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Home/ Numérique dans le domaine du livre/ Group items tagged Place des éditeurs

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antoinef

Service de correction et de validation d'ePubs - Le Bloc-notes Lekti - 0 views

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    "Depuis 2010, LEKTI dispose d'un service de fabrication et travaille avec de nombreux éditeurs au passage de leur catalogue au format ePub, commercialisé par les plate-formes telles qu'Apple, Kobo, Google, Amazon (avec son format voisin fermé, le mobipocket, et maintenant le KF8). Il est important que les éditeurs puissent prendre en main la réalisation des ePubs, au moins pour les nouveautés, afin qu'ils puissent se familiariser avec le format, et ne plus dépendre de structures tierces. Mais l'une des difficultés majeures demeure dans la validation des ePubs produits par les éditeurs. En effet, chaque plate-forme, outre les tests classiques tels que l'ePubcheck, dispose de certaines spécificités et d'un cahier des charges propres (taille de l'image de couverture, structuration de l'ePub, etc.). Les principaux distributeurs rencontrent de nombreuses difficultés pour assurer la mise en vente des ePubs, puisqu'il est très difficile pour un éditeur de connaître l'ensemble des spécifications de chaque plate-forme de vente. Pour cette raison, nous avons mis en place, depuis plusieurs mois, un service de validation des ePubs éditeurs, qui permet à chaque éditeur de s'assurer de la validité des ePubs produits, avec des corrections éventuelles que nous traitons, afin qu'il ne puisse pas y avoir de problème lors de la mise en vente."
antoinef

Prêt d'e-book en bibliothèque : propositions versus concertations - enssib - 0 views

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    "Faute d'accords entre éditeurs, libraires et bibliothécaires, le prêt d'e-book en bibliothèque -pourtant très attendu du public- se démocratise difficilement. Ainsi, en Belgique, le prêt numérique en bibliothèque est en phase de concertation autour d'un projet porté par le français Dilicom. Ce projet ne répond pas aux attentes des différents acteurs notamment parce que les éditeurs-diffuseurs demeurent maîtres exclusifs de leurs fichiers qui ne sont pas cédés aux bibliothèques : celles-ci acquièrent des licences pour une durée de trois ans, assorties d'autorisations sous forme de jetons (de 20 à 50 jetons). Les bibliothèques, dans le cadre de la constitution de leur collection, devraient ainsi racheter tous les trois ans la licence (plus tôt si les jetons sont épuisés). Le seul consensus qui se dégage actuellement est celui de mettre en place une nouvelle procédure de concertation. De son côté, Atingo, startup issue de la réunion de deux services, un suédois (Publit) et un autre anglais (Axiell), propose une solution différente : le eHub (un espace virtuel de rencontre entre les éditeurs et les bibliothèques). Puisque la tarification est le coeur du problème, Atingo propose que toutes les négociations se fassent au cas par cas, avec une interface pour les bibliothèques, qui peuvent ainsi négocier les prix directement avec les éditeurs, qui ont aussi accès à la plateforme. En choisissant quels e-books seront disponibles, à quels tarifs, et à quelles conditions, les éditeurs ne risqueraient plus en théorie de cannibaliser leurs ventes ; en théorie seulement…"
antoinef

Pourquoi la décisions de justice contre Apple est une perte pour les éditeurs... - 1 views

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    Le 10 juillet le juge fédéral Denise L. Cote a statué contre Apple aux États-Unis dans l'affaire de l'entente sur le prix des livres numériques. Selon Michael Clarke ceux qui pensent que c'est une bonne nouvelle pour les éditeurs, les auteurs et les lecteurs n'ont pas bien analysé la situation. Amazon (qui est au cœur de cette affaire) a fait le choix de vendre les ebooks à 9,99 $, quitte à perdre de l'argent, puisqu'Amazon reverse au moins 9,99 $ aux éditeurs. En 2010 Apple a mis en place un système d'entente sur les prix avec les "big six" (Hachette, Penguin, HarperCollins, Macmillan et Simon and Schuster), au moment du lancement de l'iPad. Même si cette entente sur les prix orchestrée par Apple n'est pas en soit une bonne chose, le modèle d'Amazon - la vente à perte - est encore plus critiquable, et risque de mettre les éditeurs et les auteurs - surtout dans les domaines de niche - dans une situation très compliquée. Analyse très intéressante, en anglais.
antoinef

