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Ministère des solidarités - Résumé des 21 mesures - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Document de référence - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Annexes - Stratégie nationale de prévention et de... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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France Stratégie - Le couple contribue-t-il encore à réduire les inégalités ? - 0 views

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    Entre 1996 et 2015, la hausse de l'activité des femmes a fait chuter les inégalités de revenus entre femmes et hommes. Pour autant, les inégalités de niveaux de vie - celles qui tiennent compte de la structure des ménages et de la redistribution socio-fiscale - sont restées relativement stables. Pour comprendre pourquoi, France Stratégie met en lumière que la France a été marquée non par une mais par trois transformations sociales qui ont modifié la répartition des revenus en France. La Note d'analyse souligne en particulier l'utilité qu'il y a à s'intéresser à un mécanisme trop souvent négligé lorsque l'on cherche à comprendre les évolutions des inégalités en France, celui de la mise en commun des ressources au sein d'un ménage, la « redistribution privée ». France Stratégie montre ainsi que la progression de l'activité féminine a bien réduit les inégalités. Mais, dans le même temps, deux autres évolutions sociales ont joué en sens contraire : La modification des structures familiales induite par les nouveaux modes de vie, avec une mise en couple plus tardive et une hausse des désunions. En 2015, 69 % des 25-60 ans étaient en couple alors qu'ils étaient 78 % en 1996. En particulier, les familles monoparentales sont devenues 1,6 fois plus nombreuses sur la période. Le renforcement de l' « homogamie de revenu » : les hommes et les femmes sont de plus en plus souvent en couple avec une personne qui perçoit un revenu proche du leur. Cela se traduit par une diminution des inégalités au sein des couples mais par une augmentation des inégalités entre couples. L'impact de ces deux dernières évolutions sociales s'observe lors de la mise en commun des ressources au sein des ménages - une étape qui permet de réduire les inégalités entre individus tant que les écarts de rémunérations entre conjoints persistent. De fait, des couples moins nombreux, c'est moins d'individus susceptibles de
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Secours Catholique - Notre « État de la pauvreté en France 2022 » - 0 views

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    "Le Secours Catholique-Caritas France publie jeudi 17 novembre son rapport statistique annuel "État de la pauvreté en France 2022". Constats et analyses sur la précarité issus de l'observation sur l'ensemble du territoire national de plus de 46 000 situations (sur les 938 000 personnes accueillies par l'association en 2021). Cette année, le rapport étudie l'impact de la crise du Covid sur les conditions de vie des ménages les plus fragiles. Après deux ans d'épreuves, leur pauvreté s'est aggravée, tandis qu'ils subissent désormais le choc de l'inflation. Paragraphes de contenu Texte Crise financière, crise sanitaire, guerre aux frontières de l'Europe, inflation, événements climatiques extrêmes… Nous sommes dans une ère d'incertitudes multiples. Pour celles et ceux qui n'ont aucun coussin d'amortissement, le choc peut être extrêmement douloureux. C'est le cas des personnes aux conditions de vie les plus précaires, qui ont été le plus durement affectées par la crise née du Covid-19. Tel est le principal enseignement du rapport statistique 2022 du Secours Catholique sur l'état de la pauvreté en France. À l'appui de ce constat, une étude dédiée à l'impact de la crise sur les budgets des plus précaires. Elle a été menée en partenariat avec des chercheurs de l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et de l'université Paris-Saclay. Les données ont été recueillies auprès d'un échantillon de près de 9000 ménages accueillis par l'association, avant et durant la crise sanitaire. Cette analyse du budget des ménages met en évidence des profils de précarité diversement affectés. Les femmes seules, en particulier, ont vu leur budget, déjà très contraint, fortement déséquilibré par les pertes de revenus engendrées par la crise sanitaire. Autre population peu ou mal servie par les aides publiques mises en place pour compenser les effets de la crise, les étrangers au statut légal instable ont
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Fondation Abbé Pierre - Rapport complet - L'état du mal-logement en France 20... - 0 views

