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Home/ Mission FNEP 2008/ Group items tagged année innovation

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Micheline LIAGRE

Propositions Allègre sur l'innovation - 0 views

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    10 propositions concrètes pour une stratégie européenne accélérée de l'innovation : année 2009 dédiée à l'innovation, stimuler l'innovation dans les nouveaux pays membres de l'UE, mise en réseaux des universités de technologie, mettre en place un système de mobilité pour les chercheurs et les universitaires, relancer Eureka, coordonner les programmes nationaux de recherche, créer un emprunt européen de la BEI pour l'innovation, consacrer chaque année un Conseil européen à l'innovation pour définir les grands programmes de recherche européens.
François Bertrand

Innovation : à la recherche du temps perdu « La bêtise économique - 0 views

  • Innovation : à la recherche du temps perdu
  • L’histoire comme clef de lecture ? De ce point de vue, le regard des historiens des entreprises, des techniques et de l’innovation permet d’éclairer le débat actuel, et, en premier lieu, d’attirer l’attention sur deux basculements majeurs. Le premier, qui relève de la sémantique, n’est pas des moindres. Le débat s’est cristallisé aujourd’hui sur la figure du chercheur ”fondamental”, et par extension sur le scientifique et le savant, en imposant une dichotomie formelle avec les figures de l’inventeur et de l’ingénieur, et par extension le chercheur ”appliqué”. Alors même que l’environnement et les enjeux ont changé, on reste ainsi figé sur une représentation archaïque - conservatrice et cloisonnée - des lieux et des acteurs de la recherche. Deuxième basculement, celui d’une dérive élitiste négative. De plus en plus de jeunes diplômés des grandes écoles scientifiques (Centrale, Arts et Métiers, etc.) ont eu tendance, au cours de ces quinze dernières années, à préférer la finance à l’industrie… comme si le diplôme d’une grande école valait exclusivement pour sa représentation sociale, et non pour sa capacité à ouvrir à des carrières d’ingénieur-chercheur de haut niveau. La crise financière changera-t-elle la donne, les fera-t-elle revenir vers l’industrie? Au cours de ces vingt dernières années, de nombreux succès conjoints des centres de recherches des grandes écoles et d’entreprises industrielles (Thales, Snecma, CEA, etc.), ont pourtant montré l’excellence de ce type de partenariats et l’efficacité de ces passerelles technologiques (grandes écoles /universités/entreprises, et public/privé). Le mouvement de ces partenariats contractuels n’est pas marginal, il implique déjà 9000 enseignants-chercheurs.
  • Un environnement favorable et l’inscription de leurs innovations dans un véritable projet économique et social constamment repensé.
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  • Sur ce point, voici presque trente ans, le sociologue et économiste Yves Stourdzé avait remarquablement qualifié les rapports entre la recherche et l’industrie en France, en parlant ”d’un véritable Yalta technologique” : en France, on excellait dans la création d’innovations pointues (Concorde, Exocet, etc.), mais on était incapable de développer des innovations destinées à des marchés de masse (micro-informatique, électronique grand public, etc.). Aujourd’hui, si ce constat vaut encore en partie, il est heureusement aussi démenti.
  • Parallèlement, des secteurs qui portent aujourd’hui l’innovation comme les biotechnologies, la génétique, l‘économie numérique, ont souffert d’un double mouvement : un engagement public insuffisant d’une part, un excès de régulation contraignante d’autre part.
  • Recherche et innovation s’enrichissent de toutes les mixités et de tous les échanges, quand, parfois, par hasard, on s’oblige è travailler ensemble : individuel et collectif, public et privé, grandes écoles et universités, entreprises et laboratoires de recherche. L’histoire le démontre, c’est dans ce jeu complexe des acteurs, dans les allers-retours d’un dialogue toujours renouvelé et aux finalités parfois différentes, dans la continuité de l’enrichissement des connaissances, que se sont toujours nichées des ruptures technologiques créatrices.
Fred L

L'ascenseur social ne démarre pas au 15e étage !... par Alain Cadix - LeMonde.fr - 0 views

  • L'ascenseur social ne démarre pas au 15e étage !... par Alain Cadix
  • A défaut de faire fonctionner l'ascenseur social, n'était-il pas plus aisé d'étêter l'édifice éducatif ? Mais tirer vers le bas ne grandit pas une nation. Cette tentation n'épargne pas encore quelques milieux où l'on argue que les grandes écoles détournent les meilleurs éléments des voies qui conduisent à la recherche, occultant la contribution essentielle des grandes écoles et de leurs anciens élèves à la R & D des entreprises mais aussi à la recherche publique ; que les grandes écoles ont une faible valeur ajoutée, seul le concours d'entrée ayant la valeur d'une certification
  • Au fond, la raison de ce malaise et de ces débats vient du fait qu'on essaie de pallier en fin de parcours éducatif les dysfonctionnements majeurs de notre système scolaire. L'ouverture sociale des grandes écoles soulève polémiques et pose questions dans la sphère du ministère de Valérie Pécresse. Fondamentalement, c'est celui de Luc Chatel qui est concerné. En effet, les grandes écoles (et les formations universitaires de master), en bout de chaîne, puisant dans les viviers qui leur sont préparés en amont, c'est vers l'amont qu'il faut porter le regard pour essayer d'expliquer (en grande partie) cet élitisme du haut enseignement supérieur.
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  • Près de 80 % des élèves de classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) étaient dans le quart supérieur à l'évaluation en 6e ; les jeux semblant ainsi quasiment faits dès l'entrée au collège. Cette proportion va peut-être évoluer avec le quota désormais atteint de 30 % de boursiers dans les CPGE.
  • Il existe une corrélation très forte entre les résultats à l'évaluation en 6e et les résultats à l'évaluation en CE2, avec un avantage marqué aux enfants des catégories professionnelles intellectuelles et supérieures.
  • Plus en amont encore, au début du CP, l'avantage des enfants de milieux favorisés est particulièrement net pour la pré-lecture, la reconnaissance des lettres, la maîtrise des concepts liés au temps.
  • Les grandes écoles ont fait de méritoires efforts ces dernières années pour s'ouvrir à la mixité. Mais l'ouverture sociale est bridée par la structure catégorielle des viviers en amont.
  • Elles vont probablement faire évoluer leurs concours pour permettre une plus grande mixité sociale à l'entrée. Mais il y a fort à parier qu'alors, pour garantir la qualité de leur diplôme principal, ce qui est essentiel, vital pour elles, certaines grandes écoles seront amenées à créer un diplôme à bac+3, une licence, comme du reste Sciences-Po récemment, transformant la première année d'études en leur sein (troisième et dernière année du cycle licence) en une année de sélection qui sera théorique par ses enseignements et draconienne par ses évaluations.
  • Et nous reviendrons peu ou prou à la case départ tant que le problème ne sera pas pris en charge très en amont, bien avant le baccalauréat, au cours des quinze années de scolarité, maternelle, primaire et secondaire.
  • Alain Cadix, ancien président de la Conférence des grandes écoles, est directeur de l'Ecole nationale supérieure de création industrielle (ENSCI – Les Ateliers). Cet article n'engage pas la Conférence des grandes écoles.
Fred L