Préservation des e-books : un challenge pour les bibliothèques aussi - enssib - 0 views

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    "Comment les bibliothèques peuvent-elles assurer la conservation des e‑books ? C'est la question qu'abordent Sheila Morrissey (de l'organisation ITHAKA) et Amy Kirchhoff (du service d'archivage Portico) dans un récent rapport américain. L'un des principaux problèmes auxquels ces établissements se heurtent tient au modèle même du prêt numérique. Les éditeurs restent propriétaires des e-books qu'ils mettent à disposition des bibliothèques sur un système de licence limitée dans le temps ou le nombre d'utilisations. De fait, les bibliothèques ne peuvent garantir que ces contenus numériques resteront authentiques, lisibles et exploitables par les générations futures. À cette difficulté se greffe la question de la gestion des droits numériques (DRM). Des modifications dans la politique ou les technologies des DRM peuvent en effet, à terme, empêcher l'accès aux données numériques qu'ils protègent. Un autre problème tient au fait que les différentes liseuses et applications de lectures n'utilisent pas toutes les mêmes formats, empêchant ainsi leur intéropérabilité. De plus, chaque format générant son propre ISBN, l'identification et la conservation de ces documents est particulièrement délicate. Mais des solutions d'archivage numérique ont déjà commencé à émerger, remarque Amy Kirchoff, qui cite les exemples de Portico, HathiTrust ou encore CLOCKSS. Elle rappelle que des initiatives gouvernementales ont aussi été mises en place en Europe. "La plupart des éditeurs sont concernés par la préservation, et il existe de nombreuses pistes à explorer", affirme Robert Wolven, de la bibliothèque universitaire de Columbia, qui conclue que c'est aux bibliothèques d'ouvrir la voie et de manifester leur intérêt pour cette question."
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Les pistes du rapport Lemoine pour la « transformation numérique » de l'écono... - 1 views

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    "Après plus de neuf de mois de travaux et d'auditions, Philippe Lemoine a remis la semaine dernière son rapport sur la « transformation numérique » de l'économie française. De très nombreuses pistes sont mises en avant, visant aussi bien les entreprises que les pouvoirs publics, les particuliers, les associations de promotion des biens communs, etc. Petit tour d'horizon de ces préconisations qui pourraient inspirer le futur projet de loi numérique d'Axelle Lemaire." Les propositions s'articulent autour de 9 projets : - Création d'un « pass mobilité universel » - Développer une solution « sûre et peu coûteuse » de paiement anonyme sécurisé - La « librairie du futur ». "L'idée est de lancer un « plan de modernisation des 7 logisticiens qui relient les 450 éditeurs et les 4 000 libraires français afin de permettre un réapprovisionnement en 24 heures, la mutualisation des stocks et la mise en réseau des libraires, une évolution des libraires vers un métier de prescripteurs de support et de livre numériques, et l'expérimentation de solutions printlab d'impression des livres in situ »." - Création d'un « écosystème d'innovation ouverte sur les maladies chroniques au service de l'amélioration du suivi des patients et de la médecine prédictive » - Permettre à chaque foyer d'accéder à une plateforme sécurisée contenant leurs données de consommation énergétique (électricité, gaz...) - Mise en place d'un « Emploi Store » - Une automobile connectée - Création d'une application dédiée à la mobilité des fonctionnaires - Mise en place d'un « réseau d'innovation territoriale ».
antoinef