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    La 23e édition du rapport annuel sur L'État du mal-logement de la Fondation Abbé Pierre livre une nouvelle description de la crise du logement. Si le marché de l'immobilier affiche une bonne santé générale, 4 millions de personnes restent mal logées ou privées de domicile, tandis que 12 millions voient leur situation fragilisée par la crise du logement. Au total, près de 15 millions de personnes sont touchées, à un titre ou à un autre, par la crise du logement. Au-delà de cette dure photographie, la dynamique ne prête pas à l'optimisme. La qualité moyenne des logements continue de s'améliorer, mais la hausse des prix creuse les inégalités résidentielles et bouche l'horizon des ménages des couches populaires. Comme si des centaines de milliers de personnes, en plus d'être mal-logées aujourd'hui, se voyaient assignées à le rester toute leur vie. Ce rapport met l'accent sur une des formes de mal-logement les plus difficiles à vivre : le surpeuplement. En déclin sensible pendant des décennies, le surpeuplement connaît une recrudescence inquiétante au cours des dernières années. 8,6 millions de personnes touchées par le surpeuplement en 2013, dont 934 000 en surpeuplement « accentué » Ce retour du surpeuplement est une tendance d'autant plus inquiétante que cette forme de mal-logement est vécue très douloureusement par les ménages concernés, comme le montre l'enquête Logement de l'Insee : 66 % des ménages subissant une situation de surpeuplement accentué souhaitent changer de logement, alors que ce n'est le cas que de 27 % des ménages en moyenne, de 39 % des ménages « fragilisés par rapport au logement » et de 48 % des « mal-logés ». Un chapitre entier leur donne la parole, pour battre en brèche les tendances à ignorer, relativiser ou banaliser ce phénomène. La présentation de cette nouvelle édition permet aussi à la Fondation, en se référant à des expériences européennes et à l'
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Fondation Abbé Pierre - Synthèse - L'état du mal-logement en France 2018 (23e) - 0 views

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    La 23e édition du rapport annuel sur L'État du mal-logement de la Fondation Abbé Pierre livre une nouvelle description de la crise du logement. Si le marché de l'immobilier affiche une bonne santé générale, 4 millions de personnes restent mal logées ou privées de domicile, tandis que 12 millions voient leur situation fragilisée par la crise du logement. Au total, près de 15 millions de personnes sont touchées, à un titre ou à un autre, par la crise du logement. Au-delà de cette dure photographie, la dynamique ne prête pas à l'optimisme. La qualité moyenne des logements continue de s'améliorer, mais la hausse des prix creuse les inégalités résidentielles et bouche l'horizon des ménages des couches populaires. Comme si des centaines de milliers de personnes, en plus d'être mal-logées aujourd'hui, se voyaient assignées à le rester toute leur vie. Ce rapport met l'accent sur une des formes de mal-logement les plus difficiles à vivre : le surpeuplement. En déclin sensible pendant des décennies, le surpeuplement connaît une recrudescence inquiétante au cours des dernières années. 8,6 millions de personnes touchées par le surpeuplement en 2013, dont 934 000 en surpeuplement « accentué » Ce retour du surpeuplement est une tendance d'autant plus inquiétante que cette forme de mal-logement est vécue très douloureusement par les ménages concernés, comme le montre l'enquête Logement de l'Insee : 66 % des ménages subissant une situation de surpeuplement accentué souhaitent changer de logement, alors que ce n'est le cas que de 27 % des ménages en moyenne, de 39 % des ménages « fragilisés par rapport au logement » et de 48 % des « mal-logés ». Un chapitre entier leur donne la parole, pour battre en brèche les tendances à ignorer, relativiser ou banaliser ce phénomène. La présentation de cette nouvelle édition permet aussi à la Fondation, en se référant à des expériences européennes et à l'
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Centre d'observation de la société - La baisse de la taille des ménages va-t-... - 0 views

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    "La taille des ménages continue à diminuer, mais de moins en moins vite, selon l'Insee. L'indicateur a fortement baissé, de 3,1 à 2,3 personnes par ménage, entre la fin des années 1960 et le milieu des années 2000. Depuis 2009, il n'a diminué que de 0,02. En quoi la taille des ménages est-elle un indicateur important ? Un ménage, dans la statistique française, est une unité de logement indépendante. Moins vous avez de personnes par logement, plus il vous faut de logements pour une population donnée. Entre 1999 et 2013, le nombre de ménages a augmenté de 4,2 millions (+17 %) mais l'Insee estime que la moitié de cette hausse résulte de la réduction de la taille des ménages 1. Avec 2,9 personnes par ménage (comme en 1975), la population actuelle (63 millions de personnes) aurait besoin de 22 millions de logements. A 2,3 personnes par ménage, il en faut 27,5 millions, 5,5 millions de plus. La baisse du nombre moyen de personnes par ménage, donc par logement, est l'un des éléments qui a alimenté la demande en logements. L'arrêt de cette baisse pourrait avoir un effet favorable, si l'offre de logements ne fléchit pas."
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Drees - L'isolement des bénéficiaires de minima sociaux et de la prime d'acti... - 0 views

