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CESE - Services publics, services au public et aménagement des territoires à ... - 0 views

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    "La section de l'aménagement durable des territoires se saisit de la question de l'interaction entre services publics / services au public et aménagement des territoires à l'heure du numérique. En France, la notion de service public désigne, d'une part, une activité ou une mission d'intérêt général, et, d'autre part, l'ensemble des entités, qu'elles soient publiques ou privées, à caractère marchand ou non, ayant la charge de ces missions d'intérêt général. La notion de service public, historique, a fortement évolué au gré de mutations technologiques, de contraintes économiques et de choix politiques. Depuis plusieurs décennies, à cette notion historique de service public est venue s'ajouter celle de services « au public ».  Aujourd'hui, sondages et études montrent que la population de notre pays est, de manière globale, plutôt satisfaite de ses services publics et qu'elle y est très attachée. Cette satisfaction ne masque pas des attentes fortes en termes de meilleure accessibilité, de plus grande personnalisation, de qualité et de rapidité des services rendus. Elle n'efface pas non plus les inquiétudes vis-à-vis de certaines catégories de services publics dont le recul est déploré.  Dans ce cadre, la révolution numérique offre des opportunités considérables sans pour autant résoudre tous les problèmes rencontrés. Les initiatives prises depuis quelques années - maisons de service au public (MSAP), Schémas départementaux d'amélioration de l'accessibilité des services publics (SDAASP) - se sont avérées insuffisantes et la dernière en date - les Maisons France Services (cf. Circulaire du Premier ministre du 1er juillet 2019) - en est au stade embryonnaire.  C'est pourquoi, constatant d'une part le rôle historique des services publics en matière d'aménagement du territoire et l'importance que les Françaises et Français leur accordent, et d'autre part les effets cons
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Association des petites villes de France - La fracture numérique : enjeux et ... - 0 views

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    Depuis 2014 et partant du constat qu'il n'y a pas d'aménagement équilibré possible des territoires sans résorption des fractures numériques, l'APVF développe une réflexion et une parole publique au sujet de l'aménagement numérique des territoires et notamment dans les petites villes. Une réflexion nourrie par différents échanges avec le Secrétariat général à la modernisation de l'action publique, l'Agence du numérique, l'ARCEP, la Mission Très Haut Débit mais également avec les opérateurs de télécommunication partenaires de l'association que sont SFR ou Orange. Dans cette perspective et afin que les élus de petites de villes gagnent en visibilité sur les différents programmes en cours sur le sujet - programmes dont ils peuvent potentiellement bénéficier - l'APVF a décidé de produire une note récapitulative de ces derniers intitulée : « la fracture numérique : enjeux et perspectives ». Produit avec le concours de l'ARCEP, la note aborde plusieurs dimensions : elle éclaire l'actualité du développement de la couverture en internet fixe des territoires, elle revient sur le programme « zones blanches », elle fait le point sur l'apport des outils numériques pour les collectivités et enfin détaille les préoccupations de l'opérateur SFR, deuxième opérateur le plus important en ce qui concerne l'aménagement numérique des territoires, en interrogeant Michel Paulin, PDG de SFR.
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Terra Nova - Smart city : Quelles relations public-privé pour rendre la ville... - 0 views

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    La smart city est une réponse, fondée sur les technologies numériques et la donnée, aux défis auxquels sont confrontés les territoires urbains : sécurité, pollution, gaspillage énergétique, changement climatique, urbanisation galopante, inégalités et exclusion sociale… Elle poursuit un objectif essentiel : améliorer la qualité de vie des citoyens. Si elle est portée par une dynamique indéniable, la ville intelligente fait cependant face à un double risque : d'une part, rester à l'état d'outil marketing, passant à côté des potentialités du numérique pour les territoires, et, d'autre part, échapper aux collectivités publiques, au profit des plateformes numériques et plus généralement des opérateurs privés. Dans ce contexte, le rôle des collectivités publiques doit être réaffirmé. Mais la transformation numérique des territoires ne peut se faire contre les acteurs privés de la ville ni sans eux. Les relations public-privé doivent ainsi être mieux organisées pour favoriser l'émergence de villes intelligentes en France. En particulier dans trois domaines : la réalisation des investissements nécessaires, le renforcement de la « transversalité » de la ville et la complémentarité entre services publics et privés. Ce sont ces trois enjeux que présente ce rapport de Terra Nova.
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Fondapol Trop libre - Télésanté, espoir du monde rural ? Des objectifs à la c... - 0 views

