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'OK Glass, Save A Life.' The Application Of Google Glass In Sudden Cardiac Death - Forbes - 0 views

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    "Google GOOG -0.32% Glass has made its way into healthcare.  Its use in the operating room and in medical education has been profiled here.  Yet the magic of Glass will be found in the applications that can make this "technology" into real-world solutions for health and medicine.  It's a bit like the smart phone and how its realization is a function of the countless apps that bring the device to life. Inside The Operating Room With Google Glass John Nosta Contributor Christian Assad, MD has taken the next step with Glass and developing a practical app that can turn Glass into a real life-saver. He recently profiles this application on his blog and I believe it's an important turn of events that showcase just how technology can be applied to medicine and public health issues.  Here's how it presents the concept in his blog-Google Glass and augmented CPR:"
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Incubator created for Google Glass app developers for medical applications - 0 views

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    ""We are going to see a revolution going forward of wearable computational devices, with Google Glass being the first one out of the gate," says Chief Innovation Officer of Palomar Health, Orlando Portale. This prediction is the reason Palomar Health and Qualcomm Life have teamed up to build an incubator for developers called Glassomics. The incubator aims to provide platforms and eventually, hospital venues to create medical apps for computer glasses, smart watches, and wearable devices for patients. Qualcomm Life is providing development tools and software platforms such as AllJoyn: a system that provides peer-to-peer, real-time sharing capabilities for doctors. Palomar Health will provide a hospital for apps to be tested and refined in a real-world setting. This is territory they have experience in having tested Sotera Wireless's mobile vital signs monitors (ViSi Mobile) and AirStrip's mobile data platform. For an in-depth look at ViSi Mobile, take a look at our previous article on that system. Systems such as Google Glass will provide significant flexibility in medical applications. Doctors, nurses, and other healthcare providers will be able to access relevant data in real-time without having to access a computer or even hold a mobile device in their hands."
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dmd-santé : Des professionnels de santé qui testent des applications médicales - 0 views

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    "i"
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iPAD ADV | Health 2.0 | Santé 2.0 | Web 2.0 | social media pharma |e-detailin... - 0 views

  • 1 - Le digital, nouveau paradigme de la communication et de l’information auprès des professionnels de santé et des patients De nouveaux média portés par l’explosion des TIC De nombreuses solutions et applications possibles pour le secteur pharmaceutique Les patients et les professionnels de santé : de nouveaux comportements et de nouvelles pratiques en faveur du digital Santé mobile Web 2.0 2 - L’industrie pharmaceutique peine en France à définir des stratégies digitales ambitieuses et efficaces Une politique nationale en faveur de la e-santé tardive par rapport à d’autres pays Le secteur pharmaceutique n’a pas encore fait en France sa « révolution digitale » Quelles perspectives, au-delà d’un site corporate et d’une e-ADV ? Des freins culturels, même du côté de l’OTC Un fonctionnement encore largement en BtoB, des stratégies marketing qui peinent à se renouveler et à intégrer une dimension véritablement cross-canal
  • Des déclinaisons de stratégies globales pas toujours adaptées à l’environnement hexagonal Des initiatives souvent court-termistes liées aux cycles projets Une difficulté à mesurer un ROI et à établir des facteurs clés de succès pertinents Des organisations internes favorisant peu la diffusion d’une culture digitale auprès des départements marketing et des directions générales Des budgets insuffisamment dédiés aux organisations et aux projets digitaux Les perspectives d’évolution des budgets digitaux d’ici 2015 Peu de budgets dédiés à l’e-réputation Un environnement réglementaire défavorable conduisant à une grande frilosité de la part des marketeurs en France Des restrictions concernant la communication autour des produits L’obligation d’assurer une pharmacovigilance Une crise médiatique sans précédent qui n’incite pas en France à la « transparence digitale »
  • 3 - Les leviers et les perspectives des innovations digitales dans le secteur pharmaceutique Un contexte général pourtant très favorable à la diffusion du marketing digital Des professionnels de santé connectés et exprimant des attentes concrètes à l’égard des solutions digitales Des patients acquis au marketing digital, et de plus en plus mobilisés sur leur santé Le soutien de la télésanté par les pouvoirs publics et les sociétés savantes Des attentes fortes en matière de suivi coût-efficacité des maladies chroniques L’émergence des communautés de patients Les innovations digitales portées par les laboratoires pharmaceutiques Auprès des professionnels de santé Les applications mobiles dédiées aux professionnels de santé Les serious games au service de leur formation Les plates-formes d’e-learning, les e-conférences et le webcasting Les plates-formes collaboratives et les communautés de professionnels de santé Auprès des patients Les dispositifs mobiles de suivi et de partage d’informations entre patients et médecins Les applications mobiles de suivi et/ou d’information pour les patients atteints de pathologies graves, invalidantes et/ou chroniques La montée en puissance des outils digitaux d’éducation Les facteurs clés de succès d’une stratégie digitale efficace Prendre conscience de l’enjeu stratégique majeur du digital Acquérir une culture digitale approfondie face aux contraintes réglementaires Mettre en place une organisation digitale totalement intégrée au marketing, fonctionner en mode projet Combiner les différentes approches digitales pour générer des synergies positives Jouer la carte du « brand content », faire du digital un « need to have » Proposer des innovations digitales en cohérence avec les parcours de soins des patients Proposer des solutions qui contribuent à décloisonner la ville et l’hôpital, et à fédérer les professionnels de santé entre eu
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De la médecine aux industries hi-tech, les Google Glasses ne sont pas un gadg... - 0 views

