Despite all the enthusiasm around the collaborative economy, regulatory challenges could dampen the outlook of many disruptive, peer-to-peer (p2p) business models.
The idea that neighbors can share their resources efficiently is not new, however there are very few examples of successful initiatives to date. Many sharing schemes failed after only a few years. A successful example of such a model is StreetBank, a platform in England that is growing steadily. We took a moment to chat with Sam Stephens, StreetBank's founder, about the reasons for the site's growth.
La ville doit s'adapter à des vagues d'innovation toujours plus nombreuses. Afin d'accueillir le numérique, elle doit avant tout s'équiper des infrastructures nécessaires, pour offrir, par exemple, un réseau Internet efficace.
Mais les technologies à elles seules ne suffisent pas à rendre la ville intelligente. Comment les citadins s'approprient-ils ces nouveaux outils, et comment la ville fait-elle face aux nouveaux usages - qui apparaissent le plus souvent spontanément ? Les Assises du numérique, qui se sont tenues les 29 et 30 novembre derniers à l'université Paris-Dauphine, ont apporté quelques réponses à ces questions.
"Le mouvement Maker est la rencontre de la génération Web avec le monde réel. Il reprend l'ensemble des modèles développés sur le Web : travail en communauté, collaboration, innovation ouverte. Simplement on ne partage plus simplement des lignes de code ou des contenus immatériels : on conçoit et on fabrique des objets."
"La ville d'Amsterdam a décidé de s'inspirer
de cette démarche d'« open planification »
pour construire un nouveau modèle de
planification qui fait la part belle, tout au
long des projets, aux initiatives citoyennes.
Autrement dit, un processus davantage
« bottom-up ». C'est ainsi qu'est né le
concept de WikiCity, dont le nom est inspiré
de la célèbre encyclopédie en ligne" (...)
"The economic downturn of recent years has led to a decline in confidence in the financial markets. The renewed focus on local communities, 'DIY' and alternative ways of city-making go hand-in-hand with the rise of the peer-to-peer economy. Increasing numbers of people start to take matters into their own hands. If money fails, why not introduce your own currency?"
"Trafic entrant par station : nombre de voyageurs validant un titre de transport dans la station concernée. Les voyageurs en correspondance sur le réseau RATP ne sont pas comptabilisés."
C'est un projet un peu fou, un peu utopique. Un immeuble original qui porte le nom d'une invention montreuilloise : le Praxinoscope (lire Mot). Porté par la ville de Montreuil et l'OPHM (Office public de l'habitat montreuillois), cet immeuble expérimental de logements sociaux, haut de quatre étages, vaste de près de 900 m2, doit voir le jour à partir de 2013 dans le Haut-Montreuil, sur un terrain actuellement en friche. Originalité : les familles de locataires qui vont y emménager, réunies en association, travaillent sur le projet au même titre que l'architecte. Pour y inventer une nouvelle vie à la fois indépendante… et en collectivité. Explications.
"« La grande ville offre de moins en moins des choses que n'offrent pas les autres territoires sur le plan de l'emploi et de la consommation. Le maintien de leur dynamisme implique pour elles de savoir donner envie. Et cela passe notamment par une synergie nouvelle avec leur hinterland ». "
via Fallen Fruit
It's a simple idea perhaps, but on closer inspection, changes the dynamic in the park. Instead of buying fruits from a grocery, I can easily imagine parents teaching their children about food straight from the branch. I'd also wager families would be more sensitive to the passing seasons given that plums and peaches will ripen in the summer, pomegranate and persimmon in the fall, and lime, lemons, oranges and kumquats over the winter and spring.
C'est un projet un peu fou, un peu utopique. Un immeuble original qui porte le nom d'une invention montreuilloise : le Praxinoscope (lire Mot). Porté par la ville de Montreuil et l'OPHM (Office public de l'habitat montreuillois), cet immeuble expérimental de logements sociaux, haut de quatre étages, vaste de près de 900 m2, doit voir le jour à partir de 2013 dans le Haut-Montreuil, sur un terrain actuellement en friche. Originalité : les familles de locataires qui vont y emménager, réunies en association, travaillent sur le projet au même titre que l'architecte. Pour y inventer une nouvelle vie à la fois indépendante… et en collectivité. Explications.
Des salons, une cuisine, des chambres d'amis partagés
"Deux jours dans l'un des deux ateliers de réparation de Vélib' : ce sera désormais le tarif pour les dégradations et vols commis sur les célèbres vélos en libre-service parisiens qui vont fêter leurs six ans cette année. Une convention a été signée en ce sens, lundi 7 janvier après-midi, entre le Parquet, la Protection judiciaire de la jeunesse, la ville de Paris et JC Decaux qui gère le réseau. Cette mesure s'inscrit dans une politique d'alternatives aux sanctions pénales et vise les mineurs sans antécédent judiciaire. Elle sera prononcée par le parquet après accord du mineur et des titulaires de l'autorité parentale. Paris compte sur son important réseau de caméras de vidéosurveillance pour lutter contre ce phénomène qui a connu une recrudescence ces derniers mois, essentiellement dans le nord-est de la capitale.
Aujourd'hui, chacun des 23.500 Vélib' qui constituent la flotte parisienne a dû être remplacé au moins une fois, au prix de 650 euros pièce. Un coût qui avait conduit les deux partenaires à revoir leur contrat en 2009. Désormais, la ville verse 400 euros par vélo volé ou détruit… Le coût moyen des systèmes de vélo en libre-service (VLS) revient entre 2.000 à 3.000 euros par vélo et par an, investissement et coûts d'exploitation et de maintenance compris, selon le Gart (Groupement des autorités des transports)."
"Lunette à réalité augmentée, boite connectée à nos données, prise électrique intelligente : Planète plus intelligente s'est rendu au LabFab de Rennes, où l'on élabore les objets de demain. Visite du laboratoire Bidouille."
"Comment perçoit-il la ville de demain ? Quelles évolutions énergétiques peuvent être envisagées ?
Autour de la thématique de la 3ème révolution industrielle, Jeremy Rifkin décrit sa vision du futur dans la ville."