Skip to main content

Home/ Pharmaceutical Laboratory/ Group items tagged acteurs

Rss Feed Group items tagged

hamelinclara

Le regard d'Accenture Management Consulting : La mutation de l'industrie pharmaceutique... - 0 views

  • Une rupture scientifique : le séquençage du génome, entre autres avancées, ouvre de nouvelles voies quand la recherche traditionnelle s'épuise.Une rupture économique : la démographie, le souhait des individus de vieillir en bonne santé et les coûts unitaires des thérapies ciblées mettent les systèmes de financement sous pression.Une rupture sociétale : les payeurs mondiaux sont de plus en plus actifs, analysant les données ou "coachant" des patients. Le système de soins ménage une place accrue aux pharmaciens et aux infirmières, à la télémédecine et aux réseaux de soins. Les réseaux sociaux de patients (PatientLikeMe, Orphanet) ou de médecins (Sermo) redistribuent l'information. La place du médecin comme décideur unique est questionnée.
  • Synergies scientifiques : une activité de génériques est alimentée par les expirations de brevets ; une activité vétérinaire bénéficie des retombées de la recherche humaine.Synergies de compétences : Sanofi identifie la connaissance de l'écosystème comme une compétence clé lui permettant d'articuler produits et services de santé.Synergies thérapeutiques : certains acteurs servent une pathologie "de bout en bout", par exemple en intégrant glucomètres, insuline, analyse des données ou formation des patients, comme Novo Nordisk, Sanofi ou Bayer (qui a même lancé un jeu pédagogique avec Nintendo) sur le diabète.Synergies produits : les applications esthétiques du Botox, utilisé au départ en chirurgie urinaire, ont fourni à Allergan un très important relais de croissance.Synergies financières : à l'instar des acteurs du BTP (faibles marges, mais fortes liquidités) se lançant dans les concessions, ou des acteurs du matériel informatique se diversifiant dans les logiciels et les services, les laboratoires analysent les complémentarités financières. Quels investissements, quels risques, quelle rentabilité ? Quelle pérennité des flux de revenus, notamment face aux cycles et aux réformes publiques ?Quelles valorisations ?
  • Valeur : les laboratoires "valeur" (tels BMS, AstraZeneca ou Amgen) adressent, par une recherche innovante, des besoins noncouverts. Ce modèle présente des risques plus élevés (même si les alliances permettent de le répartir) pour des rendements plus élevés (même si l'incertitude pèse sur le financement collectif). La R&D doit s'accompagner d'innovation sur offres, de rémunération au résultat et veiller au suivi de l'efficacité du produit
  • ...2 more annotations...
  • Portefeuille : les acteurs "portefeuille" (tels GSK, Sanofi, J&J, Novartis ou Roche) assemblent diverses activités (vaccins, optique, appareils médicaux, nutrition, services, électronique grand public...) autour d'un noyau pharmaceutique. Ils peuvent intégrer les modèles "volume" et "valeur", et calibrent leur profil d'investissement et de risque. Trois questions sont centrales. Dans quelles activités non dilutives investir ? Quelles synergies justifient la diversification, au-delà de la recherche de croissance ? Comment maîtriser les nouveaux modèles (par exemple, comment protéger de la concurrence des services non brevetables, contrairement aux médicaments) ?
  • Volume : les acteurs "volume" (tels Teva ou Ranbaxy) se concentrent sur les produits familiaux, génériques ou matures, proches de la grande consommation. Ce modèle suppose moins d'investissements et de risques, pour un rendement plus prévisible ; il repose sur un marketing "de masse", sur un approvisionnement économique et sur la pénétration rapide des marchés émergents.
hamelinclara

Le marché du façonnage pharmaceutique en France : Eurostaf étude de marché - 0 views