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    "Atlantico : Des chirurgiens, américain et espagnol, ont testé pour la première fois la retransmission d'actes chirurgicaux filmés par les lunettes connectées de Google. Les Google Glass sont-elles vouées à devenir un véritable auxiliaire au service de la médecine ? Est-ce une hypothèse crédible ou bien resteront-elles seulement utilisées de façon marginale dans le domaine médical ?  Jérôme Colombain : C'est typiquement le genre d'applications auxquelles on n'avait pas pensé au départ mais qui pourraient voir le jour avec des lunettes connectées. Dans l'expérience que vous évoquez, les chirurgiens ont utilisé la capacité de captation vidéo pour filmer des opérations et diffuser les images en direct sur Internet à des fins pédagogiques. En fait, c'est juste comme s'ils avaient une petite caméra fixée sur le front. C'est l'une des applications possibles mais ce n'est pas la seule. En effet, n'oublions pas que les Google Glass ont une autre fonction, encore plus novatrice, qui est l'affichage d'informations devant le regard de la personne qui les porte à l'aide d'un minuscule écran intégré. On pourrait donc très bien imaginer que des chirurgiens utilisent cette fonctionnalité, par exemple, pour surveiller en temps réel l'électrocardiogramme d'un patient ou toutes autres données en cours d'intervention sans avoir à lever les yeux pour regarder des écrans de contrôle comme ils le font aujourd'hui. Cela dit, pour les avoir essayées, je peux vous dire que les Google Glass sont un peu déroutantes au début car il faut sans cesse accommoder sa vue entre la vision normale vers l'extérieur et la vision de près sur l'écran vidéo mais c'est néanmoins très prometteur. "
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Newsletter #10 : Offre HAD SSIAD - 0 views

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    "notre nouvelle offre dédiée aux personnels du secteur de l'Hospitalisation à Domicile, basée sur les applications de gestion de BlueKanGo, les offres de data mobile d'Orange Business Services et la tablette PC d'Apple (l'iPad)."
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The search for blockbuster drugs - McKinsey Quarterly - Health Care - Pharmaceuticals - 1 views

  • "me-too" compounds,
  • heir efficacy, or comparative effectiveness in treating a specific disease
  • safety, including issues such as side effects and drug interactions
  • ...10 more annotations...
  • the breadth of their approved uses
  • convenience, including longer-lasting formulas and easier application
  • highly effective,
  • costly and inconclusive.
  • By contrast, many companies have had more success with efforts to improve the safety of products or to get them approved for use in treating additional diseases. Examples are Pfizer's Neurontin, a successful antiepilepsy medication driven predominantly by perceptions of safety differences, and the company's Celebrex, a Cox-2 inhibitor that reduces pain and inflammation and is thought to be easier on the stomach than aspirin. The breadth of approved uses for drugs can also be a significant source of differentiation. We found that nearly two-thirds of those in competitive therapeutic areas, such as depression and allergies, went on to receive regulatory approval for a broader range of treatments after they came on the market (Exhibit 2). Eli Lilly's Prozac, for example, was launched in 1987 to treat depression but has since been approved for use in a range of conditions. Today, drugs entering these competitive areas often need to have a similarly broad range of regulatory endorsements at the time of their launch, thereby raising the bar for compounds in development
  • pharmaceutical companies might rethink their strategies for clinical trials
  • oo many companies commit a disproportionate amount of their time and money to discovering first-in-class compounds when best-in-class opportunities might yield higher returns
  • Second, efficacy shouldn't be pursued at the expense of other sources of differentiation; claims of safety, pharmacokinetics (that is, dosing), and convenience may be as desirable and more clinically attainable
  • one meaningful point of differentiation and scuttle drugs that have even a single subpar attribute.
  • Of the recent blockbusters we analyzed, 59 percent were superior to the competition in only one area, while just 14 percent were superior in two, and no drug was the leader in three or more (Exhibit 3). While some of the remaining 27 percent were distinctive at launch, they are now comparable to their competitors in all significant dimensions but continue to be marketed more effectively. Yet drugs with even a single subpar attribute were generally commercial failures.1

