Skip to main content

Home/ Cinéma et Philosophie/ Group items tagged Cinéma

Rss Feed Group items tagged

d m

Jean-Michel Frodon » Politique de l'amateur - 1 views

  •  
    A propos de Les Ecarts du cinéma de Jacques Rancière (La Fabrique éditions) Progressivement, les philosophes se confrontent au cinéma, selon des modalités diverses - soit qu'ils entreprennent de lui appliquer leur système de pensée (Badiou, Szizek), soit qu'ils recourent aux films pour, à certains moments du développement de leur réflexion, passer par les films pour poursuivre celle-ci, les deux tomes de Cinéma de Gilles Deleuze en offrant le plus bel exemple. Stanley Cavell, dont une importante compilation, Philosophie des salles obscures est parue récemment en traduction française chez Flammarion. la somme, aura de manière féconde pratiqué l'une et l'autre démarche. Différent est le cas de Jacques Rancière, philosophe a n'en pas douter, mais qui a développé avec le cinéma une relation aussi intense que relativement autonome à sa pratique principale, même si son expérience de spectateur affleure aussi dans son œuvre proprement philosophique.
d m

Ce que le cinéma fait avec Internet | Slate - 1 views

  •  
    SLATE, PARTENAIRE DE LA FEMIS - Du 28 au 31 mars, La fémis, la grande école des métiers du cinéma, a organisé un séminaire destiné à tous les élèves de l'école et également ouvert au public, sur le thème «Ce que le cinéma fait avec Internet». Sont intervenues des personnalités représentatives de toutes les facettes de la relation complexe entre cinéma et internet. Nous avons réorganisé en 5 «chapitres» les extraits des huit séances qui ont composé ces rencontres, intégralement filmées par les élèves de l'école. Si les enregistrements ne montrent guère que des « têtes qui parlent » (celles des intervenants qui se sont succédés à la tribune), ces textes comporteront des liens permettant de visionner certains des éléments auxquels il est fait référence
d m

L'image-mouvement, l'image-temps par Gilles Deleuze - 1 views

  •  
    L'image-mouvement est la manière de faire participer le spectateur au temps du film en excitant ses fonctions sensori-motrices. Dans un film fait d'une immense image-mouvement, on peut trouver six types d'image (l'image-perception, l'image-action, l'image-affection, l'image-pulsion, l'image-reflexion et l'image-relation), chacune d'elles possédant plusieurs signes de reconnaissance. En privilégiant, telle ou telle type de ces six images, on obtient trois grands types de cinéma : le cinéma réaliste avec ses trois types d'images-mouvements (perception, action, affection), le cinéma naturaliste avec l'image-pulsion et le cinéma moderne qui joue sur la rupture des liens sensori-moteurs pour proposer des images mentales dont Alfred Hitchcock est le précurseur. Celui-ci invente en effet l'image-relation et l'image-réflexion.
d m

Gilles Deleuze : L'image-mouvement et L'image-temps (1983-1985) - 2 views

  •  
    L'image-mouvement est la manière de faire participer le spectateur au temps du film en excitant ses fonctions sensori-motrices. Dans un film fait d'une immense image-mouvement, on peut trouver six types d'image (l'image-perception, l'image-action, l'image-affection, l'image-pulsion, l'image-reflexion et l'image-relation), chacune d'elles possédant plusieurs signes de reconnaissance. En privilégiant, telle ou telle type de ces six images, on obtient trois grands types de cinéma : le cinéma réaliste avec ses trois types d'images-mouvements (perception, action, affection), le cinéma naturaliste avec l'image-pulsion et le cinéma moderne qui joue sur la rupture des liens sensori-moteurs pour proposer des images mentales dont Alfred Hitchcock est le précurseur. Celui-ci invente en effet l'image-relation et l'image-réflexion. Cette remarquable synthèse de l'oeuvre de Gilles Deleuze a été réalisée par l'équipe du ciné-club de Caen
d m

