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Dominique Hebert

Formation L'intranet 2.0 - Benchmark Group - 0 views

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    Formation Benchmark Group sur l'évolution des usages de l'Intranet pour aller vers l'entreprise 2.0
Ray Dacteur

Entreprise Collaborative - Le département de la formation survivra-t-il à l'e... - 5 views

  • l’investissement Formation n’est pas optimisé
  • Trop d’énergie et d’argent sur des tâches sans ou à faible valeur d’apprentissage ajoutée.
  • le département formation et les talents qui le composent doivent prendre conscience des usages 2.0, reprendre l’initiative, innover à nouveau :
Christophe Gauthier

Ten Leading Business Intelligence Software Solutions - 2 views

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    "Ten Leading Business Intelligence Software Solutions By Thor Olavsrud May 5, 2010 The Business Intelligence software market is shaping up as a David vs. Goliath struggle. Behemoths like Microsoft, Oracle and IBM offer feature-rich BI suites along with their many other enterprise software products. Meanwhile, pure-play business intelligence software vendors -- such as MicroStrategy and Tableau -- have avid followers and are known for innovating around new features and quickly adjusting to the shifting marketplace. Why is this important? Because Business Intelligence software is used to extract data from disparate sources -- spreadsheets, databases and other software programs -- inside companies and then analyze that business data to better understand a firm's internal and external strengths and weaknesses. A business relies heavily on this data. Bottom line: Business intelligence software enables managers to better see the relationship between different data for critical decision-making -- particularly opportunities for innovation, cost reduction and optimal resource deployment. The list below includes ten industry-leading BI solutions, from vendors large and not-so-large. If you're looking for a bird's eye view of this rapidly evolving market, the following condensed portraits should help. Business Intelligence Software: Ten Solutions Note: This list is NOT ordered "best to worst." The question of what business intelligence software solution is best for a given company depends on an entire matrix of factors. This list is simply an overview of BI solutions, with the debate about quality left to individual clients. SAP Crystal Reports Crystal Reports is part of SAP's Business Objects portfolio of business intelligence software solutions. It allows users to graphically design interactive reports and connect them to virtually any data source, Microsoft Excel spreadsheets, Oracle databases, Business Objects Enterprise business views and local file system info
Yan Thoinet

Formation Web 2.0 - Séminaire CapGemini Institut - 0 views

  • Web 2.0 : l’état de l’art> nouveaux usages, nouveaux outils, Entreprise 2.0
Christelle Gamache

Des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseau sociaux - 0 views

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    Les espaces numériques des bibliothèques ont pour mission de favoriser l'accès du grand public aux nouvelles technologies. Quels que soient l'âge et le niveau des utilisateurs, des ateliers et des rendez-vous individuels sont mis au point par les responsables tout au long de l'année. Le Centre de Ressources des EPN (Espaces Publics Numériques) de Wallonie nous signale une belle initiative de leurs collègues des Espaces Publics Numériques de la Bibliothèque Municipale de Lyon. En effet, ces derniers ont publié des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseaux sociaux. Disponibles gratuitement au format PDF, ces documents sont destinés à sensibiliser et former le grand public sur les nouveaux outils du Net.
Michael Nezet

Diffuser les résultats de la veille - Formation curation | URFIST - 0 views

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    Paper.li, scoop.it...
Christophe Deschamps

Beyond Enterprise 2.0 ROI, evaluation and management of knowledge in the workplace - 0 views