Rapport Culture-acte 2 : propositions pour les bibliothèques - enssib - 0 views

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    "A côté de ses préconisations les plus marquantes (sort de l'Hadopi, taxe sur les smartphones), le rapport de la mission Lescure sur la politique culturelle à l'ère des contenus numériques formule également des recommandations relatives à l'offre numérique en bibliothèque. Le rapport constate que "les bibliothèques peinent à proposer une offre numérique à la hauteur de leurs missions et des attentes de leur public". Constatant que le retard de la France en matière de prêt de livres numériques est dû à l'absence d'un cadre juridique adapté et aux craintes des ayants droit et des distributeurs, le rapport formule trois propositions pour y remédier : - "Inciter les éditeurs à mettre en place, sur une base volontaire, une gestion collective des usages numériques en bibliothèque. A défaut, ouvrir une réflexion à l'échelle communautaire, en vue d'une éventuelle révision des directives européennes 2001/29 et 2006/115. - Encourager le développement d'offres en bibliothèque reposant sur un contrôle d'accès à l'abonnement et sur des DRM de type « tatouage numérique » et modifier la loi sur le prix unique du livre numérique pour obliger les éditeurs à proposer une offre claire, transparente et non discriminatoire spécifique en direction des bibliothèques. - Inscrire dans les dispositifs d'aide publique une incitation au développement de l'offre numérique en bibliothèque.""
priscille_lgrs

Quelle place pour les ressources numériques «alternatives» dans les bibliothè... - 1 views

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    "La place qu'occupent les ressources numériques "alternatives" dans les bibliothèques publiques est aujourd'hui à la fois marginale et difficile à évaluer : on observe en effet que les politiques documentaires des bibliothèques publiques s'articulent prioritairement autour de l'offre commerciale portée par les éditeurs. Alors qu'il paraît évident que l'intégration et la valorisation de ces ressources libres au cœur des politiques documentaires, ainsi que leur diffusion, permettraient non seulement aux bibliothèques de proposer une offre plus riche et plus diversifiée, mais aussi de valoriser la richesse littéraire et artistique qui se développe sur le Web en dehors de la sphère marchande. Dès lors, il apparaît clairement pour le chercheur que l'enjeu principal des politiques documentaires ne réside pas tant dans l'approche classique de l'articulation des formats (imprimé vs numérique), que dans la réelle capacité des bibliothèques publiques à articuler l'offre payante et l'offre gratuite. C'est à ce changement de paradigme étroitement lié à une nouvelle approche du métier de bibliothécaire, centrée sur la médiation numérique, que nous invite cette réflexion, ainsi qu'à l'impact de cette nouvelle compréhension des missions des bibliothèques publiques sur le concept même de bibliothèque hybride."
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    "Hans Dillaerts est maître de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'université Paul-Valéry et chercheur au LERASS-CERIC. Il revient pour enssibLab sur la communication présentée à la journée Poldoc sur les politiques documentaires en environnement hybride1 qui s'est tenue à l'enssib le 13 novembre 2014; l'occasion d'interroger le concept de bibliothèque hybride à travers les enjeux liés aux ressources numériques dites "alternatives", et de partir du constat que ces dernières sont paradoxalement peu étudiées par la littérature scientifique et professionnelle. La place qu'occupent les ressources numériques "alternatives" dans les bibliothèques publiques est aujourd'hui à la fois marginale et difficile à évaluer : on observe en effet que les politiques documentaires des bibliothèques publiques s'articulent prioritairement autour de l'offre commerciale portée par les éditeurs. Alors qu'il paraît évident que l'intégration et la valorisation de ces ressources libres au cœur des politiques documentaires, ainsi que leur diffusion, permettraient non seulement aux bibliothèques de proposer une offre plus riche et plus diversifiée, mais aussi de valoriser la richesse littéraire et artistique qui se développe sur le Web en dehors de la sphère marchande."
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"Retours d'expériences" : les éditeurs et le numérique, compte-rendu d'une jo... - 1 views

