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Awake ou la multiplication des réalités | Implications philosophiques - 2 views

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    Le synopsis de la série Awake semble relativement simple de prime abord. Suite à un accident de la route qu'il a eu avec sa femme et son fils, l'officier Michael Britten se retrouve dans une situation particulière. À chaque fois qu'il se réveille, il semble changer de réalité.
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La "chose" de la famille Addams de Barry Sonnenfeld ou ce que c'est qu' "avo... - 1 views

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    Soit une simple main dotée de mobilité et de conscience. Elle se balade au sein de notre monde - du moins celui de la famille Addams - en animal de compagnie. Mais que peut-elle bien percevoir de la réalité ?
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Episode final de Lost : on l'avait bien dit... - 2 views

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    "Alors finalement, pourquoi ils sont sur l'île ?" Tous les spectateurs connaissaient l'hypothèse finale. Simplement parce que tout le monde a au moins trois questions en tête quand il mate n'importe quel épisode. Et si l'île, c'était le purgatoire ? Et si l'île, c'était l'enfer ? Et si c'était le paradis ? Lost a longtemps été un générateur d'hypothèses. Et la réponse apparaît donc totalement fade, comme prévu (par nous notamment). On gâche toutes nos hypothèses troublantes pour une réponse ultime.
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Histoires du cinéma de Jean-Luc Godard - 1 views

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    Faire une histoire du cinéma c'est raconter Toutes les histoires nées du désir mégalomane de leur réalisateur d'être maître du monde. 1B : Le cinéma se met à exister à développer Une histoire seule, fragile mais la sienne, héritière de la photographie, à chuchoter les histoires des hommes.
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Le miracle au cinéma - 1 views

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    Le sacré suppose une coupure. C'est ce qui est au-dessus, hors d'atteinte, transcendant. Le sacré, l'intérieur du temple, s'oppose au (pro)fanum, l'entrée du temple. Cette coupure évite les confusions, confusions entre les jours, entre hommes et femmes. Ces réalités séparées sont des réservoirs de forces qu'une société utilise pour exister. Le thème du sacré, intervient dès qu'il y a coupure entre l'humain et quelque chose hors d'atteinte. L'existence du sacré peut être "prouvée" par un miracle qui transforme le monde ou par un coup de grâce qui transforme le personnage.
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CINEMA ET PHENOMENOLOGIE: QUEL EST LE SENS DU FILM? - 1 views

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    "Le cinématographe ne fut d'abord qu'un regard enregistreur, s'intéressant superficiellement à tous les spectacles du monde ; puis on l'employa, ici à l'analyse de mouvements rapides, et là à la découverte des mouvements lents ; en même temps ou plus tard, on lui apprit à grandir l'infiniment petit, à rapprocher l'infiniment lointain ; enfin, à cet œil, on adjoignit, après bien des tâtonnements, une oreille et un organe d'élocution. Et, tout à coup, on s'aperçoit qu'ainsi a été créé une sorte de cerveau mécanique partiel, qui reçoit des excitations visuelles et auditives qu'il coordonne à sa manière dans l'espace et le temps, et qu'il exprime, élaborées et combinées, sous une forme souvent étonnante, d'où commence à se dégager une philosophie riche, elle aussi, en surprises. Philosophie qui n'est sans doute, ni due tout à fait au hasard, ni complètement étrangère aux règles de l'intelligence humaine dont elle est directement née. Le cinématographe est un dispositif expérimental qui construit, c'est-à-dire qui perçoit, une image de l'univers ; ainsi ne possède-t-il que la faculté, mais obligatoire, de réaliser (de rendre réelle) la combinaison de l'espace avec le temps, de donner le produit des variables de l'espace par celles du temps, d'où il résulte que la réalité cinématographique est bien essentiellement l'idée de localisation complète. Mais ce n'est qu'une idée, et une idée artificielle, dont on ne saurait affirmer aucune autre existence qu'idéologique et artificielle, un truquage en quelque sorte. Seulement le trucage se rapproche extrêmement du procédé selon lequel l'esprit humain lui-même se fabrique généralement une réalité." J. Epstein, 1946, L'Intelligence d'une machine, Editions Jacques Melot. (pages 186-187).
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La décomposition de l'humain: le cinéma comme anthropologie virtuelle - Par N... - 1 views

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    Le cinématographe naît à la fin du XIXe siècle alors que Darwin a déjà prouvé l'animalité de nos origines. La plongée technologique vers ce XXe siècle grandiloquent annonce en fait notre second horizon: le progrès techno-scientifique. La mécanisation de notre espace propre, l'annulation progressive des distances, la négation du temps annonce à l'homme d'aujourd'hui qu'il ne peut plus faire retour aussi facilement sur ce qu'il est réellement. Au moment même où les images, de plus en plus mobiles et fugaces, envahissent toujours plus le monde et son occident, l'homme peut-il encore réellement se voir?
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Critique de Lovely bones - 1 views

