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Veille & Documentation

INSEE - Vivre dans plusieurs configurations familiales - 0 views

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    "En 2011, parmi les 13,7 millions d'enfants mineurs résidant en France métropolitaine, 900 000 vivent principalement avec un seul de leurs parents et une partie du temps chez leur autre parent. Ils peuvent vivre dans des configurations familiales différentes chez l'un et l'autre de leurs parents. En changeant de résidence, ils peuvent modifier à certains moments la situation familiale d'autres enfants mineurs. Ainsi, 140 000 enfants en famille « traditionnelle » vivent une partie du temps en famille recomposée, quand des demi-frères ou demi-sœurs résidant ailleurs la plupart du temps viennent résider avec eux. Inversement, entre 90 000 et 120 000 enfants de familles recomposées vivant avec leurs deux parents se retrouvent, une partie du temps, en famille « traditionnelle », lorsque leurs demi-frères ou demi-sœurs vont chez leur autre parent. La multirésidence d'adultes peut également modifier, une partie du temps, la configuration familiale d'enfants mineurs. Par exemple, 80 000 enfants vivent avec un seul parent même si leurs deux parents sont en couple, car leurs deux parents ne cohabitent pas. La famille monoparentale prend, une partie du temps, la forme d'une famille « traditionnelle », lorsque ce deuxième parent vit dans le logement. Du point de vue des adultes, 330 000 parents, essentiellement des pères, vivent une partie du temps en famille monoparentale quand leurs enfants les rejoignent alors qu'ils vivent principalement sans conjoint ni enfant. Cela concerne 490 000 enfants mineurs. "
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Coût des enfants et politique familiale - Droit de la famille - Politique - s... - 0 views

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    "Une étude publiée dans la revue Économie et Statistique de l'Insee permet d'estimer la compensation du coût des enfants par la politique familiale. Selon les auteurs, la collectivité prend en charge entre un quart et un tiers du coût des enfants. Les aides de l'État varient ainsi de 267 € mensuels par enfant pour les 10 % des familles les plus pauvres à seulement 180 € pour un foyer affichant autour de 4 000 € de revenus par mois. Cette annonce prévisible pose la question de l'objectif de la politique familiale : compenser les dépenses liées aux enfants, ou aider les familles à couvrir les besoins minimaux des enfants ? "
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Insee - En 2020, 12 % des enfants dont les parents sont séparés vivent en rés... - 0 views

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    "En France, en 2020, 480 000 enfants mineurs vivent en résidence alternée et passent donc la moitié du temps chez chaque parent. Plus d'un enfant sur dix dont les parents sont séparés est en résidence alternée ; cette part croît régulièrement jusqu'aux 10 ans de l'enfant. Au domicile maternel, 73 % des enfants en résidence alternée vivent dans une famille monoparentale et 27 % dans une famille recomposée, respectivement 71 % et 29 % au domicile paternel. Par rapport aux autres parents, les parents d'enfants en résidence alternée sont davantage diplômés et sont plus souvent cadres ou professions intermédiaires. Le taux d'emploi des mères de ces enfants est proche de celui des pères (89 % contre 92 %), et bien supérieur à celui des mères vivant dans une famille « traditionnelle » (77 %). Toutefois, les mères d'enfants alternants travaillent quatre fois plus souvent à temps partiel que les pères de ces mêmes enfants (19 % contre 5 %). Ces derniers sont par ailleurs plus souvent propriétaires de leur logement que les mères et leurs logements sont plus grands. La résidence alternée est plus développée dans l'Ouest de la France ainsi que dans une large partie du Sud, notamment en Auvergne-Rhône-Alpes. Le plus souvent, il s'agit de zones périurbaines, où le niveau de vie des enfants et le taux d'activité des mères sont élevés. La suroccupation des logements semble, à l'inverse, freiner la résidence alternée."
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La famille… c'est aussi les enfants | Familles en synode - 0 views