    These

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Welcome to NicOx - Bienvenue chez NicOx - 0 views

  • NicOx is building an international late-stage development and commercial ophthalmic group. NicOx is also developing New Molecular Entities through the application of its proprietary nitric oxide-donating R&D platform. NicOx is headquartered in France and is listed on Euronext Paris.
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Le regard d'Accenture Management Consulting : La mutation de l'industrie pharmaceutique... - 0 views

  • Une rupture scientifique : le séquençage du génome, entre autres avancées, ouvre de nouvelles voies quand la recherche traditionnelle s'épuise.Une rupture économique : la démographie, le souhait des individus de vieillir en bonne santé et les coûts unitaires des thérapies ciblées mettent les systèmes de financement sous pression.Une rupture sociétale : les payeurs mondiaux sont de plus en plus actifs, analysant les données ou "coachant" des patients. Le système de soins ménage une place accrue aux pharmaciens et aux infirmières, à la télémédecine et aux réseaux de soins. Les réseaux sociaux de patients (PatientLikeMe, Orphanet) ou de médecins (Sermo) redistribuent l'information. La place du médecin comme décideur unique est questionnée.
  • Synergies scientifiques : une activité de génériques est alimentée par les expirations de brevets ; une activité vétérinaire bénéficie des retombées de la recherche humaine.Synergies de compétences : Sanofi identifie la connaissance de l'écosystème comme une compétence clé lui permettant d'articuler produits et services de santé.Synergies thérapeutiques : certains acteurs servent une pathologie "de bout en bout", par exemple en intégrant glucomètres, insuline, analyse des données ou formation des patients, comme Novo Nordisk, Sanofi ou Bayer (qui a même lancé un jeu pédagogique avec Nintendo) sur le diabète.Synergies produits : les applications esthétiques du Botox, utilisé au départ en chirurgie urinaire, ont fourni à Allergan un très important relais de croissance.Synergies financières : à l'instar des acteurs du BTP (faibles marges, mais fortes liquidités) se lançant dans les concessions, ou des acteurs du matériel informatique se diversifiant dans les logiciels et les services, les laboratoires analysent les complémentarités financières. Quels investissements, quels risques, quelle rentabilité ? Quelle pérennité des flux de revenus, notamment face aux cycles et aux réformes publiques ?Quelles valorisations ?
  • Valeur : les laboratoires "valeur" (tels BMS, AstraZeneca ou Amgen) adressent, par une recherche innovante, des besoins noncouverts. Ce modèle présente des risques plus élevés (même si les alliances permettent de le répartir) pour des rendements plus élevés (même si l'incertitude pèse sur le financement collectif). La R&D doit s'accompagner d'innovation sur offres, de rémunération au résultat et veiller au suivi de l'efficacité du produit
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  • Portefeuille : les acteurs "portefeuille" (tels GSK, Sanofi, J&J, Novartis ou Roche) assemblent diverses activités (vaccins, optique, appareils médicaux, nutrition, services, électronique grand public...) autour d'un noyau pharmaceutique. Ils peuvent intégrer les modèles "volume" et "valeur", et calibrent leur profil d'investissement et de risque. Trois questions sont centrales. Dans quelles activités non dilutives investir ? Quelles synergies justifient la diversification, au-delà de la recherche de croissance ? Comment maîtriser les nouveaux modèles (par exemple, comment protéger de la concurrence des services non brevetables, contrairement aux médicaments) ?
  • Volume : les acteurs "volume" (tels Teva ou Ranbaxy) se concentrent sur les produits familiaux, génériques ou matures, proches de la grande consommation. Ce modèle suppose moins d'investissements et de risques, pour un rendement plus prévisible ; il repose sur un marketing "de masse", sur un approvisionnement économique et sur la pénétration rapide des marchés émergents.
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Le digital, nouvel allié du « Wait marketing » en salle d'attente | Le monde ... - 0 views

