Skip to main content

Home/ Groups/ Tic&Travail
Aurialie Jublin

Et si on inventait son propre travail... - latribune.fr - 0 views

  • "On y respecte le travail, pas l'entreprise", précise Serra. "Elle a mauvaise réputation". Mais pour que ça marche, il est essentiel "de changer le sens du terme "travail" et de lui donner une dimension innovante, créative". De lui redonner en fait si l'on pense à la tradition artisanale sur laquelle la Catalogne a construit une bonne partie de sa réputation depuis le Moyen-Age.
  •  
    "Le cœur innovant se trouve au LaborLab, entièrement consacré à l'emploi. On n'y aide pas à en trouver mais à en créer. Dans ce modèle, explique le site de CitiLab, "personne n'a besoin que quelqu'un lui donne un travail. Tous ceux qui participent apprennent à partager compétences et connaissances et à créer des projets originaux et attractifs"."
Thierry Nabeth

140 million full time jobs created or destroyed by knowledge work automation in the com... - 1 views

  •  
    The jobs won't all necessarily be lost, as technology will also make many workers more productive, but as always there will be losers, according to McKinsey and Company in their report into the most disruptive technologies for the next decade.
  •  
    Report| McKinsey Global Institute Disruptive technologies: Advances that will transform life, business, and the global economy http://www.mckinsey.com/insights/business_technology/disruptive_technologies
Aurialie Jublin

BYOD : les employés commencent à mettre la main à la poche - JDN Web & Tech - 0 views

  •  
    "18% des salariés IT ont acheté un smartphone à des fins professionnelles. Le partage des coûts entre l'entreprise et l'utilisateur pour s'équiper reste peu pratiqué."
Thierry Nabeth

The STEM Crisis Is a Myth -- IEEE Spectrum - 0 views

  •  
    Forget the dire predictions of a looming shortfall of scientists, technologists, engineers, and mathematicians
abrugiere

Économie numérique : Robots, le retour par Michel Volle - interview - 0 views

  •  
    Interview de Michel Volle par Dominique Lacroix sur l'économie numérique Nous sommes en train de vivre une 3e révolution industrielle, nous sommes en pleine transition. Référence à l'ouvrage l'Histoire des techniques, de Bertrand Gille Au 18e siècle une première révolution industrielle s'est produite, fondée sur les progrès de la métallurgie et l'invention de la machine à vapeur. 28 28À la fin du 19e siècle, sont apparues deux formes nouvelles d'énergie, l'électricité et le pétrole et le cortège d'inventions qui en ont découlé : moteur électrique, lampe électrique, moteur à essence etc. 28 28 La troisième révolution s'est produite vers 1975 avec l'informatisation. L'informatique et les réseaux transforment tellement la vie économique qu'il est utile d'employer un néologisme pour désigner le nouveau paradigme. C'est « l'iconomie ». Où seront les emplois de demain me demandez-vous ? En amont d'abord, dans la conception des produits et des automates. Et en aval, dans le service au client. Les produits sont devenus des assemblages de biens et de services. Je crois qu'à long terme, c'est-à-dire dans 20 ou 30 ans, on peut retrouver le plein emploi. Toute économie parvenue à la maturité utilise la totalité de la force de travail disponible
Aurialie Jublin

Génération Y en entreprise ? De nombreux préjugés plus qu'une réalité - 0 views

  •  
    "La preuve d'un véritable effet « générationnel » n'est pas rigoureusement apportée. Il convient de prendre de la distance avec les « représentations spontanées » sur la génération Y et de proposer aux managers une analyse rigoureuse."
Thierry Nabeth

From House Elves to Hunger Games: Labor Issues in Sci-Fi and Fantasy - 0 views

  •  
    Throughout the years sci-fi has tackled a lot of labor issues. In honor of Labor Day here are some of the best (and worst).
hubert guillaud

Pourquoi l'évaluation/rémunération sur indicateurs ne marche pas - Atoute.org - 0 views