L'innovation, fausse priorité de l'Union - POLITIQUE ECONOMIQUE POLITIQUE IND... - 0 views

  • Les pouvoirs publics nationaux et européens affichent régulièrement leurs intentions en faveur de l'innovation - souvenez-vous de la stratégie de Lisbonne en 2000 ! En dépit de cela, les réglementations qui pénalisent les entreprises innovantes se sont multipliées au fil des années. A tel point qu'il n'est pas absurde de se demander si l'innovation est réellement une priorité
  • D'une part, sous l'impulsion de ce qu'on appelle aujourd'hui le « principe de précaution »,
  • secteur pharmaceutique,
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  • d'autres politiques prennent parfois le relais en pénalisant leur libre commercialisation par les entreprises innovantes, leurs prix et leur utilisation.
  • Valentin Petkantchin est directeur de la recherche de l'institut économique Molinari.
  • Il ne faut pas oublier qu'en dépit de ses bénéfices, l'innovation, quel que soit le secteur, ne doit pas être considérée comme acquise. Elle est par nature une activité risquée et ne peut se poursuivre si les entreprises innovantes se trouvent régulièrement pénalisées. En multipliant ces entraves, nous pourrions bien porter un coup fatal à l'innovation, en dépit des déclarations répétées selon lesquelles il s'agit d'une priorité.
  • La conséquence inévitable de telles politiques est de réduire les incitations à innover.
  • L'innovation, fausse priorité de l'Union [ 14/01/09  ] Les pouvoirs publics nationaux et européens affichent régulièrement leurs intentions en faveur de l'innovation - souvenez-vous de la stratégie de Lisbonne en 2000 ! En dépit de cela, les réglementations qui pénalisent les entreprises innovantes se sont multipliées au fil des années. A tel point qu'il n'est pas absurde de se demander si l'innovation est réellement une priorité et si ces réglementations n'étoufferont pas la prise de risques et les efforts des entreprises dont dépendra pourtant notre futur niveau de vie.
  • Valentin Petkantchin est directeur de la recherche de l'institut économique Molinari
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    Article polémique libéral contre les réglementations qui entravent l'innovation...à connaitre...
Fred L

Le Figaro - Economie : Les entreprises réinventent l'innovation à La Baule - 0 views

  • Les entreprises réinventent l'innovation à La Baule
  • La World Investment Conference a insisté sur le rôle central du partage de la connaissance dans le développement économique.
  • C'est le message adressé par le président de la République en clôture de la World Investment Conference, qui s'est tenue jeudi et vendredi à La Baule. Nicolas Sarkozy concluait ainsi le thème sur lequel plus de 1 000 participants ont planché, arrivant au diagnostic que non seulement l'innovation, mais aussi «l'énergie créative» feront de l'Europe un territoire plus attractif et plus compétitif.
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  • «Le capital humain créateur de valeur est la future priorité de l'Europe.»
  • Les entreprises l'ont anticipé. Mark Lloyd (département design chez Citroën) compare son métier à celui de jardinier : «L'idée n'est pas de créer de nouveaux produits, mais de les fertiliser. Aujourd'hui, on innove pour créer une image de marque : c'est beaucoup plus complexe que ce que nous faisions il y a dix ans !»«L'industrie de la connaissance est l'avenir de l'Europe», lâche aussi Jaques Guers, président de Xerox France, entreprise spécialisée dans la bureautique et l'imprimerie. Ainsi, son centre de recherche et développement de Grenoble travaille sur «le sens des mots, pas sur la forme. Nos clients ont besoin de ce nouveau savoir».
  • Une idée largement partagée par Ashok Narasimhan, fondateur de Wipro Technologies : «90 % de la valeur ajoutée se trouve dans la résolution des problèmes du client, pas dans la technologie.
  • t ce ne sont pas les investissements étrangers qui créent de l'emploi, ce sont les réseaux et l'intelligence.» Ce n'est pas Gigi Wang, en charge du MIT Stanford Venture Lab, qui le contredira. Selon elle, la clé du succès est aussi dans «la mise en réseau». Dans son laboratoire, où se croisent entrepreneurs en herbe, entreprises matures ou encore chercheurs, elle dit «éduquer la communauté à l'innovation et la productivité, en profitant de toutes les intelligences».
  • Un Facebook pour entreprises
  • Le réseau, c'est ce que compte bien exploiter François Barrault, PDG de BT Services. Selon lui, ce sont les évolutions de ces dernières années qui rendent une nouvelle forme d'innovation indispensable. «En un an, les connexions à Internet ont été multipliées par 14 en Asie. Désormais, la connaissance est distribuée.» Pour transformer cette connaissance en innovation, BT Services lance un produit qu'il qualifie de «révolutionnaire : un Facebook pour les entreprises». Sur ce réseau, «des idées et des expériences pourront être partagées, des solutions trouvées : on passe d'un modèle : je sais donc je suis à un modèle je sais donc je donne . Ce partage de la connaissance crée de l'innovation. Alors qu'il y a quelques années, on mettait des barbelés autour des centres de R & D».
  • «Attention quand même à la propriété intellectuelle», met en garde Francis Bailly (General Electric). Et de rappeler que le développement d'une molécule prend vingt ans et coûte 1 milliard de dollar. «Si la recette se trouve sur Internet, plus personne ne voudra investir en développement. Les entreprises doivent certes se réinventer, mais surtout dans leur façon de travailler. C'est une autre forme d'innovation.» .
Fred L