Stanley Cavell « Relier mon expérience et celle de l'Amérique » - 1 views

  •  
    « Je pense qu'il serait temps de réfléchir plus sérieusement sur le base-ball, autre passion ordinaire de l'Amérique. » Tout rond, bonhomme, l'air profondément généreux, tel est Stanley Cavell, professeur émérite de philosophie à Harvard. Cet « Ivy League » s'intéresse depuis toujours au 7e art et il est reconnu comme l'un des plus importants penseurs de notre temps. Ses ouvrages de cinéma sont désormais tous traduits : la Projection du monde (Belin, 1999), A la recherche du bonheur. Hollywood et la comédie du remariage, et maintenant le Cinéma nous rend-il meilleurs ? On peut dire qu'il y a eu Deleuze et qu'il y a maintenant Cavell, même si les styles et les modes de pensée diffèrent du tout au tout. Entretien sur cette passion ordinaire d'un homme facétieux, par Antoine de BAECQUE.
d m

De l'image-temps chez Duras, Resnais et Robbe-Grillet - Par Julie Beaulieu - 1 views

  •  
    À la fin de Cinéma 1. «L'image-mouvement», Gilles Deleuze parle de la naissance d'une nouvelle image dans le cinéma moderne, le cinéma d'après-guerre hors des circuits d'Hollywood. C'est une «image qui renvoie plus à une situation globalisante ou synthétique, mais dispersive» (p.279). Il précise que «ce qui a cassé, c'est la ligne ou la fibre d'univers qui prolongeait les événements les uns dans les autres, ou assurait le raccordement des portions d'espaces» (p.279). Il ajoute que ce qui a remplacé l'action ou la situation sensori-motrice, c'est la promenade, la ballade et l'aller-retour continuel. Selon Deleuze la crise de l'image-action et du rêve américain fait en sorte qu'il y a une remise en question fondamentale de l'image au cinéma, donc une reconfiguration - voire la disparition - du schéma sensori-moteur (réactions des personnages, schéma causal, totalité et clôture de la représentation).
d m

« Le cinéma face à l'histoire » - Dossier de présentation - 2 views

  •  
    Une fascination immédiate De même que les mondes futurs ou imaginaires, les mondes passés ont toujours fasciné le cinéma. Avec leurs décors grandioses, leurs costumes chatoyants (on parle souvent de « films en costume » pour souligner leur importance), les films historiques offrent une promesse de grand spectacle et de dépaysement immédiat. A côté de son célèbre Voyage dans la lune et autres fantasmagories, George Méliès tourne ainsi une Cléôpatre et une Jeanne d'Arc. Mais ce sont deux films produits la même année qui par leur succès vont marquer leur temps et célébrer les noces du couple « cinéma et histoire ». L'Assassinat du duc de Guise (1908) d'André Calmettes est à la fois l'une des premières tentatives de reconstituer une scène historique, et le premier « film d'art », pour reprendre le nom de la société qui le produit : il a été écrit par un académicien, interprété par des comédiens de la Comédie Française, mis en musique par Camille Saint-Saëns. Son succès va sortir le « cinématographe » des baraques de foire et du mépris dans lequel le tiennent les intellectuels, et constituer le film historique comme un genre à part entière. Au même moment Luigi Maggi tourne en Italie Les Derniers Jours de Pompéi (1908), premier avatar d'un genre, le peplum, qui va faire les beaux jours du cinéma italien (Cabiria de Giovanni Pastrone, 1918) puis américain (voir les fresques bibliques de Cecil B. de Mille).
d m

« Le cinéma fantastique » - Dossier de présentation - 1 views

  •  
    De toutes les émotions provoquées par le cinéma, la peur est sans doute la première de toutes. On raconte que les spectateurs de L'Entrée du train en gare de la Ciotat (1896) des frères Lumière quittèrent la salle terrifiés par ce procédé surnaturel (et ce train fantôme qui fonçait vers eux). A leur suite, des générations de spectateurs allèrent chercher le frisson dans les salles obscures. Aujourd'hui encore le « fantastique » au sens large est sans doute le plus populaire parmi les genres cinématographiques, le seul en tout cas à avoir ses propres fans et à générer une abondante production éditoriale (presse spécialisée, sites internet). On a d'ailleurs souvent souligné que le cinéma et le vampirisme étaient nés au même moment (le roman Dracula de Bram Stoker est publié en 1897) : des Vampires (1916) de Louis Feuillade jusqu'à la série Twillight, en passant par les versions de F.W. Murnau (Nosferatu, 1922), Carl Dreyer (Vampyr, 1932), Tod Browning (Dracula, 1931) Terence Fisher (Le Cauchemar de Dracula, 1958), Werner Herzog (Nosferatu, 1978), et Francis Ford Coppola (Dracula, 1992), le cinéma n'a d'ailleurs eu de cesse de réactualiser le mythe, comme s'il lui était consubstantiel.
d m

