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Home/ VEILLE STRATÉGIQUE EN TRANSFORMATION ALIMENTAIRE/ Group items tagged 2012

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Patrick Tirard-collet

Industrie bioalimentaire québécoise : de 2012 à 2015, croissance du PIB réel,... - 0 views

  • contribution au PIB réel de l'ensemble de l'économie du Québec s'est établie à 7,0 %, autant en 2012 qu'en 2015
  • le PIB réel bioalimentaire a affiché une croissance annuelle moyenne de 1,2 %, similaire à celle de l'économie du Québec (+ 1,2 %).
  • En 2015, les entreprises bioalimentaires ont investi pour 1,9 G$ en acquisition, construction, matériels et outillages, en baisse de 255,7 M$ par rapport à 2012.
  • ...5 more annotations...
  • le nombre d'emplois de cette industrie est resté relativement stable
  • Entre 2012 et 2015, les exportations (+ 1,4 G$) et les importations (+ 1,5 G$) ont connu un accroissement annuel
  • la part des États-Unis s'est accrue de 53,1 % à 71,4 %,
  • l'Union européenne (11,3 % à 5,0 %) et le Japon (8,2 % à 5,7 %) ont vu leur part relative respective reculer.
  • exportations de porc (1,4 G$) et de cacao et ses produits (1,0 G$) ont franchi le milliard de dollars en 2015
Stephane Legros

2012 Loblaw Corporate Social Responsibility Report - 0 views

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    Responsabilité sociale chez Loblaws: rapport 2012.
darijob

Drop in childhood obesity cannot be explained by health behaviors - 0 views

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    A 2014 study by the Centers for Disease Control and Prevention (CDC) showed a decline in the prevalence of obesity among 2- to 5-year-olds between 2003-2004 (a 13 percent child obesity rate) and 2011-2012 (a 7 percent child obesity rate); however, the study did not identify the health and demographic factors linked to the decline. Rice and Temple researchers replicated the CDC's study with 1,900 children between the ages of 2 and 5 in an attempt to explain the changes. Their discovery: The 6 percent drop in childhood obesity cannot be explained by changes in maternal or child health behaviors such as smoking cessation, breast-feeding or physical activity. - See more at: http://news.rice.edu/2016/05/18/drop-in-childhood-obesity-cannot-be-explained-by-health-behaviors-2/#sthash.Oq6LrjTz.dpuf
Patrick Tirard-collet

Des puces pour éviter de jeter ses choux gras | Le Devoir - 1 views

  • Le gaspillage alimentaire est un problème mondial auquel de plus en plus de pays veulent s’attaquer. Leur cible ? Les dates de péremption, à l’origine d’une grosse part des aliments jetés aux ordures. L’Allemagne tente un nouvel angle d’attaque : la puce électronique.
  • Du vert (encore bon) au rouge (périmé), la puce indiquera aux consommateurs l’état de fraîcheur du produit convoité.
  • Récemment, la France et l’Italie sont montées au front, la première ayant voté en février dernier une loi pour interdire aux grandes surfaces de mettre leurs produits périmés aux ordures ou, pire encore, de les rendre non comestibles en les aspergeant d’eau de Javel pour éloigner les glaneurs et les itinérants.
  • ...3 more annotations...
  • l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) produit en 2012 évaluait à 32 000 tonnes la quantité d’aliments encore comestibles jetée chaque année par l’industrie agroalimentaire.
  • a moitié des six millions de tonnes de produits alimentaires mis à la décharge chaque année au Canada le sont par les consommateurs.
  • la nouvelle politique québécoise de gestion des matières résiduelles vise à ce que la totalité des déchets organiques soient détournés des sites d’enfouissement d’ici 2020. «
phil des

CHOCOLATS FAVORIS SE PAIE LA RUE SAINTE-CATHERINE - 1 views

CHOCOLATS FAVORIS SE PAIE LA RUE SAINTE-CATHERINE LA PRESSE D'ici un an, la taille de Chocolats Favoris aura doublé grâce à l'inauguration d'une douzaine de boutiques, dont une première à Montréal ...