  • It is common knowledge that “what you can’t measure, you can’t manage”. And because knowledge is intangible by nature, it is not measurable and therefore not manageable.  This argument is seated in a fundamental law of Science. Consequently, the only way to move forward is to rematerialise knowledge, which we do by transforming knowledge into information or data.
  • Social computing helps transform tacit knowledge into formal transferable knowledge. This is why social software fundamentally complements existing organisational information architecture, as well as provides a constructive replacement for email, which is often considered a silo because of its overtly individualistic nature.
  • Today, ROI is the iconic, easy-to-catch and use wording for a much significant concern: evaluation. ROI is one tiny piece of a real big puzzle. ROI is an indicative ratio commonly used to anticipate the financial impact of decisions. It is a simplistic rendering of a very complex set of parameters.
  • ...3 more annotations...
  • * New metrics. Because we deal with different stuff, we need to invent metrics that are relevant to what we are trying to follow and drive. For social software, one can start with the usual web and online community metrics. Some new initiatives, such as Me-trics, open doors to more in-depth analytics that are worth considering (with a barrage of ethical considerations however).
  • In fact, calculating the ROI on social software is complicated to the point that economically it is unrealistic to do so. Instead of an estimation a posteriori a pilot phase, ROI as it is commonly referenced in the “Enterprise 2.0″ scene is pure guess and absolute non-sense in most cases.
  • Why Balanced Score Cards? For four reasons: 1. Kaplan & Norton have escaped the collusion of measurement and quantity. Measurement is not necessarily quantitative. That is a common source of confusion and of inefficiencies in numerous parts of human activity (to name a few: reporting (exhaustiveness), research (methodology), education (elite creation via selection on maths)). Measurement can be qualitative (see  Georgescu Roegen work if you’re curious). It is no surprise if numerous initiatives in intellectual capital used Balanced Score Cards 2. Balanced Score Cards are notably visual, which is not so with quantitative ratios.  That visual characteristic invites greater meaning and relevance. 3. Balanced Score Cards are heterogeneous and are therefore a more natural receptacle for a) qualitative and quantitative analytics and b) can encompass a variety of topics. In this regard, one can build official reporting encompassing both physical and knowledge activities. 4. Balanced Score Cards are aggregative so that one can build reports from various levels in the organisations. Coupled with its heterogeneous nature (previous point), one can build reports for HR, Marketing, Finance, … under the same format and surface analytics at one or many levels. The result is that some knowledge related metrics can climb the hierarchy up to the summit.
Miguel Membrado

L'entreprise 2.0 à l'épreuve de la productivité - Blogs - ZDNet.fr - 0 views

  • L’entreprise 2.0 à l’épreuve de la productivité
  • Tout cela reflète les multiples et insoupçonnés usages susceptibles de se développer à partir d’applications dont l’utilisateur est le centre de gravité
  • Pas encore gagné pour les évangélistes de l’entreprise 2.0 de convaincre des carences de l’e-mail en matière de productivité. L'improductivité est un bon argument pour ne pas s’égarer dans les méandres de l’entreprise 2.0
  • ...4 more annotations...
  • Comment rendre compte de la qualité des échanges ? Comment passer d'une notion quantitative de l'action à une notion qualitative de l'"inter-action" ?
  • Si ces nouveaux outils génèrent les mêmes réactions que le téléphone, l'email et l'usage du web en leur temps, probablement faut-il aussi y voir le fait que la technologie, et ses usages, progresse beaucoup plus vite que les habitudes des décideurs, et qu'ils ont parfois du mal (légitimement) à comprendre l'intérêt de certains outils qu'ils n'ont jamais utilisés... par ailleurs, nombreux sont ceux qui ne jurent que par la relation directe, et qui restent méfiant vis-à-vis des apports des outils électroniques.
  • Le jour où la perte de productivité dûe aux réseaux sociaux ou plus généralement à l'utilisation d'internet dans l'entreprise sera quantifiée au delà du gain permit par ces mêmes outils, je reprends mon souffle car cette phrase est longue, des solutions seront amenées par des prestataires de services pour le contrôle de l'utilisation du réseau
  • Travaillant dans une société qui a mis en place un indicateur sur les mails je suis moins persuadfé que tous les employeurs voient le mail comme un outil de prtoductivité. Je crois qu'il y a un biai commun c'est de confondre l'outil et le besoin. Finalement un messenger, une formation et (même) une machine a café sont à la fois des causes de productivités et de non productivuté. Tous ceci ne sont que des outils et c'est la manière de les utiliser qui changent. Par exemple, aussi bien les mails que les messengers sont des causes d'interruptions dans le travail quotidien. Une interruption sur une tache sur laquelle vous êtes en cours est une cause de non productivité mais aussi souvent de stress ce qui est encore pire. Au global ce qui me soucie dans cette manière d'aborder les choses c'est qu'au lieu de réfléchir outillage il faudrait réfléchir condition et méthodes de travail en premier.
Yan Thoinet

)i( interstices - Les nouvelles technologies, que nous apportent-elles ? - 0 views

