Group items tagged

"Un millier de membres de la Mission ouvrière vont se retrouver à Lourdes ce week-end pour un rassemblement national du 23 au 25 mai. L'objectif : se donner un nouvel élan. Pour l'évêque de Troyes, qui accompagne la Mission ouvrière, elle doit trouver de nouvelles manières d'annoncer l'Evangile dans les quartiers ouvriers et populaires. Le dernier rassemblement national de la Mission ouvrière, qui réunit l'Action catholique ouvrière (ACO), la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC) et l'Action catholique des enfants (ACE), remonte il y a 10 ans. Qu'attendez-vous de ce temps fort à Lourdes ? C'est d'abord un temps de rencontre, qui doit permettre de se renforcer mutuellement. C'est une rencontre intergénérationnelle : les anciens, qui portent la culture de la Mission ouvrière, ont quelque chose à apporter aux plus jeunes et inversement. C'est aussi un moment où chacun se laisse toucher, questionner, où l'on discerne. C'est enfin un temps où nous allons nous donner de nouvelles priorités."

"Quelle espérance pour aujourd'hui ? En ces temps de crise sanitaire, il est bien difficile de se retrouver une journée entière pour vivre un temps de « récollection ». C'est pourquoi, l'ACO 49 a expérimenté une nouvelle manière en laissant à l'initiative à chacun ou à chaque équipe de vivre le premier temps de ce ressourcement le 13 mars de façon individuelle ou en équipe, puis de proposer un retour de façon collective dans une célébration le 24 avril prochain à la Communauté de la Salles de Vihiers. Le thème retenu est l'Espérance. Quand nous regardons la réalité dans laquelle nous vivons nous avons certainement bien du mal à trouver les signes d'espérance."

"Cette rencontre se veut la plus ouverte possible, outre les 52 équipes du territoire, sont conviés les amis, les proches, les membres d'autres mouvements d'Église, pour découvrir, échanger et partager ensemble. Des temps de convivialité et de détente alterneront avec les temps de réflexion et de prière. Cette rencontre sera notamment marquée par l'intervention de Marie-Christine Bernard, théologienne et coach en entreprise, sur le thème retenu par l'ACI au niveau national pour 2016/2017 : « Faire société, des chemins à créer »."

Au 31 décembre 2013, 14 % des bénéficiaires de minima sociaux ont un emploi salarié. Parmi eux, deux sur cinq sont en contrat à durée indéterminée (CDI) et 8 % bénéficient d'un emploi aidé. Les salariés percevant l'allocation aux adultes handicapés (AAH) travaillent, pour deux tiers d'entre eux, à temps complet, principalement dans les établissements et services d'aide par le travail (ESAT). À l'inverse, seul un tiers des salariés bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) socle et de l'allocation de solidarité spécifique (ASS) travaillent à temps complet. Du fait notamment de la forte part des ouvriers et des employés (90 % au total) parmi les bénéficiaires de minima sociaux salariés, le salaire horaire médian des bénéficiaires de minima sociaux salariés en milieu ordinaire est inférieur de près de 3 euros à celui de l'ensemble des salariés (8 euros contre 11 euros net par heure). Les salariés bénéficiaires du RSA socle et de l'ASS sont surreprésentés parmi les salariés de particuliers employeurs et des associations. En revanche, ils exercent moins souvent dans la fonction publique. Ils sont ainsi plus souvent salariés en tant que personnels domestiques ou dans le secteur de la santé et de l'action sociale.

"La JOC organise le samedi 18 et dimanche 19 janvier un temps fort régional à Saint Sébastien/Loire qui se nommera « Militants Droits Devant ». Ce temps a pour but de réunir 200 Jeunes du milieu ouvrier et venant de toute la région Pays de Loire dans le cadre de la campagne d'action « DroitS Devant ! » sur les droits des jeunes."

"Le week-end des 25 et 26 janvier 2014 s'est déroulé à Peltre le temps fort militant de la JOC (Jeunesse Ouvrière Chrétienne) de Lorraine sur les droits des jeunes. 60 jeunes étaient présents, des collégiens jusqu'à des salariés."

"Quelles sont les grandes tendances du vote en banlieue ? La première évidence, c'est une très forte montée de l'abstention par rapport à la présidentielle de 2012. On voit ainsi se développer un comportement récurrent, celui du vote intermittent : les personnes votent une fois de temps en temps, le plus souvent à l'élection présidentielle, mais s'abstiennent lors des autres scrutins. On avait déjà noté ce déclin très fort de la participation lors des municipales et des régionales entre 2007 et 2012."

"La onzième édition des « Portes du temps » ouvre cet été 119 sites patrimoniaux prestigieux et atypiques à des jeunes issus des zones urbaines sensibles."

