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La Tribune Online - Les grands groupes pharmaceutiques face aux enjeux du mar... - 0 views

  • «comment adapter leur modèle économique de produits à forte valeur ajoutée médicale, pour lesquels ils ont un niveau de prix dans les économies matures qu’ils n’arrivent pas à calquer dans les pays émergents», résume Vincent Genet, directeur de la division Santé du cabinet Alcimed.
  • IMS Health table sur une croissance du marché pharmaceutique indien de 12% en moyenne par an sur les 5 prochaines années, passant de 14 milliards de dollars en 2012 à 25 milliards en 2017. Pour capter cette croissance, une des réponses des groupes pharmaceutiques étrangers est d’«adopter les stratégies appliquées par les sociétés indiennes», de façon à proposer «une offre acceptable pour le marché local», explique Anne-Christine Marie, analyste du secteur pharmacie au cabinet PwC.
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  • Walgreen et Alliance Boots obtiennent ensemble le droit d'acquérir jusqu'à 7% des actions d'Amerisource sur le marché et ils héritent en outre de warrants (droits de souscription) correspondant à 16% supplémentaires en cas d'exercice
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Orange Healthcare - Think Tank ECONOMIE SANTE les Echos - 0 views

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    "Thierry Zylberberg : La recommandation 2013 pourrait se résumer ainsi : il faut identifier les personnes fragiles ou susceptibles de l'être ou de le devenir et mettre en place un parcours de soins adapté avec une structure (chaînon manquant) qui le porte."
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Le « big data » s'attaque au diagnostic médical, Actualités - 0 views

  •  A titre personnel, ça ne m'emballe pas du tout, estime Francis Lévi, membre de l'Académie des technologies et directeur de l'unité rythmes biologiques et cancers de l'Inserm. D'abord parce que l'idée d'établir des arbres de décision personnalisés aboutit au risque de faire de la médecine sans médecins. Ensuite parce que les données publiées dans la littérature médicale ne reflètent pas forcément la réalité de la médecine, car elles correspondent à des patients correspondant aux critères de l'étude
  •  Il n'y a pas de frein technologique aux outils d'aide au diagnostic, mais il y a deux domaines fondamentaux : la sécurité des données, qui ne doivent être ni communiquées ni modifiées par un tiers. Mais aussi la formation des médecins et des usagers : il faudra expliquer ces nouveaux outils pour que chacun comprenne leurs limites. »
  • « Pour créer de meilleurs outils d'aide au diagnostic, il faudra arriver à trouver une structuration commune à toutes les pratiques médicales, ce qui est loin d'être le cas », estime Pierre-Henri Comble
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  • « L'objectif n'est pas de se substituer au médecin, indique Pascal Sempé, directeur du business development pour IBM Research, mais d'améliorer la façon dont il va prendre une décision. »
  • « Watson s'appuie pour cela sur trois compétences complémentaires qu'il est, à ma connaissance, le seul à réunir, détaille Patrice Poiraud, directeur business analytics et optimisation chez IBM France. D'abord sa capacité à comprendre le langage naturel : il n'a pas besoin que les données soient structurées pour fonctionner. Ensuite la possibilité de formuler des hypothèses en étant capable de les justifier. Enfin la capacité à s'adapter et à apprendre : la qualité des résultats proposés s'améliore au fur et à mesure que le nombre de cas traités augmente. »
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Docteur Jacques Lucas : "Quelle stratégie pour l'e-santé en France ?" | esant... - 0 views