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    "Mercredi dernier [le 11 février], le pape François a poursuivi ses catéchèses sur la famille. (...) Au cours de cette catéchèse, il a mis « l'enfant » au centre de sa réflexion : « Les enfants sont la joie de la famille et de la société ». Ces deux institutions doivent se réjouir d'accueillir ce « don » que sont les enfants. Ils sont « la mémoire et l'espérance d'un amour ». Chacun est à regarder comme unique et tout doit être mis en œuvre pour qu'il s'accomplisse dans ce qui manifeste son unicité. Les enfants sont le signe d'un monde nouveau à construire. Le Pape n'a pas manqué de rappeler « le lien vertueux » qui doit unir les générations : respect des parents pour les enfants, mais aussi respect des enfants pour les parents."
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DARES - A quels moments les inégalités professionnelles entre les femmes et l... - 0 views

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    Un large pan de la littérature économique et sociologique attribue à la parentalité un rôle important dans la formation et la persistance des inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes. Les périodes de vie où se créent ces inégalités ne sont en revanche pas clairement identifiées. Se forment-elles davantage avant ou après la naissance du premier enfant ? Les inégalités diminuent-elles lorsque les enfants grandissent ? À partir de modèles de durée, nous évaluons au fil des naissances, pour des personnes ayant au moins 50 ans en 2007, l'évolution de la probabilité d'atteindre une position socioprofessionnelle adéquate au regard du niveau d'études, c'est-à-dire de ne pas être déclassé en termes de catégorie socioprofessionnelle, et mesurons les différences entre les femmes et les hommes. L'enquête Santé et itinéraire professionnel (SIP) est mobilisée pour retracer les parcours professionnels et familiaux année après année. Il s'agit de l'une des rares sources de données françaises à le permettre. Les générations étudiées - 1932 à 1957 - ont connu de profonds changements économiques et sociétaux, parmi lesquels une forte augmentation de l'activité féminine et le délaissement progressif du modèle traditionnel de l'homme « gagne-pain ». L'analyse des évolutions socioprofessionnelles des femmes et des hommes de ces générations témoigne de fortes inégalités à la défaveur des femmes avec enfants qui sont croissantes avec le nombre d'enfants. Bien qu'elles s'accroissent par la suite, ces inégalités se forment avant l'arrivée des enfants, surtout pour les non-diplômées du baccalauréat. Plus souvent que les femmes, les hommes atteignent une position socioprofessionnelle adéquate avant de devenir parents. Quel que soit le nombre final d'enfants, c'est au moment de la première naissance que les inégalités augmentent le plus. Les inégalités continuent de s
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Drees - Grandir en territoire rural : quelles différences de conditions de vi... - 0 views

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    En 2018, en France métropolitaine, un enfant sur trois vit en territoire rural. Ces enfants résident plus souvent avec leurs deux parents dans une famille « traditionnelle » que ceux des espaces urbains. Ils vivent moins souvent que les enfants urbains dans des familles pauvres (13 % contre 23 %) ou très aisées. Il y a en effet, dans les territoires ruraux, moins de familles monoparentales ou nombreuses, des parents plus souvent en emploi mais moins fréquemment dans les catégories sociales les plus favorisées, et moins de logements sociaux. Les enfants ruraux ont des conditions de logement plus favorables : neuf sur dix ont leur propre chambre et vivent dans une maison avec un espace extérieur (jardin, terrain, cour), contre respectivement sept sur dix et cinq sur dix en milieu urbain. En revanche, ils vivent plus loin des services et des équipements. Ils disposent, par exemple, en moyenne de huit places en crèche à moins de 15 minutes pour cent enfants de moins de 3 ans, contre vingt-six en milieu urbain. Leur temps d'accès aux professionnels de santé, en particulier aux spécialistes, est également plus long que celui des enfants urbains. Ils résident en moyenne à 25 minutes en voiture d'un pédiatre, contre 7 minutes en milieu urbain. Ils sont aussi plus éloignés de certains équipements culturels (cinémas, musées) et sportifs.
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INSEE - En 2018, 4 millions d'enfants mineurs vivent avec un seul de leurs pa... - 1 views