IsraelValley | EDITO: EXCLUSIF FRANCE ISRAËL - QUESTIONS A DOMINIQUE. KLEIN -... - 0 views

  • Troisième question CCFI : la France et Israël se positionnent sur le créneau high-tech et innovation, y a-t-il une complémentarité suffisante entre les deux pays, comment mieux faire ? DK : Dans le domaine de la R&D des programmes bilatéraux existent depuis plusieurs années. Ils sont pilotés par OSEO du côté français et OCS (Office of Chief Scientist) institution équivalente du côté israélien. 6 à 8 projets sont retenus chaque année et aucun n’est refusé pour manque de crédits disponibles. Des équipes françaises et israéliennes coopèrent au sein de programme R&D lancés pas l’Union Européenne. En 2008, la Mission Economique a pris l’initiative de créer, dans le domaine des biotechnologies et en marge d’un grand salon international qui se tient annuellement en Israël : BioMed, des rencontres entre les 7 pôles de compétitivité français du domaine santé et des grandes universités israéliennes principalement représentées par leurs responsables de transfert de technologie. Cela étant, tout ceci reste modeste par rapport à ce qui est fait entre Israël et les Etats Unis (financement trois fois plus important en matière de R&D). Depuis longtemps les entreprises américaines sont à la recherche des capacités d’innovation qui existent dans les universités et les start ups israéliennes et les entreprises innovantes israéliennes s’intéressent au marché des USA (70 sociétés israéliennes cotées au NASDAQ contre 6 françaises !). Comme précédemment une plus grande présence des responsables de l’innovation français en Israël devrait conduire à des résultats sensiblement meilleurs. Propos recueillis pas Jacques Beer-Gabel, administrateur de la CCFI
Marjolaine Grisard

Les Journées de l'Entrepreneur » Evénements - 0 views

  • La Fête des Entreprises, "J'aime ma boite". Dans le cadre des Journées de l'Entrepreneur : les salariés célèbrent, dès le premier jour la Fête des Entreprises, rappelant leur attachement à l'entreprise qui les emploie dans sa dimension professionnelle, sociale et humaine. (Dans 150 000 entreprises françaises, en système ouvert).
  • Lancement de la semaine du bénévolat économique (organisée dans le cadre de l'Année du bénévolat économique de France Initiative. (241 plateformes locales).www.france-initiative.fr
  • Lancement de la semaine Ecole Entreprise le lundi 17 novembre : initiative conjointe du MEDEF et du ministère de l'Éducation Nationale, cette opération a déjà sensibilisé près de 800.000 élèves au monde de l'entreprise depuis sa création en 2000. Cette année, en association avec l'association Entreprendre pour Apprendre, le Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) et l'association Jeunesse et Entreprise (AJE), plus de 2000 rencontres entrepreneurs, professeurs, élèves, sont prévues.
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  • Lancement des Journées Plug & Start : Venez en créateur et repartez en entrepreneur, de la technopole de l'Aube, à l'initiative de l'ESC Troyes, réunissant pendant 3 jours 280 experts bénévoles mobilisés pour accompagner individuellement chaque porteur de projet innovant. Unique en Europe, les Journées Plug & Start, est un séminaire dédié aux entrepreneurs innovants. Ce séminaire s'apparente à une formation commando pour tous les projets innovants qui, certes, ne manquent pas de potentiel mais qui ont besoin d'un vrai coup de pouce pour commencer.13ème session en novembre 2008, 55 entreprises créées, 1996 candidatures, 188 participants, une moyenne de 15 projets retenus par session. www.plugandstart.com
  • Le Mentorat entrepreneurial pour la croissance des PME à fort potentiel, organisé par l'Institut du Mentorat Entrepreneurial de la CCI de Paris. Tables rondes et conférence à destination de 250 entrepreneurs de PME à fort potentiel de développement ainsi que tous les acteurs du développement économique local + la presse. Présidé par Pierre Simon, Président de la CCIP.
  • La journée du Capital Développement, organisée par l'AFIC. 19 novembre 2008,Pavillon Gabriel. Pour sa 4ème édition, la Journée du Capital Développement est co-organisée par l'AFIC et Les Echos Conférences. Cette manifestation s'articulera autour d'une succession de débats en conférence plénière, un déjeuner-débat et des temps réservés aux rencontres et networking dans un espace permettant des rendez-vous entre participants. La conférence Capital
  • La conférence annuelle des entrepreneurs à la Sorbonne « entrepreneurs: une révolution culturelle » ou le Décloisonnement des cinq mondes : Etudiants, Enseignants, Chercheurs, Financeurs, Entrepreneurs, autour de 6 temps forts. Evénement porté par l'AFIC, les Echos Conférences, 100 000 Entrepreneurs, Ernst & Young, et Croissance Plus.
  • Jeunes Entrepreneurs organise des rencontres de foot entre des jeunes issus des banlieues et des entrepreneurs, afin de sensibiliser les enfants dans un esprit convivial à l'esprit d'entreprendre
  • Speed-dating le 21 novembre en présence de 30 enseignants et chefs d'établissements, et 30 entrepreneurs
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    Les journées de l'entrepreuneur : une semaine (17 au 21 nov) pour faire référencer ses action (semaine des business angels mais aussi fête des entreprises, prix de l'entrepreuneur ou semaine école entreprise.
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    nous serons en Corée
Fred L

Un mot tout simple, presque oublié, émerge des conversations ..."le lien"... ... - 0 views