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    Les bénéficiaires de l'allocation aux adultes handicapés et du minimum vieillesse sont particulièrement touchés par l'isolement social Fin 2018, les bénéficiaires de revenus minima garantis (c'est-à-dire de minima sociaux ou de la prime d'activité) fin 2017 sont plus concernés par l'isolement social que l'ensemble de la population. Ainsi, d'après l'enquête de la DREES auprès des bénéficiaires de minima sociaux (BMS) 2018, ils sont beaucoup plus nombreux à vivre dans un ménage composé d'une personne seule (38 % d'entre eux contre 20 % dans l'ensemble de la population). La fréquence des relations (rencontres de visu ou contacts dématérialisés) de ces bénéficiaires de revenus minima garantis avec la famille et les amis est plus faible que celle de l'ensemble de la population, notamment pour les bénéficiaires du minimum vieillesse (graphique A). Ces derniers sont 8 % à n'avoir des relations avec leur entou-rage que moins d'une fois par mois (ou à ne pas avoir d'entourage) tandis que cette part est de 3 % pour l'ensemble des bénéficiaires de revenus minima garantis et de 1 % pour l'ensemble de la population [1]. En approchant les liens avec la famille et les amis non plus en termes de fréquence, mais en termes de qualité des relations, les bénéficiaires de revenus minima garantis sont 19 % à être concernés par ce type d'isolement. Cela signifie qu'au moins une des trois conditions suivantes n'est pas vérifiée : compter pour quelqu'un, pouvoir compter sur quelqu'un pour recevoir un soutien moral, ou que quelqu'un puisse compter sur le bénéficiaire pour recevoir un soutien moral. Près de trois bénéficiaires du minimum vieillesse et de l'AAH sur dix sont isolés en termes de qualité des relations. Les bénéficiaires de la prime d'activité sont les moins concernés par l'isolement (13 %). Toutes choses (caractéristiques sociodémographiques, etc.) égales par ailleurs, les
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The Conversation - Solidaires car autonomes : loin des grandes villes, la pro... - 0 views

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    "Lors de toute crise, la solidarité et l'entraide réapparaissent comme facteurs premiers d'interdépendance sociale et de « résilience » humaine. C'est le cas aujourd'hui avec la pandémie du Covid-19. Or, les lieux et les territoires jouent un rôle plus que déterminant dans l'émergence d'élans de solidarité. Il existe en fait, géographiquement, des potentiels différenciés de solidarité et d'entraide. Ils s'expriment en termes sociaux par une proximité bouleversée par le confinement, en termes économiques par les échanges également modifiés, ou encore écologiques, par le bien-être clairement altéré. Or, par les contraintes engendrées, ce confinement lie étroitement l'ancrage spatial des formes de solidarité et d'entraide à l'autonomie. La racine grecque de l'autonomie, nomos, vient du verbe nemô qui signifie distribuer tout autant que partager. Ici, les grands espaces périphériques, éloignés des grandes agglomérations et de leurs banlieues de plus en plus étendues, largement extérieurs aux tumultes métropolitains, et siège du mouvement des « gilets jaunes », semblent afficher dans leur diversité quelques singularités. Et si solidarité et entraide incitaient, par l'autonomie, à reconsidérer nos règles écologiques de vie, et ce faisant à inverser les priorités politiques entre les centres urbains choyés et les fameuses périphéries ?"
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INSEE - Un ménage francilien sur quatre concerné par une forme de pauvreté - 0 views

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    "En Île-de-France, la pauvreté monétaire touche 15,6 % de la population, soit 1,8 million de personnes au niveau de vie inférieur à 1 000 € par mois. Par ailleurs, la pauvreté administrative mesurée à travers le revenu de solidarité active (RSA) concerne 5,3 % de la population francilienne. La pauvreté peut également être appréhendée par les conditions de vie. Ainsi, 15,9 % des ménages franciliens déclarent des privations matérielles. Au global, un quart des ménages franciliens est touché par au moins une forme de pauvreté, et près de 2 % cumulent les trois formes. Les familles monoparentales, les personnes seules, en particulier les hommes, et les locataires font partie des ménages les plus concernés par la pauvreté. Depuis la fin des années 2000, la pauvreté a fortement augmenté dans la région. "
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Étude : L'évolution des transferts entre les générations en France depuis tre... - 0 views

