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marinealbarede

Economie collaborative : où démarre la concurrence déloyale ? - Organisations... - 0 views

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    La consommation collaborative ou économie collaborative est le secteur en forte croissance depuis ces dernières années, depuis que l'accès facile à Internet s'est répandu dans le monde. Cette économie du pair à pair n'est pas sans poser questions, déjà des groupements de professionnels ou des localités comme Amsterdam y voient de la concurrence déloyale.  Comment s'applique le droit en la matière ?  
marinealbarede

Les méthodes douteuses d'Uber pour étouffer la concurrence | Silicon 2.0 - 1 views

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    "Décidément, Uber ne reste jamais bien longtemps éloigné de la polémique. Contestée par les taxis - que son patron et fondateur Travis Kalanick n'hésite pas à publiquement insulter - et observée de près par les régulateurs un peu partout dans le monde, la société de transport est de nouveau dans l'œil du cyclone. En cause: des mémos internes, publiés par le site américain The Verge, détaillant ses méthodes plus que douteuses pour anéantir Lyft, son principal concurrent américain."
marinealbarede

Les chauffeurs de taxi manifestent lundi contre la « concurrence déloyale » - 0 views

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    "Les cinq syndicats de chauffeurs de taxis ont récemment appelé à une manifestation nationale à Paris et dans plusieurs grandes villes pour défendre leur emploi, menacé selon eux par la « concurrence déloyale » des voitures avec chauffeur. "
hubert guillaud

Le piège de la consommation collaborative - Medium - 0 views

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    Le piège de la consommation collaborative : que se passera-t-il quand nous partagerons tous nos vêtements pour de revenus tout juste suffisants ? Le risque de dépendance de ces services et plateformes pour un revenu tout juste suffisant, une des principales tensions de la consommation collaborative?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
hubert guillaud

Que signifient les poussées tarifaires d'Uber ? - NYTimes.com - 1 views

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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
julien camacho

Le partage est un droit culturel, pas un échec du marché - Communs / Commons - 1 views

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    Une série sans fin de projets législatifs, de politiques contractuelles et d'accords commerciaux ou traités continue à essayer d'éradiquer ou d'empêcher le partage non marchand d'œuvres numériques. De nouvelles stratégies misent sur les incitations et les menaces pour que les intermédiaires techniques fassent la police de l'internet et protègent les modèles commerciaux fondés sur la rareté de la concurrence de l'abondance. Tout serait donc inchangé ? Et bien non.
marinealbarede

The Rise of the Sharing Economy : Estimating the Impact of Airbnb on the Hotel Industry... - 0 views

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    Une des premières études de l'impact de la consommation collaborative sur l'industrie hotelière proposant des résultats quantitatifs. Parmi les conclusions : le développement d'Airbnb aurait un impact non négligeable sur certains segments de l'industrie hotelière , mais d'autres segments ne sont pas touchés par la concurrence.
marinealbarede

Les pistes pour solder le conflit entre taxis et VTC - LeMonde - 1 views

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    "Délai tenu pour Thomas Thévenoud. En l'espace de deux mois, comme il lui avait été demandé en février par le premier ministre de l'époque, Jean-Marc Ayrault, le député PS de Saône-et-Loire a effectué sa médiation dans le conflit opposant les taxis aux voitures de tourisme avec chauffeurs (VTC). Cela fait des mois que les taxis traditionnels s'opposent à l'arrivée en force de ces nouveaux concurrents qui misent sur les nouvelles technologies"
Aurialie Jublin

We Share vs Oui cher : faut-il avoir peur de l'économie collaborative ? - 2 views

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    "Maxime Baffert, Directeur général à Publicis Webformance, administrateur de Renaissance Numérique, publie sur son blog Chroniques de la transition numérique un nouvel article sur l'économie collaborative : faut-il avoir peur de ce nouveau modèle économique ? Opportunité de croissance, concurrence déloyale ou tendance destrucrice d'emplois : Maxime Baffet, nous donne les grilles de lecture pour comprendre et faire comprendre ce nouveau paradigme économique déjà bien implanté dans nos usages."
marinealbarede

Uber API Terms Bar Developers From Working With Competing Services | TechCrunch - 0 views

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    ... L'API d'Uber, suite : Uber interdit aux apps qui s'y connecteront de se connecter dans le même temps à Lyft ou autres services concurrents, donc pas question de fournir des services comparatifs, et autres...
pierremallet

La Loire Atlantique encourage les abonnés du transport public à covoiturer - 3 views

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    ""Le covoiturage n'est pas un concurrent du transport public", affirme Jean-Yves Plotteau, vice-président délégué aux mobilités. "De plus, c'est bon pour l'environnement, le porte-monnaie et pour diminuer les bouchons aux entrées des agglomérations". D'où l'idée d'encourager cette pratique. "Le transport collectif n'arrivera jamais à détrôner la voiture. Nous avons donc besoin du covoiturage car nous n'arriverons jamais à transporter tous les usagers, à moins d'interdire la voiture !", plaisante l'élu. Pour mettre en œuvre cette expérimentation, la collectivité a déboursé quelques milliers d'euros. "La borne est un prototype léger qui fonctionne à l'énergie solaire"."
pierremallet