  • La grande digitalisation nous a fait perdre "le lien"
  • L'univers numérique est en expansion perpétuelle. L'homo numericus a créé en 2007 à l'échelle mondiale, 281 milliards de gigaoctets de données, donc 45 go par être humain, soit dix fois plus qu'en 2006 (source).
  • L'individu est désormais doté de supers pouvoirs dans le monde numérique : s'exprimer, se connecter, échanger et créer. Il peut utiliser ces nouveaux outils pour réaliser ses projets, accomplir de grandes choses avec d'autres ou au nom de l'intérêt général. Ainsi, nous sommes passés en quelques années de myspace, à facebook et maintenant arrivent les sites communautaires "pour les grandes causes" comme thepoint.
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  • Dans ce contexte dématérialisé, mondialisé, déshumanisé... le "lien" ça existe encore ?
  • On parle plutôt d'hyperlien de nos jours... (ce qui, dans un système hypertexte sur internet nous permet de passer d'une origine à une destination). Tout le monde cherche le moyen d'optimiser les moteurs de recherche de google...ils deviendraient inductifs, et non plus que déductifs, ils auraient une courbe d'expérience, bref...ils s'humanisent...surtout que derrière, à produire des contenus, il n'y a pas que des robots..
  • On parle de contexte. Le contexte de vie d'un coté, le contexte de production du contenu d'accomplissement recherché, de l'autre. On cherche à synchroniser les deux contextes et les aligner sur un même territoire d'accomplissement.
  • On parle plutôt d'accès...deux citations. - "C'est de l'accès plus que de la propriété que dépendra désormais notre statut social". Jérémy Rifkin - "Mon réseau social est bien plus intelligent que google" Luc Legay.
  • Et en effet, pour finir, on parle plutôt de ...métaverse... Le réel devient virtuel (flash mobs) et le virtuel devient réel (second life)... Nous passons prés de 20% de notre temps sur internet, et nous attendons que le réel nous offre une réalité augmentée équivalente (source) pour pouvoir "surfer"...glisser... on line et off line...de la même façon...
  • Quelles opportunités s'ouvrent aux marques?
  • Et le marché semble pourtant s'être stabilisé. Mais l'enjeu n'est pas de simplement digitaliser les contenus et de les répartir dans des formats plus ou moins payants... et la valeur ajoutée n'est pas que dans une meilleure interactivité pour satisfaire un consom'acteur de plus en plus exigeant, participant.
  • Dans un univers digitalisé, avec une multitude de contenus numériques disponibles dans le virtuel et dans le réel...la grande valeur ajoutée... celle qui n'a pas de prix...c'est l'accès performant aux données.
  • Les médias, marques, personnes qui sauront rendre facilement activables les contenus dans un contexte donné, de façon sensible, et non pas mécanique pour ne pas dire " humaine" gagneront.
Fred L

minefe.gouv.fr : Communiqués de presse Économie, finances - 0 views

  • 07 février 2008 - Discours d'Hervé Novelli : conférence de presse du 7 février 2008 - Le commerce extérieur de la France en 2007 et ses défis
  • Pour faire croître nos entreprises, nous avons : - levé les freins à leur développement : simplification, dématérialisation, suppression des effets de seuils, rescrit fiscal et social. - amélioré la structure financière des entreprises : réduction des délais de paiement, suivi des encours PME des banques, réduction d’ISF pour l’investissement dans les PME, développement des business-angels - obtenu la mise en place d’un Small Business Act européen, annoncée par M. Barroso en décembre dernier.
  • 3e partie : Diagnostic des faiblesses structurelles dont souffrent nos entreprises
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  • Première faiblesse  : Notre compétitivité-coût vis-à-vis des pays de l’OCDE s’est détériorée au cours des 5 dernières années. Cette dégradation est générale au sein des pays européens, sauf l’Allemagne.
  • Deuxième faiblesse : notre position en termes de dépenses de R&D est honorable certes, mais doit encore progresser, en particulier la R&D des entreprises. Ces progrès sont nécessaires pour améliorer notre productivité et notre croissance, mais aussi pour renforcer la présence française à l’international Les dépenses consacrées à la R&D rapportées au PIB s’élevaient en France en 2005, dernies chiffres disponibles, à près de 37 milliards d’euros, soit 2,13 % du PIB. L’effort de R&D de nos entreprises est clairement insuffisant (1,12 % du PIB), notamment en comparaison de l’Allemagne (1,68 %), les Etats-Unis (1,68 %) ou le Japon (2,53 %). En particulier, les dépenses consacrées à la R&D et à l’innovation dans nos PME est nettement en retrait.
  • Slide 18 : Troisième faiblesse , relative à la structure de notre tissu d’entreprises : Premier constat : le nombre d’entreprises exportatrices baisse. Après avoir crû continument jusqu’en 2001, le nombre d’entreprises exportatrices a sensiblement baissé ces dernières années. Il se stabilise depuis 2006 à environ 98 000 entreprises mais pourrait à nouveau baisser. Pour l’essentiel, les entreprises qui ont disparu sont des PME indépendantes, de petite taille et qui ne parviennent pas à pérenniser leur activité d’exportation. Deuxième constat : l’essentiel de nos exportations est réalisé par une très faible proportion de nos exportateurs. Il est symptomatique de constater que les 100 premières entreprises exportatrices représentent 40% de nos exportations, ou encore que 1% des quelque 100 000 entreprises exportatrices concentrent 70% de la valeur de nos exportations. Or l’on sait que la croissance de nos exportations repose sur les entreprises aptes à exporter de façon régulière.
  • la cause principale de cette fragilité réside dans le nombre insuffisant de nos entreprises moyennes. Nous manquons de PME suffisamment grosses et innovantes pour profiter à plein des marchés à l’exportation. La différence avec l’Allemagne est nette : le Mittelstand allemand est parfaitement adapté à la conquête des marchés à l’exportation, y compris quand ceux-ci sont lointains. Il nous faut bâtir un « Mittelstand à la française ».
  • Conclusion intermédiaire : Certes, notre problème d’exportation ne vient pas que des PME : les grands groupes exportent moins et c’est aussi une difficulté. Toutefois, la baisse de nos entreprises exportatrices doit appeler une réaction politique. Car des travaux récents du CEPII en France et de Bruegel au niveau européen montrent que ces problèmes de démographie des entreprises exportatrices sont importants : pour augmenter nos exportations, il est plus efficace d’essayer d’augmenter le nombre d’exportateurs que la valeur moyenne exportée par chaque entreprise.
  • J’y vois un encouragement à renforcer notre action et une justification aux mesures que je vais maintenant vous présenter.   4e partie : Une politique structurelle pour restaurer la compétitivité des entreprises françaises
  • Pour répondre à ces défis, nous avons décidé de nombreuses mesures structurelles.
  • Pour inciter nos entreprises à innover davantage, nous avons réformé le CIR en le triplant, fusionné OSEO et l’AII, lancé un audit des pôles de compétitivité afin de mieux les soutenir et adopté une loi-phare en matière de propriété industrielle. Nous avons mis en place l’autonomie des Universités.
  • Enfin, pour améliorer la compétitivité-coût de nos entreprises, nous avons entamé une réforme : - de la fiscalité (suppression de l’IFA, révision générale des prélèvements obligatoires - du coût du travail, par l’exonération des heures supplémentaires Nous avons enfin obtenu la mise en place d’un Small Business Act européen, annoncée par M. Barroso en décembre dernier et sur lequel j’ai récemment remis des propositions au Commissaire Verheugen. Je proposerai avec Christine Lagarde au printemps, au sein de la Loi de modernisation de l’économie, une série de mesures structurelles pour l’entrepreneur : transmission, financement, simplification…
  • 5e partie : Une mobilisation générale pour l’exportation
  • Slide 23 : deux grands principes animent ces 10 mesures j’ai souhaité tout d’abord que la France se hisse au niveau des meilleurs dispositifs d’aides européens. J’ai demandé une étude précise des dispositifs de nos concurrents allemand, italien, britannique, espagnol, voire même japonais sur certains aspects. J’en ai tiré des enseignements qui inspirent certaines de ces mesures. deuxième principe : recentrer nos efforts sur les PME et entreprises moyennes, dont l’analyse qui précède montre bien qu’elles doivent constituer le socle de nos exportations et de nos emplois.
  • Slide 24 : 1re mesure : nous réformons les procédures de la Coface en les simplifiant et en favorisant leur utilisation par les PME et les entreprises innovantes
  • Slide 27 : 4e mesure : nous mobilisons les grands groupes pour soutenir les PME à l’export. les grands groupes peuvent servir de tremplin à nos PME sur les marchés étrangers, de multiples façons, dès lors qu’ils peuvent y trouver un intérêt. J’ai perçu une réelle volonté de mobilisation de la part des dirigeants de grands groupes exportateurs que j’ai rencontrés et je réunirai donc les 15 premiers d’entre eux à Bercy le 3 mars pour prendre des engagements réciproques sur des objectifs de portage de PME.
  • 6e mesure  : Nous renforçons l’approche sectorielle, en lien avec les pôles de compétitivité. Les plans d’actions sectoriels ont connu un réel succès en termes de nombre d’opérations mais aussi par leur capacité à fédérer des actions collectives Nous en conservons le principe, mais je souhaite en renforcer le pilotage et lancer de nouveaux plans, dans d’autres secteurs : l’ingénierie, le ferroviaire, l’automobile, l’architecture, notamment, qui sont autant de secteurs porteurs à l’étranger et où le savoir-faire de nos entreprises n’est plus à démontrer.
Fred L

