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"La commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale a rejeté, mercredi 20 novembre, une proposition de loi du député LFI Paul Vannier visant à lier le financement des établissements scolaires privés à des critères de mixité sociale des élèves."

"L'argument de la baisse du nombre d'élèves est mis à mal par les données du ministère de l'éducation sur le nombre des enseignants du primaire et du secondaire publics analyse, dans une tribune au « Monde », l'historien Emilien Ruiz. 32 000 professeurs manquent encore par rapport à 2007, malgré des effectifs en hausse entre 2010 et 2018."

"Le creux démographique actuel à l'école pourrait être l'occasion d'améliorer les conditions de scolarisation, affirme l'historienne Clémence Cardon-Quint dans une tribune au « Monde »."

"En France, 59 000 étudiants sont reconnus en situation de handicap. Certains établissements, faute de moyens, ne sont pas en mesure de prendre les dispositions nécessaires."

"Réunis du 5 au 10 novembre pour leur Assemblée plénière d'automne, les évêques ont reçu Philippe Delorme, secrétaire général de l'Enseignement catholique, et sa délégation. Au coeur de la réflexion : la question du "caractère propre" et des défis de l'Enseignement catholique - remis en cause à plusieurs reprises en ce début d'année, mais aussi de sa dynamique. Quelle réaction aux polémiques sur le "caractère propre" de l'Enseignement catholique ? Dans ce contexte, comment consolider l'identité des écoles catholiques ? La baisse annoncée du financement public est-elle préoccupante ? Trois questions à Philippe Delorme, secrétaire général de l'Enseignement catholique."

"L'État ne doit pas restreindre la liberté, pour les familles, d'éduquer leurs enfants dans des écoles en accord avec leur foi. Une conviction défendue de tout temps par « France Catholique »."

"Plus de 100 plaintes ont été répertoriées dans cette affaire hors-norme qui évoque des violences et violences sexuelles, et qui concerne le collège-lycée catholique du Béarn Notre-Dame de Bétharram"

"Réunis à Lourdes, les évêques français abordent le sujet de l'enseignement catholique, vendredi 8 novembre 2024. Attachés au caractère propre, ils veulent défendre l'école catholique comme un lieu d'annonce de l'Évangile."

"Riaumont, son village d'enfants avec sa ferme, son église… petit coin paisible situé à Liévin (Pas-de-Calais). Pourtant, derrière ce paysage de carte postale, dans le huis clos du pensionnat fondé en 1960 par le père Albert Revet, des religieux ont martyrisé des milliers d'enfants, jusqu'à sa fermeture en 2019."

"lusieurs anciens élèves de l'institution Mélizan attestent avoir été victimes d'abus sexuels de la part de l'abbé Raymond Mélizan, figure importante de la vie éducative et ecclésiale marseillaise, fils de Paul Mélizan, le fondateur de l'institution scolaire qui porte son nom. Pierre Brunet, vicaire général du diocèse de Marseille, Caroline Amenc, directrice du lycée Paul Mélizan, et Jacques Le Loup, directeur diocésain de l'enseignement catholique, font le point sur cette situation."

"Louis Lourme, philosophe et ancien directeur d'un établissement catholique (1), revient sur les débats autour du « caractère propre » de l'enseignement catholique. Il a dirigé la publication d'Afin que nous portions du fruit. Missions d'une école catholique (Bayard)."

"Le nouveau programme d'éducation affective, relationnelle et sexuelle, que l'Éducation nationale s'apprête à rendre public, suscite l'inquiétude, après avoir occasionné des passes d'armes en interne. Enquête sur la genèse d'un texte controversé avant même sa sortie."

"Dans un entretien à Ouest-France, publié vendredi 29 novembre, Anne Genetet défend le contenu de ce programme attaqué cette semaine par certaines associations familiales et par le ministre de la réussite scolaire, Alexandre Portier. L'enseignement catholique a formulé à son tour de « sérieuses réserves »."

"Présenté en mars dernier et prévu initialement pour la rentrée 2024, le projet de programme d'éducation à la vie sexuelle fait l'objet de concertations depuis le printemps. Contesté notamment par des associations familiales, il doit être présenté courant décembre au Conseil supérieur de l'éducation. Mercredi 27 novembre, Alexandre Portier, ministre délégué à la réussite scolaire, a lui-même estimé qu'il n'était « pas acceptable » en l'état."