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    "L'Agence Rhône-Alpes pour le livre et la documentation (Arald) a organisé, le 4 novembre dernier, une après-midi de rencontre entre professionnels du livre lors de laquelle Frédéric Weil pour Mnémos, Marion Mazauric pour le Diable Vauvert et Patrick Gambache pour le Seuil (Points) sont venus faire des retours de leurs expériences d'intégration au numérique. Trois maisons d'éditions soit trois stratégies différentes ont montré la multiplicité des ouvertures que le numérique amène aujourd'hui, en France : livre enrichi et pratiques du jeu vidéo, littérature sérielle et feuilletons ou vente de temps de lecture , chaque éditeur se démarque pour trouver sa place dans l'océan Web. Lors de cette demi-journée, on a dit adieu à la DRM, on a (encore) condamné Amazon mais on a surtout pu voir l'énergie des éditeurs français qui s'engagent dans le E-book et redoublent d'ingéniosité et de créativité pour répondre aux nouvelles pratiques de lectures."
antoinef

Piratage-ebooks : le portail de protection des éditeurs français - IDBOOX - 0 views

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    "En mars dernier, Vincent Montagne, Président du Syndicat National de l'Edition (SNE) avait annoncé la mise en place d'outils pour aider les éditeurs à lutter contre le téléchargement illégal des livres numériques. Le Portail Protection Livres est ouvert et a pour ojectif d' « envoyer des notifications aux fournisseurs d'accès Internet et aux Webmestres hébergeant des contenus qui ne respectent pas les droits d'auteur. » Le Portail Protection Livres est calqué sur l'outil développé par The publisher Association. Il permet : de détecter les infractions par CIPSearch, flux RSS ou Constatation des infractions. Puis les adhérents peuvent vérifier les infractions manuellement. Et s'ils jugent nécessaire d'intervenir, ils adressent alors une notification pour demander la suppression d'une infraction. Un outil de statistiques permet de voir le taux de réussite des notifications, les mauvais taux de réponse et le nombre de notifications transmises par pays. La Sofia qui participe à ce projet propose de rembourser une année de souscription, à hauteur de 50 % des sommes engagées sur un nombre de livres numériques limité. "
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Editeurs : quelle offre numérique pour les bibliothèques? labodeledition - St... - 0 views

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    "A l'initiative de Flexedo, startup hébergée au Labo, le Labo de l'édition organisait le jeudi 27 septembre 2012 une rencontre entre éditeurs et bibliothèques sur le sujet de l'offre numérique en bibliothèques. En effet, malgré des expérimentations audacieuses menées par les bibliothécaires, notamment via les outils de médiation du web 2.0 (facebook, flickr…) ou par la mise en place de prêts de liseuses, le catalogue de livres numériques proposé par les éditeurs aux bibliothèques reste trop restreint pour qu'elles puissent véritablement promouvoir la lecture sur support numérique. "
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Offre couplée papier-numérique : une bonne affaire ? - Labo de l'édition - 1 views

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    "Lorsque l'éditeur américain Angry Robot a lancé en 2012 la vente couplée de livres imprimés accompagnés de l'ebook correspondant, ses ventes ont triplé. Forts de ces chiffres spectaculaires, quelques éditeurs français expérimentent aujourd'hui le modèle des offres couplées en librairie. Si ce packaging répond à une forte demande des lecteurs, elle n'est cependant pas sans poser de difficultés, notamment juridiques. Le temps d'une table-ronde, l'APE et le Labo de l'édition proposent de décrypter les apprentissages issus du lancement des offres couplées et de répondre aux questions : - Comment mettre en place une offre couplée papier-numérique : comment appréhender les aspects techniques ; quel modèle économique chosir ? -Quelles difficultés ces offres posent-elles du point de vue juridique ? - Quel est l'intérêt de l'offre couplée pour les éditeurs, les libraires et les lecteurs ?"
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Les rendez-vous du lire, pourquoi je me suis abonné au catalogue des Éd. Nume... - 0 views