Uber lance UberPool, un service d'auto-partage, Tourisme - Transport - 2 views

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    "La société américaine Uber, bête noire des taxis en France qui estiment sa concurrence déloyale, continue de faire de Paris son laboratoire d'expérimentation : après avoir lancé plus tôt dans l'année le service UberPOP, qui met en relation les clients avec des chauffeurs non-professionnels et dont les prestations sont moins chères, Uber a annoncé aujourd'hui le lancement d'UberPool, un système d'auto-partage. Si un utilisateur d'UberPOP choisit l'option « pool » lors de la commande, il partage le trajet avec un autre passager et le prix de sa course est divisé par deux, ou bien l'algorithme n'aboutit pas et il reste seul mais a quand même une ristourne de 10 %."
pierremallet

La mobilité urbaine de demain se nourrit du développement de nouveaux usages ... - 1 views

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    "Dans le modèle traditionnel, les infrastructures sont interconnectées (gares multimodales, connexion des lignes de transport entre elles…), mais l'intermodalité réelle reste faible (ainsi, le billet unique est encore inexistant dans de nombreuses métropoles). La montée en puissance des services autour de la mobilité (services d'information multimodale, d'intermédiation…) va bousculer violemment ce modèle en favorisant la concurrence intermodale. Cela se fera au travers de l'émergence de nouveaux acteurs (autopartage, VTC, utilisateurs  C2C) et de l'intégration des nouvelles technologies aux infrastructures existantes (bornes de recharge, aires de covoiturage)."
marinealbarede

La guerre est déclarée entre hôtels et Airbnb - Europe 1 - 0 views

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    "Les représentants des hôteliers demandent au gouvernement de renforcer les règles pour mettre fin à une concurrence jugée déloyale."
Aurialie Jublin

[Dossier] Le barter, nouvel enjeu de l'économie collaborative entre professio... - 2 views

  • Version moderne du ‘troc” dépoussiéré et remis au goût du jour par des plateforme online type réseaux sociaux BtoB, ce mode de commerce peu connu et pratiqué en hexagone à l’instar des pays anglosaxons n’en est pas moins efficace dans le contexte économique actuel… Il permet aux entreprises d’utiliser leurs actifs inutilisés, leurs stocks ou capacités disponibles comme mode de paiement.
  • Le Barter a pour vocation de rester un mode de commerce alternatif qui arrive en complément des rapports commerciaux classiques permettant des rentrées d’argent pour financer les postes de dépenses difficilement échangeables (principalement loyers et salaires) dans l’entreprise. Une des règles aux USA et Canada, pays dans lesquels les échanges se comptabilisent en milliards chaque année entre les acteurs économiques, est de dire qu’une entreprise ne doit pas dépasser 20% de son CA en Barter. En France, l’échange est voué à jouer un rôle de plus en plus important car il soulage les entreprises sur des besoins ponctuels (séminaires, mobilier de bureau ou matériel informatique, cabinet de recrutement, appli mobile ) comme structurels (expertise comptable, publicité, transport, nettoyage… ) tout en permettant à celles-ci la conquête de nouveaux clients.
    • Aurialie Jublin
       
      Les 8 règles d'or des échanges interentreprises :  - adopter un esprit coopératif - analyser ses besoins autant que ses offres - échanger à titre complémentaire et non principal - ne pas devenir dépendant des échanges pour le processus de création de valeur de l'entreprise - éviter de créer sa propre concurrence - préserver les actifs stratégiques - compenser pour revenir à l'équilibre rapidement - échanger au bon prix
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    "Créée en 2010, b2b EN-TRADE, est la 1ère Bourse aux échanges inter-entreprises online avec aujourd'hui plus de 1800 entreprises référencées de manière confidentielle et qui publient leurs offres (geolocalisées) et leurs besoins. Des algorithmes de "matching" et un service de courtage assurent les mises en relation et leurs suivis."
julien camacho

La régulation de l'économie collaborative en question | InternetActu - 1 views

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    Warren a loué la chambre qu'il occupe dans son appartement à New York sur Airbnb pour 100 $ la nuit. Mais à son retour quel ne fut pas sa surprise d'être convoqué par son propriétaire et les agents de la ville de New York pour avoir enfreint plusieurs interdictions et se retrouver condamné pour plus de 40 000 $ d'amendes !
asselinj

Taxes Won't Kill Bitcoin, but Tax Reporting Might - 0 views

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    Conclusion applicable aux alternatives aux hotels, taxis, transports en communs, dispositifs d'échanges de services de pair à pair en général?
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    Si on est favorable à ces évolutions, mieux vaut anticiper ces questions plutôt que d'attendre qu'elles ne se constituent en menaces. Le "sharing" de "sharing economy" crée de la valeur ajoutée. L'extraction des contraintes sociales classiques (réglementations, impôts, charges sociales,...), auxquelles sont soumis les autres acteurs économiques, ne peut pas être l'unique source de cette valeur. Au-delà du marché et des questions de concurrence par corporation, ce risque pèse sur une assiette de bénéficiaires large. Exemple: si je propose un service sans payer les charges sociales afférentes, je peux quand même subir une maladie professionnelle, et être soigné, simplement ce sont les autres qui paieront pour moi -la réciproque n'étant pas vrai. La nouvelle économie, basée sur un model distributif, peut certainement trouver des solutions pour organiser de façon vertueuse son "empreinte sociétale". Et sans doute être plus efficiente que la "vielle économie", où la dissymétrie des profits entre société, consommateur et producteur domine les rapports. Cette question de responsabilité devient un évidence dans un contexte ou de nombreux petits ou grands opérateurs de l'économie du partage trouvent des façons de monétiser ces nouveaux usages; de leur donner des coordonnées tangible dans le champs de l'économie. C'est une très bonne chose (et surement le sens de l'Histoire), à condition que cela ne devienne pas une version relookée du "mutualiser les risques, privatiser les profits"...
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