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    "En France, en 2018, 68 % des enfants mineurs vivent dans une famille « traditionnelle », 21 % vivent dans une famille monoparentale, et 11 % vivent dans une famille recomposée : 7 % avec un parent et un beau-parent et 4 % avec leurs deux parents. Au total, 28 % des enfants résident donc avec un seul de leurs parents. Dans les familles recomposées, les enfants vivent moins souvent avec deux adultes en emploi (58 %) que dans les familles « traditionnelles » (68 %). Les enfants des familles recomposées sont moins présents dans les grands centres urbains, où à l'inverse la proportion d'enfants en famille monoparentale est forte. La part des enfants vivant en famille recomposée varie de 7 % en Martinique et dans les Hauts-de-Seine à 17 % en Guyane. Les enfants des familles « traditionnelles » vivent plus souvent à l'Ouest et à l'Est de la France, alors que ceux des familles monoparentales sont très présents dans le pourtour méditerranéen et les départements d'Outre-mer."
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CESE - Avis Complet - Vers sun service public d'accueil de la petite enfance - 0 views

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    Le CESE formule 15 préconisations pour poser les jalons d'un service public d'accueil de la petite enfance, parmi lesquelles : - Attribuer aux communes et aux intercommunalités la compétence d'accueil du jeune enfant : Le CESE appelle à renforcer le rôle central que jouent d'ores et déjà en pratique les communes. Cette compétence devra être assortie de moyens financiers suffisants pour garantir la qualité et l'accessibilité de l'accueil et être mise en oeuvre en concertation avec tous les acteurs de la petite enfance. - Renforcer les Relais Petite Enfance pour en faire un guichet unique, présent sur tout le territoire : Pour rendre plus lisible et incarner le service public de l'accueil, les Relais Petite Enfance doivent devenir le guichet unique sur tout le territoire. Leur rôle doit être élargi pour permettre l'accès à une information complète et lisible sur l'offre d'accueil disponible. - Soutenir le développement des structures d'accueil par la revalorisation des métiers de la petite enfance : Le CESE a conscience que le développement d'une plus large offre d'accueil pour les enfants nécessite de pouvoir recruter des profils qui disposent des compétences nécessaires. Or, on observe une crise importante des vocations dans les métiers de la petite enfance. Le CESE appelle donc à revaloriser les métiers de la petite enfance notamment au travers des formations et des salaires et à faciliter la reconversion vers ces métiers tout au long de la vie via la formation continue. - Réduire le reste à charge des familles pour permettre aux parents de bénéficier du libre choix du mode d'accueil : Le CESE souhaite que les parents puissent librement choisir le mode d'accueil de leurs enfants, peu importe leur situation ou leur revenu. En ce sens, le CESE appelle à repenser le mode de calcul du complément mode de garde afin de diminuer le reste à charge en matière d'accueil individuel, en particulier pour les familles modestes
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CESE - Synthèse - Vers sun service public d'accueil de la petite enfance - 0 views

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    Le CESE formule 15 préconisations pour poser les jalons d'un service public d'accueil de la petite enfance, parmi lesquelles : - Attribuer aux communes et aux intercommunalités la compétence d'accueil du jeune enfant : Le CESE appelle à renforcer le rôle central que jouent d'ores et déjà en pratique les communes. Cette compétence devra être assortie de moyens financiers suffisants pour garantir la qualité et l'accessibilité de l'accueil et être mise en oeuvre en concertation avec tous les acteurs de la petite enfance. - Renforcer les Relais Petite Enfance pour en faire un guichet unique, présent sur tout le territoire : Pour rendre plus lisible et incarner le service public de l'accueil, les Relais Petite Enfance doivent devenir le guichet unique sur tout le territoire. Leur rôle doit être élargi pour permettre l'accès à une information complète et lisible sur l'offre d'accueil disponible. - Soutenir le développement des structures d'accueil par la revalorisation des métiers de la petite enfance : Le CESE a conscience que le développement d'une plus large offre d'accueil pour les enfants nécessite de pouvoir recruter des profils qui disposent des compétences nécessaires. Or, on observe une crise importante des vocations dans les métiers de la petite enfance. Le CESE appelle donc à revaloriser les métiers de la petite enfance notamment au travers des formations et des salaires et à faciliter la reconversion vers ces métiers tout au long de la vie via la formation continue. - Réduire le reste à charge des familles pour permettre aux parents de bénéficier du libre choix du mode d'accueil : Le CESE souhaite que les parents puissent librement choisir le mode d'accueil de leurs enfants, peu importe leur situation ou leur revenu. En ce sens, le CESE appelle à repenser le mode de calcul du complément mode de garde afin de diminuer le reste à charge en matière d'accueil individuel, en particulier pour les familles modestes
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93% des parents estiment qu'il n'y a pas de plus grand succès dans la vie que... - 0 views