  • Le façonnage pharmaceutique : un modèle porté par les laboratoires génériqueurs Un marché issu de la fin d’un modèle, celui des blockbusters Le déclin des blockbusters a permis le développement d’un marché à part entière : le façonnage pharmaceutique. Des PME dynamiques ont repris les usines en surcapacité de laboratoires Big Phrama pour les convertir en unités de production multi-produits et multi-clients, accroissant la rentabilité des sites. Ces façonniers se positionnent sur des produits matures dont le modèle économique est basé sur les volumes, entrainant des gains de productivité. Les façonniers sont devenus en une décennie des partenaires privilégiés des laboratoires génériqueurs ayant des problématiques identiques.
  • Concurrence exacerbée, marges limitées : l’environnement économique du façonnage est à un tournant Entre politique industrielle volontariste et limitation des dépenses de santé, certains acteurs montrent des signes de faiblesse Bien que le gouvernement souhaite favoriser ce tissu industriel à forte valeur ajoutée, la situation économique de la France le contraint à limiter ses dépenses de santé publique via une série de mesures pour 2012 : augmentation du nombre de déremboursement de médicaments, baisse des prix des génériques principalement et augmentation du taux de TVA. Le façonnage pharmaceutique a souffert en 2009 du fait d’un déstockage massif des officines en réponse à la crise économique. Le marché du façonnage pharmaceutique est certes toujours en croissance, mais les difficultés conjoncturelles fragilisent les acteurs les plus petits. Ces nouvelles évolutions réglementaires viennent jouer sur les marges des façonniers déjà sous pression. Depuis 2009, trois façonniers ont été contraints de cesser leur activité.
  • Innovation, conquête de nouveaux marchés, consolidation, le façonnage dispose encore de relais de croissance importants Le façonnage pharmaceutique entre dans une ère de consolidation d’actifs productifs et de développement Après une vague de croissance basée dans un premier temps sur le rachat de sites, le marché entre dans une phase de consolidation. Les opportunités de croissance demeurent solides. L’outil productif a bénéficié d’investissements importants afin de permettre au façonnage français de relever de nouveaux challenges comme les biotechnologies qui demeurent encore sous-exploitées, des exportations peu ou pas développées, ou encore se doter de normes internationales de fabrication (ISO13485, ISO9001, cGMP). L’enjeu du secteur est de se positionner sur des segments de marché à forte valeur ajoutée. Quelles sont les perspectives du marché à horizon 2015 ? Comment les industriels se préparent-ils à relever ces défis ?
hamelinclara

La cartographie du système de santé français en 2012 : Eurostaf étude de marché - 1 views

  • Le paysage de la santé a profondément évolué depuis 2010 Régionalisation de notre système de santé : en avant, toute ! La loi HPST de « modernisation » du système de santé a entre autres donné naissance aux Agences Régionales de Santé (ARS), opérationnelles depuis début 2010. L’objectif affiché est triple : Simplifier le système avec la fusion de sept organismes régionaux ; Etre au plus près des problématiques et des besoins de santé publique grâce à un pilotage en région ; Limiter les dérives budgétaires. Cette nouvelle organisation a pour conséquence de voir apparaître de nouveaux interlocuteurs pour l’ensemble des acteurs du système de santé (industrie pharmaceutique, fabricants de dispositifs médicaux, associations de patients, établissements sanitaires et médico-sociaux, médecins libéraux, pharmaciens d’officine, élus locaux, assurance maladie et complémentaires santé, etc.). L’objectif de cette cartographie est de bien appréhender cet écosystème et ses réseaux d’influence en fournissant notamment le détail des 26 projets régionaux de santé en cours d’adoption. Elle offre un éclairage sur les points clés de la Loi n°2011-2012 du 29 décembre 2011 relative au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé.
  • Le véritable « qui fait quoi ? » de la santé Connaître les décideurs et les réseaux d’influence Eurostaf et le cabinet ACS dressent une cartographie des institutions opérant dans la santé, ainsi que des non institutionnels (laboratoires pharmaceutiques, groupements pharmaceutiques, mutuelles santé, presse spécialisée, relais et leaders d’opinion, etc.) dont le rôle dans le secteur de la santé est notable. Les décisions prises par ces organes ou les informations qu’ils véhiculent conditionnent les initiatives des acteurs du monde de la santé (recherche de financement, développement de nouvelles activités, création d’établissements sanitaires et médico-sociaux, réponses aux appels à projets des ARS, anticipation et gestion de situation de crise, etc.). Un outil interactif, une navigation aisée Pour trouver rapidement l’information pertinente et s’orienter dans le nouveau système de santé Cette cartographie du système de santé a été conçue comme un véritable guide interactif permettant de naviguer aisément au sein du document via notamment des signets et de nombreux liens hypertextes.
  • ACS, Agence Conseil Santé, propose des recommandations stratégiques et opérationnelles en marketing et en communication de la santé. Avec une forte expertise à l’officine et auprès de la médecine de ville, ACS crée des éléments de communication efficaces et originaux pour proposer aux professionnels de santé une meilleure prise en charge du patient. Particulièrement attentif à l’amélioration de la qualité de vie du patient, ACS élabore avec originalité et créativité des programmes de formation, de communication scientifique, de prévention et de dépistage.
hamelinclara

