L’information, bien sûr, ne vaut rien en elle-même, sans le récepteur pour lequel elle fait sens, mais qui n’est pas forcément un organisme vivant. Il n’y a pas d’information circulante sans information structurante (organisation apprenante). J’avais essayé de montrer, notamment dans L’Ere de l’information cosignée par Jacques Robin, toute la complexité de l’information et ce qui l’opposait à l’énergie (entre autres son improbabilité, sa discontinuité, sa non-linéarité, son imperfection, sa reproductibilité, son caractère de signe, sa fonction anti-entropique, etc.).