Skip to main content

Home/ Etudiants & Jeunes professionnels/ Group items tagged Université

Rss Feed Group items tagged

Veille & Documentation

INED - Les violences subies dans le cadre des études universitaires - 0 views

  •  
    Les enquêtes Virage-universités ont été réalisées dans quatre universités partenaires (Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, Université Paris-Diderot et Institut de physique du globe de Paris, Université de Strasbourg et Université de Bretagne occidentale) afin d'explorer les formes que prennent les violences subies par les étudiant-e-s dans le cadre universitaire et leurs conséquences. Elles sont ainsi complémentaires au volet de l'enquête Virage réalisé en population générale qui ne regroupe que 1 120 étudiant-e-s. Le caractère volontaire de l'enquête Virage-universités ne permet pas de connaître l'ampleur des violences en général, puisqu'en raison de son caractère exploratoire, elle n'a concerné que peu d'établissements. Les données recueillies lors des enquêtes Virage-universités renseignent de manière inédite sur les différentes formes que prennent les violences dans le cadre des études universitaires, sur leurs conséquences - notamment sur le parcours d'étude - et sur les ressorts mobilisés par les étudiant-e-s pour les dénoncer. Au total, 6 648 étudiant-e-s ont répondu à l'enquête et 1 882 (1 441 femmes et 441 hommes) ont déclaré au moins un fait au cours des 12 derniers mois. Les violences déclarées sont soit psychologiques, soit en lien à la sexualité, en particulier pour les femmes. Ces faits surviennent dans l'enceinte de l'université mais aussi à l'extérieur. Ils sont en majorité le fait de pair-e-s. Les différentes formes de violences ont des incidences sur les parcours universitaires des personnes. Enfin, bien que les étudiant-e-s parlent des faits qu'elles·∙ils subissent, peu de démarches sont entreprises.
Veille & Documentation

Caisse des dépôts - Quel devenir pour les universités de proximité, pour leur... - 0 views

  •  
    "On les appelle "universités de proximité", "universités territoriales", "sites universitaires de ville moyenne" (SUVM) et parfois "pôles d'enseignement supérieur de proximité" (PESP). Ce sont des petites antennes de grandes universités ou des universités-mères. Elles ont en commun d'accueillir entre 300 et 15.000 étudiants et d'être des piliers de l'animation sociale et économique des territoires situés hors métropoles. Un colloque leur a été consacré, les 14 et 15 octobre à Saint-Brieuc, organisé par Villes de France et l'Association des villes universitaires (Avuf). A cette occasion, Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement supérieure et de la Recherche, a annoncé que le sujet serait à l'ordre du jour de la future conférence des territoires programmée début décembre. Alors, faut-il développer les universités de proximité ou au contraire faire un tri ? Avis aux amateurs, le CGET est chargé de recueillir les propositions"
Veille & Documentation

Fondation Concorde - Bâtissons l'enseignement supérieur du XXIème siècle - 0 views

  •  
    "Juin 2017 : l'Enseignement supérieur semble toucher le fond. Malgré la qualité des enseignements et le courage des enseignants, tout ce que l'on retient ce sont les 90.000 jeunes qui sont encore sans affectation pour la rentrée prochaine. Les mesures phares que sont le tirage au sort et le contingentement des filières témoignent de la gestion à la petite semaine du précédent gouvernement. Nos universités méritent mieux. Face à une situation de massification des effectifs (+108% d'effectifs depuis 1980) et une désertification des filières professionnelles (-17% sur la même période) il est urgent de réformer l'Enseignement supérieur français, qui constitue encore aujourd'hui un avantage comparatif important pour notre pays, sans sortir les vieilles recettes à savoir la mise en place d'une sélection à l'entrée, ou l'augmentation des frais d'inscription. Le gouvernement a annoncé une réforme du premier cycle visant à supprimer APB et mettre en place des prérequis. Cette volonté réformatrice va dans le bon sens mais doit aller plus loin et s'étendre à tous les pans de l'Enseignement supérieur francais. La Fondation Concorde a ainsi réuni pendant huit mois une vingtaine d'experts universitaires issus de tous les horizons, dans le but de proposer une réforme en profondeur de notre ESR. Articulé autour de 28 propositions, notre projet se veut ambitieux mais réaliste : transformer l'accès au premier cycle en passant d'une logique de filière à une logique de parcours à la carte; doter l'université de nouveaux moyens financiers notamment grâce à la formation professionnelle; et proposer une gestion décentralisée de l'enseignement supérieur, afin que chaque établissement soit le plus à même de construire un projet pédagogique en cohérence avec son territoire. L'avenir de l'Enseignement supérieur français ne passe pas par son démantèlement mais bien par son optimisation pour tendre vers plus d'efficacité et pl
Veille & Documentation