  • Les nouvelles technologies, que nous apportent-elles ?
  • Les nouvelles technologies, que nous apportent-elles ? > 06/01/06 Dans cette conférence, Michel Serres aborde les nouvelles technologies sous un angle original, en questionnant ce qu'elles apportent de nouveau. Michel Serres passe tout d'abord en revue ce qui ne lui paraît pas nouveau, avant de détailler les aspects où selon lui réside la nouveauté : le rapport à l'espace, la question du droit, l'externalisation des fonctions cognitives. Ces réflexions le conduisent à définir un exo-darwinisme, et à montrer que dans le développement humain, chaque perte a permis de gagner une nouvelle fonction. À la fin de son exposé, d'une durée d'une heure environ, Michel Serres répond pendant une quarantaine de minutes aux questions de l'auditoire. Voir la présentation de 1 h 38 mn en XML/SMIL. Pour visionner le document, utiliser RealPlayer. Voir la vidéo non chapitrée au format Real (utiliser RealPlayer). Écouter la conférence en MP3. Cette conférence de Michel Serres, enregistrée à l'École Polytechnique le 1er décembre 2005, fait partie du cycle Culture Web, coordonné par Serge Abiteboul, dans le cadre des Thématiques INRIA. Elle a été organisée par Serge Abiteboul et Gilles Dowek.
Eric Salviac

Google se rapproche des entreprises et de... Microsoft - 0 views

  • Google de son côté est particulier actif ses derniers temps sur le marchés des applications d'entreprise. Parmi les annonces de ces derniers jours, on peut citer Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google Wave, une nouvelle version de sa Google Search Appliance sans oublier Fusion Tables qui n'est encore qu'un outil expérimental, mais qui pourrait bousculer le domaine des bases de données.
  • « La division entreprise est l'un des trois axes stratégiques de Google parmi les outils de recherches (search), les liens publicitaires et commerciaux (ads) et la suite applicative bureautique Web 2.0 en mode SAAS (apps) »
  • Contrairement aux éditeurs traditionnels, Google a une phase de développement de produits qui s'appuie largement sur les utilisateurs. Il peut donc proposer des versions beta accessibles en libre service auprès de développements, sans trop se soucier de l'intérêt commercial de ces nouveaux outils.
  • ...15 more annotations...
  • Fusion Tables est encore un produit expérimental destiné à intégrer des données issues de sources différentes et de formats différents dans une même table et de fournir des fonctions de collaboration, de requêtes, de visualisation et de publication sur le Web. Fusion Tables est plutôt destinée aux très grands volumes de données.
  • Cette semaine, Google dévoilait Google Apps Sync for Microsoft Outlook, un outil permettant de synchroniser leurs courriers, calendrier et carnets d'adresse entre Exchange/Outlook et Gmail. Cet outil fait suite à un autre qui permet de faire à peu près la même chose sur la téléphonie mobile. Cet outil qui est proposé comme un plug in est disponible pour les utilisateurs des versions payantes de Google Apps, à savoir les versions Premier et Education Edition.
  • Quel est l'intérêt de cette offre ? Tout simplement que beaucoup d'utilisateurs préfèrent ou sont déjà habitués à l'interface d'Outlook.
  • Le plug-in est pour l'instant disponible uniquement en anglais, il est compatible avec Outlook 2007, Windows XP SP3 et Vista.
  • Google Apps est commercialisé à 50 dollars par utilisateur et par an. Google aurait quelque 500 000 utilisateurs payants de Google Apps Premier Edition (Soit un chiffre d'affaires en base annuel de 25 M$ en abonnement).
  •  D'autres fournisseurs comme IBM, Oracle, Novell et Sun reconnaissent que le support natif d'Outlook est le meilleur moyen de lutter contre Exchange (l'utilisateur final ne se soucie pas de savoir quel est le serveur de messagerie mis en œuvre par l'entreprise) »
  • Google positionne son plug-in comme un outil permettant aux entreprises d'effectuer une migration d'Exchange vers Gmail plutôt que comme une combinaison permanente
  • Google Wave n'est pas encore un Tsunami Parallèlement à cette offre tactique qu'est Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google a montré avec Google Wave ce que pourrait être un outil de messagerie et collaboration dans les années à venir.
  • Google Wave intègre plusieurs fonctionnalités en général distribuées dans différentes solutions, à savoir les messageries électronique et instantanée, collaboration en temps réel et traitement de document à plusieurs (une sorte de Wiki en plus perfectionné).
  • « Avec Wave, Google veut changer fondamentalement la manière avec laquelle les utilisateurs/internautes (internausateurs ou utilisanautes) communiquent en transformant le Web en un système de collaboration temps réel intégré »
  • Google Wave ne concurrencera pas Lotus Notes, Microsoft Exchange ou Office SharePoint Server avant 5 à 10 ans
  • Une nouvelle version de Google Search Appliance
  • Conçues selon une architecture dynamique, plusieurs GSA, même distantes, peuvent fonctionner en parallèle
  • La GSA 6.0 offre des options de personnalisation pour l'administration, la sécurité, les paramètres de classements des documents... Elle inclut ce que l'on appelle des fonctions de recherche dites sociales, c'est-à-dire issues des suggestions des utilisateurs.
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    Google ne renonce pas à promouvoir ses applications en entreprise en adoptant une stratégie de conquête en douceur en s'appuyant à la fois sur l'existant et les utilisateurs.
Christophe Deschamps