Docteur Jacques Lucas : "Quelle stratégie pour l'e-santé en France ?" | esant... - 0 views

  • Le déploiement de l’e-santé doit bien évidemment impliquer,au premier chef, les médecins et les autres professionnels de santé, puisque ce sont les principaux acteurs de la prise en charge des personnes en demande de soins.   Pour qu’ils s’impliquent,les technologies de l’information et de la communication en santé doivent répondre à leurs besoins professionnels concrets, dans toutes leurs dimensions humaines, médicales et médicosociales.   Le développement de l’esanté doit respecter lesimpératifs déontologiques : information du patient, consentement de celui-ci sur le partage de ses données personnelles, respect de la confidentialité.   L’e-santé doit faciliter l’accès aux soins. Pour illustration,les maisons ou pôles de santé, qu’ils soient réels ou virtuels, nécessitent des équipements numériques,notamment télémédicaux. Il faut donc, en parallèle, une stratégie nationale qui permette de booster le déploiement du très haut débit sur tout le territoire national, afin de juguler la fracture numérique.
  • Le déploiement stratégique de l’e-santé devrait s’attacher à répondre aux besoins médicaux,sociaux et économiques les plus importants, en tenant compte de la réalité : les parcours de soins des patients, au quotidien, associent les professionnels d’exercice libéral et les professions de santé dans les établissements, comme dans le secteur médicosocial. Il ne doit pas exister de rupture dans la transmission des informations pertinentes et nécessaires à la continuité des prises en charge.   Il n’y aura pas de développement médicoéconomique vertueux si les TIC sont utilisées « en silo ». Les TIC en santé ne doivent pas édifier un « mur informatique » entre les secteurs hospitalier et libéral. La prise en charge de patients, à domicile ou en établissements, impose de dépasser des modèles archaïques,tout en garantissant la protection des informations à caractère secret.   Le financement de l’e-santé, y compris dans son volet de développement industriel de l’informatique et des dispositifs médicaux,doit être performant, et sa pérennité doit être assurée.   La pratique de la médecine avec l’usage des TIC engage la responsabilité de tous les acteurs : les pouvoirs publics dans l’organisation territoriale des soins, les établissements de santé publics et privés, les professionnels de santé libéraux, les fournisseurs d’accès, les tiers technologiques, l’UNCAM et les assureurs en santé…
hamelinclara

Le marché de la santé mobile augmente autant que ses acteurs se diversifient ... - 0 views

  • L'écosystème de la m-santé inclut les opérateurs mobiles qui se sont mis à tirer des revenus de la consommation accrue de ce type de données. Toutefois, les développeurs de logiciels et d’applications vont acquérir des flux de revenus croissants grâce à la création de solutions de santé, notamment subventionnées par les compagnies d'assurance santé. Les instances gouvernementales et les compagnies pharmaceutiques vont, quant-à-elles, également accroître l'épargne et les revenus de m-santé. Deux canaux existent pour distribuer ce type de produits aux consommateurs : de manière indirecte, via les professionnels ou directement délivré aux utilisateurs par le biais d'applications, comme c'est le cas de nombreuses entreprises, comme Voxiva et « text4baby ». Ces fournisseurs de m-santé sont d’avis que les plus grands services de santé mobiles seront de plus en plus axés sur les consommateurs directement.
hamelinclara

