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Christophe Deschamps

La fin du management - 2 views

  • le livre de Clayton Christensen, le dilemme de l’innovateur, qui montre comment les entreprises leaders ont bien souvent raté les changements qui ont eu lieu dans leur propre secteur industriel, non pas du fait d’une mauvaise gestion, mais parce qu’ils ont suivi les préceptes de “la bonne gestion”. “Ils ont écouté attentivement leurs clients. Ils ont soigneusement étudié les tendances du marché. Ils se sont réparti le capital autour d’innovations qui promettait le plus grand rendement. Et dans le processus, ils ont manqué les innovations perturbatrices qui se sont ouvertes à de nouveaux clients et à des marchés de faible marge, avant de devenir des produits à succès.”
  • Le consultant Gary Hamel est un ardent défenseur de la nécessité de repenser le management via des laboratoires en ligne, permettant d’élaborer de nouvelles formes de collaboration de masse pour traiter les problèmes actuels du management. “Le nouveau modèle devra être davantage comme le marché, et moins comme les sociétés du passé. Il devra être flexible, agile, capable de s’adapter rapidement aux évolutions du marché, et impitoyable à réaffecter des ressources à de nouvelles opportunités.”
  • Les grandes entreprises étudiées par Clayton Christensen ont échoué, non pas nécessairement parce qu’elles ne voyaient pas les innovations à venir, mais parce qu’elles n’ont pas suffisamment investi dans les innovations. Pour éviter ce problème, les gens qui contrôlent les grands pools de capitaux doivent davantage investir comme des sociétés de capital-risque, et moins comme un ministère des finances de l’entreprise. Ils ont besoin de faire beaucoup de paris.”
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  • Or, “le nouveau modèle devra inculquer aux travailleurs la créativité et l’esprit innovant qu’on trouve le plus souvent chez les entrepreneurs. Il faut donner le pouvoir et la prise de décision à l’organisation autant que possible, plutôt que de la laisser concentrée au sommet. Les structures traditionnelles bureaucratiques devraient être remplacées par quelque chose comme des équipes de pairs ad hoc, qui se réunissent pour aborder des projets individuels, avant de se dissoudre”, à la manière de la société de logiciels SAS qui investit massivement dans la recherche et développement et offre des avantages sociaux généreux à ses employés.
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    InternetActu
Miguel Membrado

Hal Varian on how the Web challenges managers - The McKinsey Quarterly - Hal Varian web... - 0 views

  • Google’s chief economist says executives in wired organizations need a sharper understanding of how technology empowers innovation.
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    Google's chief economist says executives in wired organizations need a sharper understanding of how technology empowers innovation.
Christophe Deschamps

Enterprise 2.0 Vs Diffusion of Innovation - 3 views

  • Relative advantage : what value does it bring ? Compatibility : how much effort to transition to this innovation ? Complexity : how much learning is required to apply it ? Triability : How easy is it to try the innovation ? Observability : How visible are the results ?
  • None of these intangible assets (human, organizational and informational capital – i.e databases, Information systems, networks, technology infrastructure) has value that can be measured separately or independently.
  • Mc Afee still recommend to build some kind of business case with the following elements
  • ...10 more annotations...
  • Costs and time lines
  • Expected benefits
  • Technology footprint
  • People make relative evaluations Reference point is status quo People are loss-adverse : a prospective loss of X is 3 times more painful that a gain of X is pleasurable.
  • These elements lead to the fact that we value what we have far more highly that what we could have instead. The result is what Gourville calls the 9x effect : people rate what they have 3 times more than their actual value and prospective items three times less than what they’re actually worth. A new item must therefore be at least 9 times better to justify the (perceived) effort required for the adoption.
  • As a result, McAfee quotes Gourville and recommends not to oversell the collaborative platform and make it clear that the adoption will be a long phase.
  • The objectives is to help them realize that these tools are the root cause of many of their daily work frustrations
  • So a 30 days trial might not be enough to see the full benefits of such solutions. However it can still proves how easy it is to use them.
  • A good strategy to make the results visible is to locate some teams of social networks enthusiasts (IT or HR departments might be a first good guess). And start to deploy the solution on such narrow teams.
  • In a transparency and observability purpose, it might be a good idea to monitor the knowledge workers perceived value of their tools and measure the progress. Preparing a questionnaire with a set of questions around the subject of collaboration, innovation, productivity and knowledge management could be a good starting point.
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    Revue du livre de McAfee par @ceciil
Christophe Gauthier