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    Violée et assassinée, une jeune fille de 14 ans découvre le monde depuis le paradis. Elle voit ses parents et sa famille ravagés par le drame, elle observe le détective chargé de l'enquête et elle aperçoit son meurtrier poursuivre ses sanglants méfaits.
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Dossier Bunuel & Surréalisme - 1 views

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    Première scène du premier film de Luis Buñuel et premier choc : gros plan sur un oeil tranché au rasoir par le cinéaste lui-même. Cette première apparition du réalisateur espagnol à l'écran (1) , et la violence rarement égalée de la scène, nous donnent une clé pour appréhender toute son oeuvre : il sera celui qui nous apprendra, de gré ou de force, à voir, à nous défaire de nos habitudes de spectateur, pour entrer dans un univers autre, où ce qui habituellement est invisible deviendra visible. Ce cinéaste du regard, selon Maurice Drouzy, « nous opère de la cataracte, dépucelle notre regard »(2) . Or, s'il est un mouvement artistique préoccupé par le regard porté sur le monde, et par la force que peut avoir un regard autre, c'est bien le mouvement surréaliste.
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Colloque Politique & Cinéma 2005 - 1 views

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    Le cinéma a été le seul art propre ainsi que la principale industrie culturelle du vingtième siècle. Cette constatation, au demeurant banale, contient une évidence lourde de sens : la dimension politique incontournable du septième art. Les films ont en effet, dès leur apparition, volontairement ou fortuitement, accompagné, représenté ou commenté l'histoire contemporaine. Ils ont aussi été de véritables enjeux de pouvoir pour les grands groupes économiques aussi bien que pour les gouvernements. Les politiques culturelles se sont ainsi toujours préoccupées d'un cinéma par essence prescripteur de représentations du monde, même s'il n'a que rarement revendiqué ce statut.
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Nostalgie de la lumière de Patricio Guzmán - Dossier pédagogique - 1 views

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    Au Chili, à trois mille mètres d'altitude, les astronomes venus du monde entier se rassemblent dans le désert d'Atacama pour observer les étoiles. Car la transparence du ciel est telle qu'elle permet de regarder jusqu'aux confins de l'univers. C'est aussi un lieu où la sécheresse du sol conserve intacts les restes humains : ceux des momies, des explorateurs et des mineurs. Mais aussi, les ossements des prisonniers politiques de la dictature.Tandis que les astronomes scrutent les galaxies les plus éloignées en quête d'une probable vie extraterrestre, des femmes remuent les pierres, au pied des observatoires, à la recherche de leurs parents disparus.
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La comédie » - Dossier de présentation - 1 views

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    La comédie est peut-être le genre le plus facile à définir a priori : tout le monde sait qu'une comédie est un film destiné à faire rire. C'est en tout cas le genre plus populaire (les films français qui ont fait le plus d'entrées depuis cinquante ans sont tous des comédies, depuis La Grande Vadrouille jusqu'à Bienvenue chez les ch'tis...), même s'il est loin d'être le plus prestigieux (les grandes récompenses officielles du type César ou Oscar, les prix dans les festivals lui échappent quasiment toujours). C'est en tout cas un genre qui a tenu un rôle très important dans l'histoire du cinéma. Historiquement, la première fiction du cinéma est une comédie : L'Arroseur arrosé, un film de… 42 secondes des Frères Lumière, faisait partie de la première séance payante du cinématographe du 28 décembre 1895. Par la suite, ce sont les films comiques, assurant à un large public un délassement franc et immédiat, qui vont faire le succès fulgurant de ce divertissement de masse. C'est le règne du « slapstick », héritier de genres populaires comme la farce ou le théâtre de Guignol : personnages très typés voire réduits à une silhouette, rythme effréné (la poursuite est une figure récurrente du genre), avalanche de gags simples et efficaces (chutes, bagarres, tartes à la crème). Certains acteurs et metteurs en scène vont toutefois faire évoluer le genre vers plus de subtilité, à commencer par Charles Chaplin.
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Studiophilo Ollivier Pourriol - 9 views

shared by d m on 01 Jul 11 - Cached
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    Analyses de films en rapport avec le programme de philosophie des terminales (et autres). Nombreuses séquences. "Les images ne pensent pas : elles donnent à penser ou elles y invitent. Leur prolifération, leur violence,et leur caractère hégémonique, qui semble la marque de fabrique du monde moderne, ont transformé cette invitation en obligation: celle de fournir aux spectateurs, quel que soit leur âge, les moyens de comprendre et de résister. La salle de cinéma apparaît comme le lieu idéal pour développer cette proposition : plutôt que subir les images, les utiliser comme pré-texte et comme introduction à la philosophie."
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