Innovation le journal : Des ingénieurs formés à l'innovation - 0 views

  • Formation : Des ingénieurs formés à l’innovation
  • Le pôle méditerranéen de l’Innovation (PMI) des Arts et Métiers ParisTech (Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers) a mis en place, il y a 7 ans, un Mastère Spécialisé (MS) de management stratégique du changement par l’innovation. Peu connue, cette formation se situe au cœur de l’évolution de la société et de l’entreprise.
  • Le PMI, implanté par l’ENSAM à Bouc-Bel-Air, entre Aix et Marseille, a pour vocation de positionner l’école d’ingénieurs sur les thèmes de l’innovation et du développement durable.
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  • Dirigé par Vincent Fabreguettes, du CEA de Cadarache, le Mastère Spécialisé de management stratégique du changement par l’innovation a trois axes de formation. Il apporte, en premier lieu, les moyens d’observer l’immensité des champs de l’innovation, à travers une synergie entre les bases de données des brevets et les outils de recueil de l’information. Afin de créer une dynamique de l’innovation, il apprend à sortir des situations organisationnelles classiques de l’entreprise en organisant la conduite du changement. Enfin, l’innovation étant l’objectif de l’entreprise durable, il inscrit le chef de projet dans une vision d’entreprise afin d’élaborer une stratégie de management.
  • L’innovation comme valeur d’entreprise durableLe recrutement des jeunes diplômés d’Arts et Métiers ParisTech se fait au niveau international. Cette année, parmi la douzaine d’inscrits au MS innovation, deux chinois et un roumain suivront la formation. Le Pôle Méditerranéen de l’Innovation, qui exerce un partenariat très fort avec des écoles comme l’IAE, accompagne aussi les chefs de projet des entreprises. Rémy Gautier, son directeur, étudie depuis une vingtaine d’années la problématique des projets d’innovation de rupture, inscrivant dans le management le rôle des risques liés à l’innovation.
Fred L

Article du Monde: Après les "bobos", voici les "créatifs culturels" s'exclame... - 0 views

  • L'article s'intitule "Après les "bobos", voici les "créatifs culturels".
  • Son site Internet met en relation bénévoles et associations, il s'inquiète du réchauffement climatique, il a repris des études de psychologie et se retire deux fois par an dans un monastère: Tristan de Feuilhade, 52 ans, est le prototype du "créatif culturel". "Selon Les Créatifs culturels en France, étude sociologique publiée en mars aux éditions Yves Michel (131 p., 13,80 euros), 17% des Français relèveraient de cette tribu, composée pour l'essentiel de femmes (64%) et de cadres supérieurs (40%). Sa particularité est de conjuguer six positionnements, tous hérités des années 1960: l'écologie, l'égalité des sexes, la révolte contre les discriminations, le refus de la compétition et du règne de l'argent, l'engagement sociétal, le développement personnel".
François Bertrand

Le Temps - économie - 0 views

  • Le conseiller national radical Rüdi Noser veut construire un parc d'innovation baptisé Swiss Innovation Park sur l'ancienne base militaire de Dübendorf (ZH).
    • François Bertrand
       