"L'année écoulée était l'année de la Foi en même temps était mise en route la démarche de « Diaconia, Servons la fraternité » . Nous sommes appelés par le pape François à prendre notre place dans le création d'un monde meilleur, à travailler pour qu'il y ait des conditions de vie dignes pour tous et de ne pas craindre d'aller « aux périphéries » ."

"Cà y est notre grande action ​Un Coeur pour Rennes ​ rassemblant 8 Eglises locales et associations protestantes évangéliques de Rennes a démarré. ​.. Vous êtes familiés maintenant avec le site dédié​ : uncoeurpourrennes.fr ​ qui a été mis à jour et sur lequel ​vous pouvez trouver tous les détails du programme. Les 35 participants ​du camp Bouge Ta Ville ​ sont bien arrivés, ils ​ser​ ont rejoints ​au fil de la semaine ​ par ​de nombreux bénévoles qui seront engagés à leur ​s​ côtés pour aimer, servir et animer la ville de Rennes au nom d ​u ​ Christ ​.​ Au total ce sont entre 120 et 150 personnes qui ont pris sur le ​urs vacances, leur​ temps de travail ou leur temps libre pour servir et dire leur espérance en Jésus. "

Comment se répartissent cadres et ouvriers, immigrés d'Europe et d'ailleurs, ou encore logements sociaux, entre les quartiers de France métropolitaine ? Cette répartition est-elle plus inégale aujourd'hui qu'il y a 25 ans ? Dans cette étude, accompagnée d'un outil de visualisation inédit, France Stratégie passe au crible les 55 unités urbaines de France métropolitaine de plus de 100 000 habitants entre 1990 et 2015, à partir de données du recensement. Résultat : la ségrégation résidentielle est stable pour ce qui est de la catégorie sociale, en légère baisse pour ce qui est de l'origine migratoire, et en baisse plus sensible pour ce qui est du logement social. Si certains quartiers comptent aujourd'hui une part plus élevée de cadres ou d'immigrés d'origine extra-européenne, ce n'est en général pas le résultat de leur plus grande ségrégation mais simplement le reflet de la hausse de leurs effectifs dans la population. La ségrégation résidentielle désigne l'inégale répartition dans l'espace urbain de différentes catégories de population. Elle peut résulter de choix individuels, motivés par exemple par la recherche d'un entre-soi, ou de phénomènes de relégation, liés notamment au prix des logements. Catégorie sociale : des cadres plus inégalement répartis que les ouvriers et employés, mais des niveaux de ségrégation globalement stables En moyenne, les cadres et chefs d'entreprise sont, comme en 1990, plus inégalement répartis que les ouvriers et employés. L'indice de ségrégation mesure la part des membres d'une catégorie sociale qui devrait changer de quartier si l'on voulait obtenir une répartition homogène de cette catégorie dans tous les quartiers de l'unité urbaine. Dans l'agglomération parisienne, cet indice a augmenté entre 1990 et 2015, passant de 32 % à 36 % pour les cadres et de 23 % à 27 % pour les ouvriers et employés. Dans les autres unités urbaines, la ségrégation résidentielle des cadre

Comment se répartissent cadres et ouvriers, immigrés d'Europe et d'ailleurs, ou encore logements sociaux, entre les quartiers de France métropolitaine ? Cette répartition est-elle plus inégale aujourd'hui qu'il y a 25 ans ? Dans cette étude, accompagnée d'un outil de visualisation inédit, France Stratégie passe au crible les 55 unités urbaines de France métropolitaine de plus de 100 000 habitants entre 1990 et 2015, à partir de données du recensement. Résultat : la ségrégation résidentielle est stable pour ce qui est de la catégorie sociale, en légère baisse pour ce qui est de l'origine migratoire, et en baisse plus sensible pour ce qui est du logement social. Si certains quartiers comptent aujourd'hui une part plus élevée de cadres ou d'immigrés d'origine extra-européenne, ce n'est en général pas le résultat de leur plus grande ségrégation mais simplement le reflet de la hausse de leurs effectifs dans la population. La ségrégation résidentielle désigne l'inégale répartition dans l'espace urbain de différentes catégories de population. Elle peut résulter de choix individuels, motivés par exemple par la recherche d'un entre-soi, ou de phénomènes de relégation, liés notamment au prix des logements. Catégorie sociale : des cadres plus inégalement répartis que les ouvriers et employés, mais des niveaux de ségrégation globalement stables En moyenne, les cadres et chefs d'entreprise sont, comme en 1990, plus inégalement répartis que les ouvriers et employés. L'indice de ségrégation mesure la part des membres d'une catégorie sociale qui devrait changer de quartier si l'on voulait obtenir une répartition homogène de cette catégorie dans tous les quartiers de l'unité urbaine. Dans l'agglomération parisienne, cet indice a augmenté entre 1990 et 2015, passant de 32 % à 36 % pour les cadres et de 23 % à 27 % pour les ouvriers et employés. Dans les autres unités urbaines, la ségrégation résidentielle des cadre