2013. L'année de la santé connectée. La preuve par 9… et par 10 ! | Jaibobola - 0 views

  • Voici 9 éléments qui poussent aujourd’hui la santé à se connecter cette année : 1. Une technologie Mature 2. Une priorité pour tous, la Santé 3. Le chaudron de la connectivité 4. La santé digitale est attrayante 5. Les hommes veulent être acteur de leur santé 6. L’industrie pharmaceutique est en recherche d’un nouveau modèle d’affaires 7. La Big data et le Dossier Médical Personnel 8. Un beau marché est à conquérir 9. Des acteurs importants provenant de secteurs complémentaires sont dans les starting-block
hamelinclara

Industrie pharmaceutique : les nouvelles stratégies de services autour du méd... - 1 views

  • 1 - La remise en question des fondamentaux du secteur Le déclin du modèle des blockbusters L'essor de la menace générique Le durcissement des conditions d'accès et de maintien sur le marché Un nouveau modèle axé sur les produits de spécialité 2 - L’impact de ces nouvelles configurations sur l’offre des laboratoires La diversification des portefeuilles d'activité Vers une médecine personnalisée ? Les enjeux de l'amélioration de l'observance L'émergence de solutions de « gestion de la santé du patient » 3 - Le patient au cœur de la stratégie de services de l’industrie pharmaceutique Une démarche centrée sur le patient et non plus seulement sur le produit et la technologie L'implication croissante des patients dans la prise en charge de leur santé Les services proposés aux professionnels de santé : formation et information, aides autour de la chaîne de distribution L'éclosion de la gestion de la relation patient (GRP) en France GRP et disease management 4 - Le développement des programmes d’accompagnement patient Les étapes clés en France L'encadrement des relations patients et industrie pharmaceutique La loi HPST donne un cadre limité d'intervention aux laboratoires Les programmes d'apprentissage, d'aide à l'observance et d'ETP Focus : Betaplus de Bayer Healthcare, Eli Lilly, CoaguCheck Link de Roche Diagnostics 5 - Les partenaires stratégiques des laboratoires dans l’accompagnement des patients Disease managers et opérateurs de programmes patient Associations de patients et sociétés savantes Les sociétés de TIC 6 - Les perspectives de ces nouvelles offres Leviers et freins au développement de ces offres de services Place des services dans les procédures d'AMM et de P&R Quel impact sur l'organisation des laboratoires ? Les nouveaux services à horizon 2020
  • L’adaptation des modèles commerciaux et marketing d’une industrie tenaillée entre générification et durcissement des conditions de market access Le passage du produit au service ? Les laboratoires font aujourd’hui face à la concurrence de plus en plus précoce des génériques une fois leurs produits tombés dans le domaine public et au durcissement de leur environnement réglementaire et politique. L’industrie pharmaceutique fait ainsi évoluer ses stratégies commerciales et marketing en associant au médicament des services visant à satisfaire à la fois les autorités de santé, les payeurs, les professionnels de santé et in fine les patients. L’amélioration de l’efficacité des traitements, un enjeu économique pour l’industrie pharmaceutique et de santé publique pour les autorités de santé Comment optimiser l’efficacité et l’efficience des traitements ? Les programmes d’accompagnement patient s’intègrent dans cette stratégie, bien qu’en France, le contexte réglementaire reste encore flou : si la loi HPST a inscrit l’éducation thérapeutique dans le parcours de soins, les décrets d’application concernant l’intervention de l’industrie pharmaceutique n’ont toujours pas été votés. Eli Lilly dans l’ostéoporose ou Roche Diagnostics pour un anticoagulant cherchent à développer l’autonomie des patients dans la prise en charge de leur(s) traitement(s), à s’adapter au plus près de leurs besoins réels et à favoriser la communication avec les professionnels de santé (intervention d’infirmières, portail de communication entre médecins, établissements de soins et patients, etc.).
  • Des partenariats stratégiques multipliés avec des acteurs spécialisés ou non dans la santé… … pour des services qui vont devenir des éléments indispensables d’accès et de maintien sur le marché pour les médicaments, ainsi que des procédures de prix et remboursement L’industrie pharmaceutique est amenée à travailler à la fois avec les autorités de santé nationales et régionales, les associations de patients, mais surtout les sociétés spécialisées et les call-centers (Vivactis Mail Call, Direct Medica, etc.), ainsi que les spécialistes des TIC ou encore les sociétés d’assistance. Les nouvelles technologies de transmission de l’information leur permettent notamment de se positionner en « entreprise de santé » capable de répondre à l’ensemble des étapes depuis la conception et la commercialisation du médicament jusqu’à sa distribution et son administration par le patient, notamment dans le cadre des maladies chroniques et des pathologies lourdes.
hamelinclara

