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Thierry Pouzaud

Nouvel ordre documentaire : quel impact sur l'ordre pédagogique ? - 1 views

  • Alors que l’ordre documentaire fondé sur les livres, les articles de revues, les collections, les bibliothèques et leur classement subsiste, un nouvel ordre se développe avec le web, fondé sur les données, les échanges, le partage, la circulation de  néo-documents dans les réseaux.
  • Alors que l’ordre documentaire fondé sur les livres, les articles de revues, les collections, les bibliothèques et leur classement subsiste, un nouvel ordre se développe avec le web, fondé sur les données, les échanges, le partage, la circulation de  néo-documents dans les réseaux.
  • Si le document classique relève de la transmission inter générationnelle, le néo-document relève selon lui de l’échange intra générationnel. L’usager, destinataire extérieur de l’acte de transmission, devient acteur central dans l’acte d’échange.
  • ...13 more annotations...
  • Notre école est bien d’abord et avant tout une institution de transmission.
  • « outre la transmission des connaissances, la nation donne comme mission première à l’école de faire acquérir aux élèves les valeurs de la République ».
  • Au nom même de l’autorité et de la tradition, nous ne pouvons nous affranchir de l’obligation de transmettre ce qui constitue aujourd’hui une dimension essentielle de l’activité économique, sociale, industrielle, scientifique, médiatique de notre monde.
  • Jean-Michel Salaün a rappelé dans sa conférence les chiffres d’affaires et bénéfices comparés en milliards de dollars du second éditeur mondial Elzevier, d’Apple, de Google et de Facebook. Pour s’en tenir aux seuls bénéfices 2011, ils se chiffrent à 0,6 pour l’éditeur classique, à 43,8 pour la marque à la pomme, à 9,7 pour le moteur de recherche occidental dominant et à 1 pour le média social livre des visages.
  • Or, il faut bien le reconnaître, notre enseignement secondaire repose essentiellement par son organisation sur un modèle historique dominant de transmission : les professeurs donnent des leçons, que leurs élèves étudient et approfondissent dans des livres, qui sont accessibles dans les collections de nos bibliothèques scolaires
  • Comment mieux préparer l’élève à son rôle d’acteur dans une société de l’information ?
  • Il doit bénéficier dans l’établissement scolaire d’une bonne architecture de l’information : une information repérée, analysée, évaluée par le professeur-documentaliste, s’appuyant sur l’expertise disciplinaire de ses collègues selon les champs de savoirs concernés. Il doit aussi trouver dans l’établissement de multiples occasions d’acquérir la littératie numérique
  • Tibor Koltay a définie en 2011 comme la capacité de l’utilisateur à organiser ses connaissances auto-construites quand on lui donne les outils appropriés
  • La culture de l’information à transmettre repose sur des savoirs transmis et sur des capacités et attitudes acquises par une pratique de plus en plus autonome de la lecture-écriture, et de la production numériques
  • Nos établissements de formation doivent être conçus pour permettre tout à la fois une transmission aux élèves sous  forme traditionnelle, et l’acquisition progressive par les élèves, au travers d’une pratique régulière des échanges et de la coopération, d’une culture néo-documentaire, fondée sur la maîtrise des ressources numériques et des échanges auxquels elles donnent lieu sur les réseaux.
  • L’expérimentation proposée des centres de connaissances et de culture[6] s’inscrit dans cette visée. Donnant toute sa place à l’apprentissage connecté en lien avec la formation sur un mode transmissif
  • le centre de connaissances et de culture ne se réduit pas au seul enjeu de la conception des espaces et de l’équipement en matériels, mais implique  une politique pédagogique et éducative cohérente partagée par l’ensemble des personnels, dont le professeur-documentaliste lui même est un des garants.
  • Il veille à la continuité du parcours de formation à la culture de l’information, auquel il contribue avec sa double expertise d’architecte de l’information et de pédagogue.
Thierry Pouzaud

Politique documentaire- Les Enseignants Documentalistes de l'Académie de Poit... - 1 views