Comment se répartissent cadres et ouvriers, immigrés d'Europe et d'ailleurs, ou encore logements sociaux, entre les quartiers de France métropolitaine ? Cette répartition est-elle plus inégale aujourd'hui qu'il y a 25 ans ? Dans cette étude, accompagnée d'un outil de visualisation inédit, France Stratégie passe au crible les 55 unités urbaines de France métropolitaine de plus de 100 000 habitants entre 1990 et 2015, à partir de données du recensement. Résultat : la ségrégation résidentielle est stable pour ce qui est de la catégorie sociale, en légère baisse pour ce qui est de l'origine migratoire, et en baisse plus sensible pour ce qui est du logement social. Si certains quartiers comptent aujourd'hui une part plus élevée de cadres ou d'immigrés d'origine extra-européenne, ce n'est en général pas le résultat de leur plus grande ségrégation mais simplement le reflet de la hausse de leurs effectifs dans la population. La ségrégation résidentielle désigne l'inégale répartition dans l'espace urbain de différentes catégories de population. Elle peut résulter de choix individuels, motivés par exemple par la recherche d'un entre-soi, ou de phénomènes de relégation, liés notamment au prix des logements. Catégorie sociale : des cadres plus inégalement répartis que les ouvriers et employés, mais des niveaux de ségrégation globalement stables En moyenne, les cadres et chefs d'entreprise sont, comme en 1990, plus inégalement répartis que les ouvriers et employés. L'indice de ségrégation mesure la part des membres d'une catégorie sociale qui devrait changer de quartier si l'on voulait obtenir une répartition homogène de cette catégorie dans tous les quartiers de l'unité urbaine. Dans l'agglomération parisienne, cet indice a augmenté entre 1990 et 2015, passant de 32 % à 36 % pour les cadres et de 23 % à 27 % pour les ouvriers et employés. Dans les autres unités urbaines, la ségrégation résidentielle des cadre

"Tout au long de l'Avent retrouvez plusieurs propositions pour vous préparer seul, en famille à la période de Noël." - Calendrier de l'Avent du Service Evangélisation des jeunes et vocations - Maisons d'Evangile - Veillée de Louange "Fragilité chemin de fécondité" avec la pastorale catéchétique spécialisée - Semaine de prière accompagnée - Concert du choeur diocésain - Fête de Noël de la mission ouvrière - Retraite dans la vie : 6 rencontres pour le temps de l'Avent

"Ouverture des collèges de 8 heures à 18 heures ou accueil des enfants dès 2 ans en éducation prioritaire… Le chef de l'Etat fait du temps de présence à l'école un facteur de réduction des inégalités sociales et scolaires. Les syndicats déplorent le manque de concertation sur la mise en œuvre de telles mesures."

"Ce week-end du 10 et 11 février, 75 jeunes des quartiers populaires des Yvelines se sont réunis à Tigery sur le thème "comment témoigner de l'Évangile dans nos quartiers". Issus de villes où ils sont souvent minoritaires, ces jeunes catholiques se sont retrouvés pour se former à répondre aux questions de leur entourage, notamment musulman. Conférences, carrefours, temps spirituels et temps de fête, ils ont célébré ensemble la joie d'annoncer l'Évangile dans leurs quartiers populaires."

Jeudi 13 octobre 2016 à 20h15 à la Salle La Fontaine à Nantes (8 rue Jean de la Fontaine), la mission SiloéPro - Foi et Travail (Communauté du Chemin-Neuf) vous propose une conférence « Pour donner du sens à ma vie professionnelle » animée par Sœur Marie Anne Le Roux (sœur oblate bénédictine en mission sur la paroisse Notre-Dame de Nantes, auteur du « Petit traité sur le temps à vivre » aux éditions Salvator) et par des responsables de la mission SiloéPro.

"Cette rencontre est proposée par les Fils de la Charité. Samedi 1er décembre 2012 : rencontre « une charité pastorale en milieux populaires. Elle s'adresse à ceux qui d'une manière ou d'une autre vivent une responsabilité pastorale dans les lieux ou nous sommes pour un temps de partage et de réflexion sur ce que nous vivons."

"C'est parfois un petit signe de rien, plusieurs boîtes aux lettres sur une même grille quand les maisons voisines n'en possèdent qu'une. Des allées et venues plus nombreuses aussi dans ces quartiers tranquilles. Mais la plupart du temps, rien ne distingue ces pavillons de leurs semblables. Et pourtant, depuis deux ans, les villes de banlieue voient se développer un nouveau phénomène du mal-logement : la location à la découpe dans les zones pavillonnaires."

"80 personnes de la pastorale des quartiers populaires se sont réunies le 25 mai 2013 à la Maison de l'Avenir afin de trouver ensemble des solutions pour passer de la violence vers l'espérance. Ce temps-fort se voulait être une relecture et un approfondissement fait par les équipes du diocèse depuis 2 ans sur les violences."