  •  
    Bien qu'appliqué à la médecine, la réflexion de Dominique Dupagne, l'auteur de "La revanche du rameur", pourrait s'appliquer à bien d'autres choses. Il revient sur les théories de l'économiste américain Robert Lucas qui estimait que les statistiques n'aident pas à prédire les comportements futur des agents économiques. "Une corrélation observée peut devenir trompeuse si elle est utilisée dans un but de prévision ou d'évaluation." Pour Lucas, les agents ne modifient pas forcément leur comportement face à un nouvel indicateur qui les concerne. Charles Goodhart, allait même plus loin encore : "Lorsqu'un indicateur est choisi pour guider une politique économique, il perd du même coup la valeur informative qui l'avait qualifié pour remplir cette fonction. Pour le sociologue américain Donald Campbell : "Plus un indicateur quantitatif est utilisé pour prendre des décisions, plus il va être manipulé et plus son usage va aboutir à corrompre le processus qu'il était censé améliorer". Et Dominique Dupagne d'afficher son sceptiscisme face aux méthodes d'évaluation et de rémunération incitatives. Alors quelles évaluations mettre en place ? Pour Dupagne, la solution est d'avoir une palette d'indicateurs très large et de conserver le secret sur ces indicateurs.
  •  
    Bien qu'appliqué à la médecine, la réflexion de Dominique Dupagne, l'auteur de "La revanche du rameur", pourrait s'appliquer à bien d'autres choses. Il revient sur les théories de l'économiste américain Robert Lucas qui estimait que les statistiques n'aident pas à prédire les comportements futur des agents économiques. "Une corrélation observée peut devenir trompeuse si elle est utilisée dans un but de prévision ou d'évaluation." Pour Lucas, les agents ne modifient pas forcément leur comportement face à un nouvel indicateur qui les concerne. Charles Goodhart, allait même plus loin encore : "Lorsqu'un indicateur est choisi pour guider une politique économique, il perd du même coup la valeur informative qui l'avait qualifié pour remplir cette fonction. Pour le sociologue américain Donald Campbell : "Plus un indicateur quantitatif est utilisé pour prendre des décisions, plus il va être manipulé et plus son usage va aboutir à corrompre le processus qu'il était censé améliorer". Et Dominique Dupagne d'afficher son sceptiscisme face aux méthodes d'évaluation et de rémunération incitatives. Alors quelles évaluations mettre en place ? Pour Dupagne, la solution est d'avoir une palette d'indicateurs très large et de conserver le secret sur ces indicateurs.
hubert guillaud

Microaggression et Management - Medium - 0 views

  •  
    Les microagressions quotidiennes sont souvent un mode de management permettant d'asseoir le contrôle et les hiérarchies dans l'entreprise. L'auteur de l'article dresse la liste des formes de microagression dans l'entreprise.
  •  
    Les microagressions quotidiennes sont souvent un mode de management permettant d'asseoir le contrôle et les hiérarchies dans l'entreprise. L'auteur de l'article dresse la liste des formes de microagression dans l'entreprise.
hubert guillaud

GitHub : le Hub d'innovation de l'internet - Technology Review - 1 views

  •  
    GitHub a créé un réseau social où les programmeurs se réunissent, font le travail et ce sans patrons, e-mails ou réunions, souligne Tom Simonite pour la Technology Review. Github, avec ses 3,6 millions d'utilisateurs deviendra-t-il le prochain grand réseau social ? Et pourtant, ce n'est qu'un lieu de stockage, de mise à jour et d'échange de code logiciel pour développeurs. Un réseau social construit autour de la création d'objets de valeur, explique le PDG de ce Facebook pour geeks, Tom Preston-Werner. Cette plaque tournante de l'innovation logicielle dont les membres à 78 % viennent d'en-dehors des Etats-Unis est aussi devenu un des premiers lieux de recrutement de développeurs. La force de Github est de permettre de s'impliquer dans un projet facilement.
  •  
    GitHub a créé un réseau social où les programmeurs se réunissent, font le travail et ce sans patrons, e-mails ou réunions, souligne Tom Simonite pour la Technology Review. Github, avec ses 3,6 millions d'utilisateurs deviendra-t-il le prochain grand réseau social ? Et pourtant, ce n'est qu'un lieu de stockage, de mise à jour et d'échange de code logiciel pour développeurs. Un réseau social construit autour de la création d'objets de valeur, explique le PDG de ce Facebook pour geeks, Tom Preston-Werner. Cette plaque tournante de l'innovation logicielle dont les membres à 78 % viennent d'en-dehors des Etats-Unis est aussi devenu un des premiers lieux de recrutement de développeurs. La force de Github est de permettre de s'impliquer dans un projet facilement.
hubert guillaud

