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julien camacho

Futuribles - 1 views

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    Le 21 mai, le PNUE (Programme des Nations unies pour l'environnement) a annoncé le lancement du Portail mondial pour la consommation et la production durables. L'objectif de ce portail est de rassembler en un lieu unique les informations existantes sur la consommation et la production durables, afin d'encourager la communication et la coopération entre les nombreux acteurs impliqués. Le site s'adresse donc aussi bien aux gouvernements, aux entreprises et aux chercheurs qu'à la société civile.
julien camacho

Consommation collaborative : L'heure du virage pour les marques ? | L'Atelier Du Numerique - 0 views

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    La consommation collaborative émerge dans tous les secteurs. Elle repose sur le partage d'un bien ou d'un service afin de réduire les coûts d'utilisation de celui-ci. Le mode de pensée de ce type de transaction repose donc sur une économie plus responsable qui bénéficie à la planète et au portefeuille. Pour les marques il s'agit d'un virage très compliqué à gérer, si par exemple un véhicule est partagé entre plusieurs personnes. Comment une entreprise doit-elle appréhender ses objectifs marketing et de vente ?
hubert guillaud

Crowdfunding sans licences libres = piège à gogos ? - S.I.Lex :: - 2 views

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    La prochaine fois que vous participerez à une opération de crowdfunding demandez-vous si les droits du public sont bien respectés, si les contreparties de votre financement sont équitables, non pas seulement pour vous personnellement, mais également pour le projet...
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    La prochaine fois que vous participerez à une opération de crowdfunding demandez-vous si les droits du public sont bien respectés, si les contreparties de votre financement sont équitables, non pas seulement pour vous personnellement, mais également pour le projet...
pierremallet

Evgeny Morozov | Don't believe the hype, the 'sharing economy' masks a failing economy ... - 2 views

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    Verizon, un des plus grands opérateurs mobile des US, vient de lancer un nouveau service qui s'aventure du côté de l'économie du partage : AutoShare, qui grâce à un système de QR code, permet de réserver et utiliser simplement un véhicule (ou un autre bien), en utilisant son smartphone. Evgeny Morovoz, qui n'est habituellement pas tendre avec la consommation collaborative, voit ici de nouvelles limites dans cette nouvelle technologie visant à fluidifier le marché du "partage" : celle d'une nouvelle forme de consommation qui soignerait juste les conséquences d'une économie dysfonctionnelle, plutôt que de s'attaquer aux véritable causes de ces dysfonctionnements.
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    "There's no denying that the sharing economy can - and probably does - make the consequences of the current financial crisis more bearable. However, in tackling the consequences, it does nothing to address the causes. It's true that, thanks to advances in the information technology, some of us can finally get by with less - chiefly, by relying on more effective distribution of existing resources. But there's nothing to celebrate here: it's like handing everybody earplugs to deal with intolerable street noise instead of doing something about the noise itself. "
asselinj

Taxes Won't Kill Bitcoin, but Tax Reporting Might - 0 views

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    Conclusion applicable aux alternatives aux hotels, taxis, transports en communs, dispositifs d'échanges de services de pair à pair en général?
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    Si on est favorable à ces évolutions, mieux vaut anticiper ces questions plutôt que d'attendre qu'elles ne se constituent en menaces. Le "sharing" de "sharing economy" crée de la valeur ajoutée. L'extraction des contraintes sociales classiques (réglementations, impôts, charges sociales,...), auxquelles sont soumis les autres acteurs économiques, ne peut pas être l'unique source de cette valeur. Au-delà du marché et des questions de concurrence par corporation, ce risque pèse sur une assiette de bénéficiaires large. Exemple: si je propose un service sans payer les charges sociales afférentes, je peux quand même subir une maladie professionnelle, et être soigné, simplement ce sont les autres qui paieront pour moi -la réciproque n'étant pas vrai. La nouvelle économie, basée sur un model distributif, peut certainement trouver des solutions pour organiser de façon vertueuse son "empreinte sociétale". Et sans doute être plus efficiente que la "vielle économie", où la dissymétrie des profits entre société, consommateur et producteur domine les rapports. Cette question de responsabilité devient un évidence dans un contexte ou de nombreux petits ou grands opérateurs de l'économie du partage trouvent des façons de monétiser ces nouveaux usages; de leur donner des coordonnées tangible dans le champs de l'économie. C'est une très bonne chose (et surement le sens de l'Histoire), à condition que cela ne devienne pas une version relookée du "mutualiser les risques, privatiser les profits"...
pierremallet

Comment la Maif veut tirer parti de l'essor de l'économie du partage, Banque ... - 2 views

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    "« L' 'économie du partage va considérablement se développer en France, qui est en avance dans ce domaine. Et cela aura un impact significatif sur l'industrie de l'assurance », explique Pascal Demurger, le directeur de la Maif, pour justifier cet investissement"
marinealbarede

