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"Le 21 février : une journée d'étude en partenariat avec le consortium national Couperin (Doua, Astrée) dont le programme est davantage axé sur les résultats et les travaux issus des mondes des bibliothèques. Le programme et l'inscription sont ouvertes sur : http://roi-Couperin.sciencesconf.org/ L'étude ROI et la restitution de ses résultats ont bénéficié du financement de l'éditeur Elsevier et le consortium national Couperin. Le rapport de recherche finalisé sera mis en ligne depuis un lien disponible sur le site d'Elico à la mi-février."

"Le consortium Couperin vient de rejeter l'offre numérique de Numilog. Couperin est une association chargée d'évaluer et de négocier les acquisitions de publications numériques pour les bibliothèques des établissements de l'enseignement supérieur. Numilog propose quant à lui plus de 50 000 livres numériques. Les critères de rejet, après 10 ans de travail en commun, portent essentiellement sur les services associés (absence de fourniture de notices Unimarc et de statistiques Counter), mais surtout sur le problème crucial de la présence de DRM dans les ouvrages achetés."

"Le Consortium Unifié des Établissements Universitaires et de Recherche pour l'Accès aux Publications Numériques (Couperin), est d'avis que le développement de PNB (Prêt numérique en bibliothèque), actuellement en phase d'expérimentation dans quelques bibliothèques publiques, "aura immanquablement des répercussions sur l'ensemble de la chaîne du livre en France". C'est la raison pour laquelle ce consortium tient à prendre position sur ce projet de prêt public du livre numérique. Selon Couperin, le modèle de PNB n'est pas adapté aux besoins de l'enseignement supérieur et de la recherche pour trois raisons"

"Nous sommes à quelques jours d'un évènement national important pour le monde de la recherche et des bibliothèques : le consortium universitaire de publications numériques Couperin organise les 24 et 25 janvier deux journées consacrées aux archives ouvertes et intitulées: "Généraliser l'accès ouvert aux résultats de la recherche". Le problématique des deux journées est la suivante : "Comment parvenir à 100 % d'accessibilité aux résultats de la recherche financée sur des fonds publics, dans les meilleurs délais ?" L'interrogation fait suite à une Recommandation émise par la Commission européenne le 17 juillet 2012."

"Au vu des évolutions du projet Prêt Numérique en Bibliothèque (PNB) piloté par Dilicom, le consortium Couperin a fait paraître le 14 mars un communiqué de presse : "Le projet de «Prêt Numérique en Bibliothèque» n'est pas adapté aux besoins de l'enseignement supérieur et de la recherche". En effet, le consortium estime que, bien que cette initiative ait été discutée et expérimentée avec des établissements de lecture publique, son développement aura immanquablement des répercussions sur l'ensemble de la chaîne de diffusion du livre numérique en France."

"Le Consortium Couperin, en charge des évaluations, des négociations de et l'organisation d'achat de ressources pour les bibliothèques universitaires a diffusé le 14 mars dernier un communiqué concernant le projet Prêt numérique en bibliothèque. Alors que la ministre de la Culture a consacré l'année 2014 comme dédiée aux établissements de prêts, tout porte aujourd'hui à croire que PNB sera la grande avancée, en permettant le prêt d'ebooks aux usagers. Couperin a toutefois quelques réserves."

"La Bibliothèque Nationale de France a annoncé la signature de deux accords de partenariat (Communiqué de la BNF consultable à cette adresse http://www.bnf.fr/documents/cp_accords_proquest-believe.pdf) pour la numérisation et la commercialisation de documents du domaine public issus de ses collections avec les sociétés Proquest pour 70 000 livres anciens datant de 1470 à 1700 d'une part, et 200 000 documents sonores avec Believe Digital et Memnon Archiving Services d'autre part. Les documents numérisés seront inaccessibles en ligne pendant une durée de 10 ans, à l'exception d'une sélection opérée par la BNF correspondant à 5 % du corpus pour les livres anciens, ceux-ci seront intégrés à Gallica. L'ensemble des documents numérisés seront néanmoins accessibles en ligne mais uniquement au sein des salles de lecture de la bibliothèque. [...] Il nous semble essentiel de connaître le mode de financement de ce projet et notamment la part financière assumée par la BNF afin de s'assurer que le coût de cette numérisation n'est pas porté par les pouvoirs publics avec les financements issus des investissements d'avenir. Il nous paraîtrait légitime que les accords prévoient un accès gratuit aux documents numérisés pour les bibliothèques françaises. Il serait aberrant que les financements publics assurent à la fois la numérisation des documents et soient mobilisés pour une acquisition de la version numérique de ces mêmes ressources. Nous ne connaissons pas les termes de l'accord passé entre la BNF et les sociétés retenues ; nous souhaitons vivement que ces accords soient très rapidement rendus publics."

"L'étude 2012 réalisée par Couperin et l'ADBU montre que le mouvement des archives ouvertes de la recherche est désormais bien ancré en France. Mais les bibliothécaires et les documentalistes regrettent la faible implication des chercheurs."