  • our en savoir plus : 1- Source : Observatoire métiers des entreprises libérales 2-Thèse de B LEROY – mars 2012 : « Comparaison de l’efficacité de deux vecteurs d’information en salle d’attente, en direction d’une population d’adultes, prise en charge en médecine générale, au sein de deux maisons de santé pluridisciplinaires » – Faculté de médecine de NANCY 3- Thèse de A-C DUPUIS / H MOUTERDE-LEFEBVRE – 2010 : « Création et évaluation d’une nouvelle modalité éducative en soins primaires : la campagne éducative monothématique multivectorielle en salle d’attente » – Faculté de médecine de ROUEN 4 – Utilisation de la technologie NFC pour un projet de e-santé dans les métiers du Maintien à Domicile -INSIDE Article issu de mon blog : L’essor des smartphones et applis santé
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Le magazine américain "Forbes" désigne l'année 2013 comme l'année de la e-san... - 0 views

  • Ces avancées technologiques pour le grand public suffiraient à elles seules à susciter un engouement de la part des investisseurs. Le marché des applications « bien-être » ou d’information sur la santé en ligne est d’ores et déjà colossal et se développe à une allure vertigineuse. Mais la réelle nouveauté réside pour le magazine dans le fait que l’enjeu de développement économique se double d’une nécessaire maîtrise des coûts de santé, voulue par les Etats et plébiscitée par l’opinion publique. La mise en œuvre aux Etats-Unis de la couverture santé universelle (ou Patient Protection and Affordable Care Act, dénommée « Obamacare ») cristallise le débat politique et pour cause : dans un contexte de crise économique doublée d’une augmentation des coûts des soins se pose le dilemme d’une santé accessible à chacun mais supportable par tous. La e-santé est vue par les Etats comme le moyen d’améliorer l’efficience des soins tout en responsabilisant les citoyens sur leur santé et éviter ainsi les gaspillages, ce qui les conduit à investir pour développer le secteur. Par ailleurs, l’arrivée des technologies numériques est perçue comme une évolution naturelle de la médecine dont le progrès est une obligation morale afin de faire bénéficier les pays en développement de ces progrès. Ainsi, à l’image du « Tricorder X-Prize » lancé en janvier 2012, plusieurs fondations philanthropiques outre-Atlantique lèvent des fonds pour accélérer le développement de la e-santé et faire progresser la médecine pour une meilleure qualité des soins ayant pour conséquence une meilleure qualité de vie et des traitements vitaux pour tous. Cette valeur-là, elle, est inestimable.
  • Plusieurs des arguments avancés concernent les récents bonds en avant des technologies numériques et leur impact dans la société. Après avoir transformé des secteurs comme l’administration ou le commerce, le numérique atteint désormais un niveau de sécurité et d’acceptabilité par le grand public qui lui permet de s’attaquer à la santé. En très peu de temps, l’informatique s’est démocratisée. A la faveur notamment du développement fulgurant des smartphones, réseaux internet mobiles et autres tablettes tactiles, le numérique est sorti des chambres d’adolescents geeks pour s’installer durablement dans toutes les poches. Ces terminaux sont désormais la porte d’entrée vers notre identité numérique, interconnectée, et ayant son existence propre dans le cyberespace. Les conditions techniques sont réunies pour permettre aujourd’hui l’éclosion du patient 2.0, informé sur son état de santé, connecté aux soignants qui le suivent, pouvant accéder à ses données médicales en ligne et participant lui-même au soin en temps réel grâce à des outils de mesure intégrés (l’essor du quantified-self). Le magazine souligne également les espoirs nouveaux que suscitent ces flux de données dans les domaines de la recherche et de l’épidémiologie, avec notamment le fleurissement du "big data" et des dossiers patients informatisés.
  • Habitué des classements en tous genres, le célèbre magazine économique américain Forbes identifie dans un billet daté du 1er février, les 10 raisons pour lesquelles la e-santé sera un secteur majeur de développement en 2013 aux Etats-Unis. Les raisons d’un tel engouement ? Une « convergence de chiffres, de faits et de nouveaux besoins » pour 2013. Selon le webzine, innovation technologique, revendications sociétales et nécessité économique convergent pour que cette année soit celle de la e-santé.  L’explosion des nouvelles technologies et des réseaux
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  • Un enjeu économique à deux niveaux
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D.Views: le blog business de Deloitte France - 0 views