Alterre - Le moteur du partage entre particuliers. Comparateur d'annonces de location d... - 0 views

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    Alterre est un moteur de recherche du partage entre particulier : biens de conso, jardins, etc. Il permet d'accéder à des annonces de plusieurs sites de la conso collaborative.
marinealbarede

Economie collaborative : où démarre la concurrence déloyale ? - Organisations... - 0 views

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    La consommation collaborative ou économie collaborative est le secteur en forte croissance depuis ces dernières années, depuis que l'accès facile à Internet s'est répandu dans le monde. Cette économie du pair à pair n'est pas sans poser questions, déjà des groupements de professionnels ou des localités comme Amsterdam y voient de la concurrence déloyale.  Comment s'applique le droit en la matière ?  
marinealbarede

Le covoiturage ne doit pas être rémunéré - Actualités - Service-public.fr - 0 views

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    Selon une jurisprudence en date du 12 mars 2013, le covoiturage ne doit pas être rémunéré...
dkaplan

Economie de fonctionnalité : définition et état de l'art - 0 views

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    Par Johan van Niel, une note datant de 2007 qui présente une très utile archéologie/cartographie du concept, de certaines tensions autour de lui, ainsi que des exemples d'application. Présente aussi l'avantage de rappeler que ce concept n'est pas né d'hier.
julien camacho

Corruption des institutions - Communs / Commons - 0 views

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    Philippe Aigrain décrit ici les résistances d'acteurs historiques de l'édition à l'ouverture des droits sur les œuvres indisponibles, et expose une certaine collusion entre le législateurs et les intérêts privés de grands groupes de l'édition. Au final, l'intérêt d'un petit nombre est privilégié au détriment du bien commun, des auteurs et des lecteurs.
julien camacho

Ford joins Europe car-sharing sector as demand surges - 0 views

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    La plupart des constructeurs automobiles se positionnent sur le marché émergent de l"auto-partage, qui devrait exploser d'ici la fin de la décennie. 53% des usagers ont moins de 34 ans, 67% ont au moins un niveau Licence, et 51% ne possèdent pas de véhicule. On voit que l'argument financier si souvent cité comme la principale raison de l'engouement pour l'économie du partage n'explique pas tout.
Aurialie Jublin

PDF : L'avènement de la consommation collaborative : quel modèle économiqueen... - 3 views

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    Livre blanc écrit par le fondateur du site IlokYou.com, premier réseau social de la location d'objets et services entre particuliers
Aurialie Jublin

[Dossier] Le barter, nouvel enjeu de l'économie collaborative entre professio... - 2 views

  • Version moderne du ‘troc” dépoussiéré et remis au goût du jour par des plateforme online type réseaux sociaux BtoB, ce mode de commerce peu connu et pratiqué en hexagone à l’instar des pays anglosaxons n’en est pas moins efficace dans le contexte économique actuel… Il permet aux entreprises d’utiliser leurs actifs inutilisés, leurs stocks ou capacités disponibles comme mode de paiement.
  • Le Barter a pour vocation de rester un mode de commerce alternatif qui arrive en complément des rapports commerciaux classiques permettant des rentrées d’argent pour financer les postes de dépenses difficilement échangeables (principalement loyers et salaires) dans l’entreprise. Une des règles aux USA et Canada, pays dans lesquels les échanges se comptabilisent en milliards chaque année entre les acteurs économiques, est de dire qu’une entreprise ne doit pas dépasser 20% de son CA en Barter. En France, l’échange est voué à jouer un rôle de plus en plus important car il soulage les entreprises sur des besoins ponctuels (séminaires, mobilier de bureau ou matériel informatique, cabinet de recrutement, appli mobile ) comme structurels (expertise comptable, publicité, transport, nettoyage… ) tout en permettant à celles-ci la conquête de nouveaux clients.
    • Aurialie Jublin
       
      Les 8 règles d'or des échanges interentreprises :  - adopter un esprit coopératif - analyser ses besoins autant que ses offres - échanger à titre complémentaire et non principal - ne pas devenir dépendant des échanges pour le processus de création de valeur de l'entreprise - éviter de créer sa propre concurrence - préserver les actifs stratégiques - compenser pour revenir à l'équilibre rapidement - échanger au bon prix
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    "Créée en 2010, b2b EN-TRADE, est la 1ère Bourse aux échanges inter-entreprises online avec aujourd'hui plus de 1800 entreprises référencées de manière confidentielle et qui publient leurs offres (geolocalisées) et leurs besoins. Des algorithmes de "matching" et un service de courtage assurent les mises en relation et leurs suivis."
abrugiere

