d’une succession de tâches, en minimisant les retards liés aux circonstances imprévues et en l’améliorant au vu des “correctifs” effectués.
  • ci on crée des intéractions en fonction de besoins réels, de problèmes quotidiens sans essayer de donner corps à d’hypothétiques communautés qu’on aimerait voir échanger dans le vide.
  • un process de résolution de problème et d’amélioration permanent. Une logique qui s’outille avec des wikis, blogs, profils riches, outils de microblogging, réseaux sociaux… mais dont la logique est compréhensible de tous.
  • Bien sur tout ne se socialise pas, d’une part, et selon des périmètres restreints, d’autre part. Parfois ce sera au sein d’une équipe, parfois au niveau de l’entreprise, parfois avec des clients, et d’autres avec le grand public.
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    L'objectif ici n'est pas de disserter sur une quelconque approche du management mais de positionner l'entreprise 2.0 par rapport à l'entreprise "réelle".
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