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    "Les parents d'aujourd'hui ont l'impression de ne pas en faire assez : seuls 40% s'attribuent une note de 8/10 à 10/10* et 57% culpabilisent de ne pas passer assez de temps avec leur enfant. En cause : le travail, les tâches ménagères, ou encore le temps que l'on prend pour soi. Néanmoins, les enfants ressentent moins le stress de leurs parents et la relation parents-enfants est jugée bonne par 89% des parents comme des enfants. Un chiffre qui démontre que chaque moment passé ensemble compte : plus que le nombre d'heures, c'est la complicité, au travers des activités partagées et des mots échangés, qui marquent la relation parents/enfants. "
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Insee - Population - Un enfant sur dix vit dans une famille recomposée - 0 views

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    "En 2011 en France métropolitaine, 1,5 million d'enfants de moins de 18 ans vivent dans 720 000 familles recomposées, c'est-à-dire dans une famille où les enfants ne sont pas tous ceux du couple actuel. 940 000 d'entre eux vivent avec un parent et un beau- parent, le plus souvent avec leur mère et un beau-père. Les 530 000 restants vivent avec leurs deux parents mais partagent leur quotidien avec des demi-frères ou demi-sœurs. Au sein des familles recomposées, les plus jeunes enfants sont logiquement plus souvent ceux du couple actuel : avant 4 ans, ils sont 85 % à vivre avec leurs deux parents, contre 10 % à partir de 15 ans. En cas de recomposition familiale, les enfants peuvent également habiter une partie du temps avec leur autre parent. Parmi les enfants vivant principalement avec un beau-parent, trois sur dix résident régulièrement chez l'autre parent. Également, 140 000 enfants vivant avec leurs deux parents en famille traditionnelle partagent leur logement une petite partie du temps avec des demi-frères ou demi-sœurs qui logent principalement ailleurs. "
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Drees - Les grands-parents : un mode de garde régulier ou occasionnels pour d... - 0 views

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    Le recours aux grands-parents comme solution de garde et d'accueil des jeunes enfants répond à des logiques très spécifiques. Les grands-parents sont rarement le premier mode de prise en charge des enfants de moins de 6 ans : seuls 2 % sont gardés principalement de cette manière. Pourtant, l'intervention des grands-parents e st loin d'être anecdotique : environ deux tiers des enfants de moins de 6 ans sont gardés au moins occasionnellement par eux. Les formes d'aide apportée par les grands-parents viennent plutôt compléter les modes d'accueil existants. Les interventions des grands-parents concernent davantage d'enfants en semaine que les week-ends, mais pour des temps plus courts. Le mercredi fait exception : une forte proportion d'enfants sont gardés pour des durées relativement longues. La garde des petits-enfants par leurs grands-parents peut prendre différentes formes qui se combinent entre elles : elle peut avoir lieu dans le cadre d'une organisation régulière, en dépannage, ou pour les vacances et les week-ends. La faible distance entre les logements des grands-parents et des petits-enfants ainsi que l'activité des mères sont les facteurs qui augmentent le plus la probabilité de recourir aux grands-parents dans une organisation régulière.
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Défenseur des droits - JADE : Promotiion des droits auprès des enfants et des... - 0 views