Les perspectives de la télémédecine en France : Eurostaf étude de marché - 0 views

  • 1 - Contexte réglementaire Situation internationale Pourquoi la télémédecine ? Un nouveau champ des possibles ouvert par la naissance des TIC Des freins et des leviers identifiables au niveau international Situation en France La télémédecine, préexistant à la loi HPST Le Plan Cancer 2003, un accélérateur du déploiement de la télémédecine en France Les cinq types d'actes de télémédecine, tels que définis par la loi HPST Le débat autour de la téléconsultation Une accélération des créations de sociétés de téléconseil Un cadre réglementé par les instances gouvernementales Des modalités d'élaboration des contrats en régions, fixées par la DGOS
  • 2 - Structure du marché en France Organisation des projets Un déploiement régional, à vocation nationale 256 projets recensés par la DGOS en avril 2012 Des priorités fixées par la DGOS Focus sur la prise en charge des AVC Focus sur la permanence des soins en imagerie Focus sur la santé des personnes détenues D'autres sphères thérapeutiques qui mobilisent également Des efforts en vue de décloisonner le lien ville-hôpital Composition du marché : les acteurs clés du secteur Un marché émergeant, sans cesse en mouvement Les opérateurs institutionnels Les éditeurs de logiciels Les SSII Les fabricants de matériel informatique Les fabricants de dispositifs médicaux Les cabinets de conseil Les fournisseurs de services à la personne Les assureurs et assisteurs Les fournisseurs de services de télémédecine Les laboratoires pharmaceutiques Les opérateurs de télécommunications Les hébergeurs de données de santé
  • 3 - Modalités de financement De gros investissements, majoritairement institutionnels L'intervention de fonds européens, nationaux et interrégionaux Les retombées du Grand Emprunt : E-santé n°1 Les retombées du Grand Emprunt : E-santé n°2 Le Centre National de Référence Santé à domicile et Autonomie Le 15ème Appel à Projet du Fonds Unique Interministériel Le Fonds d'Intervention Régional Les 20 types d'actions pouvant être financées par le FIR Des projets d'envergure, dont la mise en œuvre a d'ores et déjà débuté Des « business angels » qui capitalisent sur l'innovation Une question de plus en plus préoccupante : la pérennité des financements Des coûts de fonctionnement qui ne sont pas couverts, à ce jour Des sources d'inspiration dans d'autres pays De nouvelles bases de calcul de rémunération à envisager Entre CPAM et professionnels de santé : une situation qui semble bloquée
  • ...1 more annotation...
  • 4 - Leviers et perspectives du secteur Des résistances au changement qui freinent le développement de la télémédecine Des résistances assez perceptibles chez les professionnels de santé Des projets qui ont souffert d'un manque d'anticipation organisationnelle Une frilosité quant au choix du modèle économique à adopter Des projets trop hospitalo-centrés Les perspectives d'une approche organisationnelle et transversale Une conduite du changement organisée La formation des professionnels de santé, à développer La confiance des usagers, un levier déjà opérant L'évaluation médico-économique et sociale des projets, de plus en plus en amont L'approche systémique, une condition sine qua none à la croissance du secteur
  •  
    Les perspectives de la télémédecine en France
hamelinclara