Ten Leading Business Intelligence Software Solutions - 2 views

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    "Ten Leading Business Intelligence Software Solutions By Thor Olavsrud May 5, 2010 The Business Intelligence software market is shaping up as a David vs. Goliath struggle. Behemoths like Microsoft, Oracle and IBM offer feature-rich BI suites along with their many other enterprise software products. Meanwhile, pure-play business intelligence software vendors -- such as MicroStrategy and Tableau -- have avid followers and are known for innovating around new features and quickly adjusting to the shifting marketplace. Why is this important? Because Business Intelligence software is used to extract data from disparate sources -- spreadsheets, databases and other software programs -- inside companies and then analyze that business data to better understand a firm's internal and external strengths and weaknesses. A business relies heavily on this data. Bottom line: Business intelligence software enables managers to better see the relationship between different data for critical decision-making -- particularly opportunities for innovation, cost reduction and optimal resource deployment. The list below includes ten industry-leading BI solutions, from vendors large and not-so-large. If you're looking for a bird's eye view of this rapidly evolving market, the following condensed portraits should help. Business Intelligence Software: Ten Solutions Note: This list is NOT ordered "best to worst." The question of what business intelligence software solution is best for a given company depends on an entire matrix of factors. This list is simply an overview of BI solutions, with the debate about quality left to individual clients. SAP Crystal Reports Crystal Reports is part of SAP's Business Objects portfolio of business intelligence software solutions. It allows users to graphically design interactive reports and connect them to virtually any data source, Microsoft Excel spreadsheets, Oracle databases, Business Objects Enterprise business views and local file system info
Yan Thoinet

Techinnov Orly - Rencontres innovation et développement Paris Sud - Orly - Je... - 0 views

  • Techinnov 2008 2e édition des Rencontres Innovation & Développement Paris-Sud Jeudi 7 février 2008 – Aéroport Paris-Orly J - 3 Actualités : Découvrez en exclusivité les premiers grands comptes, participants à Techinnov    Des rendez-vous qualifiés, des rencontres optimisées Des bénéfices concrets 87% des participants à Techinnov 2007 sont satisfaits de cet évènement Techinnov est un forum dynamique dédié aux rencontres d’affaires entre grands comptes, PME, laboratoires, jeunes créateurs innovants et investisseurs du sud-francilien. Ses objectifs : drainer des courants d’affaires, stimuler les collaborations stratégiques et initier un dialogue constructif inter-entreprises autour d’une thématique commune, l’innovation et le développement. Techinnov privilégie le contact direct et qualifié : rendez-vous préprogrammés en face à face, ateliers thématiques, "partage de savoirs", ... La diversité des secteurs d’activités et des types d’entreprises participantes favorise les échanges et multiplie les opportunités de partenariat et de développement pour : Trouver des financements Se faire référencer Rencontrer des partenaires technologiques Se positionner sur des marchés porteurs Favoriser l’internationalisation de son activité Soutenir des projets à fort potentiel de croissance Les 4 temps forts de l’événement : La convention de financement : des jeunes créateurs innovants présentent leur projet à des investisseurs. Les rencontres d’affaires : les PME rencontrent d’autres PME mais aussi des grands comptes – sur des offres de marché - et des laboratoires pour des échanges/partenariats technologiques. Les conférences prospectives : des experts abordent l’innovation et le développement sous un angle opérationnel. Les rencontres européennes : des entreprises innovantes européennes développent des relations avec les entreprises du territoire. Le succès et les contacts générés lors de Techinnov 2007 ont amené les institutions organisatrices à renouveler l’expérience. Le Conseil régional d’Île-de-France, les Conseils généraux, les Chambres de commerce et d’industrie, les Agences pour l’économie ou de développement de l’Essonne et du Val-de-Marne, en partenariat avec le MEDEF, la CGPME et le CJD s’associent donc une seconde fois pour continuer à proposer un événement professionnel attendu et efficace. Inscrivez-vous dès aujourd'hui à la 2e édition de Techinnov qui se déroulera le Jeudi 7 février 2008 à l’aéroport de Paris-Orly.
Yan Thoinet