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    "Cette étude, réalisée à la demande du Commissariat général à la stratégie et à la prospective et attribuée sur appel d'offres, propose un panorama complet des transferts entre les générations en France sur un horizon de trente ans. Elle a été réalisée par une équipe d'une dizaine de chercheurs membres de la Chaire transitions économiques, transitions démographiques. La direction de l'étude a été assurée par Hippolyte d'Albis, professeur à l'université Paris-I. Les transferts entre les générations désignent, au sens large, la redistribution des ressources produites par les individus d'âge actif aux individus "dépendants" (enfants et retraités). Beaucoup de transferts dépendent de l'âge (retraite, éducation, temps de soins aux enfants, etc.). Or l'allongement de l'espérance de vie a modifié les structures par âge de la population et les rapports entre les générations. Cela questionne à la fois la soutenabilité financière de notre système de protection sociale, le rôle des familles comme pourvoyeur de solidarité et la place du marché comme opérateur de transferts de risques et de revenus (logiques assurantielles). L'évolution de la composition des transferts (salaires, retraites, revenus du capital, cotisations et taxes, épargne, etc.) par âge et dans le temps permet de mieux comprendre la dynamique des dépenses publiques et, in fine, nous renseigne sur l'évolution du modèle social français. L'analyse qui a été réalisée repose sur une méthodologie originale, celle des Comptes de transferts nationaux (National Transfer Accounts ou NTA), qui aujourd'hui fait référence sur le plan international." DOCUMENT EN TELECHARGEMENT
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Sénat - Délégation à la prospective - Rapport sur l'avenir du pacte entre les... - 0 views

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    Ce rapport étudie la transformation des relations entre les générations et formule une vingtaine de recommandations en vue d'adapter les politiques publiques à la nouvelle donne générationnelle. Sa première partie, faisant le point sur un débat qui court depuis plus de deux décennies, revient sur l'opposition entre une génération parfois qualifiée de « dorée », celle des baby-boomers, et des générations postérieures qui seraient « maltraitées ». Le rapport souligne que, si le Pacte intergénérationnel issu de la Libération est bien traversé de tensions qui menacent sa soutenabilité économique et son acceptabilité politique, la cohésion sociale est cependant moins menacée par le scénario catastrophe de la « guerre des âges » que par un risque de fragmentation interne aux générations, lié à la hausse des inégalités et à la divergence des intérêts au sein de chaque classe d'âge. L'enjeu des réformes du Pacte intergénérationnel n'est donc pas seulement de lier entre elles les différentes générations, mais faire en sorte que les membres des nouvelles générations continuent à se sentir liés par un destin commun. Le rapport aborde également la dimension symbolique des relations intergénérationnelles. Il montre que, dans ses rapports à la famille, à la politique, à l'école et au travail, la jeunesse est mue par un même projet de quête de sens. Or, de plus en plus de jeunes ont le sentiment de devoir prendre leur place dans un monde qui ne correspond pas à leurs attentes en termes d'épanouissement personnel ou de désir de participation directe au fonctionnement des institutions. Face à des univers scolaire et professionnel hyper compétitifs, qui ne permettent ni l'erreur ni le tâtonnement, face à des mondes du travail et de la politique encore faiblement participatifs, ils semblent hésiter entre une résignation désabusée, de nouvelles formes de radicalité ou une forme silencieuse de révolution con
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Institut Montaigne - Seine-Saint-Denis : le Covid-19 exalte les inégalités - 0 views