Universités : la France peut aussi montrer l'exemple ! - Des idées pour demain - 0 views

  •  
    "Onze "jeunes" universités françaises (universités de moins de cinquante ans) figurent dans le top 100 mondial du classement du Times Higher Education (THE) publié le 8 avril dernier. Troisième pays le plus représenté, derrière la Grande-Bretagne et l'Australie, la France rivalise dans cette catégorie avec les meilleures universités mondiales, notamment grâce à l'Université Pierre et Marie Curie (9e position) ou à l'Université Paris Sud (18e position), toutes deux fondées en 1971 dans le prolongement de la Loi Faure de 1968 - première étape du processus d'autonomisation progressive des établissements d'enseignement supérieur français. Pourtant, la pluridisciplinarité, l'ouverture à l'international, la professionnalisation des étudiants, la collaboration avec les entreprises - critères essentiels à la création des "pôles universitaires d'excellence" dont le Plan campus de 2008 devait assurer l'émergence - restent très insuffisamment prises en compte dans la politique de recherche de la grande majorité des universités françaises. "
Veille & Documentation

A qui profitent les aides à l'insertion de l'université ? / Céreq Bref / publ... - 0 views

  •  
    Depuis 2007 et la loi d'autonomie des universités, dite « loi LRU », l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Les dispositifs d'accompagnement des étudiants ont été davantage intégrés aux cursus universitaires. Les services dédiés déjà existants comme les Services Universitaires d'information et d'orientation ont été renforcés. Les bureaux d'aide à l'insertion professionnelle (BAIP), présents sur chaque campus et créés par la même loi, ont rendu plus lisible et ont concrétisé cette politique d'insertion. Mais à qui bénéficient ces aides à l'insertion ? Le Céreq par le biais d'un questionnement spécifique de l'enquête Génération 2010 permet de dresser un premier bilan sur la diffusion des aides à l'université en essayant d'apprécier les bénéfices retirés par les diplômés sur le marché du travail. Cette nouvelle étude montre que plus des deux tiers des diplômés de licence et master sortis de formation en 2010 ont bénéficié d'une ou plusieurs aides à l'insertion proposées par les universités. Plus de 80% d'entre eux les ont trouvées utiles. A l'issue d'une licence générale ou d'un master, les étudiants ayant bénéficié de ces dispositifs présentent une meilleure insertion. Trois ans après la promulgation de la loi, les aides à l'insertion sont déjà largement diffusées : les aides pour trouver un stage et connaître les débouchés professionnels sont les plus fréquentes avec respectivement 39% et 38% des diplômés de licence et master bénéficiaires alors que seuls 19% ont été accompagnés pour identifier leurs compétences. Les différences s'établissent ensuite entre diplômes et domaines de spécialités. Les étudiants de licence professionnelle sont les plus concernés. Les écarts sont sensibles avec les chiffres de la licence générale, diplôme au sein duquel les aides sont le moins répandues. L'écart atteint trente p
Veille & Documentation

Quand l'égalitarisme en matière d'accès aux études supérieures signe la mort ... - 0 views

  •  
    "Le débat autour de la sélection en Master s'est réveillé depuis que le Conseil d'État du 10 février 2016 a jugé la sélection explicitement illégale. Depuis, le Ministère défend une position égalitariste et ouvertement opposée à toute sélection jugée « rétrograde ». Le premier acte de la confrontation entre le Ministère et les Universités a tourné à l'avantage des secondes. En mai 2016, les Universités ont pu obtenir le droit de sélectionner pour 1 300 mentions de Master, soit plus de 40 % des mentions existantes. Depuis décembre 2016, la sélection a été supprimée entre la première et la seconde année de Master (ce qui s'inscrit logiquement dans la réforme LMD, Licence-Master-Doctorat). Par ailleurs, désormais tout étudiant titulaire d'une Licence disposera, de jure, d'un accès à une première année de Master selon des modalités particulièrement discutables (en dernier ressort, le recteur d'académie sera dans l'obligation de faire trois autres propositions de Masters, si le premier choix n'a pas été satisfait). Cette dernière décision vise à augmenter le nombre d'étudiants accédant au niveau Master (en facilitant aussi le partage d'informations via le site trouvermonmaster.gouv.fr) et finalement à contourner la sélection. Cet objectif assumé de suppression de la sélection est dangereux pour nos Universités et l'avenir des étudiants en termes de qualité de la formation mais aussi d'insertion professionnelle ; il conduirait à plusieurs dérives qu'il convient de décrypter et de dénoncer."
Veille & Documentation