  • La nécessité de s’adapter à la nouvelle temporalité Le numérique est donc à la fois un déclencheur et un facilitateur de la puissante vague qui va conduire les entreprises du médicament à redéfinir leurs missions et leurs interactions avec les autres parties prenantes : patients, professionnels de santé, payeurs, régulateurs ou partenaires. Mais le principal enjeu vient peut-être du fait que l’irruption des technologies et solutions numériques dans l’écosystème de santé en modifie radicalement la temporalité de référence. Les laboratoires pharmaceutiques vont par exemple devoir apprendre très vite à gérer les cycles de vie courts de solutions thérapeutiques incorporant du numérique. Ils devront également mettre en place des processus de décision et de communication permettant de réagir presqu’instantanément à des informations mettant en cause leur réputation, diffusées ou amplifiées via les réseaux sociaux. Comme l’a souligné récemment le dirigeant d’un grand groupe pharmaceutique, les entreprises du secteur qui sauront comprendre rapidement ce changement de paradigme, et modifier à temps leur ADN, auront certainement de meilleures chances de survivre et de prospérer.
  • Une transformation profonde et inévitable du business model Les apports potentiels du numérique vont bien au-delà de la conception de solutions thérapeutiques intégrées. Ils concernent l’ensemble de sa chaîne de valeur. L’enjeu pour les laboratoires pharmaceutiques est non seulement de comprendre les changements que le déferlement des innovations numériques va inévitablement induire dans leur business model, mais également de piloter et d’accompagner ce processus de transformation. Même lorsque ces mutations résultent de décisions internes à l’entreprise, les défis à relever sont importants car elles conduisent à répondre à de multiples questions auxquelles les laboratoires n’avaient jusqu’à présent pas été confrontés : quels sont les déterminants de la valeur d’une solution thérapeutique ? Comment évaluer et partager les risques émergents avec les partenaires ? Comment gérer le cycle de vie d’une solution multi-composants ? Comment collecter et interpréter les données en « vie réelle » ? L’effort d’adaptation est encore plus considérable quand l’innovation est promue ou
  • imposée par des forces exogènes. Seules quatre entreprises pharmaceutiques sur dix ont commencé à tirer parti des réseaux sociaux pour collecter de l’information, communiquer, ou encore collaborer avec des professionnels de santé. Une proportion équivalente n’envisage toujours pas d’utiliser ces médias et beaucoup d’entreprises pharmaceutiques se sentent démunies face à la prolifération des informations diffusées chaque jour sur le web. Il est vrai qu’en offrant la possibilité à n’importe quel patient de partager publiquement son avis sur des médicaments ou des dispositifs à prescription obligatoire, le numérique introduit une forme de désintermédiation qui bouleverse radicalement les règles établies. Les laboratoires se retrouvent ainsi dans une situation paradoxale où ils sont tenus de respecter des obligations strictes en matière d’information médicale, tout en étant de plus en plus soumis à des exigences fortes en termes de transparence et de réactivité en cas de survenance d’effets indésirables.
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  • L’innovation numérique au cœur des solutions thérapeutiques Pour les laboratoires pharmaceutiques, l’enjeu en termes d’innovation est non seulement de développer de nouvelles molécules plus efficaces et plus ciblées, mais aussi de proposer des solutions thérapeutiques complètes, en particulier pour les affections de longue durée telles que le diabète, les cancers ou les maladies cardio-vasculaires. En facilitant la vie des patients, les solutions thérapeutiques qui intègrent des technologies numériques contribuent à améliorer le niveau d’observance des traitements, et par conséquent leur efficacité. Prenons des exemples. Un lecteur de glycémie connectable à un iPhone permet aujourd’hui aux patients diabétiques de mesurer facilement et précisément leur taux de glucose sanguin. Une application spécifique leur offre également de multiples fonctionnalités pour gérer au mieux leur diabète : carnet de suivi glycémique et transmission des résultats au médecin. Autre exemple : les « smart pills », gélules contenant un capteur miniaturisé inséré et émettant un signal transmis à un récepteur externe lorsqu’il est activé par les sucs gastriques, sont en train de se développer. L’intérêt de ce type de dispositif est de permettre un suivi et un contrôle en temps réel de la prise de médicaments. Et comme l’a souligné un industriel, la valeur de ces « smart pills » tiendra peut-être plus des données qu’elles génèrent que du médicament lui-même.
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