  • Le déploiement de l’e-santé doit bien évidemment impliquer,au premier chef, les médecins et les autres professionnels de santé, puisque ce sont les principaux acteurs de la prise en charge des personnes en demande de soins.   Pour qu’ils s’impliquent,les technologies de l’information et de la communication en santé doivent répondre à leurs besoins professionnels concrets, dans toutes leurs dimensions humaines, médicales et médicosociales.   Le développement de l’esanté doit respecter lesimpératifs déontologiques : information du patient, consentement de celui-ci sur le partage de ses données personnelles, respect de la confidentialité.   L’e-santé doit faciliter l’accès aux soins. Pour illustration,les maisons ou pôles de santé, qu’ils soient réels ou virtuels, nécessitent des équipements numériques,notamment télémédicaux. Il faut donc, en parallèle, une stratégie nationale qui permette de booster le déploiement du très haut débit sur tout le territoire national, afin de juguler la fracture numérique.
  • Le déploiement stratégique de l’e-santé devrait s’attacher à répondre aux besoins médicaux,sociaux et économiques les plus importants, en tenant compte de la réalité : les parcours de soins des patients, au quotidien, associent les professionnels d’exercice libéral et les professions de santé dans les établissements, comme dans le secteur médicosocial. Il ne doit pas exister de rupture dans la transmission des informations pertinentes et nécessaires à la continuité des prises en charge.   Il n’y aura pas de développement médicoéconomique vertueux si les TIC sont utilisées « en silo ». Les TIC en santé ne doivent pas édifier un « mur informatique » entre les secteurs hospitalier et libéral. La prise en charge de patients, à domicile ou en établissements, impose de dépasser des modèles archaïques,tout en garantissant la protection des informations à caractère secret.   Le financement de l’e-santé, y compris dans son volet de développement industriel de l’informatique et des dispositifs médicaux,doit être performant, et sa pérennité doit être assurée.   La pratique de la médecine avec l’usage des TIC engage la responsabilité de tous les acteurs : les pouvoirs publics dans l’organisation territoriale des soins, les établissements de santé publics et privés, les professionnels de santé libéraux, les fournisseurs d’accès, les tiers technologiques, l’UNCAM et les assureurs en santé…
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D.Views: le blog business de Deloitte France - 0 views

  • La nécessité de s’adapter à la nouvelle temporalité Le numérique est donc à la fois un déclencheur et un facilitateur de la puissante vague qui va conduire les entreprises du médicament à redéfinir leurs missions et leurs interactions avec les autres parties prenantes : patients, professionnels de santé, payeurs, régulateurs ou partenaires. Mais le principal enjeu vient peut-être du fait que l’irruption des technologies et solutions numériques dans l’écosystème de santé en modifie radicalement la temporalité de référence. Les laboratoires pharmaceutiques vont par exemple devoir apprendre très vite à gérer les cycles de vie courts de solutions thérapeutiques incorporant du numérique. Ils devront également mettre en place des processus de décision et de communication permettant de réagir presqu’instantanément à des informations mettant en cause leur réputation, diffusées ou amplifiées via les réseaux sociaux. Comme l’a souligné récemment le dirigeant d’un grand groupe pharmaceutique, les entreprises du secteur qui sauront comprendre rapidement ce changement de paradigme, et modifier à temps leur ADN, auront certainement de meilleures chances de survivre et de prospérer.
  • Une transformation profonde et inévitable du business model Les apports potentiels du numérique vont bien au-delà de la conception de solutions thérapeutiques intégrées. Ils concernent l’ensemble de sa chaîne de valeur. L’enjeu pour les laboratoires pharmaceutiques est non seulement de comprendre les changements que le déferlement des innovations numériques va inévitablement induire dans leur business model, mais également de piloter et d’accompagner ce processus de transformation. Même lorsque ces mutations résultent de décisions internes à l’entreprise, les défis à relever sont importants car elles conduisent à répondre à de multiples questions auxquelles les laboratoires n’avaient jusqu’à présent pas été confrontés : quels sont les déterminants de la valeur d’une solution thérapeutique ? Comment évaluer et partager les risques émergents avec les partenaires ? Comment gérer le cycle de vie d’une solution multi-composants ? Comment collecter et interpréter les données en « vie réelle » ? L’effort d’adaptation est encore plus considérable quand l’innovation est promue ou
  • imposée par des forces exogènes. Seules quatre entreprises pharmaceutiques sur dix ont commencé à tirer parti des réseaux sociaux pour collecter de l’information, communiquer, ou encore collaborer avec des professionnels de santé. Une proportion équivalente n’envisage toujours pas d’utiliser ces médias et beaucoup d’entreprises pharmaceutiques se sentent démunies face à la prolifération des informations diffusées chaque jour sur le web. Il est vrai qu’en offrant la possibilité à n’importe quel patient de partager publiquement son avis sur des médicaments ou des dispositifs à prescription obligatoire, le numérique introduit une forme de désintermédiation qui bouleverse radicalement les règles établies. Les laboratoires se retrouvent ainsi dans une situation paradoxale où ils sont tenus de respecter des obligations strictes en matière d’information médicale, tout en étant de plus en plus soumis à des exigences fortes en termes de transparence et de réactivité en cas de survenance d’effets indésirables.
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  • L’innovation numérique au cœur des solutions thérapeutiques Pour les laboratoires pharmaceutiques, l’enjeu en termes d’innovation est non seulement de développer de nouvelles molécules plus efficaces et plus ciblées, mais aussi de proposer des solutions thérapeutiques complètes, en particulier pour les affections de longue durée telles que le diabète, les cancers ou les maladies cardio-vasculaires. En facilitant la vie des patients, les solutions thérapeutiques qui intègrent des technologies numériques contribuent à améliorer le niveau d’observance des traitements, et par conséquent leur efficacité. Prenons des exemples. Un lecteur de glycémie connectable à un iPhone permet aujourd’hui aux patients diabétiques de mesurer facilement et précisément leur taux de glucose sanguin. Une application spécifique leur offre également de multiples fonctionnalités pour gérer au mieux leur diabète : carnet de suivi glycémique et transmission des résultats au médecin. Autre exemple : les « smart pills », gélules contenant un capteur miniaturisé inséré et émettant un signal transmis à un récepteur externe lorsqu’il est activé par les sucs gastriques, sont en train de se développer. L’intérêt de ce type de dispositif est de permettre un suivi et un contrôle en temps réel de la prise de médicaments. Et comme l’a souligné un industriel, la valeur de ces « smart pills » tiendra peut-être plus des données qu’elles génèrent que du médicament lui-même.
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2013. L'année de la santé connectée. La preuve par 9… et par 10 ! | Jaibobola - 0 views