PARC (Palo Alto Research Center, Inc.) - 0 views

  • "PARC: Seeding Innovation" download brochure [pdf, 754 KB] PARC (Palo Alto Research Center, Inc.) works closely with varied enterprises and new ventures to discover breakthrough business and technology concepts that solve real needs, and transform how enterprises deliver value to customers. PARC takes an agile, multidisciplinary approach to open innovation – by bringing together physical, computer, biological, and social scientists who have the vision, expertise, and instinct to convert groundbreaking scientific findings into industrial-strength prototypes. Incorporated in 2002 as an independent research business, PARC is celebrated for such innovations as laser printing, distributed computing and Ethernet, the graphical user interface (GUI), object-oriented programming, and ubiquitous computing. PARC is a wholly owned subsidiary of Xerox Corporation. To inquire about working with PARC, please contact info@parc.com. [client services]
Christophe Deschamps

How companies are benefiting from web 2.0: McKinsey Global Survey Results - 0 views

  • 69 percent of respondents report that their companies have gained measurable business benefits, including more innovative products and services, more effective marketing, better access to knowledge, lower cost of doing business, and higher revenues. Companies that made greater use of the technologies, the results show, report even greater benefits.
  • We found that successful companies not only tightly integrate Web 2.0 technologies with the work flows of their employees but also create a “networked company,” linking themselves with customers and suppliers through the use of Web 2.0 tools. Despite the current recession, respondents overwhelmingly say that they will continue to invest in Web 2.0.
  • When we asked respondents about the business benefits their companies have gained as a result of using Web 2.0 technologies, they most often report greater ability to share ideas; improved access to knowledge experts; and reduced costs of communications, travel, and operations. Many respondents also say Web 2.0 tools have decreased the time to market for products and have had the effect of improving employee satisfaction.
  • ...15 more annotations...
  • Respondents also say they have been able to burnish their innovation skills, perhaps because their companies and customers jointly shape and cocreate products using Web 2.0 connections.
  • The median level of gains derived from internal Web 2.0 use ranged from a 10 percent improvement in operational costs to a 30 percent increase in the speed at which employees are able to tap outside experts.
  • Web 2.0 delivers benefits by multiplying the opportunities for collaboration and by allowing knowledge to spread more effectively. These benefits can accrue through companies’ use of automatic information feeds such as RSS2 or microblogs, of which Twitter is the most popular manifestation. Although many companies use a mix of tools, the survey shows that among all respondents deriving benefits, the more heavily used technologies are blogs, wikis, and podcasts—the same tools that are popular among consumers
  • Similarly, among those capturing benefits in their dealings with suppliers and partners, the tools of choice again are blogs, social networks, and video sharing. While respondents tell us that tapping expert knowledge from outside is their top priority, few report deploying prediction markets to harvest collective insights from these external networks.
  • Comparing respondents’ industries, those at high-technology companies are most likely to report measurable benefits from Web 2.0 across the board, followed by those at companies offering business, legal, and professional services
  • These survey results indicate that a different type of company may be emerging—one that makes intensive use of interactive technologies. This networked organization is characterized both by the internal integration of Web tools among employees, as well as use of the technologies to strengthen company ties with external stakeholders—customers and business partners.
  • As such, companies reporting business benefits also report high levels of Web 2.0 integration into employee workflows. They most often deploy three or more Web tools, and usage is high throughout these organizations
  • Respondents reporting measurable benefits say their companies, on average, have Web 2.0 interactions with 35 percent of their customers. These companies forged similar Web ties to 48 percent of their suppliers, partners, and outside experts. An organizational structure that’s more porous and networked may make companies more resilient and adaptive, sharpening their ability to access knowledge and thus innovate more effectively.
  • The survey results confirm that successful adoption requires that the use of these tools be integrated into the flow of users’ work (Exhibit 5). Furthermore, encouraging continuing use requires approaches other than the traditional financial or performance incentives deployed as motivational tools.
  • They also say role modeling—active Web use by executives—has been important for encouraging adoption internally.
    • Christophe Deschamps
       
      Cf le président de Cisco
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    L'entreprise 2.0 n'est pas qu'un concept et cette étude menée sur 1700 dirigeants le prouve.
Christophe Deschamps

How IBM Uses Social Media to Spur Employee Innovation - 2 views

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    Les pratiques d'IBM pour exploiter la créativité de ses employés.
Miguel Membrado