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    "« La télésanté est perçue comme une solution pertinente sur des territoires où l'offre de soins est déficitaire. Dans le monde rural, la situation est intensifiée. Avant, l'expertise médicale était limitée aux sites de présence du médecin. Ou le client se déplaçait pour rencontrer le médecin, ou bien le médecin rendait visite au patient. La télémédecine rend possible l'expertise médicale en tout lieu. La télésanté est l'élargissement du champ de la santé, faisant une large part au social ». Dans leur ouvrage collectif, Bruno Salgues, directeur d'études à l'institut Mines Télécom, Norbert Paquel, ingénieur économiste spécialiste de la e-santé et leurs contributeurs, sont les témoins d'un tournant majeur pour notre système de santé : un écosystème dont on attend une qualité de service égale, sur l'ensemble des territoires, y compris dans les zones rurales les plus isolées. Mais comment se déclinent réellement l'application des TIC au secteur de la santé ? Les usages sont aussi multiples que les applications et les terminologies utilisées : « télésanté »,« télémédecine »,« télé-expertise », « téléconsultation », etc… L'analyse des auteurs ne se limite pas au seul périmètre français, des réflexions provenant d'exemples canadiens ou africains enrichissent cette étude. La e-santé s'est concrétisée par la multiplication des usages, sur des territoires faisant apparaître des contraintes, s'inscrivant dans différents modèles économiques."
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Cese - Synthèse - Services publics, services au public et aménagement des ter... - 0 views

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    Les services publics et au public ont fortement évolué sous l'effet de choix politiques et de mutations technologiques. La population, attachée aux services publics, attend des améliorations en termes d'accessibilité et de qualité des services rendus. La réduction de la présence physique de certains services publics, en particulier dans des territoires ruraux, urbains et ultra-marins est regrettée. La révolution numérique a modifié les modalités de travail au sein du secteur public et la relation avec les usagères et usagers, permettant de profondes améliorations. Le confinement, lié à la crise de la Covid-19, a mis en lumière les apports essentiels et les limites du numérique. Des disparités d'accès au numérique à Très Haut Débit persistent entre territoires et la part des Français qui sont peu à l'aise avec ces technologies est importante, avec en particulier un nombre très élevé d'illectronistes. Il est apparu également que le recul de la présence humaine dans certains services publics ne peut pas être compensé par le numérique. Les services publics et au public doivent tirer le meilleur parti du numérique, qui reste un moyen et non une fin. L'avis identifie les défis à relever pour réussir la transformation numérique des services publics, là où elle est possible et souhaitable, et fait pour y parvenir un ensemble de préconisations.
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Cese - Avis - Services publics, services au public et aménagement des territo... - 0 views

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    Les services publics et au public ont fortement évolué sous l'effet de choix politiques et de mutations technologiques. La population, attachée aux services publics, attend des améliorations en termes d'accessibilité et de qualité des services rendus. La réduction de la présence physique de certains services publics, en particulier dans des territoires ruraux, urbains et ultra-marins est regrettée. La révolution numérique a modifié les modalités de travail au sein du secteur public et la relation avec les usagères et usagers, permettant de profondes améliorations. Le confinement, lié à la crise de la Covid-19, a mis en lumière les apports essentiels et les limites du numérique. Des disparités d'accès au numérique à Très Haut Débit persistent entre territoires et la part des Français qui sont peu à l'aise avec ces technologies est importante, avec en particulier un nombre très élevé d'illectronistes. Il est apparu également que le recul de la présence humaine dans certains services publics ne peut pas être compensé par le numérique. Les services publics et au public doivent tirer le meilleur parti du numérique, qui reste un moyen et non une fin. L'avis identifie les défis à relever pour réussir la transformation numérique des services publics, là où elle est possible et souhaitable, et fait pour y parvenir un ensemble de préconisations.
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Sénat - Délégation à la prospective sur les nouvelles mobilités - 0 views