      Cela pourrait faire une recommandation. Bon, nos bases militaires ne sont pas tout à fait accessible en tramway, à l'inverse de celle-ci : http://maps.google.fr/maps?f=q&hl=fr&geocode=&q=dubendorf&ie=UTF8&ll=47.397071,8.639116&spn=0.029399,0.067806&t=h&z=14
  • Son initiative vise à attirer les entreprises internationales à développer leur pôle de recherche et de développement sur ce grand site. La fondation Recherche Suisse devra être créée pour gérer le parc. Entretien avec Rüdi Noser, initiateur du projet.
  • Le Temps: Pourquoi avez-vous choisi Dübendorf? Rüdi Noser: Dübendorf est idéalement placée. La ville est située à une dizaine de minutes du centre de Zurich, tout comme de l'aéroport. Elle est proche de différents pôles de recherche, comme l'EPFZ, le Technopark de Zurich et l'Empa à Saint-Gall. Notre projet constitue un investissement sur le long terme sur un grand terrain de 800000 m2. C'est une incroyable opportunité, car aucun site aussi grand n'existe en Europe. Nous avons une carte à jouer pour assurer que la Suisse reste l'un des pays les plus innovants du monde au cours des trente prochaines années. Notre projet inclut la construction d'une petite ville de 12000 habitants dans laquelle 4000 à 6000 emplois seront créés. Elle comportera des centres commerciaux, des écoles internationales et des bureaux. Aujourd'hui, si une grande entreprise veut établir son centre de recherche avec 1000 employés en Suisse, elle ne trouvera pas de surfaces disponibles. Nous voulons combler cette lacune.
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  • Avez-vous déjà reçu un soutien? - Oui, la fondation devrait voir le jour début 2009. Swissmem (Association suisse de l'industrie des machines, des équipements électriques et des métaux), l'Association suisse des banquiers, la Chambre américano-suisse de commerce, le Technopark de Zurich, l'Université de Zurich, l'EPFZ et l'Empa soutiennent le projet. Tout comme le canton et la Ville de Zurich, ainsi que les communes avoisinantes de Dübendorf. Dans le rapport du 15 mars dernier, le Conseil fédéral a estimé qu'un parc national de recherche renforcerait la Suisse. Il soutient notre projet à Dübendorf. Il devrait désormais clairement soutenir la création de notre fondation et l'apport du secteur privé.
  • Combien coûterait la construction de ce parc en Suisse? - Pas grand-chose, car c'est un projet de création de valeur sur un terrain dont les 90% sont considérés comme une parcelle agricole peu onéreuse. Au départ, nous devrions trouver cinq millions de francs pour créer la fondation et engager les ressources nécessaires pour réaliser ce projet. Nous avons déjà commencé à contacter 4000 entreprises, petites, moyennes et grandes, dans toutes les régions de Suisse, pour récolter des dons de 3000 à 100000 francs. Avec les communes, les cantons et la Confédération, elles devraient s'engager comme donateurs pour un partenariat public-privé. Les investissements seraient très vite rentabilisés. Les bénéfices pourraient être investis dans le Fonds national suisse de la recherche scientifique.
  • Quelle place auraient les universités sur ce parc? - Mon rêve serait d'attirer des universités de renommée internationale. Pourquoi l'EPFZ devrait se diriger vers Shanghai, Singapour ou Boston? Il s'agirait au contraire de proposer au Massachusetts Institute of Technology, à Harvard, des surfaces pour s'installer à Zurich. Au final, les multinationales pourraient trouver un nombre important de doctorants dans les universités suisses et internationales, des étudiants dans les hautes ecoles spécialisées intéressés à des projets de recherche. Cela ferait aussi augmenter fortement la valeur du terrain.
  • - Avez-vous des projets en Suisse romande? - Nous y cherchons un terrain de 100000 à 200000 m2, mais nous n'avons rien trouvé entre Neuchâtel et Genève. Nous espérons que les cantons nous proposerons des terrains qui leur appartiennent. La solution pourrait venir du Valais.
  • - Google a installé son centre de recherche pour l'Europe à Zurich. Quel avantage aurait un tel groupe à venir à Dübendorf? - Il existe de nombreuses sociétés plus petites que Google qui sont actives dans le même domaine. Le géant américain pourrait être intéressé à collaborer avec un réseau de start-up situées sur le nouveau parc d'innovation. Nous ne voulons pas attirer que des grandes entreprises, mais aussi les futures Google ou des fabricants de puces électroniques. Ce parc ne devrait pas cibler que les biotechs et les medtechs mais inclure autant que possible un grand nombre de secteurs.
  • - Quand pensez-vous que ce projet pourra démarrer? - Le premier coup de pioche pourrait être donné en 2015.
Fred L

Stratégie nationale de recherche et d'innovation : une consultation par inter... - 0 views