  •  La lecture du Rapport Pouzard 1 (2001) introduit les concepts, induits par l’arrivée de l’usage des TICE, qui vont servir de base à la réflexion sur la politique documentaire. L’arrivée d’internet introduit l’idée qu’il ne faut plus « gérer des stocks », dans un lieu centralisé (le CDI) mais plutôt concevoir une « dynamique de flux » dans un « système d’information ». Il liste en conclusion les obligations du professeur documentaliste dont la première est de proposer une politique documentaire2.
  •  La lecture du Rapport Pouzard 1 (2001) introduit les concepts, induits par l’arrivée de l’usage des TICE, qui vont servir de base à la réflexion sur la politique documentaire. L’arrivée d’internet introduit l’idée qu’il ne faut plus « gérer des stocks », dans un lieu centralisé (le CDI) mais plutôt concevoir une « dynamique de flux » dans un « système d’information ». Il liste en conclusion les obligations du professeur documentaliste dont la première est de proposer une politique documentaire2.
  •  La lecture du Rapport Pouzard 1 (2001) introduit les concepts, induits par l’arrivée de l’usage des TICE, qui vont servir de base à la réflexion sur la politique documentaire. L’arrivée d’internet introduit l’idée qu’il ne faut plus « gérer des stocks », dans un lieu centralisé (le CDI) mais plutôt concevoir une « dynamique de flux » dans un « système d’information ». Il liste en conclusion les obligations du professeur documentaliste dont la première est de proposer une politique documentaire2.
  • ...8 more annotations...
  • Ce qui sera l’objet principal du Rapport Durpaire 3 (2004) qui insiste notamment sur la notion de service à un public dont il faut analyser les besoins.4
  • Remarque  : Le « projet de CDI », le « projet de service » avec la présentation du fonctionnement, des acquisitions, les actions de formation… ne constituent pas une politique documentaire.
  •  Comment s’articulent Projet d’Etablissement et Politique documentaire ?
  • Centrer la réflexion sur le lieu CDI constitue un frein à l’élaboration d’une réelle politique documentaire.
  •  L’élaboration d’une politique documentaire, se caractérise par une réflexion collective à l’échelle de l’établissement,
  • avec comme objectif central de favoriser la réussite des élèves et leur insertion dans la vie sociale et professionnelle.
  • • Mise en œuvre Lors de son intervention en 2004, Marie-France Blanquet6 donne des pistes pour structurer la politique documentaire fondée sur les 5 composantes d’un système d’information dans l’EPLE
  • La politique d’information et de communicationLa politique d’acquisition et d’accès aux ressourcesLa politique d’accueil (lieux de travail des élèves en dehors des cours)La démarche éducative en direction des élèvesL’accompagnement technique de tous les acteurs Concrètement, le rapport d’activité doit se faire en référence aux objectifs fixés au préalable, et montrer dans quelle mesure ils ont – ou non – été atteints. Cette articulation doit être évidente à la lecture du document.
Thierry Pouzaud

Une presse sans copyright : utopie, dystopie… slovaquie ? | :: S.I.Lex :: - 1 views

  • l’Union Européenne, qui avait reconnu dans une importante décision Infopaq, que les articles de presse constituent bien des oeuvres de l’esprit pouvant bénéficier de la protection du droit d’auteur :
  • l’Union Européenne, qui avait reconnu dans une importante décision Infopaq, que les articles de presse constituent bien des oeuvres de l’esprit pouvant bénéficier de la protection du droit d’auteur :
  • En ce qui concerne les articles de presse, la création intellectuelle propre à leur auteur [...] résulte régulièrement de la manière dont est présenté le sujet, ainsi que de l’expression linguistique. Par ailleurs, dans l’affaire au principal, il est constant que les articles de presse constituent, en tant que tels, des œuvres littéraires visées par la directive 2001/29.
  • ...2 more annotations...
  • Avec sa deuxième catégorie, Stalman propose donc bien un traitement différencié des “oeuvres d’information”, au sein desquelles on peut ranger les articles de presse. Il recommande de leur appliquer un système de copyleft, permettant de les copier et de les rediffuser librement, avec la limite de ne pas les modifier pour respecter leur intégrité. On n’est finalement pas si loin du régime particulier des dépêches de l’AFP et de la solution dégagée par le juge slovaque !
  • En droit français, la notion “d’oeuvre d’information” existe également, à l’état de traces dans une ancienne et fragile jurisprudence de la Cour de Cassation (affaire Microfor c. Le Monde de 1987). Il ne s’agit cependant pas de reconnaître un statut particulier aux articles de presse, mais d’accorder davantage de libertés aux professionnels de l’information pour incorporer des éléments protégés à des créations dont le but est d’informer, au nom du droit à l’information. Il existe également une exception au droit d’auteur pour les revues de presse, qui montre que même le rigide droit français reconnaît une spécificité aux articles de presse.
delannoy anne