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    Le rapport d'activité Jeunes ambassadeurs des droits auprès des enfants/pour l'égalité (JADE) est, aujourd'hui, présenté en présence de Jacques Toubon, Défenseur des droits et Geneviève Avenard, adjointe au Défenseur des droits et Défenseure des enfants. C'est l'occasion de revenir sur le bilan du programme JADE. « Rien de mieux que des jeunes qui parlent aux jeunes » déclarent des collégiens de Dijon. En 2016-2017, les JADE ont visité nombre d'établissements scolaires, de centres de loisirs, d'hôpitaux, de structures de l'aide sociale à l'enfance ou encore d'établissements de protection judiciaire de la jeunesse. Ils ont ainsi sensibilisé près de 39 000 enfants et adolescents à la promotion des droits des enfants et/ou à la lutte contre les discriminations et la promotion de l'égalité Des questionnaires de satisfaction distribués auprès des enfants et directeurs d'établissement sensibilisés par les JADE, il ressort que 93% des établissements sont satisfaits des interventions et animations proposées et souhaitent reconduire l'opération l'année suivante. Fort de ce succès, le Défenseur des droits entend accroître sa mission de promotion des droits de l'enfant et de l'égalité et étendre le programme JADE à de nouveaux départements français.
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Unicef - 14e rapport Innocenti : Construire l'avenir : les enfants et les obj... - 0 views

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    Innocenti, le centre de recherche de l'Unicef basé à Florence, publie son quatorzième bilan intitulé "Construire l'avenir : les enfants et les objectifs de développement durable dans les pays riches". En effet, pour le rapport - qui porte sur 41 pays développés de l'Union européenne et de l'OCDE -, le signe le plus révélateur des progrès accomplis par une nation pour atteindre les objectifs de développement durable "est sans doute la façon dont elle répond aux besoins de ses enfants". L'étude s'appuie donc sur l'analyse de 9 objectifs et de 25 indicateurs de développement durable en lien avec la thématique des enfants. (...) La 19e place de la France sur les 41 pays étudiés recouvre bien sûr des écarts importants selon les objectifs de développement durable considérés. Côté positif : le 7e rang de la France sur l'objectif "Faim zéro" (éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et améliorer la nutrition). De même, le classement apparaît correct avec le 14e rang sur l'objectif "Education de qualité" et le 15e rang sur l'objectif "Pas de pauvreté", voire avec le 17e rang sur l'objectif "Bonne santé et bien-être". Deux autres critères se situent juste dans la moyenne de l'échantillon : la France figure ainsi au 20e rang sur l'objectif "Travail décent et croissance économique" et au 21e rang sur "Paix, justice et institutions efficaces". En revanche, la situation sur les autres objectifs est nettement moins favorable et pèse sur le classement final. La France figure ainsi au 23e rang sur l'objectif "Villes et communautés durables" et au 25e sur "Consommation et production responsables". Mais le plus mauvais résultat concerne l'objectif "Inégalités réduites", sur lequel la France se classe au 34e rang, tout juste devant les Etats-Unis (35e). Sur ce critère, tous les autres grands pays développés se trouvent classés devant la France. Ce critère combine trois indicateurs portant respectivement sur l'inégalité (ind
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INSEE - Un premier enfant à 28,5 ans en 2015 : 4,5 ans plus tard qu'en 1974 - 0 views