  • Des universités autonomes
  • Le système français a cette particularité, qu'une partie de nos meilleurs étudiants ne va pas à l'université et qu'une partie de nos meilleurs chercheurs n'est pas à l'université. Tout l'objectif est de construire un système coopératif entre grandes écoles, universités et organismes de recherche, de renforcer un maillon qui était jusqu'à présent ni libre ni autonome, le maillon universitaire.
  • Faiblesse de l'innovation en France
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  • si nous sommes un grand pays de recherche, nous ne sommes pas dans le peloton de tête des pays d'innovation
  • C'est l'objet même du crédit impôt recherche. Cet outil très puissant, avec un taux d'aide triplé depuis début 2008 fait l'objet de nombreuses convoitises à l'international, depuis l'administration Obama jusqu'au gouvernement de Madame Merkel dont la commission d'experts pour la recherche et l'innovation conseille la création d'un tel outil fiscal outre-Rhin.
  • Du côté français, nous devons encore renforcer la recherche partenariale entre laboratoires publics et entreprises privées. De nombreuses incitations existent déjà comme les Instituts Carnot, les incubateurs d'entreprises, ou le doublement des dépenses de recherche partenariale dans le calcul du crédit impôt recherche
  • Nous devrons les évaluer et les faire évoluer si elles ne sont pas suffisamment incitatives.
  • Alors que l'Etat accompagne les entreprises avec des avantages fiscaux plus que conséquents, en particulier avec le remboursement anticipé du crédit impôt recherche annoncé dans le cadre du plan de relance qui va concerner neuf mille entreprises et 90% de PME, je souhaite vraiment que les entreprises s'engagent à maintenir leur effort de recherche et renforcent aussi leurs partenariats avec les établissements publics
  • les dépenses sous-traitées à un laboratoire public comptent double dans l'assiette du CIR
  • un dispositif spécifique pour les doctorants, « les doctorant-conseils», pour permettre à un doctorant d'effectuer des missions en entreprise et donc de familiariser l'entreprise avec les thématiques de sa thèse. C'est un bon dispositif pour permettre aux entreprises de tester la valeur d'un doctorant, et pour permettre au jeune chercheur de se familiariser avec d'autres horizons. 
  • La valorisation du doctorat est un enjeu majeur pour notre université, mais aussi pour notre pays, et pour le développement de la recherche privée.
  • Ils devront devenir davantage stratèges, et s'organiser autour d'une cohérence disciplinaire forte. Leur rôle sera conforté en tant qu'agence de moyens, apportant les concours  financiers et humains aux différents laboratoires, en particulier dans les universités.
  • Ils seront également opérateurs de recherche notamment dans le cadre de leurs unités propres ou pour la gestion des très grandes infrastructures de recherche qui leur incombe.
  • Coordinations inter-organismes et décloisonnement
  • 83 universités, 225 écoles, et 21 organismes de recherche
  • Ces consortiums et autres alliances permettront une meilleure coordination de notre effort national de recherche, et viendront alimenter la programmation thématique de l'ANR.
  • s'inscrire dans la « Vision 2020 » de l'espace européen de la recherche
  • programmation conjointe
  • Cet outil radicalement nouveau a justement vocation à coordonner les actions des différents Etats-membres sur des thématiques clés au regard des grands enjeux de demain
  • Rôle de l'Agence nationale de la recherche
  • confortée dans un rôle d'agence de financement pour des projets sélectionnés et évalués sur des critères d'excellence scientifique.
  • Il y a un an l'ANR consacrait 25% de ses budgets aux programmes blancs et 75% aux projets thématiques. Je crois que nous devons faire évoluer cet équilibre
  • Pour son volet thématique, l'ANR devra puiser dans les priorités de la stratégie nationale de recherche et d'innovation et s'appuyer sur les organismes de recherche qui doivent retrouver un rôle central dans cette programmation. 
  • C'est donc plus sur une démarche « bottom-up », que l'ANR devra maintenant fonder son activité avec environ 50% de projets thématiques et, 50 % de programmes blancs faisant émerger l'excellence et la créativité.
  • Ces programmes blancs devront sans doute être un minimum orientés par discipline de manière à en préserver certaines de la concurrence des autres. Je pense notamment aux sciences humaines et sociales qui devront à mon avis disposer de programmes blancs spécifiques. 
  • Simplification de la vie quotidienne des laboratoires
  • Les unités mixtes sont les briques élémentaires de notre système de recherche. C'est le lieu de la coopération entre les organismes et les universités, et dans certains cas avec les entreprises.
  • travailler au meilleur fonctionnement des unités mixtes de recherche.
  • simplification résolue de leur gestion. Vous savez qu'il y a 400 unités mixtes qui ont plus de quatre tutelles. C'est-à-dire quatre systèmes de contrôle de gestion, quatre systèmes de financement, quatre évaluations, quatre modes de gestion des ressources humaines.
  • simplifier la gestion de la propriété intellectuelle dans les unités mixtes de recherche.
  • A l'image de l'accord signé mardi dernier entre l'Institut Pasteur et l'Université Pierre et Marie Curie, je veux que l'on fixe un responsable unique pour la gestion des brevets dans les unités mixtes.
  • Pôles et campus
  • de véritables services uniques et communs de valorisation pourront être créés au sein des grands pôles universitaires
  • es pôles de recherche et d'enseignement supérieur se dotent de structures de valorisation conjointes
  • Ces services, véritables guichets uniques, proposeront au tissu industriel local des programmes de recherche partenariale, l'expertise des laboratoires qu'ils fédèrent, ou encore l'exploitation de brevets issus de la recherche publique
  • c'est avec une logique de site renforcée, comme à Toulouse, à Grenoble ou, bientôt, à Saclay, avec de véritables clusters d'excellence, associant enseignement, recherche fondamentale, innovation et entreprenariat, que nous pourrons attirer les meilleurs chercheurs internationaux et éviter que nos meilleurs chercheurs nationaux ne partent à l'étranger
  • Plan carrières
  • insi, les jeunes maîtres de conférences qui vont être recrutés l'année prochaine le seront avec des salaires entre 12 et 25% plus élevés qu'aujourd'hui. 
  • « plan carrières » inédit de 252 millions d'euros qui concerne tous les moments clefs des carrières
  • Le « plan carrières », c'est d'abord une harmonisation par le haut des carrières des enseignants-chercheurs et des chercheurs de façon à ce qu'il n'y ait plus de décalage injustifié.
  • des primes allant jusqu'à 15 000 € par an qui pourront être attribuées sur des critères d'excellence scientifique ou d'excellence pédagogique.
  • 20% des chercheurs  des organismes qui pourront prétendre à cette prime, si elle est attribuée à un taux moyen de 6 000 € par an
  • donner une visibilité sur l'emploi scientifique public pour les dix prochaines années, discipline par discipline
  • mener une analyse prospective de l'emploi scientifique à dix ans et permettre des recrutements qui ne soient pas des recrutements par à-coups
  • Il s'agit de pouvoir s'engager avec les organismes sur de vrais contrats d'objectifs et de moyens qui doivent être le cadre d'une relation de confiance entre l'Etat et les organismes.
  • supprimer le rapport semestriel qu'elle demandait aux laboratoires : ce sont 4 500 rapports supprimés !
  • continuer dans ce sens, et supprimer les nombreuses petites, mais à la longue tellement lourdes, surcharges administratives de vos laboratoires.
  • aucun document de référence disponible définissant les priorités à quatre ans, que sont les grands défis de la connaissance, les grands défis technologiques, et les grands défis sociétaux que la recherche doit nous permettre de relever
  • La cohérence d'ensemble était en réalité le fruit de la bonne volonté d'un certain nombre de professionnels plus que celle d'un cap clair, défini aussi bien pour nos chercheurs que pour nos partenaires internationaux.
  • C'est tout le contraire de l'action des gouvernements des autres grands pays de recherche et d'innovation comme le Japon, le Royaume-Uni, la Russie ou l'Allemagne, qui, chacun, ont rassemblé leurs grandes priorités de recherche dans un document stratégique. 
  • Vocation de la stratégie nationale
  • la référence pour fixer les priorités des organismes de recherche dans leurs contrats d'objectifs qui les lieront à l'Etat, et pour donner une légitimité nouvelle à la programmation de l'Agence nationale de la recherche.
  • construite sur le socle d'une vision académique solide, et préparée avec tous les acteurs de la recherche nationale et de l'innovation, publique et privée.
  • refuse les cloisonnements artificiels entre recherche fondamentale et recherche appliquée. La recherche est un continuum qui est une réponse globale aux enjeux de notre société pour demain.
  • Une démarche « bottom-up »
  • Sciences et société
  • Il est en effet essentiel d'associer ces porteurs d'enjeux à notre stratégie pour rapprocher la science et la société
  • ceux que l'on appelle maintenant les porteurs d'enjeux, c'est-à-dire les milieux associatifs qui représentent les diverses sensibilités de notre société. Ce sont aussi les représentants de l'Assemblée Nationale et du Sénat qui participent à ce projet
  • associations de protection de l'environnement
  • un certain nombre de nos concitoyens croient au progrès, d'autres s'en méfient. Il faut donc parvenir à bâtir des consensus sur le progrès scientifique.
  • es débats citoyens que nous avons lancés notamment dans le cadre du Grenelle de l'environnement doivent être toujours présents lorsque nous définissons des nouvelles priorités de recherche
  • Nous venons d'ailleurs de lancer un débat public sur les conditions de développement des nanotechnologies
  • Je souhaite qu'il ne puisse plus y avoir à l'avenir des malentendus et de l'irrationnel quand nous parlerons de nouvelles technologies ou de nouveaux champs de recherche. C'est pourquoi, il faut pouvoir intégrer en amont les inquiétudes sociétales fortes, et c'est aussi l'objet de la stratégie nationale de recherche et d'innovation.
  • es associations de promotion des sciences qui travaillent notamment pour que les vocations scientifiques se révèlent chez nos jeunes et que la relève soit assurée.
  • avec la stratégie nationale de recherche et d'innovation, nous allons pouvoir rendre publiques et donc visibles aux yeux de tous, y compris de nos grands partenaires mondiaux, les futures orientations de notre recherche.
Fred L