Business starts to take Web 2.0 tools seriously - FT.com / Technology / Digital Business - 0 views

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    These companies, say the authors, are showing that the use of blogs, wikis, widgets and other Web 2.0 tools "encourages horizontal collaboration and harnesses the power of collective intelligence to boost productivity, foster innovation and create enhanced value".
Miguel Membrado

Understanding Zoho, the Quiet Company Taking on Google and Microsoft - CIO.com - Busine... - 0 views

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    I don't fully agree with this analysis. I'm one of the first users of Zoho, and even if they were functionnally in advance, they had too much bugs to be used seriously for a real business. Google is working hard and they are on the path to be better than Zoho on a lot of modules, with the guarantee of quality of service. But I hope Zoho will have the energy and the financial background to compete with Google, because competition is the best driver for innovation.
Christophe Deschamps

Management guru offers solutions to combat worker disengagement - 0 views

  • Ehin developed his new leadership model which he calls "unmanagement" after analyzing research on human nature which shows that human productivity is at its peak in informal, co-evolving relationships, as opposed to within formal systems where people are stifled by bureaucracy and not allowed to work openly with their counterparts and peers.
  • He has discovered that this sweet spot is the place where the most productive and innovative work of an organization takes place, largely because people tend to want to follow their self-interests and do so through developing informal social networks in the workplace.
  • This cutting edge management book offers guidance to business leaders searching for ways to increase the innovative dynamics, motivation and performance of their knowledge workers.
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    Théorie du non-management pour rendre productif l'informel. Semble particulièrement en phase avec l'entreprise 2.0.
Christophe Gauthier

Sens du client - Le blog des professionnels du marketing client: Les 10 tendances du Se... - 3 views