Silke HELFRICH : pour une société des communs - Millenaire3 - 2 views

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    La reconnaissance et la préservation de ce monde commun qui fonde la vie en société (le vivant, les ressources naturelles ou encore le patrimoine immatériel de l'humanité) est au cœur de la réflexion et de l'engagement de SilkeHelfrich. Prenant acte des difficultés rencontrées par le marché et le politique pour apporter de véritables réponses à l'enjeu des communs, elle a pris le parti d'explorer, de partager et de promouvoir les solutions développées par les communautés locales elles-mêmes. Reposant sur une attention et une implication de chacun, ces initiatives témoignent de la capacité de ces communautés à se donner des normes et des règles, et parviennent non seulement à protéger durablement leurs ressources mais également à renforcer les liens sociaux qui les animent. Pour SilkeHelfrich, chacun est appelé à prendre conscience de ses responsabilités en tant que copossesseur des « choses qui nous sont communes », afin d'en tirer davantage de liberté et de communauté.
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    Le terme « communs » décrit les relations particulières qui se nouent entre des ressources d'usage commun (ou biens communs) et un groupe d'individus, la communauté. Ces relations particulières ne sont pas des relations de propriété mais plutôt de possession collective et de responsabilité. Ce dont il est question n'est pas l'eau, l'atmosphère, ou les connaissances partagées sur Wikipédia, mais plutôt des humains, de leurs relations sociales et des décisions qu'ils prennent par rapport à ces bien partagés.  Le processus des communs est un processus réflexif qui fait qu'un individu qui s'engage dans la communauté contribue à transformer le monde mais se transforme lui-même en même temps. Et pour faciliter cette bascule d'une société de l'argent à une société des liens, la logique des communs est particulièrement intéressante. Plutôt que de se focaliser sur « de quoi avons-nous besoin ? », nous devrions nous demander « qu'est-ce que nous avons ? », « sur quoi pouvons-nous compter ? », et surtout « quelles ressources pouvons-nous mettre en commun ? ». En effet, c'est en mettant nos ressources en commun que nous pouvons produire de la nourriture, se loger et résoudre toutes sortes de problèmes auxquels nous sommes confrontés. Cette logique de mise en commun de ressources nous permet aussi de reprendre confiance en nous et du coup de se sentir capable de se prendre en main et gérer ces ressources ensembles.
dkaplan

Ras le bol du collaboratif - 0 views

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    "De la location au vol pur et simple, le nouveau "paradigme" de l'économie à la sauce webdeuzéro fait le bonheur de tout une flopée de services, qui surfent sur la transformation d'un monde de propriétaires en un monde de locataires." - Une critique sévère mais souvent juste de "l'économie collaborative"
abrugiere

Altercarto.fr - Blog - 0 views

  • définition des biens communs et de son rapport à la question de la propriété intellectuelle
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     les formes dominantes actuelles de propriété et de rapport à la production ont une histoire courte à l'aune de l'ensemble de l'histoire humaine. Ce qui apparaît comme la seule modalité de propriété et de modes de production, actuellement, ne serait donc qu'une modalité dans l'histoire humaine, et non la seule possibilité de fonctionner. L'opensource a ouvert un champ très large de biens communs dans le domaine du software, en biologie, l'approche des biens communs ouvre également à de nouvelles formes de production et de nouvelles approches des enjeux (en lien avec les questions de souveraineté naturelle notamment). dans la théorie capitaliste, un bien s'use, et voit ainsi sa valeur baisser dans le temps. A l'inverse, une création intellectuelle voit sa valeur croître dans le temps. Plus on l'utilise, plus cette création a de la valeur. Plus qu'une création, c'est une source continue de contributions. l'Opendata comme bien commun culturel, élément fondamental pour la construction au sein de la société civile d'une capacité d'interprétation des données statistiques publiques, de leur usage et de leur mobilisation dans des discussions et des critiques des politiques publiques. L'enjeu est ici d'obtenir la mise en délibération des données et conclusions qui en sont tirées par les experts ou les gouvernants, qui se traduisent par des politiques publiques envers la population. Il s'agit donc bien de construire une capacité à demander le droit à la délibération sur les bases qui fondent les politiques publiques.
marinealbarede

"Les Français changent leur rapport au véhicule" - Libération, - 0 views

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    L'industrie automobile ne subit pas seulement les effets de la crise, elle est aussi victime de la fin du XXe siècle, celui qui érigeait la bagnole en symbole absolu de la liberté individuelle. Désormais, dans bien des cas, celle-ci apparaît comme un boulet, voire comme une punition.
marinealbarede

Repenser les lieux culturels : l'exemple du Manga-Café de Paris - Bibliobsession - 0 views

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    Le manga-café de Paris est un lieu assez fascinant parce qu'il montre une réponse concrète à des problématiques qui intéressent à la fois les libraires et les bibliothécaires
marinealbarede

La régulation de l'économie collaborative en question - InternetActu.net - 0 views

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    L'économie collaborative pourra-t-elle continuer à ne pas être régulée à l'avenir? Les précédents et les inquiétudes de certains acteurs déjà installés laissent planer le doute, et certains de revendiquer plus de régulation, ou des services avec un engagement réel, allant au-delà de la simple plateforme et du service de base.
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