Innovation le journal : L'Etat a des priorités - 0 views

  • Politique de recherche : L’Etat a des priorités
  • Jeudi, la ministre de la Recherche Valérie Pécresse devait présenter au conseil des ministres une communication sur la « stratégie nationale de recherche et d’innovation » visant à définir les priorités de la recherche pour la période 2009-2012.
  • Une intervention qui a dû être reportée, à jeudi prochain, pour cause d’obsèques militaires aux Invalides.
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  • Présentation des grandes lignes de la stratégie du ministère dont l’objectif est, notamment, de susciter plus de retombées socio-économiques
  • L’objectif de cette nouvelle stratégie est, plus précisément, de cibler les grands « défis » de la France, auxquels devra s’atteler en priorité la recherche : vieillissement, alimentation, nanotechnologies… Pour ce faire, la ministre a établi une méthode de travail et un calendrier. Ainsi, durant six mois, d’octobre à mars 2009, une concertation associant la communauté scientifique, les milieux économiques et les associations devrait permettre de réaliser un document-cadre. Mais dans un premier temps, un comité restreint d’une dizaine de personnalités sera choisi pour cibler les grands axes stratégiques de la recherche pour la France.
  • Un plan qui vise à donner « aux chercheurs une visibilité sur plusieurs années  » et à mettre «  la science au service de la société et de l’économie » a expliqué la ministre dans le journal Le Monde, de vendredi.
François Bertrand

TechCrunch en français » [fr] Peut on créer un Google à la Française? la répo... - 0 views

  • Je suis sceptique sur la capacité de la France à produire le prochain Google. Il faudrait que nos universités comme cela a été le cas avec Stanford pour Google, soient plus actives dans le domaine de l’incubation et de l’investissements, que nos startups pensent international dès le premier jour, que la perception du succès en France soit plus positive, que l’Etat facilite la créations des startups et injecte son argent dans des projets dynamiques plutôt que dans des mécaniques lourdes qui veulent copier Google (vous savez à qui je pense), que nos écoles de commerce et d’ingénieur ne proposent pas une spécialisation entrepreneur, mais diffuse la culture de l’entrepreunariat dès la première année, que nos médias aient plus de respects pour les entrepreneurs qui réussissent mais aussi ceux qui échouent, car l’échec est une étape importante dans la route vers le succès. Bref je crois que nous sommes loin de disposer en France d’un écosystème favorable à la naissance d’un Google Français. Voilà ce que j’aurais dis si j’avais été présent lors de ce débat. En revanche je pense que nous continuerons à voir de belles entreprises naître ici.
  •  
    la réponse est ...
Fred L

Portail du Gouvernement - site du Premier ministre - 0 views

  • La politique du Gouvernement en faveur de la recherche et de l’innovation
  • Conseils des ministres Utilisez la commande Fichier > imprimerde votre navigateursi ce bouton ne fonctionne pas. 20-05-2009 13:45
  • Cette politique obéit à un ensemble de lignes de force qui peuvent être ainsi tracées :
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  • placer l’Université, lieu de rencontre par excellence entre formation, recherche et innovation, au coeur du dispositif national de recherche, et renouveler la relation qu’elle entretient avec les organismes de recherche ;
  •  assurer une meilleure coordination de la recherche publique au sein de structures nationales embrassant de grands domaines, comme l’Alliance pour les sciences de la vie et de la santé ou le Consortium pour l’agriculture, l’alimentation, la santé animale et l’environnement, et développer, au niveau européen, des programmations conjointes autour de grands enjeux, comme la maladie d’Alzheimer ou l’énergie, tout en renforçant les partenariats avec les entreprises ;
  • aloriser l’excellence scientifique sur la base d’une évaluation transparente, menée notamment par l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur pour les établissements et les unités, le Conseil national des universités pour les enseignants-chercheurs, et l’Agence nationale de la recherche pour les projets qu’elle finance ;
  • définir, au terme d’une large concertation sur les besoins et les attentes de notre société, une stratégie nationale de recherche et d’innovation pour les quatre prochaines années qui servira de référence commune pour l’allocation des moyens de l’Etat, par exemple dans le cadre des contrats d’objectifs des organismes publics ou de la programmation de l’Agence nationale de la recherche ;
  • renforcer significativement la recherche privée en dynamisant l’investissement des entreprises. La réforme du crédit d’impôt recherche engagée fin 2007 portera l’effort de l’Etat à près de 4Mds€ par an. Une enquête réalisée auprès de 700 entreprises montre que ce dispositif exerce un effet incitatif puissant et améliore sensiblement l’attractivité du territoire français. Il doit être stabilisé sur le long terme, si l’on veut amener les entreprises à investir massivement et à localiser durablement leurs activités de recherche en France.
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