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hubert guillaud

La technologie rend-t-elle le monde trop complexe ? - Aeon.co - 0 views

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    Pour Samuel Arbesman, notre ingéniosité a créé un monde que l'esprit ne peut pas maîtriser... Est-ce le signe que nous avons atteints nos limites ? Samuel Abesman prend pour exemple le contrôle du trafic aérien, et notamment l'alerte de trafic et d'évitement des collisions, dont les règles sont devenues si complexes, que seule une poignée d'individus les comprend. Si la prévention des collisions est déjà une question complexe, le système que nous avons construit pour y répondre est devenu trop compliqué pour que nous le comprenions. La technologie ne cesse d'accélérer la complexité du monde, nous offrant à la fois une efficacité et des avantages nouveaux, mais également une sophistication et une interdépendance dont les effets complexes et désordonnés ne sont pas toujours prévisibles. Pour le chercheur, beaucoup des systèmes que nous construisons nous deviennent tout à fait incompréhensibles. Le monde que nous avons créé devient trop compliqué pour que nos cerveaux parviennent à le manipuler. Comme le disait un récent article de Nature - http://www.nature.com/srep/2013/130911/srep02627/full/srep02627.html - l'écologie de nos systèmes va bien plus vite que nous ne sommes capables de les comprendre, à l'image des algorithmes financiers qui passent des ordres plus vite que nous ne pourrions le faire nous-même. Nous avons pénétrés "l'intrication" qu'évoquait l'informaticien Danny Hillis, un environnement technologique si interconnecté qu'il en devient incompréhensible. Il n'y a pas que le code logiciel de nos outils qui augmente, le Code juridique aussi s'étend sous l'accumulation réglementaire... Comment pouvons-nous répondre à l'impénétrabilité technologique qui se développe ? Peut-être que pour les comprendre nous devrons les simuler, jongler avec des paramètres... Peut-être que la connaissance demain ne signifiera pas de comprendre complètement quelque chose. Nos systèmes de simulations ne savent pas rendre l
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Avec les voitures automatisées, plus besoin de feux rouges ? - Numerama - 0 views

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    "L'Américain Peter Stone, un chercheur en robotique de l'Université d'Austin, au Texas, a imaginé ce que pourraient être les intersections routières du futur, dans un monde où les voitures seront entièrement automatisées. Avec un algorithme qui se base sur une communication entre les voitures, il a développé une simulation qui montre que les voitures pourraient ne plus avoir besoin de s'arrêter aux carrefours. Il leur suffirait d'adapter automatiquement leur vitesse et leur trajectoire à celles des autres voitures, dans un chassé-croisé qui est véritablement effrayant lorsque l'on s'imagine à bord de l'une de ces voitures"
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La longue marche du créateur d'entreprise - SciencesHumaines - 0 views

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    Qu'est-ce qu'un créateur d'entreprise ? Martin Giraudeau pour Sciences Humaines détaille la figure du créateur d'entreprise, qui n'est pas tant un innovateur ou un capitaine d'industrie, que la figure de proue d'une véritable oeuvre collective. En mettant les activités entrepreneuriales au cœur de l'investigation, on constate donc que l'acte libre de création censé définir l'entrepreneur est plus laborieux qu'il est en général suggéré : il cache une série complexe et originale d'activités que l'on peut décrire comme constituant un véritable « travail entrepreneurial », travail collectif et outillé dont le résultat demeure longtemps incertain, dans la mesure où il découle en grande partie de démarches d'expérimentation et de simulation. Le porteur de projet occupe certes une position spécifique au sein de ce qui est un véritable collectif entrepreneurial. La création d'entreprise demeure une activité collective et sa forme individuelle n'est liée qu'à l'attribution de responsabilité effectuée, pour des raisons variées, par les multiples acteurs que sollicite le porteur de projet au cours du travail entrepreneurial.
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The Disconnectionists - The New Inquiry - 0 views