Le service public le plus efficace du monde - Slate Magazine - 1 views

  •  
    Slate enquête sur un bureau de délivrance de passeport à New York, qui, contrairement à tant d'autres, délivre les précieux documents en une journée, sans aucune file d'attente... Mais comment est-ce possible ? Comment le manager du bureau parvient à faire cela ? Quelle liberté a-t-il ? Quelle organisation a-t-il mis en place ? Pour les économistes Imran Rasul et Daniel Rogger, qui se sont intéressé à l'efficacité des ministères Nigériens, l'autonomie est le facteur critique, ainsi que les récompenses. Faut-il trouver plus de directeurs comme celui de cette petite agence ?
  •  
    Slate enquête sur un bureau de délivrance de passeport à New York, qui, contrairement à tant d'autres, délivre les précieux documents en une journée, sans aucune file d'attente... Mais comment est-ce possible ? Comment le manager du bureau parvient à faire cela ? Quelle liberté a-t-il ? Quelle organisation a-t-il mis en place ? Pour les économistes Imran Rasul et Daniel Rogger, qui se sont intéressé à l'efficacité des ministères Nigériens, l'autonomie est le facteur critique, ainsi que les récompenses. Faut-il trouver plus de directeurs comme celui de cette petite agence ?
hubert guillaud

3 façons pour travailler mieux avec les freelance - Linked-in - 1 views

  •  
    Pour Tom Brown, PDG d'Ideo, si 40% de la population active sera composée de travailleurs temporaires à l'horizon 2020, nous n'avons pas beaucoup de temps pour adapter nos entreprises aux nombreux freelance qui vont les peupler. Le travail temporaire implique des avantages et inconvénients pour le travailleur comme pour l'entreprise. Chez Ideo pour mieux intégrer ces talents extérieurs, Tim Brown propose de les appeler par leur fonction, de mieux développer des espaces et temps d'intégration au reste des équipes et de mieux les protéger.
  •  
    Pour Tom Brown, PDG d'Ideo, si 40% de la population active sera composée de travailleurs temporaires à l'horizon 2020, nous n'avons pas beaucoup de temps pour adapter nos entreprises aux nombreux freelance qui vont les peupler. Le travail temporaire implique des avantages et inconvénients pour le travailleur comme pour l'entreprise. Chez Ideo pour mieux intégrer ces talents extérieurs, Tim Brown propose de les appeler par leur fonction, de mieux développer des espaces et temps d'intégration au reste des équipes et de mieux les protéger.
hubert guillaud

Flexibilité: ce rapport de l'OCDE qu'ils ne voulaient pas lire - SarkoFrance - 1 views

  •  
    Où l'on découvre que la rigidité ou la flexibilité des législations du travail au sein de ses Etats membres n'a absolument aucune corrélation avec leur niveau de chômage.
  •  
    Où l'on découvre que la rigidité ou la flexibilité des législations du travail au sein de ses Etats membres n'a absolument aucune corrélation avec leur niveau de chômage.
hubert guillaud

Qu'est-ce qui explique le déclin de Microsoft ? Le système de classement de s... - 0 views

  •  
    Pour Will Oremus, c'est le système de management des employés voulu par Ballmer qui expliquerait le déclin de Microsoft. La raison ? Il ne favorise pas la collaboration, mais les critiques des uns contre les autres.
  •  
    Pour Will Oremus, c'est le système de management des employés voulu par Ballmer qui expliquerait le déclin de Microsoft. La raison ? Il ne favorise pas la collaboration, mais les critiques des uns contre les autres.
hubert guillaud

Comment la technologie détruit la classe moyenne - NYTimes.com - 0 views

  •  
    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
  •  
    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
hubert guillaud

Pourquoi tant d'hommes incompétents deviennent-ils des leaders ? - Harvard Bu... - 0 views