Faut-il (encore) réformer l'université ? - Des idées pour demain - 0 views

  •  
    "Chaque année, les classements internationaux, celui de Shanghai en tête, nous rappellent que l'attractivité de nos universités et de nos grandes écoles est encore loin d'être à la hauteur de notre rang dans la compétition économique mondiale. Handicapé par plusieurs spécificités héritées de son histoire, l'enseignement supérieur français pâtit d'un système divisé : scissions entre enseignement supérieur et organismes de recherche, entre universités et grandes écoles, mais également entre disciplines. Une réalité aussi coûteuse que dommageable. Après quinze années de réformes continues, il s'agit désormais d'aller au bout de la logique d'autonomie introduite par la loi LRU que Valérie Pécresse a fait voter en 2007, et ce avant d'envisager toute nouvelle réforme. En effet, si les universités doivent évoluer sur de nombreux plans, cela ne peut plus se faire au moyen d'une décision centralisée s'appliquant uniformément à chacune. En encourageant davantage les expérimentations concernant les modes de gouvernance des universités, l'État pourrait offrir une plus grande autonomie aux établissements et leur permettre ainsi de se doter d'une gouvernance à la hauteur de leurs ambitions."
Veille & Documentation

Sécurité ou humanisme ? La polémique enfle dans les universités | La tribune ... - 0 views

  •  
    "C'est la rentrée.. et elle ne se passe pas vraiment à la façon d'un long fleuve tranquille dans les Universités ! En effet, dans le contexte lié aux attentats terroristes, le Ministère de l'Éducation Nationale a annoncé le 31 août une aide financière de 30 Millions d'euros pour assurer la sécurité des campus : il s'agit de sécuriser les bâtiments, et d'employer des vigiles pour mieux protéger enseignants et étudiants contre l'éventualité d'une attaque. Comme il y a une centaine d'universités en France, cela correspond à environ 300 000 euros par établissement. Bien sûr, cette aide a été bien accueillie, les universités (qui sont pour plusieurs d'entres elles en déficit) étant assez démunies pour affronter ce type de situation, et le secteur de l'enseignement supérieur étant visé par ce type d'attaque (rappelons nous l'attentat terroriste qui a visé l'Université de Garissa au Kenya, faisant plus de 150 victimes). Néanmoins, l'enthousiasme est retombé quand on a appris d'où provenaient les fonds : les universités seraient autorisées à ne pas verser la totalité de leur contribution au fonds d'insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) (une sorte d'amende que doivent verser les employeurs qui comptent moins de 6 % de personnes handicapées dans leurs effectifs)."
Veille & Documentation

Les universités tombent en ruine... Faute de moyens ? - Le Point - 0 views

  •  
    "uines d'universités est un Tumblr créé par Héloïse Duché dévoilant au grand jour l'état de délabrement de certaines universités françaises. Cafards, rats, fuites d'eau, toilettes défoncées, installations électriques vétustes, bibliothèques fermées pour cause de grand froid, bâtiments abandonnés voués à la destruction ou encore plafonds instables. C'est le triste spectacle que propose de découvrir le Tumblr Ruines d'université qui compile des dizaines de photos des facultés les plus délabrées de France. Créé à l'initiative d'Héloïse Duché, une doctorante de l'université de Saint-Denis (Paris-8), et du collectif Sciences en marche, ce blog fait le buzz sur les réseaux sociaux depuis le début de la semaine. Contactée par Le Point.fr, Héloïse Duché assure avoir pris toutes les dispositions nécessaires pour que les photographies ne soient pas contestées. Ce qu'aucune université n'a jugé utile de faire jusqu'à présent. En dévoilant au grand jour l'état de délabrement de certaines universités, l'étudiante souhaitait surtout "plonger le public et les autorités dans la réalité de notre quotidien". Le site a aussi pour objectif d'étendre le mouvement de contestation et de mieux le faire connaître auprès des étudiants, des enseignements et des chercheurs. Le ministère de l'Enseigne"
Veille & Documentation

L'Hétairie - La Polémique autour d'APB ou comment occulter l'indispensable dé... - 0 views