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    Se déplacer plus vite, plus loin, de manière plus sûre et moins coûteuse est une quête constante de l'humanité qui a connu des avancées spectaculaires durant les deux derniers siècles. Aujourd'hui, le numérique transforme les déplacements des hommes et des marchandises, à un rythme encore jamais atteint. La délégation à la prospective a souhaité approfondir les enjeux de cette révolution des mobilités. Dans un contexte soumis à l'impératif environnemental et au foisonnement des innovations, les acteurs publics devront être en mesure de proposer les moyens les plus adaptés pour répondre aux attentes de la population, en lien avec les nouvelles possibilités offertes par l'évolution des technologies. Ils devront aussi veiller, à court terme, à intégrer et encadrer les innovations. Les futures mobilités pourront se déployer de manière très différente selon les territoires, avec un scénario idéal, celui des mobilités pour tous autour d'une grande diversification de l'offre, et un scénario noir, celui d'une relégation des territoires ruraux qui, peu couverts en transports collectifs, auront le plus grand mal à passer le cap de la décarbonation à l'horizon 2040, du véhicule autonome et du partage des usages. Les propositions de vos rapporteurs visent à éviter ce dernier scénario.
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FING - Avenir des territoires, ce que change le numérique - 0 views

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    "Sommes-nous en présence d'une révolution numérique qui balaierait sur son passage tous les fondamentaux de la compréhension des territoires ? La ville numérique, smart (« intelligente »), offre-t-elle une vision assez forte pour se substituer au modèle de la ville durable ? La fascination que peut exercer sur les esprits la puissance du numérique a probablement, depuis quelques années, pris une place exorbitante dans ce domaine, comme dans celui de l'éducation, du travail, de la santé et bien d'autres : dans tous ces secteurs, il importe de distinguer les causes multiples des mutations à l'oeuvre, tout en reconnaissant le fait que nos sociétés sont en transition et que le numérique y joue un rôle, voire plusieurs."
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Terra Nova - Que peut le numérique pour les territoires isolés ? - 0 views

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    Les territoires isolés connaissent un sentiment de décrochage. Et les populations qui y vivent ont le sentiment que la transition numérique, cette mutation structurelle de l'ensemble de notre tissu productif, social et politique, est une menace. Ce rapport, issu d'un groupe de travail présidé par Elisabeth Bargès (Google France) et Thierry Pech (Terra Nova), fait le pari contraire. Il formule sept propositions pour que la transition numérique dans les territoires isolés puisse répondre à un impératif de développement économique et à une ambition d'inclusion sociale et civique.
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Fondapol - Relocaliser la production après la pandémie ? - 0 views

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    La crise sanitaire du Covid-19 a mis en lumière notre dépendance aux importations pour la consommation de biens essentiels, à l'instar des masques de protection respiratoire. De cela est né un mouvement en faveur des « relocalisations industrielles » qui a trouvé un écho dans divers pans de la société, transcendant bien souvent les clivages politiques habituels. Dans cette note, nous montrons que les relocalisations, entendues comme le rapatriement de productions autrefois réalisées sur notre territoire, devraient toutefois rester cantonnées à des cas très particuliers, pour motif impérieux et en l'absence d'alternatives plus efficaces comme le stockage, la diversification ou l'approvisionnement au niveau européen. La collectivité pourrait, par exemple, accepter de subventionner des lignes de production redondantes pour des biens essentiels en période de crise, tels certains équipements de santé ou des médicaments. Mais, en règle générale, nous gagnerions surtout à porter l'effort non pas sur la « relocalisation » des industries d'hier mais sur la « localisation » de celles d'aujourd'hui et de demain. S'il existe un secteur dans lequel nous accusons un retard manifeste et sommes pris dans des relations de dépendance qui pourraient se révéler problématiques, il s'agit sans nul doute de celui des nouvelles technologies. Aussi la prise de conscience de la nécessité de créer davantage de valeur sur le territoire européen en investissant massivement dans les technologies numériques en formant et en attirant les talents en science et ingénierie informatiques est aujourd'hui fondamentale. Cette étude est la première de « Relocaliser - Décarboner - Rapatrier », la nouvelle série de la Fondation pour l'innovation politique. Elle a été écrite par Paul-Adrien Hyppolite, haut-fonctionnaire, normalien et ingénieur du corps des Mines.
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Villes de France - En route vers des villes plus intelligentes.pdf - 0 views