  • Les 10 tendances du Sens du client 2010
  • LE CLIENT SERA PLUSIEURS Le client est devenu mutliple. Présent à plusieurs endroits sous une forme différente, c’est un individu fragmenté auquel les marketers doivent désormais faire face. Multiples identités (on compte en France 2,4 adresses mails par personne et 65% ont 2 adresses ou plus), contextes variables : le client est plusieurs et il devient parfois invisible. Pour les entreprises qui gèrent des données concernant leurs clients (une catégorie en très forte augmentation), l’organisation de ces données, la déduplication et la segmentation sont devenues des exercices complexes.
  • Au moment ou le marketing de masse laisse place au marketing comportemental ou ciblé, le marketing des données devient un marketing de masse. La preuve : le one-to-one est moins à la mode que la gestion des communautés qui est une espèce de one to many. On parle désormais de social CRM comme pour habiller délicatement l’ignorance dans laquelle se trouvent beaucoup d’entreprises. Les systèmes d’information qui ont couté des millions aux entreprises se révèlent insuffisants pour appréhender la réalité du client. Comment donner du sens à ces masses de données ? Comment appréhender les nouveaux segments de clients ?
  • ...26 more annotations...
  • les nouveaux segments sont devenus un fait acquis, alors demandez-vous : comment concevrais-je mon organisation si je savais que dans les cinq prochaines années, 5 ou 6 segments émergeront pour occuper plus de la moitié de mon chiffre d'affaire ?
  • la convergence des canaux de relation et la cohérence des sollicitations. Comment avoir une vision unique du client et comment gérer la pression de communication ? Comment comprendre un client multiple et anticiper son comportement ?
  • LE CLIENT SERA SEUL Le self-service est un progrès de notre société
  • LE CLIENT SERA ECO-SENSIBLE Passer la marque à la machine sur le programme « GreenWashing » : l'occupation de ces dernières années pour les entreprises au marketing qui lave plus vert. Sous la pression d’une actualité dramatisante et de clients anxieux, presque toutes les entreprises adoptent les valeurs « développement durable » ou « respect de l’environnement », espérant réchauffer le climat entre leurs clients et elles
  • Mais le client veut des marques ou des enseignes disponibles et réactives, il désire être autonome, échanger en temps réel n’importe quel jour et à n’importe quelle heure, dans une relation personnalisée
  • En 2009, 36% des entreprises, soit deux fois plus qu’en 2008, (selon cette étude) « ont opté pour les modes de communication économiques, comme le Web et le self-service ». Parfois mauvais calcul quand on constate que –selon la même étude- « Malgré la mise en place de ces services sur Internet, les centres de contacts constatent que le nombre d’appels entrants n’a pas été impacté
  • Dès qu’on ouvre un nouveau canal de relation avec le client type Serveur Vocal Interactif, celà aurait plutôt tendance à faire croitre le nombre de contact globalement. Au bénéfice de la marque qui maitrise l’information qui la concerne et héberge la conversation, et au bénéfice du client qui choisit son mode de communication
  • apporter un vrai bénéfice au client lorsqu’il est seul. Seul face à un site Internet, avec un SVI, une borne interactive, il se sent trop souvent abandonné
  • Bénéfices évidents du client seul : l’aspect pratique et la réduction des prix.
  • les marques ont l’occasion unique de redonner du sens à leur discours avec des valeurs et de créer du lien avec leurs clients. Seront gagnantes les marques qui apporteront des preuves concrètes, qui feront des gestes sans calcul cynique sur un sujet qui n’est pas prêt de quitter l’esprit du client
  • LE CLIENT SERA ORGANISE On sait que le client est multiple, tout comme le sont les propositions commerciales qui s’adressent à lui. Lorsque celles–ci manquent de clarté ou sont défaillantes dans le bénéfice réel, le client revoit ses préférences et hiérarchise ses fournisseurs. Parfois perdu (8 français sur 10 ignorent encore ce que sont les soldes flottants ), souvent sur-sollicité (rappelons que nous sommes confrontés à 400 messages commerciaux par jour-source Francoscopie 2010), le client doit s’organiser
  • LSA nous rapporte qu’une enseigne espagnole a conçu et marketé son espace de vente en trois circuits d’achat : court (convenience store), moyen (achats quotidiens) et longs (courses de la semaine) pour répondre aux besoins du client.
  • LE CLIENT SERA AMELIORE (Photo Avatar). Le client est un roi doté de super-pouvoirs. Entourés, enrichis, connectés, les français sont 67% à avoir accès à Internet chez eux (+6% en un an), et 82% des Français de plus de 12 ans ont un téléphone mobile. Le monde dans le creux de sa main est une réalité pour déjà 5 millions de personnes utilisant Internet mobile (doublement en un an) Source : ARCEP. Le client est assisté, aidé : il ne faut plus faire partie d'une minorité de privilégiés pour savoir qu'il faut tourner à droite dans 200 mètres avec son GPS embarqué dans sa voiture ou sur son téléphone mobile... Le client français a adopté les réseaux sociaux : près de 16 millions d’inscrits dont les trois quarts pour « rester en contact avec leurs amis ». Le réseau social virtuel qui entoure le client l’aide aussi à faire des choix dans sa consommation. Selon Harris interactive (pour Fleishman Hillard), "50% des français pensent qu’Internet les aide à prendre de meilleures décisions d’achat" et "85% des consommateurs consultent les avis des internautes avant d’acheter". Le téléphone est devenu « smart » pour 3,5 millions d’utilisateurs nouveaux en une année, et pas tous des professionnels ! Que vous partiez en voyage ou que vous vous rendiez au restaurant du coin, vous trouverez sur la route de votre choix des avis de consommateurs en qui vous avez confiance.