Industrie pharmaceutique : les nouvelles stratégies de services autour du méd... - 0 views

  • Le passage du produit au service ? Les laboratoires font aujourd’hui face à la concurrence de plus en plus précoce des génériques une fois leurs produits tombés dans le domaine public et au durcissement de leur environnement réglementaire et politique. L’industrie pharmaceutique fait ainsi évoluer ses stratégies commerciales et marketing en associant au médicament des services visant à satisfaire à la fois les autorités de santé, les payeurs, les professionnels de santé et in fine les patients.
  • Comment optimiser l’efficacité et l’efficience des traitements ? Les programmes d’accompagnement patient s’intègrent dans cette stratégie, bien qu’en France, le contexte réglementaire reste encore flou : si la loi HPST a inscrit l’éducation thérapeutique dans le parcours de soins, les décrets d’application concernant l’intervention de l’industrie pharmaceutique n’ont toujours pas été votés. Eli Lilly dans l’ostéoporose ou Roche Diagnostics pour un anticoagulant cherchent à développer l’autonomie des patients dans la prise en charge de leur(s) traitement(s), à s’adapter au plus près de leurs besoins réels et à favoriser la communication avec les professionnels de santé (intervention d’infirmières, portail de communication entre médecins, établissements de soins et patients, etc.).
  • Des partenariats stratégiques multipliés avec des acteurs spécialisés ou non dans la santé… … pour des services qui vont devenir des éléments indispensables d’accès et de maintien sur le marché pour les médicaments, ainsi que des procédures de prix et remboursement L’industrie pharmaceutique est amenée à travailler à la fois avec les autorités de santé nationales et régionales, les associations de patients, mais surtout les sociétés spécialisées et les call-centers (Vivactis Mail Call, Direct Medica, etc.), ainsi que les spécialistes des TIC ou encore les sociétés d’assistance. Les nouvelles technologies de transmission de l’information leur permettent notamment de se positionner en « entreprise de santé » capable de répondre à l’ensemble des étapes depuis la conception et la commercialisation du médicament jusqu’à sa distribution et son administration par le patient, notamment dans le cadre des maladies chroniques et des pathologies lourdes.
  • ...1 more annotation...
  • Stéphanie Lavielle, titulaire d'une maîtrise des Sciences de Gestion de Paris IX Dauphine et d'un DESS de Marketing Pharmaceutique, a travaillé pendant plus de 10 ans dans l'industrie pharmaceutique (Roche-Nicholas, Novartis Santé Familiale, Ménarini), où elle a occupé des postes de chef de gamme. Elle bénéficie d’une expertise en marketing pharmaceutique et d'une connaissance approfondie du système de santé français.
hamelinclara

