"lusieurs anciens élèves de l'institution Mélizan attestent avoir été victimes d'abus sexuels de la part de l'abbé Raymond Mélizan, figure importante de la vie éducative et ecclésiale marseillaise, fils de Paul Mélizan, le fondateur de l'institution scolaire qui porte son nom. Pierre Brunet, vicaire général du diocèse de Marseille, Caroline Amenc, directrice du lycée Paul Mélizan, et Jacques Le Loup, directeur diocésain de l'enseignement catholique, font le point sur cette situation."
"A l'occasion de Noël, les élèves du lycée St Louis de Marseille se sont mobilisés sur, le thème "la solidarité, chemin de la paix". Face aux évènements souvent dramatiques que présentent les médias, ils nous montrent que des chemins d'espérance sont possibles, et remettent le fruit de leur collecte au président du Samu Social." + Vidéo
"Dans la Cité phocéenne, le clivage public-privé recoupe largement un clivage social et territorial. Mais les stratégies d'évitement des familles concernent toutes les strates de la société et l'école catholique présente un visage contrasté."
"À Marseille où la ville et le diocèse accueillent du 1er au 3 décembre le Congrès mondial de l'éducation catholique organisé par l'OIEC, le cardinal Jean-Marc Aveline a rappelé la vocation de l'école catholique, appelée à conserver sa capacité d'indignation «avec réalisme et humilité», tout comme sa vocation de «catholicité»."
"Depuis des années, les anciennes pensionnaires de Notre-Dame de la Charité du Bon Pasteur dénoncent les sévices qu'elles ont subis, de Marseille à Orléans. Elles ont témoigné jeudi 20 mars devant la commission d'enquête sur les violences créée dans le sillage du scandale Bétharram."
"Chrétiens dans l'Enseignement public vous invite à une rencontre : témoignages, exposé, échanges, avec le P. Pierre de Charentenay, s.j.
Vendredi 30 novembre de 18h45 à 20h30,
Salle Saint-Cannat, 4 rue des prêcheurs (1er)."
"Chers amis, Les établissements dont vous avez la charge ont été les premiers à ressentir les effets des mesures qui se sont imposées pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. C'est d'abord avec vous que l'Église a été appelée à prendre sa part des efforts exigés de tous pour le bien de la Nation. Je salue la manière rapide et efficace avec laquelle vous avez pris les mesures nécessaires pour protéger et accompagner tous ceux dont vous avez la charge : les élèves bien sûr, les personnels éducatifs, les enseignants mais aussi les familles. Soyez-en profondément remerciés."
"Temps de partage et d'échange pour les enseignants de la maternelle à l'université et les personnels de l'Éducation nationale, à l'initiative du CdEP (Chrétiens dans l'Enseignement public)"
"Contrairement à d'autres départements, le nombre d'élèves inscrits dans le privé, primaire et secondaire confondus, n'a pas baissé à la rentrée" [RDP du 06 octobre 2020]
"En déplacement à Marseille, Emmanuel Macron a annoncé jeudi 2 septembre le lancement d'un programme expérimental dans 50 écoles de la ville. La sociologue Marie Duru-Bellat (1), spécialiste de l'éducation et professeure émérite de Sciences-Po Paris, explique l'intérêt de ces « laboratoires pédagogiques »."
"Samedi 23 mars, l'APEL (Association des Parents d'élèves dans l'Enseignement Libre) académique de Montpellier organisait à l'ATRIA, à Nîmes, un colloque national. 400 personnes venues de Languedoc Roussillon, mais aussi de Marseille, Nice, Paris, Avignon, Toulon, Nantes, Lyon, Grenoble, Besançon étaient présentes pour échanger sur le thème de la relation de confiance à l'école et en famille."
"Après les quelques gros établissements scolaires qui ont rompu leurs liens avec l'Association des Parents de l'Enseignement Libre, la crise gronde en interne. Au point que deux candidatures alternatives ont fait leur apparition pour tenter de se faire entendre au congrès national de l'Apel, le 3 juin, à Marseille. Le thème du 19e congrès national de l'Association des parents de l'Enseignement libre est intitulé « Pourquoi l'école ? ». Il pourrait s'intituler « Pourquoi l'Apel soutient la réforme ? » Voire « Pourquoi l'Apel ? »."
Sondage réalisé par l'APEL en partenariat avec La Croix
Plus de la moitié des parents d'élèves estiment que l'école contemporaine n'est plus adaptée aux enfants de la génération actuelle, révèle un sondage publié mardi.
Quelque 52% des parents interrogés par OpinionWay pour la fédération des parents d'élèves de l'enseignement catholique (APEL), en partenariat avec La Croix, jugent que l'école n'est plus adaptée aux enfants d'aujourd'hui. Ce pourcentage grimpe à 77% pour les parents de lycéens.
Les parents mettent l'accent sur la nécessité "de tenir compte des différences individuelles entre élèves" (à 92%) et d'"adapter les pédagogies" (à 91%). Ils prônent la réduction du temps scolaire à une demi-journée (à 73%) et le remplacement des classes traditionnelles par des regroupements selon les niveaux de performances (à 63%).
Ils insistent également à 89% sur l'importance de veiller au bien-être des élèves, selon cette enquête réalisée auprès de parents d'enfants scolarisés dans le public et le privé.
La transmission des savoirs et connaissances fondamentaux devrait rester la priorité de l'école pour la moitié des parents (alors qu'elle ne remplit ce rôle en priorité que pour 44% d'entre eux). Mais les attentes vis-à-vis de l'école contemporaine "sont recentrées sur l'individu" et "l'épanouissement de l'élève", note Julien Goarant, directeur des études à OpinionWay.
"On souhaite une individualisation des parcours tout en faisant des élèves des personnes qui ne soient pas individualistes", relève Caroline Saliou, présidente de l'Apel, dont le congrès se déroule à Marseille en fin de semaine avec pour thème "Pourquoi l'école?".
L'enseignement privé catholique sous contrat accueille quelque 18% des enfants en France.
Le sondage a été réalisé en ligne par OpinionWay les 13 et 14 avril, auprès de 544 parents d'élèves.
"Le discours de Mgr Georges Pontier, le nouveau président de la Conférence des évêques de France, prononcé ce matin à l'ouverture de l'Assemblée générale de nos épiscopes à Lourdes, était très attendu. Et l'archevêque de Marseille ne nous a pas déçu. Oh certes, il a épilogué longuement (trop ?) sur l'affaire des Roms, mais il n'a pas omis d'évoquer des sujets d'actualité comme la famille et le mariage, le respect de la vie, avec la perspective d'une loi légalisant l'euthanasie, et l'avortement."