La réussite d'un projet ENT se mesure à l'essor des usages - Educavox - 1 views

  •  
    "Le dispositif de social bookmarking qui vise à archiver, mémoriser, partager des signets en groupes ou en communauté, fonctionne sur le travail coopératif des usagers et permet de développer une mémoire collective. Avec l'avènement du Web2.0, le web devient de plus en plus participatif et favorise le partage de la connaissance. Avec cet apport du web, une des questions centrales de la documentation du monde de l'éducation est de savoir jusqu'où la formalisation technique des documents et de l'information peut se confondre. Les perspectives de développement du bookmarking en classe seraient alors une nouvelle représentation des connaissances permettant de mieux repérer les ressources utiles, les décrire et les retrouver au quotidien."
Florence Canet

Scoop.it, un outil de curation - 0 views

  • les plateformes où la curation est effectuée par les humains : Pearltrees et Scoop.it
  • issu du terme curator
  • a nécessité de filtrer, canaliser, exploiter, partager le flux pléthorique des informations.
  • ...16 more annotations...
  • Scoop.it, un outil de curation
  • regrouper les informations, les sélectionner, les classer selon une thématique précise. La curation va cependant plus loin puisqu’il s’agit aujourd’hui de mettre en valeur ces données, de les éditorialiser et de les partager, valeur ajoutée rendue possible grâce à l’évolution des outils du web.
  • La curation avec Scoop.it Présentation du service en janvier 2011
  • Scoop.it
  • Plusieurs fonctions rendent l’édition simple et rapide. Notes de lecture, commentaires, choix d’illustrations, possibilité de partage avec les réseaux sociaux en font un outil pratique pour la curation. Scoop.it permet d’après ses créateurs "d’être son propre rédacteur en chef". A chaque sujet - appelé ici Topic son magazine en devenir.
  • permet de créer une revue de presse évolutive et illustrée autour d’un sujet précis en agrégeant les articles au fur et à mesure qu’ils sont sélectionnés sur internet.
  • Goojet, une start-up de la région de Toulouse dirigée par Guillaume Decugis et Marc Rougier
  • Scoop.it est en bêta privée pour l’instant. Pour s’y inscrire il faut une invitation : Pour se faire, il suffit de cliquer sur le bouton en page d’accueil du site
  • créer votre journal thématique. Le choix du titre est primordial , il ne peut y avoir de doublons sur la plateforme, car le titre du Topic détermine l’adresse URL de votre topic. Exemple :
  • Pour optimiser la sélection et le partage, il est bon de préciser le sujet par mots clés.
  • Vous pouvez simplement alimenter votre journal en recopiant l’adresse URL de l’article qui vous intéresse. Ou bien écrire un texte sans adresse (le choix vous est donné immédiatement) pour présenter la ligne éditoriale par exemple, écrire un billet d’humeur ou impulser un débat etc…
  • Autre possibilité : rapatrier des articles sur votre Topic. Un outil très pratique est mis à votre disposition :  Bookmarklet facilite l’édition d’articles que vous avez sélectionnés sur le web. C’est la fonctionnalité présentée par Scoop.it lorsque vous avez créé votre Topic. Une fenêtre vous proposera de glisser/déposer le bouton Scoop.it dans la barre personnelle de votre navigateur
  • Pending suggestions : Suivant le ou les mots clés que vous avez choisis pour votre topic, Scoop.it va vous proposer des sources de curation Les suggestions ne sont pas souvent pertinentes.  Suggest Content Les personnes qui vont suivre votre Topic peuvent vous proposer également des sources.  Rescoop Post A la manière du RT retweet de Twitter : Possibilité de reprendre un article déjà publié sur Scoop.it pour l’éditer sur votre propre Topic. L’ icône du Rescoop it ! se trouve au bas du "post".
  • Communauté Scoop.it : collaboration et partage
  • Des Topics pour ou par des professeurs documentalistes
  • Information documentation  Information et documentation : compétences et perspectives  Outils pour le CDI : curation  Outils pour le CDI : ressources  Outils pour le cdi : mindmapping  Professeur documentaliste  Transmédia et éducation  Outils web  reVEILLE doc - NETeCLAIR  "Je ne suis pas un curator…je suis un veilleur libre !"  Apprendre à l’aide des réseaux sociaux  Web 2.0 tools for teaching and learning  Tablettes numériques à l’école  Mind Mapping  Usages numériques pour l’enseignement
  •  
    a revoir : l'interview du créateur de scoop it
  •  
    analyse de J. Valladon sur la curation
Thierry Pouzaud