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    Villes de France, Orange, Tactis, Veolia et Villes internet publientun guide intitulé : «En route vers des villes plus intelligences - Comment penser et construire la smart city en Villes de France ? ». Ensemble, ils dressent un portrait de la smart city en ville moyenne et des outils pour construire une stratégie locale. Alors que le concept de ville intelligente prospère et que les métropoles rivalisent de nouvelles pratiques, les villes de taille moyenne ne sont pas en reste. Elles s'appuient sur les spécificités de leur territoire ainsi que sur leurs différentes compétences, et mettent au point des politiques innovantes et remarquables au service des habitants. Evolution des attentes de la société, nouvelles réglementations à intégrer et baisse des moyens financiers incitent les villes et intercommunalités à innover, à se démarquer et à se saisir des technologies de l'information et de la communication afin de renforcer l'efficience des politiques publiques. La publication « En route vers des villes plus intelligentes ! » fournit les clés aux décideurs des villes et intercommunalités de taille moyenne pour faire face à ces évolutions. Mode d'emploi, statistiques, enjeux et risques sont passés au crible tandis que 12 portraits de territoires (Arras, Béthune, Cahors, Niort...) viennent témoigner concrètement des politiques menées.
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CESE - Avis - Tourisme et numérique - 0 views

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    Le tourisme est pour la France métropolitaine et les Outre-mer un important vecteur de richesses (7 % du PIB) et d'emplois, avec deux composantes : notre pays fait partie des premières destinations touristiques au monde pour le nombre de visiteur.euse.s étranger.ère.s mais avec une croissance qui se ralentit ; si les résident.e.s représentent les deux tiers de la consommation touristique en France, un quart d'entre eux.elles n'est pas parti en voyage même une nuitée en 2015. Des marges de progression existent donc. Le tourisme est aussi l'une des activités les plus impactées par la révolution numérique, avant, pendant et après le voyage. Ces mutations offrent de grandes opportunités pour que la France et ses territoires valorisent mieux leur potentiel touristique grâce au numérique et pour enrichir « l'expérience » des touristes. Le CESE formule à cette fin quatre préconisations majeures : création d'une haute école du tourisme ; nomination auprès du Premier ministre d'un.e interlocuteur.rice unique en charge du tourisme ; lancement d'un Plan national de départ en vacances pour toutes et tous ; création de parcours de découvertes imaginés et initiés par les habitant.e.s des territoires. Celles-ci font partie de préconisations organisées en quatre axes soulignant que, si le numérique est devenu un atout majeur pour le tourisme, le vecteur essentiel reste l'humain.
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CESE - Synthèse - Tourisme et numérique - 0 views

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    Le tourisme est pour la France métropolitaine et les Outre-mer un important vecteur de richesses (7 % du PIB) et d'emplois, avec deux composantes : notre pays fait partie des premières destinations touristiques au monde pour le nombre de visiteur.euse.s étranger.ère.s mais avec une croissance qui se ralentit ; si les résident.e.s représentent les deux tiers de la consommation touristique en France, un quart d'entre eux.elles n'est pas parti en voyage même une nuitée en 2015. Des marges de progression existent donc. Le tourisme est aussi l'une des activités les plus impactées par la révolution numérique, avant, pendant et après le voyage. Ces mutations offrent de grandes opportunités pour que la France et ses territoires valorisent mieux leur potentiel touristique grâce au numérique et pour enrichir « l'expérience » des touristes. Le CESE formule à cette fin quatre préconisations majeures : création d'une haute école du tourisme ; nomination auprès du Premier ministre d'un.e interlocuteur.rice unique en charge du tourisme ; lancement d'un Plan national de départ en vacances pour toutes et tous ; création de parcours de découvertes imaginés et initiés par les habitant.e.s des territoires. Celles-ci font partie de préconisations organisées en quatre axes soulignant que, si le numérique est devenu un atout majeur pour le tourisme, le vecteur essentiel reste l'humain.
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Conseil national du numérique - Rapport - Identités numériques : Clefs de voû... - 0 views

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    Le rapport « Identités numériques, clés de voûte de la citoyenneté numérique » fait suite à la saisine de Cédric O en juillet 2019 sur la mise en œuvre d'une identité numérique publique, des dispositifs FranceConnect et de la carte nationale d'identité électronique. Le rapport du Conseil National du Numérique (CNNum) décrit précisément, via 35 recommandations actionnables, les conditions d'une confiance dans les outils de l'identité numérique et l'importance de l'intérêt du citoyen, afin d'enrichir les prochains travaux du Gouvernement sur les identités numériques. Le groupe de travail « Identités numériques » composé de Karine Dognin-Sauze et Mohammed Boumediane (membres pilotes), Gilles Babinet, Olivier Clatz, Gaël Duval et Jean-Michel Mis a conduit ses travaux de janvier 2019 à mars 2020. Dans une logique de co-construction avec les citoyens, les territoires et les experts dans plusieurs villes de France (Montpellier, Lyon, Paris, Douai), le groupe de travail a organisé des ateliers de prospective avec les citoyens, des table-rondes d'experts, des auditions et a poursuivi ses recherches jusqu'en Estonie pour analyser un modèle de dématérialisation souvent vanté comme le plus avancé au monde. Le CNNum tient à remercier chaleureusement les plus de 200 contributeurs qui ont ainsi partagé leurs retours d'expérience et leurs visions des identités numériques : citoyens, professionnels de la cybersécurité ou de la banque, institutions publiques, entreprises et startups, société civile, acteurs de la médiation numérique, chercheurs, etc. Le rapport décrit comment les identités numériques peuvent être fondatrices de la citoyenneté numérique et être un vecteur de confiance entre l'État, les citoyens et un écosystème d'acteurs publics comme privés. Il insiste sur l'importance de créer un environnement de confiance, basé sur une gouvernance partagée, à partir d'instances jouant le
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Conseil national du numérique - Dossier de presse - Identités numériques : Cl... - 0 views