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    "En 2015, en France, les femmes donnent naissance à leur premier enfant à 28,5 ans en moyenne, soit quatre ans et demi plus tard qu'en 1974. L'âge à la première maternité ne cesse d'augmenter depuis cette date. Sa hausse est toutefois moins rapide depuis une quinzaine d'années. Les femmes sont aussi plus âgées qu'auparavant à la naissance de leur deuxième ou troisième enfant, qu'elles ont en moyenne à 31,0 ans et 32,6 ans. Au total, tous rangs de naissance confondus, les femmes accouchent en moyenne à 30,4 ans. En 2012, les femmes les moins diplômées ont leur premier enfant quatre ans plus tôt que les plus diplômées. L'écart selon le niveau de diplôme s'est resserré de deux mois entre 2006 et 2012 du fait de l'augmentation plus rapide de l'âge au premier accouchement des mères les moins diplômées. En 2012, les femmes immigrées deviennent mères six mois plus tôt que l'ensemble des femmes à leur première maternité, avec de fortes disparités selon leur pays de naissance. Les femmes nées en Turquie accouchent de leur premier enfant à 24,3 ans et celles nées en Espagne ou en Italie deviennent mères à 31,4 ans en moyenne. Ces écarts reflètent en partie des différences de niveau de diplôme. Ils peuvent s'expliquer aussi par des facteurs culturels comme la fécondité des pays d'origine. Dans l'Union européenne, en 2014, l'âge au premier enfant est le plus faible en Bulgarie (25,8 ans) et le plus élevé en Italie (30,7 ans). Entre 2010 et 2014, il augmente dans presque tous les pays. "
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AEDE - Pour une République garante des droits de l'enfant - 0 views

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    Depuis 6 mois, AEDE travaille sur un livre blanc qui permettra aux candidat-e-s aux élections présidentielles et législatives, et par extension aux futur-e-s élu-e-s, d'agir dans la bonne direction en ce qui concerne les droits de l'enfant. Ce travail de longue haleine a mobilisé toutes les organisations membres d'AEDE sur leurs domaines d'expertises afin de produire un document précis et de qualité. Mais surtout il a mis les enfants et les jeunes à l'honneur puisqu'ils ont eux-mêmes participé à son élaboration en répondant à une consultation nationale (730 retours) et en participant à des journées de rencontres du réseau d'enfants et de jeunes. Ils ont aussi fait des préconisations concrètes pour améliorer leur situation. Les thèmes abordés sont nombreux et transversaux : l'application effective de la CIDE, la transition du statut d'enfant à celui d'adulte, la lutte contre les discriminations et les inégalités, la participation des enfants, la vie familiale et la protection contre les violences, l'accès aux soins et à des conditions de vie décentes, l'éducation et les droits fondamentaux des enfants vulnérables. Après avoir fait un état des lieux, AEDE fait ses préconisations concrètes concernant chaque sujet. Ce Livre blanc a pour objectif dans un premier temps d'interpeller les politiques avant les échéances électorales présidentielles et législatives afin que ceux-ci mettent les droits des enfants au cœur de débat. C'est dans cet esprit qu'AEDE a relancé sa campagne 1 mois 1 droit qui promouvra les préconisations phares du Livre blanc, sur des thèmes clés des élections. Dans un deuxième temps le livre blanc se veut être un véritable guide sur le long terme qui accompagnera les futur-e-s élu-e-s dans la conduite de politiques publiques respectueuses des Droits des enfants. Pour cela AEDE poursuivre ses actions de plaidoyer auprès du nouveau gouvernement et du nouveau parlement.
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Insee - Population - 15 millions de grands-parents - 0 views

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    "En 2011, 8,9 millions de grand-mères et 6,2 millions de grands-pères, soit 15,1 millions de grands-parents vivent en France métropolitaine. Parmi les personnes âgées de 75 ans ou plus, une sur cinq n'est pas devenue grand-parent, soit parce qu'elle n'a pas eu d'enfant (14 %), soit parce que ses enfants n'en ont pas eu (6 %). Les personnes qui ont eu plusieurs enfants sont toutefois pratiquement assurées d'être grands-parents. Les femmes deviennent grand-mères à 54 ans en moyenne et les hommes grands-pères à 56 ans. Après 75 ans les grands-parents ont en moyenne 5,2 petits-enfants. Le Nord - Pas-de-Calais et la Lorraine sont les régions qui comptent le plus de grands-parents parmi les 75 ans ou plus (85 %), tandis que l'Île-de-France est celle qui en compte le moins (75 %). Plus on a de frères et sœurs, plus on a d'enfants puis de petits-enfants. Enfin, les petits-enfants connaissent plus souvent leurs grand-mères que leurs grand-pères, et plus souvent leurs grands-parents maternels que paternels. "
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"Le grand cadeau que sont les enfants pour l'humanité" | ZENIT - Le monde vu ... - 0 views