Centres de connaissances et de culture : quelle dimension politique ? - 0 views

  • Une exigence par rapport aux connaissances et à la culture : les 3C sont des lieux d’accès aux connaissances et à la culture dans un espace placé sous la responsabilité d’un expert de la culture de l’information, le professeur –documentaliste, travaillant en équipe avec des experts de tous les champs des savoirs pour concevoir et mettre en oeuvre pour tous les élèves un parcours de formation à la culture de l’information[2].
  • La loi d’orientation de 2005 prévoit en effet, dans son article 9, cinq composantes au socle commun : « Ce socle comprend : 
la maîtrise de la langue française ;  la maîtrise des principaux éléments de mathématiques ; 
une culture humaniste et scientifique permettant le libre exercice de la citoyenneté ; 
la pratique d’au moins une langue vivante étrangère ;  la maîtrise des techniques usuelles de l’information et de la communication ». Le décret du 11 juillet 2008 lui en donne 7, ainsi présentées : « Cinq d'entre elles font l'objet, à un titre ou à un autre, des actuels programmes d'enseignement : la maîtrise de la langue française, la pratique d'une langue vivante étrangère, les compétences de base en mathématiques et la culture scientifique et technologique, la maîtrise des techniques usuelles de l'information et de la communication, la culture humaniste. Deux autres domaines ne font pas encore l'objet d'une attention suffisante au sein de l'institution scolaire : il s'agit, d'une part, des compétences sociales et civiques et, d'autre part, de l'autonomie et de l'initiative des élèves. »
  • En quoi les centres de connaissance et de culture constituent-ils un moyen de créer, dans les établissements scolaires, un cadre de travail plus propice à la réalisation de cette ambition ? Sans doute parce qu’ils sont porteurs d’une double exigence.
  • ...10 more annotations...
  • Chaque professeur dispose pour lui-même et les élèves qu’il encadre d’un espace de ressources et de travail favorable aux apprentissages disciplinaires  de sa spécialité.
  • Le centre de connaissances et de culture est un espace propice pour faire société : entre élèves, travaillant en groupes variés, entre élèves et personnels enseignants et de vie scolaire intervenant à leurs côtés
  • Une exigence par rapport aux compétences sociales et civiques, à l’autonomie et l’initiative des élèves.
  • un espace propice à l’élaboration, la conduite et la valorisation de projets de classe, disciplinaires, interdisciplinaires, éducatifs, promouvant les valeurs de la République.
  • Transformer les heures passées en permanence à attendre que le temps passe en heures où l’on pourra accéder à des ressources variées, imprimées et numériques, bénéficier du conseil ou de l’accompagnement d’un assistant d’éducation ou d’un professeur : cela n’est pas retrancher si peu que ce soit au rôle pédagogique du professeur-documentaliste, c’est en revanche permettre aux personnels d’assistance éducative de donner à leur mission toute sa dimension.
  • Accorder aux ressources numériques toute la place qui leur revient ne signifie pas réduire la place de l’imprimé
  • Elle s’appuie sur des savoirs relevant  des sciences de l’information, de la documentation et de la communication, et sur des savoirs relevant des sciences de l’éducation, comme des différentes disciplines scolaires.
  • C’est pour cette raison que la contribution du professeur-documentaliste est essentielle, dans le cadre d’une approche pluridisciplinaire favorisée par les contenus des programmes d’enseignement.
  • Parce que la culture de l’information est une culture pivot essentielle à l’ensemble des apprentissages, parce qu’elle comporte la maîtrise de connaissances, la mise en œuvre de capacités et l’adoption de comportements référés à des valeurs, à une éthique de l’information, elle constitue une formidable entrée pour décloisonner, fédérer, intégrer des apprentissages trop souvent segmentés et aléatoires dans le parcours de formation du collégien et du lycéen.
  • Les centres de connaissances et de culture manifestent la volonté de réduire la séparation entre instruire et éduquer, de donner dans l’institution du citoyen toute leur place aux humanités, aux Lumières, comme à l’appropriation concrète et à la mise ne œuvre des valeurs républicaines. Telle est leur véritable dimension politique.
Thierry Pouzaud

- Les Trois Couronnes - Didactique de l'Information Documentation - Pascal Duplessis - 0 views