  • Voici 9 éléments qui poussent aujourd’hui la santé à se connecter cette année : 1. Une technologie Mature 2. Une priorité pour tous, la Santé 3. Le chaudron de la connectivité 4. La santé digitale est attrayante 5. Les hommes veulent être acteur de leur santé 6. L’industrie pharmaceutique est en recherche d’un nouveau modèle d’affaires 7. La Big data et le Dossier Médical Personnel 8. Un beau marché est à conquérir 9. Des acteurs importants provenant de secteurs complémentaires sont dans les starting-block
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E-réputation : le bon laboratoire, la brute Google et… le réseau social | le ... - 0 views

  • les réseaux sociaux spécifiques à la santé : Carenity, Docatus, Sermo, Mypsink
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Le digital, nouvel allié du « Wait marketing » en salle d'attente | Le monde ... - 0 views

  • our en savoir plus : 1- Source : Observatoire métiers des entreprises libérales 2-Thèse de B LEROY – mars 2012 : « Comparaison de l’efficacité de deux vecteurs d’information en salle d’attente, en direction d’une population d’adultes, prise en charge en médecine générale, au sein de deux maisons de santé pluridisciplinaires » – Faculté de médecine de NANCY 3- Thèse de A-C DUPUIS / H MOUTERDE-LEFEBVRE – 2010 : « Création et évaluation d’une nouvelle modalité éducative en soins primaires : la campagne éducative monothématique multivectorielle en salle d’attente » – Faculté de médecine de ROUEN 4 – Utilisation de la technologie NFC pour un projet de e-santé dans les métiers du Maintien à Domicile -INSIDE Article issu de mon blog : L’essor des smartphones et applis santé
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Le magazine américain "Forbes" désigne l'année 2013 comme l'année de la e-san... - 0 views