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    "Avec le numérique, de nouvelles habitudes de lecture s'installent, de nouvelles façons de "consommer" de la lecture se profilent. Les éditeurs ont-ils intérêt à développer la formule d'abonnement à leur catalogue ? Le numérique permet de mettre en place aisément ce type d'offre pour peu que l'on travaille avec un agrégateur comme Immateriel.fr. Nous avons mis en place une formule d'abonnement depuis pratiquement les débuts de Numeriklivres, à l'instar de Publie.net et je crois, qu'à ce jour, nous sommes les deux seuls éditeurs numériques francophones à proposer une offre d'abonnement." Entretien avec un abonné.
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Séminaire Ebook AN4 : 2014-2015 Appel à contributions - Séminaire E-book - 1 views

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    "Le séminaire Ebook - Pratiques et Usages d'écran, rattaché à l'Equipe Lyonnaise des Sciences de l'Information et de la Communication (Elico EA 4147), réunit depuis septembre 2012 des professionnels (éditeurs, bibliothécaires, documentalistes, en charge de la culture dans des collectivités territoriales, négociateurs Couperin…) ; des universitaires de plusieurs disciplines (économie, communication, histoire, humanités numériques…) et des étudiants avancés de master ou doctorat. Il questionne depuis maintenant 4 ans le livre numérique, sa filière, ses pratiques et les mutations de la lecture. Cette année, il aura pour thème : le rôle et la place des plateformes de diffusion, envisagées comme un renouvellement des médiations. La visée principale du séminaire est de réunir un collectif de chercheurs de différentes disciplines et de professionnels pour questionner à la fois les modalités d'accès aux e-books et le rôle de médiatrices culturelles que les plateformes, commerciales ou non, entraînent et recherchent."
antoinef

Les Indés de l'Imaginaire s'opposent à la loi sur les Indisponibles et le dis... - 0 views

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    "Il n'y a pas que les auteurs qui s'opposent au dispositif ReLire mis en place suite à la loi dite des indisponibles, il y a aussi des éditeurs. Le collectif "Les Indés de l'Imaginaire", réunissant trois éditeurs des littératures de l'imaginaire (ActuSF, Mnémos, Les Moutons électriques), s'associe pleinement à la démarche de rejet et de lutte des auteurs concernant le dispositif ReLire et la loi sur les Indisponibles."
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PNB : la rémunération des auteurs reste problématique - Les univers du livre - 0 views

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    "Le sujet est redevenu polémique depuis l'ouverture de la bibliothèque numérique de la ville de Paris : PNB, pour Prêt Numérique en Bibliothèque, est le système de prêt de livres numériques mis en place, à titre d'expérimentation, par Dilicom, avec le soutien du Centre National du Livre et la collaboration des éditeurs français. Régulièrement critiqué pour les conditions que les éditeurs imposent dans un système contractuel, PNB n'a toujours pas abordé le versant de la rémunération des auteurs - et voilà pourtant plus d'un an que le sujet fait débat."
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Le marché du livre numérique et la place des bibliothèques publiques (France,... - 0 views

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    "J'ai effectué récemment un déplacement au Québec où j'ai pu échanger avec les bibliothécaires, les distributeurs et les éditeurs sur les questions de livres numériques, dans le cadre notamment des journées « Convergence » organisées par la société De Marque. Je vous propose de faire ici un retour des tendances observées là-bas mais aussi en France, en Italie et en Espagne dont les situations ont été présentées par plusieurs intervenants du secteur. De nombreux éditeurs et distributeurs québécois étaient également présents ainsi que quelques acteurs d'autres secteurs du livre numérique (librairies, bibliothèques, prestataires de services informatiques,…)."
antoinef

Salon du livre de Gaillac : le numérique a sa place dans les salons littérair... - 0 views