  •  
    Alors que Parcoursup, la nouvelle plateforme d'inscription dans l'enseignement supérieur, est mise en ligne ce lundi, Jérôme Ferrand-Ammar et Florian Turc analysent pour L'Hétairie les termes du débat sur l'orientation des étudiants, un débat simplifié à l'excès. Or, faire Å“uvre utile en matière de réforme de l'enseignement supérieur impose de poser au préalable les bons constats. Les auteurs expliquent en premier lieu que la dualité entre filières sélectives et filières non-sélectives au niveau Bac+1 a été consacrée dès la loi de 1984 qui autorisait une filière ne pouvant matériellement pas accepter tous les étudiants candidats à opérer un choix parmi ceux-ci, à condition que ce choix ne soit pas motivé par le dossier scolaire. Confronté à un accroissement important du nombre de nouveaux inscrits dans le supérieur, ce système dual craque depuis trop longtemps. J. Ferrand-Ammar et F. Turc rappellent ensuite que la procédure Admission Post-Bac (APB) a constitué un indéniable saut qualitatif dans l'inscription à l'Université : les algorithmes d'affectation utilisés visent alors à limiter l'injustice et l'arbitraire dans les procédures ainsi qu'à objectiver les choix. Mais le principal grief légitimement formulé à l'encontre d'APB porte aujourd'hui sur la procédure de tirage au sort appliquée en dernier recours - et de façon très marginale (tout au plus 1% des nouveaux inscrits) - pour départager les candidats dans les filières en tension. Ce choix politique a été opéré en 2009 ; il est donc à porter au crédit de Frédérique Vidal d'avoir souhaité mettre réellement fin à cette pratique. Seulement, on peut s'interroger sur le point de savoir si Parcoursup n'est pas un remède pire que le mal. En premier lieu, on peut craindre que cette nouvelle procédure cache une sélection déguisée : les Universités disposent de la possibilité de répondre « oui Â
Veille & Documentation

GenerationLibre - Libérer l'université - 0 views

  •  
    "GenerationLibre développe des propositions pour maximiser l'autonomie des universités en matière de gouvernance, de financement, de recrutement et de pédagogie. L'université publique française subit une double concurrence des écoles privées et des grandes écoles en France, ainsi que des universités à l'étranger. En 2021, avec seulement 4 établissements dans le dernier Top 100 du classement de Shanghai, la France perd encore du terrain. Si les réformes qui se sont succédé vont dans le bon sens, les universités souffrent manifestement toujours d'une autonomie sous tutelle."
Veille & Documentation

100 millions d'euros supplémentaires pour les universités : décryptage - Des ... - 1 views

  •  
    "65 000 nouveaux étudiants ont investi les universités en cette rentrée 2015, portant à 2,5 millions le nombre d'inscrits dans l'enseignement supérieur en France (soit une hausse de 2,5% par rapport à 2014). Face à cette importante progression, le Premier ministre Manuel Valls a annoncé, lors d'un déplacement à Avignon lundi 28 septembre, une augmentation du budget des universités de l'ordre de 100 millions d'euros. Comment financer cette dépense ? Pour quels résultats ? "
Veille & Documentation

The Conversation - Rompre la malédiction de la dualité université-grandes écoles - 0 views

  •  
    "L'annonce des « deux pôles Saclay » par le président de la République en visite dans l'Essonne le 25 octobre 2017 consacre, sous des apparences de satisfaction de l'ensemble des parties, la séparation durable des deux systèmes historiques d'enseignement supérieur, celui des universités et celui des grandes écoles ; et ce justement en un lieu symbolique, où se côtoient l'une des meilleures universités françaises (Orsay) et l'une des plus prestigieuses grandes écoles (Polytechnique à Palaiseau)."
Veille & Documentation

Les universités françaises moins bien classées en 2017 - 0 views

  •  
    "Les établissements d'enseignement supérieur français perdent du terrain au palmarès des universités mondiales, selon le dernier QS World University Rankings by Subject. La septième édition du QS Subject Rankings parue aujourd'hui présente la liste des meilleures universités du monde dans 46 matières différentes. Comme le montrent les tableaux, les institutions universitaires françaises sont moins représentées dans le top 50 et le top 100 cette année."
Veille & Documentation

Fondation Concorde - Université : évitons une rentrée hasardeuse - l'orientat... - 0 views

  •  
    "En cette rentrée 2017, ce sont 40.000 nouveaux étudiants supplémentaires qui viendront s'inscrire en plus à l'université. Une croissance annuelle de 1.8% des effectifs, qui se fait à budget constant pour les universités. Pour endiguer une situation démographique intenable pour les universités, l'exécutif sortant a privilégié la piste aburde du tirage au sort. Une "solution" qui en plus de ne pas régler la problématique de la massification, va en amplifier un autre, celui de la mauvaise orientation. Une mauvaise orientation est la cause de l'échec en première année dans 80% des cas. Chaque année, ce sont 61% des néo-inscrits qui échouent en première année universitaire. Un gâchis humain et financier qui pourrait être résorbé grâce à un nouveau système universitaire. Dans sa nouvelle note intitulée "Evitons une rentrée universitaire hasardeuse", la Fondation Concorde propose transformer le système de filières en parcours universitaire à la carte "
Veille & Documentation