2016 Innovation Québec chocolat-favoris chocolat

started by phil des on 22 Mar 16 no follow-up yet
Patrick Tirard-collet

Elevage bovin et changement climatique - 0 views

  • l’activité d’élevage incluant les maillons production-transport-transformation représente 14,5% des émissions de gaz à effet de serre
  • L’élevage de ruminants représentant 72% des émissions de la filière, il contribue par ses productions (viande et lait) à l’équivalent de 10,4% des émissions mondiales, dont 5,1% liés à l’élevage allaitant, 4,3% à l’élevage laitier et 1,0% à l’élevage des petits ruminants
  • L’Irlande,
  • ...27 more annotations...
  • la moitié des fermes irlandaises (45 000 fermes viande, 18 000 fermes laitières) qui ont fait l’objet d’une évaluation des impacts environnementaux à l’aide de l’outil "Carbon navigator".
  • L’Italie,
  • L’agriculture, dont les émissions de GES ont baissé de 16% entre 1990 et 2012, contribue à hauteur de 8% aux émissions nationales (50% provenant de l’élevage).
  • réduction des effectifs animaux (6%) et à une baisse du recours aux engrais de synthèse (15%
  • contribue à hauteur de 9% aux émissions nationales de GES
  • l’agriculture,
  • Aux Pays-Bas
  • une meilleure valorisation agronomique des déjections animales et à une meilleure efficience de la gestion azotée, a permis de réduire de 20% les émissions de GES du secteur
  • En Nouvelle-Zélande
  • l’agriculture contribue à 7% des émissions de GES nationales
  • Un outil intitulé "Farm Smart" a été développé afin de déterminer la contribution aux émissions et construire des plans d’action en ferme
  • le programme "Cow of the future" porté par les professionnels de la filière vise à optimiser la gestion des troupeaux (productivité, résistance aux maladies…) et de leur alimentation (efficience de la ration) avec l’objectif de réduire les émissions de méthane entérique.
  • Aux États-Unis
  • l’agriculture, qui repose essentiellement sur l’élevage de ruminants, contribue à hauteur de 50% aux émissions de GES nationales
  • le gouvernement ambitionne de réduire de 20% les émissions de GES en 2020
  • techniques concernent les mélanges prairiaux améliorant la digestibilité et réduisant les émissions de méthane, l’amélioration génétique
  • Au niveau français
  • contribution de l’agriculture aux émissions nationales de GES est évaluée à 18%
  • dont 8% relèvent de l’élevage de ruminants
  • du cheptel laitier permise par l’augmentation de la productivité laitière
  • réduction des émissions de GES du secteur bovin de 14% entre 1990 et 2010
  • L’agriculture émet essentiellement du protoxyde d’azote (N2O), du méthane (CH4) et du dioxyde de carbone (CO2).
  • l’élevage de ruminants possède la particularité de valoriser des surfaces importantes de prairies ayant la capacité de stocker de fortes quantités de carbone dans les sols
  • prairie permanente fait aussi bien que les sols forestiers et beaucoup mieux que les vergers
  • Ainsi en 2030, au-delà du maintien des prairies permanentes, des haies, des prairies temporaires et du retour au sol des déjections animales, plusieurs pratiques additionnelles seront mises en place en élevage bovin: Allongement de la durée des prairies temporaires ; Développement de l’agroforesterie sur prairies permanentes et terres cultivées ; Implantation de haies bocagères sur prairies permanentes et terres cultivées ; Mise en place de cultures intermédiaires avant culture de maïs sur les exploitations hors zone vulnérable.
  • en France, les émissions "brutes" de GES (sans prise en compte du stockage/déstockage de carbone) s’élèvent en moyenne à 14,3 kg CO2 eq / kg de poids vif
  • Avec la prise en compte du stockage de carbone des prairies et des haies et du déstockage sur cultures annuelles, l’empreinte carbone nette moyenne de la viande est de 8,7 kg CO2 eq / kg de poids vif.
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