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    Pour le sociologue Nathan Jurgenson, la déconnexion de l'internet que prônent certains ne cherche pas tant à restaurer l'autonomie individuelle que d'étouffer le désir d'autonomie que la technologie inspire. L'authenticité personnelle n'a pas connue d'âge d'or : nous n'étions pas plus fidèles à nous-mêmes avant les médias sociaux ! La "detox numérique", visant à se reconnecter au réel, au vrai soi, génère son propre discours... Mais qui fera le tri entre fantasme et réalité, dans ce type de propos ? Pourquoi la préoccupation morale de déconnexion est-elle devenus si populaire ? Pourquoi notre connectivité est-elle devenue moralement toxique, malsaine comme un plaisir qu'il faudrait faire taire ? Les déconnexionnistes, comme les appelle Nathan Jurgenson s'opposent à la simulation. Mais peut-on réduire la complexité de l'authenticité de quelqu'un à son degré de connexion ? Certes, les médias sociaux transforment nos performances identitaires. Il rend le fait de devoir vivre sur scène, devant les autres, plus explicite. En fait, plus ces gens pensent que la connexion menace l'autonomie, et plus ils prônent la déconnexion. "L'obssession de l'authenticité prend racine dans une volonté de délimiter le "normal" et de lui appliquer une prétendue vérité". Le numérique est devenu une maladie. Pour les deconnexionnistes, la déconnexion est le traitement à un problème de santé, un remède à notre techno-anxiété ! Mais la déconnexion n'est-elle pas plutôt et avant tout morale ? N'est-elle une manière d'organiser le contrôle et la gestion de nos nouveaux désirs et plaisirs ? "Le désir d'être entendu, vu, informé via une connexion numérique agréable et pénible, dangereuse et excitante, nécessitant alors une police interne et externe". Derrière la fausse dichotomie réel/virtuel, se cache une dichotomie du sain/toxique et un discours d'austérité visant à réguler nos nouveaux plaisirs. Nos machines de stimulation produi
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École numérique : de quoi parle-t-on ? - Sciences Humaines - 0 views

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    "Depuis le début du XXe siècle, du cinéma aux jeux sérieux, en passant par la télévision et les MO7 du plan informatique pour tous, beaucoup de nouvelles technologies n'ont pas tenu leurs promesses éducatives. À chaque fois, on a cru pouvoir moderniser l'école grâce aux nouvelles technologies. Je crois qu'il est temps d'admettre que ce n'est pas une bonne façon de poser le problème. L'école a sans doute besoin d'être plus efficace et plus juste. Quand nous saurons comment faire cela, alors nous saurons en quoi les façons d'apprendre, d'enseigner et d'organiser l'école doivent être modifiées, alors seulement nous pourrons savoir quelle contribution telle technologie, nouvelle ou ancienne, peut apporter à cette amélioration. Dans l'attente, nous sommes condamnés à innover un peu au hasard, en essayant quelque chose dans l'espoir que ça marchera, et en nous préparant à être déçus.) Au cours des trente dernières années d'innovations « un peu au hasard », nous avons appris beaucoup de choses. Nous avons appris que les conditions d'intégration des nouvelles technologies à l'école dépendaient de leur utilité, de leur simplicité et de leur compatibilité avec ce qui se passe dans la classe. Nous avons appris que leur utilité résidait essentiellement dans leur effet positif sur la motivation, l'engagement, le plaisir des élèves ; sur la richesse et la complexité des contenus que l'on peut aborder ; sur l'interactivité et la possibilité de personnaliser l'apprentissage pour un élève singulier. Mais nous avons appris que ces plus-values en termes d'utilité s'obtenaient souvent au détriment de la simplicité. Nous avons dû admettre que les évaluations proposées par un ordinateur sont souvent rudimentaires mais qu'elles offrent la possibilité de mieux suivre l'activité d'un élève, d'augmenter le nombre d'évaluations et de favoriser l'autoévaluation. Nous a
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Mutatis Mutandis - error 404 - 1 views

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    Julien Breitfeld revient sur le lancement d'OpenFisca - http://www.openfisca.fr - un logiciel de simulation du système socio-fiscal français lancé par le Centre d'analyse stratégique, dont le code a été mis sur Github. Est-ce à dire que l'administration française aborde enfin le XXIe siècle en pensant aux utilisateurs ? Premier pas vers l'open administration ?
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Utiliser SimCity pour diagnostiquer les problèmes de trafic d'une ville réell... - 0 views

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    Mike Rose de Gamasutra a utilisé le nouveau SimCity pour recréer sa ville natale de Northenden en Angleterre afin de comprendre ses problèmes de trafic et comment la circulation y est un goulot d'étranglement. Un exercice qui ne prouve rien, estime l'auteur. Mais peut-être qu'en des mains plus expertes...
hubert guillaud

Un simulateur de nourriture - NextNature.net - 0 views

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    Tenet est un simulateur de nourriture pour vous donner envie de manger...
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