Le Figaro - Le père Michel Deneken réélu à la présidence de l'Université de S... - 0 views

  •  
    "Réélu vendredi à la tête de l'Université de Strasbourg (Unistra), seule université publique dotée de deux facultés de théologie, catholique et protestante, avec 30 voix, 3 nuls et 3 abstentions, Michel Deneken, 63 ans, a constaté que «cette crise avait rapproché» les membres du conseil d'administration. Une façon de rappeler, avec sobriété, les polémiques qui avaient accompagné, fin 2016, son arrivée à la tête de l'institution. Pour la première fois, un prêtre accédait à la présidence d'une université."
Veille & Documentation

Université : la sélection dans certains masters autorisée - Le Point - 1 views

  •  
    "Un projet de décret autorise les universités à sélectionner leurs étudiants en cinquième année. 1 300 masters sont concernés par la mesure."
Veille & Documentation

Un terrain est proposé à la future « maison d'église » du Campus de Saclay | ... - 0 views

  •  
    "Le 1er janvier 2014 est née officiellement la nouvelle université du Campus Paris-Saclay, qui regroupera à terme 60 000 étudiants dans ses 21 établissements. Elle a vocation à fédérer des universités « classique » comme Paris-Sud, Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines et des grandes écoles, dont l'ENS Cachan, l'École centrale de Paris, l'ENS Mines de Paris, Polytechnique, ou encore l'École supérieure d'électricité."
Veille & Documentation

L'enseignement supérieur recèle de très nombreuses pépites - Des idées pour d... - 0 views

  •  
    "A travers le prix Nobel d'économie de Jean Tirole en 2014, c'est aussi son école à Toulouse (TSE) qui a été célébrée. Depuis plusieurs années, elle concentre l'attention des étudiants et des chercheurs en économie du monde entier. C'est un peu comme si l'affront de la publication du premier classement de Shanghai était partiellement levé. En 2003, il avait révélé les faiblesses de notre monde académique, écartelé entre universités et grandes écoles, d'une part, et entre universités et organismes de recherche, d'autre part. Ce signe avant-coureur des difficultés de la France dans la mondialisation eut au moins pour vertu d'attiser l'intérêt pour ce sujet et de déclencher des réformes volontaristes."
Veille & Documentation

Business schools françaises : pour rester leader, préparons l'avenir. Par Edo... - 0 views

  •  
    "Tribune de Jean-Michel Huet, Associé chez BearingPoint et Edouard Husson, Professeur des universités, ancien Dean d'ESCP Europe, parue sur FocusRH, le 6 février 2015. Nous sommes convaincus que nos écoles peuvent continuer à rayonner à l'échelle nationale et mondiale… mais à condition de ne pas avancer avec des œillères, de ne pas croire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et donc de tenir compte des faiblesses de leurs modèles et des menaces qui les entourent. Ce rapport considère la situation d'écoles de tailles et de statuts divers : Insead, Skema Business School, Essec, HEC, EM Strasbourg, ISG, ECSP Europe, ESC Montpellier, TBS, IPAG, EM Lyon, Grenoble EM, EM Normandie, Kedge Business School, France Business School, Edhec, Audencia, ESC Rennes, Neoma, ect. Et, comme cela est d'usage pour toutes publications de l'Institut Montaigne, nous avons formulé des propositions opérationnelles, telles que : lancer un appel d'offre international pour ouvrir un ou deux centres d'excellence en Afrique francophone et anglophone ; développer les études de cas de PME-PMI, généraliser les stages en PME-PMI ; accroître le développement d'incubateurs et de fonds d'amorçage au sein des écoles ; moduler les droits d'inscriptions selon un gradient correspondant aux échelons de bourse du CNOUS, etc. Alors que nous avons parfois pu lire une présentation tronquée de notre rapport, nous précisons que nous n'appelons pas à ce que l'État finance les business schools, mais que nous plaidons pour un engagement financier ponctuel - conditionné à la réalisation de certains engagements - nous pensons ainsi que l'État pourrait - par exemple dans le cadre de la nouvelle vague IDEX - débloquer 100 à 300 millions d'euros, pour soutenir cinq à six grands projets de rapprochement entre des pôles universitaires et des business schools. Et, lorsque nous dessinons une possible répartition des rôles entre IA
1 - 20 of 211 Next › Last »
Showing 20 items per page