  • De fait, il ne nous sera pas permis de "juger sur pièce" avant six mois et l'on se contentera pour l'instant de pointer quelques lignes de clivage
  • Il est question "d'espaces séparés pour des usages différents" dont seule la bibliothèque renvoie aux missions du professeur documentaliste ;
  • les "salles modulables" étant, semble-t-il, dédiées aux enseignants disciplinaires. La collaboration de ces derniers avec le professeur documentaliste se limiterait d'ailleurs à la "création d'outils pour une pédagogie différenciée et adaptée" ou encore, selon le proviseur, à l'élaboration d'"outils de formation en ligne, pas disciplinaire". Les "personnels du Learning center" en assureraient la "médiation".
  • ...8 more annotations...
  • Il résulte, dans ce contexte, que la traditionnelle séparation entre contenus disciplinaires et méthodologie documentaire est maintenue
  • écartant par conséquent toute possibilité de faire construire par les élèves les savoirs de la culture informationnelle
  • L'approche est encore et toujours transversale et centrée sur le comportement des élèves, dans une logique pragmatique renvoyant à leur insertion professionnelle.
  • Ou alors il s'agit d'insister sur la liaison CDI-Vie scolaire, partie la plus aboutie du projet. Mais dans quel but ? Si la création de ce "pôle" a une finalité pédagogique, alors elle n'a rien d'innovant. Les collaborations professeur documentaliste CPE existent déjà.
  • A cet égard, la comparaison proposée du Learning Center avec un "couteau suisse", objet purement utilitaire, est bien représentative d'une politique d'intégration des TIC à l'école, pratique et consumériste, visant uniquement la mise à disposition d'outils et de ressources numériques.
  • Ceci a pour conséquence manifeste d'évacuer les enjeux d'une véritable éducation à la culture informationnelle, actuellement formalisée par les enseignants-chercheurs en SIC, et didactisée de manière expérimentale par des enseignants documentalistes sur le terrain.
  • En ce sens, ce modèle de Learning Center, qui prétend à l'innovation, se révèle déjà obsolète.
  • La récente mention du "centre de connaissances et de culture", nom francisé du Learning centre, dans la circulaire de rentrée 2012, en a surpris plus d'un. Cet état de fait a de quoi alimenter un peu plus le ressentiment à l'égard de cette absence de dialogue.
delannoy anne

| le site des document@listes : veille informationnelle | - 4 views

  • collecter          • agréger : collecter automatiquement                         • capitaliser l'existant, organiser et archiver
    • Thierry Pouzaud
       
      Suis pas d'accord sur l'ordre de ses étapes... et sur les étapes elles-mêmes d'ailleurs.. ;-) La 1 et 2 sont une seule et même : de mon point de vue "Définir" correspond au "Ciblage" dans lequel se trouve une phase d'identification (sources et 1er tri) en pré-recherche (critères, pannel et périmètre), puis viennent la "Collecte" avec une phase de recherche, de pose d'indicateurs et de syndications,..), puis une phase de "Capitalisation" dans laquelle on trouve l'analyse, le traitement (curation, ..) et l'enregistrement (indexation) des résultats (l'analyse se fait ici en plusieurs "passes", avant et après enregistrement), et enfin le diffusion.. Et on recommence la boucle pour affiner, remédier, oprimiser.. En résumé, une étape de moins et un ciblage point de départ.
  •  
    à revoir besançon
delannoy anne

| le site des document@listes : veille informationnelle | - 2 views

  • « Une veille informationnelle est l’ensemble des stratégies mises en place pour rester informé, en y consacrant le moins de temps possible et en utilisant des processus de signalement automatisés. » (Source : JP Lardy – Urfist de Lyon) La veille informationnelle fait partie des missions du documentaliste. Lorsqu’elle est réalisée de façon pertinente, elle constitue un outil de positionnement du documentaliste dans son milieu professionnel.
  • « Processus continu et dynamique faisant l’objet d’une mise à disposition personnalisée et périodique de données ou d’informations, traitées selon une finalité propre au destinataire, faisant appel à une expertise en rapport avec le sujet ou la nature de l’information collectée ».
  •  
    bon contenu général
Florence Canet

Savoirs CDI: Le système de veille informationnelle du CRDP d'Aquitaine, étude... - 2 views

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    Etude de cas sur le systeme de veille informationnelle mise en place au CRDP Aquitaine ...
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