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    "Le Covid-19 n'épargne aucun continent, aucun pays ni aucun territoire : "ce virus n'a pas de passeport", selon la formule consacrée du président de la République. Cependant, comme ses ancêtres auparavant, le Covid-19 est plus susceptible de se propager dans les populations qui vivent dans les conditions matérielles les plus désastreuses. Quelques jours après l'annonce du confinement, Paris s'était brusquement arrêté. Selon les données de géolocalisation contenues dans les téléphones, entre le 13 et le 20 mars, plus d'un million de Franciliens auraient déserté leur région pour rejoindre leurs résidences secondaires et supporter un confinement qui promettait d'être long. A quelques stations de métros, aux portes de Paris, les Séquano-Dionysiens (habitants de la Seine-Saint-Denis) ne sont pas ignorants des injonctions du gouvernement à rester chez soi, ni du bienfait qu'il y aurait de trouver un asile ailleurs pour mieux supporter l'enfermement, et moins encore à l'évidence de la nécessité de protéger les siens. Ils n'en ont simplement pas le privilège. Contraints par la nécessité économique qui impose, pour certains, le maintien de déplacements professionnels et happés par un irréfrénable besoin d'air frais pour fuir une promiscuité insupportable, les Séquanos-Dionysiens propagent de facto le virus. Entre le 28 mars et le 3 avril, la mortalité dans le département a augmenté de 47 % par rapport à la semaine précédente (la semaine du 21 au 27 mars ayant déjà révélé une augmentation de 63 % de la mortalité par rapport à la semaine précédente). Entre le mois de mars de l'année 2019 et le mois de mars de l'année 2020, le nombre de décès a augmenté de 61,6 %. Aucune classe d'âge n'est épargnée : entre mars 2019 et mars 2020, les analyses conduites par l'Insee révèlent une augmentation de la mortalité de 55,5 % chez les moins de 64 ans, de 67,8 % chez les 65-74 ans e
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Crédoc - Collection de rapports - 10 ans d'observation de l'isolement relatio... - 0 views

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    "En janvier 2020, plus de sept millions de personnes résidant en France sont en situation d'isolement relationnel. Les travaux entrepris par la Fondation de France sur le sujet depuis dix ans montrent une progression de ce phénomène au sein de la société, non seulement par son ampleur, mais aussi par sa diffusion dans des catégories sociales auparavant moins touchées par l'isolement. Si les ménages modestes et les personnes âgées restent la cible privilégiée de l'isolement relationnel, les classes moyennes supérieures et les jeunes sont également de plus en plus concernés par le sujet. Dans un contexte de hausse des dépenses contraintes, les individus aux budgets serrés voient leurs marges de manœuvre se réduire pour les dépenses liées aux loisirs, aux vacances ou encore aux sorties. Les isolés, plus souvent précaires, disposent également de conditions de logement moins favorables, rendant plus difficile les possibilités de recevoir du monde chez soi. En 2020, deux enquêtes ont été réalisées. La première entre décembre 2019 et janvier 2020, à l'aube de la crise sanitaire et la deuxième entre avril et mai 2020, alors que la population était confinée. "
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Crédoc - Sourcing - 10 ans d'observation de l'isolement relationnel: un phéno... - 0 views

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    "En janvier 2020, plus de sept millions de personnes résidant en France sont en situation d'isolement relationnel. Les travaux entrepris par la Fondation de France sur le sujet depuis dix ans montrent une progression de ce phénomène au sein de la société, non seulement par son ampleur, mais aussi par sa diffusion dans des catégories sociales auparavant moins touchées par l'isolement. Si les ménages modestes et les personnes âgées restent la cible privilégiée de l'isolement relationnel, les classes moyennes supérieures et les jeunes sont également de plus en plus concernés par le sujet. Dans un contexte de hausse des dépenses contraintes, les individus aux budgets serrés voient leurs marges de manœuvre se réduire pour les dépenses liées aux loisirs, aux vacances ou encore aux sorties. Les isolés, plus souvent précaires, disposent également de conditions de logement moins favorables, rendant plus difficile les possibilités de recevoir du monde chez soi. En 2020, deux enquêtes ont été réalisées. La première entre décembre 2019 et janvier 2020, à l'aube de la crise sanitaire et la deuxième entre avril et mai 2020, alors que la population était confinée."
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DREES - Suicide : quels liens avec le travail et le chômage ? Penser la préve... - 0 views

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    En 2016, la France comptabilise près de 9 300 décès par suicide, un chiffre qui s'inscrit à la baisse depuis les années 2000. La moitié de ces décès concerne des personnes en âge de travailler, entre 35 et 64 ans. Ainsi, il se peut que certains de ces suicides soient liés aux conditions de travail des personnes concernées ou à leur vécu d'une situation de chômage. Toutefois, le constat ne peut être que partiellement posé. Le processus suicidaire est en effet un phénomène multifactoriel dans lequel le rôle joué par le travail ou le chômage est difficile à isoler. De plus, le système d'information permettant de répondre à ces questions est perfectible. Centré sur les suicides liés au travail et au chômage, le quatrième rapport de l'Observatoire national du suicide est composé de deux dossiers et de 18 fiches. Ce rapport a été rédigé avant la crise sanitaire liée au Covid-19. Par conséquent, il ne propose pas d'analyse de l'impact psychologique de cette crise ni de ses effets sur les conduites suicidaires. Certains résultats du rapport peuvent néanmoins éclairer la question des effets de cette crise sanitaire sur les travailleurs selon leur situation professionnelle. Le premier dossier revient sur la mise en place de politiques spécifiques de prévention du suicide élaborées ces dernières années et sur l'évolution du cadre législatif de la santé au travail. Malgré ces avancées et tout en rappelant que le travail est protecteur, ce 4ème rapport souligne que certaines conditions de travail et certaines pratiques de management peuvent générer un climat anxiogène pour les travailleurs et créer des risques psycho-sociaux. Même si le lien de causalité avec les conduites suicidaires n'est pas direct, le travail peut ainsi être en cause dans le processus suicidaire. De même, l'impact de la perte d'emploi et l'inactivité forcée occasionnent des formes de souffrances psychiques susceptibles de cond
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Paris - Reprendre du souffle, dans la « paroisse des évêques » - 0 views