Cinéma et philosophie - Juliette Cerf - 3 views

  •  
    A propos du livre de Juliette Cerf, "Cinéma et philosophie". En exposant le mythe de la caverne, Platon prépare, sans le savoir, un rapprochement entre cinéma et philosophie que Godard formulera de façon impérative : " Je pense, donc le cinéma existe ". Pourtant, le cinéaste fabrique des images et des sons bien matériels quand le philosophe manie des concepts invisibles et abstraits.
d m

Jeux vidéos et cinéma : Filmer n'est pas jouer ? - Freakosophy - 0 views

  •  
    On ne compte plus les films qui deviennent des jeux vidéos et les jeux vidéos qui deviennent des films. La circularité entre jeux vidéos et cinéma est claire pour tout le monde depuis un certain temps, au moins du point de vue économique. Mais elle est aussi factice.
d m

Merleau-Ponty, Le cinéma et la nouvelle psychologie : que veut dire le film ? - 1 views

  •  
    Cette conférence de Merleau-Ponty porte sur la perception du film, en rapport avec la (nouvelle) psychologie de la perception, la psychologie de la forme, qui s'oppose à l'ancienne théorie intellectualiste(« le film est objet à percevoir »). Cette nouvelle psychologie permet de dire quelle est la nature et la signifcation du film (« c'est par la perception que nous pouvons comprendre la signification du cinéma, il se perçoit et ne se pense pas »). Et, réciproquement, c'est le cinéma qui permet de bien comprendre la nouvelle psychologie -un film n'est pas en effet une somme d'images, mais une structure, une organisation, une forme.
d m

Histoires du cinéma de Jean-Luc Godard - 1 views

  •  
    Faire une histoire du cinéma c'est raconter Toutes les histoires nées du désir mégalomane de leur réalisateur d'être maître du monde. 1B : Le cinéma se met à exister à développer Une histoire seule, fragile mais la sienne, héritière de la photographie, à chuchoter les histoires des hommes.
d m

Les acteurs au cinéma, du comédien à la personne. - 1 views

  •  
    L'acteur de cinéma est un élément essentiel du dispositif cinématographique. Souvent bien mieux payé que le réalisateur, c'est autour de lui que s'organise le montage financier du film. C'est en effet souvent sur son nom que se construit la popularité d'un film. Luc Moullet, tenta avec sa Politique des acteurs (Éditions de l'Étoile, 1993) d'établir qu'elle pouvait être la part d'autonomie créatrice de l'acteur par rapport au cinéaste. Le Groupe de réflexion sur l'acteur de cinéma de l'Université Paris I, l'unité de recherche de l'université de Caen ainsi que Benoît Jacquot, Alain Bergala, Jean Douchet et Marie-José Mondzain lors du séminaire caennais consacré à l'acteur ont prolongé l'analyse du jeu de l'acteur que nous reprenons ci-dessous.
d m

Le naturalisme au cinéma - 1 views

  •  
    En peinture, le réalisme naît avec Courbet en opposition au romantisme et va rapidement se transformer en naturalisme sans qu'il soit vraiment possible d'établir une distinction entre ces deux termes. Au cinéma, le réalisme renvoie à John Ford et plus généralement au cinéma d'action qui permet l'enchaînement attendu "action-réaction". Le naturalisme de Stroheim, Bunuel ou Brisseau exprime la lutte entre le monde apparent dérivé des mondes originels éternellement cachés sous lui. Le naturalisme est une notion d'autant plus difficile à cerner qu'elle se définit par rapport au réalisme, terme extrêmement problématique lui-même.
d m