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    "Le pape François évoque le « grand cadeau que sont les enfants pour l'humanité ». Pour conclure son cycle de catéchèses du mercredi sur la famille, le pape a traité ce 18 mars au matin des petits enfants, invitant à accueillir davantage la vie. Il a annoncé une seconde catéchèse sur le même thème pour mercredi prochain. Le pape indique dans la façon dont on accueille les enfants une jauge pour l'état de la société : « C'est à la manière dont sont traités les enfants qu'on peut juger la société, mais pas seulement moralement, sociologiquement aussi, si c'est une société libre ou une société esclave d'intérêts internationaux. » Voici notre traduction intégrale de la catéchèse donnée en italien."
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GPA : Contribution de No Maternity Traffic à la Conférence de la Haye | Allia... - 0 views

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    "Des représentantes de No Maternity Traffic ont été reçues par le Secrétariat de la Conférence de la Haye de droit international privé le 4 septembre 2015 ; elles ont transmis une contribution écrite qui alerte des graves atteintes aux droits des femmes et des enfants que provoque la pratique de la gestation pour autrui. La Conférence de la Haye de droit international privé (HCCH) est une organisation intergouvernementale mondiale chargée de la coopération juridique, spécialement en ce qui concerne la famille et le droit des enfants. La HCCH a été mandatée pour travailler sur la question de la maternité de substitution depuis 2011, en raison des enjeux humains, éthiques et juridiques que cette pratique soulève au niveau international, notamment concernant l'établissement de la filiation des enfants. Dans sa contribution écrite, No Maternity Traffic a souligné qu'une convention internationale régissant les effets de la maternité de substitution présupposerait d'en accepter le principe, alors que la maternité de substitution viole gravement les droits et la dignité des femmes et des enfants. No Maternity Traffic invite donc la Conférence - et les 79 Etats membres qui en font partie - à s'interroger d'abord sur la pratique de la maternité de substitution en elle-même au regard de la dignité des enfants et des femmes, mais aussi au regard du droit international en vigueur. No Maternity Traffic, qui regroupe des associations internationales et dont Alliance VITA est un membre actif, demande par ailleurs au Conseil de l'Europe de s'engager pour l'interdiction effective de toute forme de GPA. Pour signer la pétition : www.nomaternitytraffic.eu ."
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"Dans quelle mesure sommes-nous fidèles aux promesses que nous faisons aux en... - 0 views

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    "Lors de l'audience générale du 14 octobre 2015, le pape François a commencé par faire une demande de pardon. Citant les paroles fortes de Jésus sur les scandales - « Il est inévitable que les scandales surviennent, mais malheureux celui par qui le scandale arrive ! » -, il a voulu au nom de l'Église demander pardon « pour les scandales qui sont arrivés ces derniers temps, à Rome comme au Vatican ». Puis, reprenant sa catéchèse sur la famille, il a conduit une réflexion sur « un point important » : « les promesses que nous faisons aux enfants ». Les adultes parlent volontiers des enfants comme d'une promesse de la vie, a-t-il souligné. Ils sont également facilement émus lorsqu'ils disent aux jeunes qu'ils sont leur avenir… « Mais je me demande parfois si nous prenons autant au sérieux leur avenir, l'avenir des enfants et l'avenir des jeunes ! », s'est interrogé le pape François. Certes nous promettons l'amour, « c'est-à-dire un amour qui s'exprime dans l'accueil, le soin, la proximité, l'attention, la confiance et l'espérance ». Mais, a-t-il rappelé, « la grande promesse, c'est l'amour ». Et Dieu « veille sur cette promesse depuis le premier instant ». La relation tendre et mystérieuse que Dieu entretient avec l'âme des enfants « ne devrait jamais être violée », a poursuivi le pape François. « C'est une relation bien réelle, voulue et protégée par Dieu », et l'enfant, dès la naissance, « est prêt à se sentir aimé de Dieu ». "
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