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    Le rapport « Identités numériques, clés de voûte de la citoyenneté numérique » fait suite à la saisine de Cédric O en juillet 2019 sur la mise en œuvre d'une identité numérique publique, des dispositifs FranceConnect et de la carte nationale d'identité électronique. Le rapport du Conseil National du Numérique (CNNum) décrit précisément, via 35 recommandations actionnables, les conditions d'une confiance dans les outils de l'identité numérique et l'importance de l'intérêt du citoyen, afin d'enrichir les prochains travaux du Gouvernement sur les identités numériques. Le groupe de travail « Identités numériques » composé de Karine Dognin-Sauze et Mohammed Boumediane (membres pilotes), Gilles Babinet, Olivier Clatz, Gaël Duval et Jean-Michel Mis a conduit ses travaux de janvier 2019 à mars 2020. Dans une logique de co-construction avec les citoyens, les territoires et les experts dans plusieurs villes de France (Montpellier, Lyon, Paris, Douai), le groupe de travail a organisé des ateliers de prospective avec les citoyens, des table-rondes d'experts, des auditions et a poursuivi ses recherches jusqu'en Estonie pour analyser un modèle de dématérialisation souvent vanté comme le plus avancé au monde. Le CNNum tient à remercier chaleureusement les plus de 200 contributeurs qui ont ainsi partagé leurs retours d'expérience et leurs visions des identités numériques : citoyens, professionnels de la cybersécurité ou de la banque, institutions publiques, entreprises et startups, société civile, acteurs de la médiation numérique, chercheurs, etc. Le rapport décrit comment les identités numériques peuvent être fondatrices de la citoyenneté numérique et être un vecteur de confiance entre l'État, les citoyens et un écosystème d'acteurs publics comme privés. Il insiste sur l'importance de créer un environnement de confiance, basé sur une gouvernance partagée, à partir d'instances jouant le
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Rapport - Rapport d'infor... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Infographie - Rapport d'i... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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The Conversation - « Gilets jaunes », médias et Internet : les premiers ensei... - 0 views

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    "Le mouvement des « gilets jaunes » est parti d'initiatives individuelles en ligne qui ont fini par agréger des soutiens par effet boule de neige. Mais ce mouvement social a rapidement éprouvé le besoin de s'incarner physiquement en occupant l'espace sur l'ensemble du territoire français. Ces occupations physiques sont des lieux efficaces pour être entendus des autorités (stations-service, dépôts pétroliers, péages autoroutiers…). Mais ils sont aussi symboliques. Les ronds points sont souvent situés aux entrées périphériques de villes, dont beaucoup ont été chassés par le surenchérissement du coût des loyers ou des terrains. Les entrées des commerces de grande distribution sont aussi des lieux d'exclusion pour ceux qui aimeraient pouvoir y faire régulièrement leurs courses mais qu'un pouvoir d'achat en berne rend inaccessibles. S'il y avait beaucoup de choses à dire sur la mobilisation physique des gilets jaunes, nous porterons le focus sur les dimensions numériques du mouvement. En sachant qu'il n'y a pas lieu de les opposer ou de les hiérarchiser. Attention donc aux clichés qui feraient des gilets jaunes un « mouvement Facebook », ou une « révolte 2.0 ». Exposons donc avec prudence les enseignements qu'on peut tirer de la partie numérique de cette mobilisation singulière."
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Sénat - Débat "Intelligence artificielle, enjeux économiques et cadres légaux... - 1 views

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    Débat organisé à la demande du Groupe "Les Indépendants République et territoires". Compte-rendu du débat
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