Lutte des classes au cinéma - 1 views

  •  
    Dans le cinéma classique, le peuple est là, même opprimé, trompé, assujetti, même aveugle ou inconscient. Dans le cinéma soviétique, le peuple est déjà là chez Eisenstein, qui le montre opérant un saut qualitatif dans La ligne générale, ou qui en fait dans Ivan le terrible, la pointe avancée que le tsar retient ; et chez Poudovkine, c'est chaque fois le cheminement d'une prise de conscience qui fait que déjà le peuple a une existence virtuelle en train de s'actualiser ; et chez Vertov et Dovjenko, de deux manières, il y a un unanimisme qui convoque les peuples différents dans un même creuset d'où sort l'aveni
d m

Texte et analyse d'un texte de Clément Rosset sur le cinéma - 2 views

  •  
    "La vision du monde chez l'homme du XXe siècle se rapproche insensiblement de celle que lui suggère le cinéma."
john_doe

Le cinéma de Claude Sautet - 1 views

  •  
    Le cinéma de Claude Sautet constitue bien un cinéma marginal. Il n’intègre aucune tendance, et possède une touche très personnelle. C’est pour cela que Claude Sautet occupe une place particulière dans le cinéma français. Claude Sautet est un réalisateur dont l'œuvre est souvent mal interprétée.
d m

De L'homme blessé à Drôle de Félix. -Évolution des Représentations de l'Homos... - 0 views

  •  
    par  David LambertDe 1983 à 2000, de l'apparition du sida jusqu'au Pacs, l'analyse des différentes représentations de l'homosexualité masculine dans le cinéma français majeur. En revenant sur des films consacrés tels que Tenue de Soirée de Bertrand Blier, Les Nuits Fauves de Cyril Collard ou Sitcom de François Ozon, il s'agit ici de rendre compte des transformations d'un imaginaire social à travers les problématiques de l' espace, du regard, et du verbe.
d m

Le réalisme au cinéma: Néoréalisme italien et réalisme classique hollywoodien - 1 views

  •  
    [Du réalisme humain au réalisme systématisé] Par Martin Kronstrom Le réalisme au cinéma demeure chose complexe, car entrant directement en lien avec l'altérité du cinéma face aux autres arts, celui-ci possède (ou a) la faculté de reproduire précisément le mouvement et la durée et de rétablir une bande son/image identique à celle de la réalité. Toutefois, le réalisme cinématographique reste celui de l'impression de réalité et non de la réalité elle-même. Il est cependant primordial de distinguer, comme le suggère Jacques Aumont(1), le réalisme des matières de l'expression et le réalisme des sujets filmés. Ici, deux écoles s'opposent: celle du néo-réalisme italien de la libération (avec LE VOLEUR DE BICYCLETTE de Vittorio De Sica) et celle du réalisme classique hollywoodien (avec MR. SMITH GOES TO WASHINGTON de Frank Capra). En élaborant sur le concept de réalisme et sur les techniques de représentation du réel, nous assistons alors à l'opposition de deux genres discordants et de leur relation avec la réalité.
d m

Le regard à la caméra. - Par Martin Kronström - 1 views

  •  
    Si le cinéma se différencie en partie des autres arts par le dynamisme des points de vue du spectateur, le cinéma narratif classique, pour sa part, puise son indépendance artistique dans la transparence de son langage et de son discours, dans le but évident de préserver intact l'espace diégétique qui le clôt. Le «regard à la caméra», dans un univers diégétiquement refermé, témoigne du dévoilement de l'instance d'énonciation ainsi que de l'inconfort du voyeurisme chez le spectateur. C'est dire que l'effet sur le réalisme et la transparence narrative qui en découle influencent le positionnement du spectateur dans l'institution-cinéma. Il me semble donc qu'intrinsèquement, le système narratif classique fonctionne d'abord sur ce tabou cinématographique du regard à la caméra afin de camoufler son dispositif et appuyer sa naturalité idéologique. Autant par l'exploitation du lien direct existant entre l'espace de production et l'espace de réception, ce travail du regard constitue le pivot du système cinématographique dominant.
‹ Previous 21 - 40 of 330 Next › Last »
Showing 20 items per page