Football et intelligence collective - 2 views

  • La cybernétique est l’étude des systèmes, c’est-à-dire la modélisation des échanges par l’étude de l’information et des principes d’interaction. On ne s’intéresse pas aux composants du système mais à leurs interactions et au comportement global. Un système complexe est donc fait d’élément en interaction les uns avec les autres(2) organisées dans le but de se maintenir, de survivre et de conquérir. Et à partir de règles simples, on obtient un comportement global complexe qu’on appelle émergence.
  • On retrouve ici la double mission de l’intelligence économique : défendre sa zone sensible, c’est-à-dire l’information corporative stratégique, et promouvoir son activité, c’est-à-dire conquérir des territoires (physiques dans le cas du football ou économiques dans le cas de l’entreprise).
  • Et comme expliqué plus haut, l’intelligence collective s’orchestre donc en deux temps : (a) sur le plan défensif c’est la capacité à se replacer très vite suite à la perte du ballon pour ensuite (b) sur le plan offensif c’est l’exploitation de la récupération du ballon dans un moment où l’équipe adverse est déstabilisée.
  • ...7 more annotations...
  • Un jeu intelligent est donc fondé sur une alternance équilibrée entre expansion et agrégation de l’équipe.
  • On comprend donc avec l’exemple du football qu’il faut passer d’un état individuel à l’état socialisé pour mettre en place des stratégies de formation de l’intelligence collective.
  • Tout l’enjeu des sociétés individualistes est de faire circuler des informations dans un but d’intelligence collective et d’instaurer un climat relationnel ou chacun a la volonté de faire les choses pour le collectif.
  • un bon dirigeant d’entreprise doit avoir la faculté de synthèse afin de (1) prendre les décisions et (2) donner à ses employés, cadres, chefs de projets le sens de la globalité de l’activité de l’entreprise pour que chacun puisse à son échelle œuvrer pour cette finalité.
  • L’entreprise doit donc développer une conscience d’elle-même et des autres (entreprises) afin de se maintenir et progresser dans des environnements de plus en plus hostiles, comme des marchés, où la compétition fait place à la co-pétition (chacun est à son tour partenaire et concurrent).
  • Il ne faut cependant pas mettre en opposition les expressions individuelle et collective car elles se renforcent et ont besoin l’une de l’autre pour créer une intelligence collective, clef d’une entreprise robuste, pérenne et épanouie.
  • Pour se maintenir, l’entreprise doit donc, par la pratique fine de l’intelligence économique, trouver l’équilibre entre affirmation de son identité et adaptation à un environnement contrariant.
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    Intéressant article sur l'intelligence collective et la nécessité de la faire émerger en entreprise
Ray Dacteur

Blog d'Anthony Poncier » Blog Archive » Vers l'entreprise 2.0 : top et flop - 1 views

  • Ne pas vouloir tout contrôler : A partir du moment où l’on part sur une démarche de renforcement de l’autonomisation de ses collaborateurs et de transparence, il faut dans le déploiement avoir la même attitude.
  • Ne pas penser que ça va fonctionner tout seul : Si grâce aux technologies web 2.0, beaucoup  de choses se sont simplifiées (les formations peuvent être allégées), cela ne veut pas dire qu’il faut laisser les collaborateurs seuls, il faut les accompagner et surtout montrer l’exemple.
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