  • prendre sa place dans un monde digital et virtuel pour y accueillir son client. Proposer de nouvelles voies d'accès et de dialogue avec lui.
  • LE CLIENT SERA OCCUPE La moitié des adolescents regardent déjà la télé en surfant sur le net et 47% utilisent leur téléphone mobile en étant connectés (source Forrester). La multi-activité se développe
  • Le client est surbooké et ce que nous nommons une maladie pour nos enfants n’est que la caricature et le signe précurseur d’un futur proche de consommateur de média. Le client n’est pas absent ou distrait, il est très occupé. Les Français ont eu en moyenne 40,4 contacts par jour avec une activité média ou multimédia (hors ordinateur) en 2009, un chiffre toujours en augmentation. Un français sur deux se connecte chaque jour à Internet, et les médias sont de plus en plus consultés sur de nouveaux supports
  • LE CLIENT SERA FAN Les grandes marques vont sortir de la crise avec panache et le client n’attend que ça. Pourquoi ? Parce qu’il a désormais la possibilité de se manifester et de faire savoir qu’il aime une marque ou qu’il s’y intéresse sur les réseaux sociaux. 40% des inscrits à Facebook sont amis ou fans des marques et 25% « suivent » des marques sur Twitter selon Razorfish
  • LE CLIENT SERA BAVARD Si je me fie à ce compteur Twitter, au mois de mars prochain, nous passerons la barre des 10 milliards de tweets. Rien qu’en France, si on suit les 25 premiers utilisateurs de ce réseau social, on peut lire 360 000 posts de 140 caractères Pour 23% des Français de plus de 12 ans inscrits sur les réseaux sociaux , le quotidien est fait de conversations.
  • Un tweet sur 5 concernerait un échange d’expérience à propos d’une marque. C’est considérable. A la recherche de la relation authentique, de l’avis sincère, le client est prêt à contribuer et donner de son temps. Sur le très fiable site d’avis consommateurs Beauté Test par exemple, tous les jours, 400 nouveaux avis sont postés et 10 à 20 nouveaux produits sont référencés. On donne la parole au client, il en fait un usage à son profit !
  • les avis seront de plus en plus donnés en temps réel (18% des membres Facebook mettent à jour leur profil depuis un téléphone mobile)
  • favoriser l’expression du client en la rationnalisant. Et face à l’infopollution, investir dans le tri sélectif
  • LE CLIENT SERA AVENTUREUX Seuls 15 %, c’est-à dire un client sur sept se déclare «fidèle » aux marques et 21 % sont moins fidèle qu’avant, c’est ce qu’avait révélé l’étude faite en 2009 à l’occasion de la Saint Fidèle sur ce blog.
  • Laurent Habib de RSCG C&O déclarait à LSA le 29 octobre dernier : «les marques ne parviennent plus à justifier leur positionnement premium, ni a susciter la préférence et la fidélité». Sensible au prix, le client observe avec un scanner dans les yeux les propositions low cost et les propositions premium, délaissant un ventre mou sans odeur et sans saveur. Il privilégie la valeur d’usage et se montre critique envers les innovations sans bénéfice
  • proposer aux clients de vraies innovations, prendre des risques. C’est le moment de mettre en pratique le subtil précepte de Jacques Séguéla (qui a le sens de la formule) : « moins de tests, plus de testicules »
  • LE CLIENT SERA ENTENDU 20% des français ont déjà dénoncé en ligne des entreprises ayant mal agi à leurs yeux TNS Sofres LSA 11/09. Nous sommes entrés dans le nouvel âge de la relation client, l’époque où le client peut s’exprimer et être entendu par des milliers de personnes (cf mon billet à ce sujet). Le patron d’Amazon disait "Si vous rendez vos clients mécontents dans le monde réèl, ils sont susceptibles d'en parler chacun à 6 amis. Sur internet, vos clients mécontents peuvent en parler chacun à 6000 amis."
  • gérer sa réputation et repenser son organisation pour l’orienter vers un client omniprésent. Il ne s’agit plus de surveiller ou faire du buzz monitoring mais bien de pratiquer une écoute active et participer à un nouvel échange.
Frank Hamm

Enterprise 2.0 SUMMIT on 10 - 12 November, 2009 - 2 views

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    "The Enterprise 2.0 SUMMIT is organized by Kongress Media and was first been held at CeBIT 2008. The event is about how corporations have to change to be more productive as well as innovative and competitive for their markets by the use of social software. With the presentation of European and international best-practices coupled with a gathering of the international expert's community the Enterprise 2.0 SUMMIT is helping participants in gaining new ideas and inspiration for their projects as well as learning about the real-life opportunities and challenges. The upcoming conference is held on November 11 & 12th, 2009 in Frankfurt with additional pre-conference seminars on November 10th." With Lee Bryant, Markus Bentele, Betrand Duperrin, Craig Hepburn, Dion Hinchcliffe, Oliver Marks, Mark Masterson, Frank Schönefeld, Simon Wardley, Gil Yehuda and others With best practises from * CSC * Dassault Systems * Deutsche Bundeswehr * ISO * Lago * National Suisse * Otto Group * SUN Microsystems * Westaflex
Christophe Deschamps

Idea Management - Innovation Managment - Crowdsourcing - Suggestion Box - 0 views

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    Service qui permet de créer des communautés d'utilisateurs sur ces produits.
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