"En dix points, la CeB souhaite exprimer les grandes tendances vers lesquelles pourraient tendre les offres de ebooks dans le domaine académique."

"L'objectif de cette journée est de donner des réponses très concrètes aux questions que pose l'intégration des livres électroniques dans l'écosystème d'un établissement : ses collections bien sûr, mais aussi son environnement numérique."

"Le groupe anglo-néerlandais a réalisé en 2013, 2 milliards d'euros de résultat d'exploitation, pour 7,12 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Le consortium Couperin a négocié une licence nationale d'accès à ses revues scientifiques."

"Rue89 a dévoilé la semaine dernière le contenu de l'accord de licence nationale pour l'accès aux revues électroniques de Sciencedirect (Elsevier). Cet accord, négocié par le consortium Couperin et l'Agence bibliographique de l'enseignement supérieur, représente un engagement de 172 millions d'euros sur cinq ans, une somme impressionnante dans le contexte de restriction budgétaire actuel. L'article revient sur le paradoxe bien connu de l'édition scientifique : en position de quasi-monopole, les quatre grands éditeurs (Elsevier, Springer, Wiley, Informa) revendent chèrement aux universités « un contenu qu'elles ont elles-mêmes produit (…). Dans ce marché entièrement cloisonné, la libre concurrence n'existe pas et l'entente préalable est la règle : les prix des abonnements ne cessent de s'envoler depuis trente ans ». L'alternative à ce modèle réside dans le développement des publications en libre accès, qui nécessite une réelle réorientation des politiques publiques. En la matière, l'Allemagne et les Pays-Bas ont récemment montré la voie. Les auteurs de l'article regrettent que cet accord avec Elsevier retarde la mise en œuvre d'une politique de libre accès ambitieuse en France."

"L'Assemblée Générale annuelle du groupe régional sera suivie de la journée d'étude avec une première intervention visant à faire un état de l'art de la question, puis nous évoquerons l'importance de l'intégration des ressources numériques dans le projet de service de nos bibliothèques, et un temps sera accordé au réseau CAREL et au consortium COUPERIN. Enfin, nous vous proposons une table ronde détaillant quelques retours d'expériences de collègues de la région qui ont déjà mis en oeuvre une offre de livres numériques."

"La création d'une étrange filière, BnF-Partenariats, permettant à l'établissement public de mettre en place les partenariats public-privé, continue d'interroger les syndicats. Si les accords, « s'inscrivent pleinement dans le cadre global de la politique active de numérisation et de diffusion voulue et encouragée par Aurélie Filipetti, ministre de la Culture et de la Communication », la CGT-BnF conteste la légitimité de l'entreprise."

"Le site LicencesNationales.fr a pour objectif de centraliser les informations concernant les ressources documentaires acquises sous la forme de licences nationales. Vous y trouverez des informations sur ces ressources (contenu, périmètre des bénéficiaires, licence, signalement,…) ainsi que sur les négociations en cours. C'est également par le biais de ce site que vous pourrez déclarer vos adresses IP afin de bénéficier de l'accès à ces ressources."

"L'Agence bibliographique de l'enseignement supérieur est missionnée depuis 2010 pour négocier et acquérir des ressources sous forme de licences nationales. Pour l'instant, la négociation porte sur des corpus clos (archives de périodiques scientifiques, collections d'ebooks, bases de données, corpus de textes numérisés) et non sur des abonnements à des ressources courantes. Pour centraliser les informations concernant les ressources documentaires acquises dans ce cadre, l'Abes vient d'ouvrir le site Licencesnationales.fr, qui permettra aux établissements intéressés de connaître les ressources concernées (contenu, bénéficiaires, nature de la licence négociée, signalement et métadonnées) et de transmettre leurs demandes d'accès."

"Le projet Istex, dont l'une des missions est d'acquérir des ressources scientifiques sous forme de licences nationales en vue de créer une bibliothèque scientifique accessible à l'ensemble de la communauté des chercheurs, s'enrichit de 4 nouveaux contrats négociés par l'Agence bibliographique de l'enseignement supérieur (Abes). Les partenariats avec Brill, la Royal Society of Chemestry Nature Publishing Group et Elsevier ouvriront l'accès à plusieurs dizaines de milliers d'articles. L'autre volet du projet Istex, la mise en œuvre d'une plateforme qui donnera un accès unifié à l'ensemble des corpus négociés dans le cadre des licences nationales, devrait être opérationnel d'ici la fin de 2015."

"Depuis le début de l'année, de plus en plus de bibliothèques universitaires, contraintes par des restrictions budgétaires et la hausse des tarifs des éditeurs, mettent fin à leurs abonnements à certaines revues scientifiques."

"Cette journée d'étude aura pour objet de présenter l'écosystème du livre électronique en open access : politiques en faveur de l'open access en France et au Royaume-Uni, modèles économiques, environnement juridique, métadonnées ouvertes, publication en open access."