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    "Le visage concentré, Jessica [1] dessine au crayon sur un petit bout de papier un autre visage : celui d'une fille, qui semble avoir son âge, en train de dormir, tout sourire, le visage apaisé, sur un oreiller bien dodu. « Je recopie un dessin », souffle la petite fille de 10 ans derrière de longues et fines tresses noires qui viennent balayer son visage. Sous le dessin originel, il est mentionné que le sommeil est nécessaire pour être en forme le lendemain. Jessica, elle, ne sait pas encore où elle pourra poser sa tête en cette nuit du 14 février. Il est 20h15, elle attend, place de l'Hôtel de Ville (4e), avec sa mère, sa sœur et son frère, qu'une solution soit trouvée. Sur le parvis, des bénévoles de l'association Utopia 56 s'agitent pour mettre en relation près de 150 familles ou femmes seules, qui, comme elle, sont à la rue ce soir, et les endroits de mise à l'abri disponibles. Parmi lesquels : des lieux tenus par des associations, par des entreprises privées, par des paroisses parisiennes. Il y a St-Jean Bosco (20e), le St-Esprit (12e), St-Denys de la Chapelle (18e), N.-D. de la Confiance (17e)… et, depuis un an, la « paroisse des évêques ». « C'est comme cela qu'on nous appelle ici », sourit Claire Rossignol, déléguée diocésaine à la pastorale des Migrants de Paris, qui a proposé aux vicaires généraux et évêques auxiliaires résidant dans leur maison, en plein cœur de Paris, d'ouvrir leurs portes à ces familles ou femmes seules. Tout de suite, ils acceptent. Et décident de mettre à disposition une salle et neuf couchages, quatre mois par an, à raison de deux soirs par semaine."
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Angoulême - Opération rebond : action de solidarité au profit des jeunes prof... - 0 views

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    "1ÈRE JOURNÉE DE DISTRIBUTION DES COLIS ALIMENTAIRES FINANCÉS PAR LE CONSEIL RÉGIONAL DE NOUVELLE AQUITAINE, CONFECTIONNÉS PAR LA BANQUE ALIMENTAIRE DE LA CHARENTE ET DISTRIBUÉS PAR LA RÉSERVE CIVIQUE DE SAINT VINCENT DE PAUL POUR LES APPRENTIS ET LES JEUNES TRAVAILLEURS DE 15 À 30 ANS."
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"Les œuvres de miséricorde" : catéchèse 2016 de Mgr d'Ornellas à La Peinière ... - 0 views

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    "Le « germe d'éternité » Avant de réfléchir à ces « œuvres », je voudrais évoquer une magnifique et sublime « œuvre de miséricorde ». Cela nous aidera à en vivre avec davantage de vérité. Il s'agit de la résurrection de Jésus. Commençons par écouter ensemble un petit texte du concile Vatican II, c'est-à-dire un texte qui vient de la réflexion et de la prière des évêques du monde entier, et que le pape Paul VI a jugé bon de promulguer pour qu'il soit un enseignement de l'Église donné à tous les catholiques à travers le monde : « C'est en face de la mort que l'énigme de la condition humaine atteint son sommet. L'homme n'est pas seulement tourmenté par la souffrance et la déchéance progressive de son corps, mais plus encore, par la peur d'une destruction définitive. Et c'est par une inspiration juste de son cœur qu'il rejette et refuse cette ruine totale et ce définitif échec de sa personne. Le germe d'éternité qu'il porte en lui, irréductible à la seule matière, s'insurge contre la mort. »"
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