Un marketing complexe en direction des patients ? | Alertes santé - 0 views

  • Des partenariats stratégiques Plus loin on trouve ceci, sur la question des « partenariats stratégiques multipliés avec des acteurs spécialisés ou non dans la santé… »Pour « des services qui vont devenir des éléments indispensables d’accès et de maintien sur le marché pour les médicaments, ainsi que des procédures de prix et remboursement » (on pense ici probablement aux organismes de couverture complémentaire santé) « L’industrie pharmaceutique est amenée à travailler à la fois avec les autorités de santé nationales et régionales, les associations de patients, mais surtout les sociétés spécialisées et les call-centers (Vivactis Mail Call, Direct Medica, etc.), ainsi que les spécialistes des TIC ou encore les sociétés d’assistance ( assureurs type Euro-assistance qui s’interfacent donc avec les services précédemment décrits). Les nouvelles technologies de transmission de l’information leur permettent notamment de se positionner en « entreprise de santé » capable de répondre à l’ensemble des étapes depuis la conception et la commercialisation du médicament jusqu’à sa distribution et son administration par le patient, notamment dans le cadre des maladies chroniques et des pathologies lourdes. »
  • Changer d’image aussi quelque part… Nous y voilà encore… Directement au contact du patient, et de manière tout à fait légale.  Le  grand changement induit dans « cette nouvelle manière de voir les choses » est donc un basculement du marketing en direction des professionnels de santé, vers un nouveau modèle beaucoup plus subtil,  enrichi, et complexe, en direction des patients eux même. Nul doute que l’autorisation de la publicité pour certaines catégories de médicaments auront fait beaucoup réfléchir les industriel, de même on remarque que leur nouvelles stratégies via l’utilisation plus ou moins régulée des associations de patients prend en compte une approche beaucoup plus fine de la relation avec le patient : L’entreprise pharmaceutique ne veut plus passer pour un grand méchant qui fait du profit, mais pour une entreprise responsable qui s’engage aux côté des patients, y compris dans leur combat pour la reconnaissance de leur maladie… Vous saisissez la nuance ?
hamelinclara

MARCHÉ PHARMA: Vers une offre de service autour du médicament - IMS Health | ... - 0 views

  • MARCHÉ PHARMA: Vers une offre de service autour du médicament – IMS Health Publié le 17/06/2011 Sélectionner une langue​▼ Nouveaux marché émergents et stabilité en Europe, nouveaux segments de produits et surtout nouvelles exigences de l'ensemble des acteurs du système de santé, des Autorités sanitaires au patients en incluant aujourd'hui l'ensemble des professionnels de santé, le tout dans un contexte économique tendu, ce rapport d'IMS Health souligne, à destination des laboratoires pharmaceutiques, la nécessité d'adapter, en permanence, leurs stratégies marketing. On retiendra en particulier la notion de progrès médical dans l'innovation et de service autour du médicament qui doit désormais être intégrée dans l'offre pharmaceutique.
  • Des marchés émergents: Avec le tassement des marchés matures, les Etats‐Unis notamment devraient être remplacés par la Chine, prochain principal contributeur à la croissance mondiale avec le Brésil, la Russie, l'Inde, l'Asie du Sud‐Est et l'Amérique Latine.
  • Des pathologies émergentes: Cette étude publiée par IMS Health souligne, pour l'Europe, l'augmentation du segment des médicaments de spécialistes au dépens du segment des médicaments de généralistes.  Alzheimer, épilepsie,  Parkinson,  sclérose en plaques, ces grandes pathologies en neurologie devraient faire l'essentiel de la croissance du marché (7 % pour les « spécialistes », contre 5 % pour les « généralistes).
  • ...2 more annotations...
  • En France, pas de croissance: « Le marché français reflète la tendance observée à l'international sur les marchés matures”, relève le rapport. La croissance est quasi nulle en 2010 et le sera probablement en 2011. Le marché hospitalier qui affichait une croissance à deux chiffres au début des années 2000, 6 % en 2009, ne progresse que de 2 % en 2010. Le marché des génériques qui représente 14 % en valeur, doit digérer deux nouvelles molécules (atorvastatine, esoméprazole) non encore génériquées qui soutiendront son dynamisme qui contribue à la stabilité générale en valeur du marché français. Le marché de « l'automédication » (OTC) est lui qualifié d'atone, avec des prix stables et une demande également stable, liée à la crise économique et à la crise de confiance du médicament certainement.
  • La perspective d'une évaluation post-AMM européenne? L'intégration européenne de l'évaluation du médicament post‐AMM pourrait être envisagée même si la France, l'Allemagne et le Royaume‐Uni militent plutôt en faveur du statu quo et d'une autonomie de décision, évoque l'économiste Claude Le Pen. Dans ce cas, l'approche serait économique avant d'être clinique ou médicale
1 - 16 of 16
Showing 20 items per page