  •  
    Il y a 3 explications populaires à la sous représentation des femmes dans le management, estime Thomas Chamorro-Premuzic : elles ne sont pas capables, elles ne sont pas intéressées, elles sont à la fois intéressées et capables, mais incapables de briser le plafond de verre des stéréotypes et préjugés qui empêchent les femmes d'accéder aux postes de décision. Pour Thomas CHamorro-Premuzic, la principale raison du déséquilibre des genres dans les fonctions de direction repose sur notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. C'est-à-dire que nous avons tendance à interpréter les signes de confiance comme des signes de compétences. Le charisme et le charme sont souvent confondus avec le potentiel à diriger. De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités plus fréquents chez les hommes que les femmes. Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leur chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l'amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s'aimer eux-mêmes. Enfin, les hommes ont tendance à penser qu'ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l'arrogance et la suffisance sont inversement proportionnels aux talents de leadership. Quelque soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles... C'est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents. Pas étonnant qu'avec ces mauvais dirigeants, les sociétés, entreprises et organisations soient massivement mal gérées. Pourtant, certaines études ont montré que les femmes cadres sont plus susceptibles de susciter le respect et la fierté de leurs adeptes, communiquer leur vision, responsabiliser leurs subordonnés et résoudre des problèmes de f
  •  
    Il y a 3 explications populaires à la sous représentation des femmes dans le management, estime Thomas Chamorro-Premuzic : elles ne sont pas capables, elles ne sont pas intéressées, elles sont à la fois intéressées et capables, mais incapables de briser le plafond de verre des stéréotypes et préjugés qui empêchent les femmes d'accéder aux postes de décision. Pour Thomas CHamorro-Premuzic, la principale raison du déséquilibre des genres dans les fonctions de direction repose sur notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. C'est-à-dire que nous avons tendance à interpréter les signes de confiance comme des signes de compétences. Le charisme et le charme sont souvent confondus avec le potentiel à diriger. De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités plus fréquents chez les hommes que les femmes. Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leur chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l'amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s'aimer eux-mêmes. Enfin, les hommes ont tendance à penser qu'ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l'arrogance et la suffisance sont inversement proportionnels aux talents de leadership. Quelque soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles... C'est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents. Pas étonnant qu'avec ces mauvais dirigeants, les sociétés, entreprises et organisations soient massivement mal gérées. Pourtant, certaines études ont montré que les femmes cadres sont plus susceptibles de susciter le respect et la fierté de leurs adeptes, communiquer leur vision, responsabiliser leurs subordonnés et résoudre des problèmes de f
hubert guillaud

Emplois Foireux - La Grotte Du Barbu - 0 views

  •  
    Le barbu traduit un article très amusant et stimulant de l'anthropologue David Graeber publié par BoingBoing sur la montée de l'emploi "inutile". Loin de l'anthropologue de dire ce qu'est un emploi inutile autrement que d'être un emploi sans intérêt pour celui qui l'occupe, mais plutôt de tenter d'expliquer pourquoi nous n'avons pas eu la réduction du temps de travail promise par Keynes. Pourtant, l'économie capitaliste aurait du nous préserver de ce type d'emploi. Pour David Graeber, c'est la preuve que cette réponse n'est pas seulement économique, mais également morale et politique. "Les emplois réels, productifs, sont sans arrêt écrasés et exploités"... Et les autres.
  •  
    Le barbu traduit un article très amusant et stimulant de l'anthropologue David Graeber publié par BoingBoing sur la montée de l'emploi "inutile". Loin de l'anthropologue de dire ce qu'est un emploi inutile autrement que d'être un emploi sans intérêt pour celui qui l'occupe, mais plutôt de tenter d'expliquer pourquoi nous n'avons pas eu la réduction du temps de travail promise par Keynes. Pourtant, l'économie capitaliste aurait du nous préserver de ce type d'emploi. Pour David Graeber, c'est la preuve que cette réponse n'est pas seulement économique, mais également morale et politique. "Les emplois réels, productifs, sont sans arrêt écrasés et exploités"... Et les autres.
Aurialie Jublin

Les jeunes face au travail: quatre portraits de groupe | Slate - 0 views

  • Ces quatre groupes diffèrent sur tant de points: potentialités de carrière, accès à l’emploi, statuts, univers culturel et politique, capacité de mobilité et horizon géographique…. Vivent-ils dans des bulles étanches l’une à l’autre? Pas si sûr, car ils ont vécu ensemble les profonds changements qui ont affecté les sociétés européennes ces vingt dernières années, et entre membres de cette génération existe une certaine solidarité.
  • Les nouvelles générations accordent presque plus d’importance à cette dimension de l’existence que les actifs plus âgés —contrairement à une idée qui leur impute un tropisme essentiellement hédoniste. Dans un contexte de pénurie, la valeur travail, en fait, s’est renchérie.
  • Si les aspects utilitaires comme le salaire et la sécurité sont d’abord recherchés (en moyenne) lors d’une première embauche, les jeunes valorisent aussi hautement ce qu’un emploi apporte au développement personnel et sont attentifs à la qualité des relations qui règnent dans l’entreprise. Ce dernier souci, par exemple, peut leur faire préférer un emploi qui a du sens à une stabilité de l’emploi. Enfin, contestant le spectre du travail comme horizon unique, ils s’attendent à ce que ses conditions d’exercice soient compatibles avec la vie personnelle.
  •  
    "Diverse dans sa formation, son ambition, son intégration, la jeunesse française a pour point commun un rapport complexe et fort à la valeur travail, qui ne rend que plus visible l'année perdue par le nouveau gouvernement sur le sujet."
« First ‹ Previous 1181 - 1200 of 1766 Next › Last »
Showing 20 items per page