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    "Quoi de plus normal lorsqu'on est éditeur de participer à des salons du livre (salon littéraire m'irait mieux ou salon du lire) ? Oui mais voilà lorsqu'on a choisi d'exploiter uniquement son catalogue au format numérique (un choix assumé de plus en plus, nous ne ferons jamais de "papier" nous en sommes de plus en plus certain) rien n'est simple. Le réflexe dans la majorité des cas, c'est d'arriver avec sa tablette, ses lieuses et son smartphone et de tomber dans le piège de devenir un démonstrateur de foire mais quid de la représentation de notre catalogue « virtuel » ? Nous avons trouvé, en toute humilité, une solution. Cette solution nous avons pu la tester en live au salon du livre de Gaillac le week-end dernier. La formule a plu. Elle nous a surtout convaincu que le numérique peut se transporter sans peine dans le monde physique avec quelques aménagements ingénieux et peu coûteux, là où nous avons assurément le plus de chance de trouver des lecteurs."
antoinef

Articles des éditeurs : « Nous sommes à un tournant majeur de l'histoire de l... - 1 views

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    "Quelle est aujourd'hui la réalité du métier d'éditeur ? Quelle place pour celles et ceux qui ont choisi de privilégier une ligne éditoriale exigeante, en prise avec les préoccupations des sociétés civiles ? Entretien avec François Gèze, Président-directeur général de La Découverte, une maison d'édition spécialisée dans les sciences humaines et sociales, dont la ligne éditoriale, « Des livres pour comprendre, des livres pour agir », en a fait un compagnon de route des mouvements citoyens." Extrait : "Aujourd'hui, la technique d'« impression numérique » permet de faire des tirages très réduits, voire à l'unité, dans des conditions économiques convenables. Cette évolution va permettre d'adapter l'offre papier à la demande et de rendre la plupart des livres disponibles ad aeternam. L'« impression à la demande » est en effet une révolution plus importante que celle du livre électronique : en s'affranchissant des contraintes économiques des techniques d'impression traditionnelles (tirages en quantité et donc stocks à entreposer), elle va donner une capacité de survie sur la longue durée au livre imprimé, qui aurait été sinon menacé dans son existence même… L'autre évolution, c'est bien sûr celle du livre électronique, même si son poids est encore peu significatif en Europe (à l'exception du Royaume-Uni). Aux États-Unis, il pèse déjà de 10 % à 20 % du marché selon les secteurs, surtout dans la fiction grand public ou le professionnel, dont les livres sont adaptés à la lecture sur tablette. Les livres de recherche vont très probablement connaître la même évolution : l'édition électronique va devenir l'édition première et l'édition papier se fera à la demande. Cela va complètement modifier notre écosystème."
antoinef

Thema : émergence d'une norme de classification des sujets de livres et ebook... - 0 views

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    "L'importance des métadonnées pour augmenter la visibilité et, partant, les ventes d'un livre ne sont aujourd'hui plus à démontrer. C'est pourquoi, depuis plusieurs années, les marchés nationaux ont mis en place des normes afin d'harmoniser la classification des catégories des différents sujets abordés dans les livres et ebooks. Comme ces normes opèrent à l'échelle nationale, éditeurs et libraires ont dû mettre en place des tables de correspondance pour leur pays. Malheureusement, cette procédure implique une perte de qualité et nécessite des mises à jour au fur et à mesure des nouvelles versions."
antoinef

CLIL: une nouvelle classification des livres en France - Aldus depuis 2006 - 1 views

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    "Une petite révolution en cours mais bien réelle. L'indexation, le catalogage, afin d'améliorer la qualité de la recherche et l'accès aux livres, sont au centre des enjeux de demain. [...] [Depuis le 1er juillet] la CLIL instaure la mise en place d'une nouvelle classification CLIL avec 919 entrées contre 144 pour l'ancienne liste. Six fois plus de thèmes pour classer les ouvrages, c'est autant de champs pour l'amélioration de la recherche dans les bases indexées. [...] L'objectif de cette nouvelle table est de permettre de classer à la fois les livres numériques et les livres papiers, d'intégrer une arborescence utile aux moteurs de recherche. Tous les éditeurs et distributeurs sont invités à l'utiliser pour améliorer le référencement des livres sur les différents sites de ventes."
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