  • Ces avancées technologiques pour le grand public suffiraient à elles seules à susciter un engouement de la part des investisseurs. Le marché des applications « bien-être » ou d’information sur la santé en ligne est d’ores et déjà colossal et se développe à une allure vertigineuse. Mais la réelle nouveauté réside pour le magazine dans le fait que l’enjeu de développement économique se double d’une nécessaire maîtrise des coûts de santé, voulue par les Etats et plébiscitée par l’opinion publique. La mise en œuvre aux Etats-Unis de la couverture santé universelle (ou Patient Protection and Affordable Care Act, dénommée « Obamacare ») cristallise le débat politique et pour cause : dans un contexte de crise économique doublée d’une augmentation des coûts des soins se pose le dilemme d’une santé accessible à chacun mais supportable par tous. La e-santé est vue par les Etats comme le moyen d’améliorer l’efficience des soins tout en responsabilisant les citoyens sur leur santé et éviter ainsi les gaspillages, ce qui les conduit à investir pour développer le secteur. Par ailleurs, l’arrivée des technologies numériques est perçue comme une évolution naturelle de la médecine dont le progrès est une obligation morale afin de faire bénéficier les pays en développement de ces progrès. Ainsi, à l’image du « Tricorder X-Prize » lancé en janvier 2012, plusieurs fondations philanthropiques outre-Atlantique lèvent des fonds pour accélérer le développement de la e-santé et faire progresser la médecine pour une meilleure qualité des soins ayant pour conséquence une meilleure qualité de vie et des traitements vitaux pour tous. Cette valeur-là, elle, est inestimable.
  • Plusieurs des arguments avancés concernent les récents bonds en avant des technologies numériques et leur impact dans la société. Après avoir transformé des secteurs comme l’administration ou le commerce, le numérique atteint désormais un niveau de sécurité et d’acceptabilité par le grand public qui lui permet de s’attaquer à la santé. En très peu de temps, l’informatique s’est démocratisée. A la faveur notamment du développement fulgurant des smartphones, réseaux internet mobiles et autres tablettes tactiles, le numérique est sorti des chambres d’adolescents geeks pour s’installer durablement dans toutes les poches. Ces terminaux sont désormais la porte d’entrée vers notre identité numérique, interconnectée, et ayant son existence propre dans le cyberespace. Les conditions techniques sont réunies pour permettre aujourd’hui l’éclosion du patient 2.0, informé sur son état de santé, connecté aux soignants qui le suivent, pouvant accéder à ses données médicales en ligne et participant lui-même au soin en temps réel grâce à des outils de mesure intégrés (l’essor du quantified-self). Le magazine souligne également les espoirs nouveaux que suscitent ces flux de données dans les domaines de la recherche et de l’épidémiologie, avec notamment le fleurissement du "big data" et des dossiers patients informatisés.
  • Habitué des classements en tous genres, le célèbre magazine économique américain Forbes identifie dans un billet daté du 1er février, les 10 raisons pour lesquelles la e-santé sera un secteur majeur de développement en 2013 aux Etats-Unis. Les raisons d’un tel engouement ? Une « convergence de chiffres, de faits et de nouveaux besoins » pour 2013. Selon le webzine, innovation technologique, revendications sociétales et nécessité économique convergent pour que cette année soit celle de la e-santé.  L’explosion des nouvelles technologies et des réseaux
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  • Un enjeu économique à deux niveaux
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50 supports d'informations sur les pathologies e... - MindMeister Mind Map - 0 views

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    "50 supports d'informations sur les pathologies et la santé, proposés par l'industrie pharmaceutiqueAbbott parlons spso vous n'êtes pas seul freestyle diabète AbbVie bébépréma Astellas dessolutionspourmavessieAsthme & AllergiesAstraZeneca asthmaclic Migrain-eBaxter renalinfoBayer avcvitele15Biogen la sep bougeBoehringer Ingelheim au cœur de l'AVC BpcoChiesi web documentaire asthmeGenzyme Hypercholestérolémie FamilialeGlaxoSmithKline mon asthmeIpsen Automesure tensionnelleJanssen C Time VIHservices Psoriasis reflux & nutrition Schizophrenia24x7MSD Mon Journal Positif iChemo diaryNovartis sep&vous dmla monparkinson prochedemalade Génération ProchesNovo Nordisk diabetePfizer douleurnonidentifiee cancer du poumon ALK prevention-tabac aloisPierre Fabre unoeilsurlallergie mon-partenaire-santeRoche voixdespatients la chaine rose Polyarthrite 2.0 (Roche et Chugai)Sanofi impact-malaria passez l'infoStallergènes Alertes pollensUrgo iPollen prevention-escarreBMS Path BSOS hépatites France AVC, Société Française Neuro-vasculaire Association Pour la Lutte Contre le PsoriasisLilly vivresoncoupleGalderma toutsurlacne tout savoir sur la rosacéeLundbeck parkinson-infos alzheimer-infos depression-infosL'auteur : Fabrice Vezin Blog : le monde de la e-santé Page Facebook Scoop.it cv onlineAFAP-NP, CEDR, AFVD, ACS, AFLARCNMR, FFC, FFP, SFTSociété Française d'OphtalmologieADIRSrevue Nutritions & EndocrinologieComité Français de Lutte contre l'HyperTension Artérielle Asthme & Allergies, CNMR CNMR, FFAAIR, AlvéoleAFA, ANGH, CREGG, GETAID, SNFGERNSA, LCSQARNSARNSA, CFOA, Asthme & Allergies Create your own awesome maps Even on the go with our free apps for iPhone, iPad and Android Inscrivez-vous gratuitement Vous avez déjà un compte ? Entrer -+Options de la MapMap actions "
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