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IFOP - Regards croisés sur l'information et la prévention du sida sentre les ... - 0 views

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    Le suivi barométrique de l'Ifop pour Sidaction fait état en 2017 d'une baisse du sentiment d'information sur le VIH / sida combinée à une légère remontée de la vigilance des jeunes à l'égard des risques de propagation de la maladie. Les personnes âgées de 15 à 24 ans se montrent ainsi plus attentives aux dangers du VIH / sida que l'ensemble de la population, parmi laquelle l'impression que le risque d'être contaminé est minime trouve un écho. Le sentiment d'information sur le sida se dégrade par rapport à 2016 et 2014. 79% des jeunes estiment être bien informés sur le VIH (-3 points par rapport à 2016 et -10 points par rapport à 2014), soit une proportion au plus bas depuis 2009. Le sentiment d'information des jeunes rejoint celui de l'ensemble des Français, qui se situe également à 79% des personnes interrogées. D'une manière plus détaillée, les interviewés se sentent de moins en moins bien informés sur l'existence d'un traitement d'urgence en cas de relation sexuelle non protégée (44%, -3 par rapport à 2016). A l'inverse, de plus en plus de jeunes se déclarent bien au fait sur le traitement prescrit aux personnes séropositives (41%, +2). L'état des connaissances sur le VIH de l'ensemble de la population rejoint globalement celles observées chez ces jeunes générations. Les Français sont par exemple moins bien informés sur l'existence et l'intérêt des préservatifs féminins (56%, < de 6 points par rapport aux jeunes). Ils sont à l'inverse plus au fait de l'existence d'autotest de dépistage du VIH (51%, > de 6 points). A l'instar des enseignements de l'étude de 2016, il apparaît toujours nécessaire de maintenir un niveau d'information élevé chez les jeunes sur l'épidémie du sida, les risques associés et les traitements existants. La lecture des résultats pour différents indicateurs sur les représentations associées au sida fait état de la persistance d'id
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France Stratégie - Rapport - L'insertion professionnelle des jeunes - 0 views

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    C'était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s'est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d'un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social. Auteur(s) Marine Boisson-Cohen, Hélène Garner, Philippe Zamora Il s'agissait, selon les termes de la ministre, « d'un exercice exigeant » de dialogue avec la jeunesse. Piloté par France Stratégie et la DARES jusqu'à sa conclusion en décembre, la concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes a réuni les représentants des huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse (UNEF, FAGE, JOC, MRJC) lors de six séances de travail thématiques. Il ressort de l'exercice un diagnostic largement partagé autour de trois grands constats. Une jeunesse hétérogène C'est un fait, la situation des jeunes sur le marché du travail s'est dégradée. Multiplié par 3,5 en 40 ans, le taux de chômage des jeunes atteint aujourd'hui 24 %. Un trait commun à toute l'Europe mais particulièrement marqué en France où le taux d'activité des jeunes est inférieur de 4,5 points à la moyenne européenne. Attention à ne pas faire d'amalgame (statistique) pour autant ! Si leur taux d'activité est faible c'est d'abord parce que 50 % des 18-24 ans sont encore en étude. Le « vrai » point noir pour la France, ce sont les 13,8 % des 20-24 ans au chômage - un sur-chômage qui persiste encore dix ans après leur entrée sur le marché du travail - et les 15 % des 15-29 qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (les NEETs). Cette précision souligne l'importance qu'il y a à parler des jeunesses au pluriel. Et c'est là le premier constat partagé par les parties prenantes. S'ils ont bien des diffic
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A qui profitent les aides à l'insertion de l'université ? / Céreq Bref / publ... - 0 views

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    Depuis 2007 et la loi d'autonomie des universités, dite « loi LRU », l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Les dispositifs d'accompagnement des étudiants ont été davantage intégrés aux cursus universitaires. Les services dédiés déjà existants comme les Services Universitaires d'information et d'orientation ont été renforcés. Les bureaux d'aide à l'insertion professionnelle (BAIP), présents sur chaque campus et créés par la même loi, ont rendu plus lisible et ont concrétisé cette politique d'insertion. Mais à qui bénéficient ces aides à l'insertion ? Le Céreq par le biais d'un questionnement spécifique de l'enquête Génération 2010 permet de dresser un premier bilan sur la diffusion des aides à l'université en essayant d'apprécier les bénéfices retirés par les diplômés sur le marché du travail. Cette nouvelle étude montre que plus des deux tiers des diplômés de licence et master sortis de formation en 2010 ont bénéficié d'une ou plusieurs aides à l'insertion proposées par les universités. Plus de 80% d'entre eux les ont trouvées utiles. A l'issue d'une licence générale ou d'un master, les étudiants ayant bénéficié de ces dispositifs présentent une meilleure insertion. Trois ans après la promulgation de la loi, les aides à l'insertion sont déjà largement diffusées : les aides pour trouver un stage et connaître les débouchés professionnels sont les plus fréquentes avec respectivement 39% et 38% des diplômés de licence et master bénéficiaires alors que seuls 19% ont été accompagnés pour identifier leurs compétences. Les différences s'établissent ensuite entre diplômes et domaines de spécialités. Les étudiants de licence professionnelle sont les plus concernés. Les écarts sont sensibles avec les chiffres de la licence générale, diplôme au sein duquel les aides sont le moins répandues. L'écart atteint trente p
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L'Hétairie - La Polémique autour d'APB ou comment occulter l'indispensable dé... - 0 views

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    Alors que Parcoursup, la nouvelle plateforme d'inscription dans l'enseignement supérieur, est mise en ligne ce lundi, Jérôme Ferrand-Ammar et Florian Turc analysent pour L'Hétairie les termes du débat sur l'orientation des étudiants, un débat simplifié à l'excès. Or, faire œuvre utile en matière de réforme de l'enseignement supérieur impose de poser au préalable les bons constats. Les auteurs expliquent en premier lieu que la dualité entre filières sélectives et filières non-sélectives au niveau Bac+1 a été consacrée dès la loi de 1984 qui autorisait une filière ne pouvant matériellement pas accepter tous les étudiants candidats à opérer un choix parmi ceux-ci, à condition que ce choix ne soit pas motivé par le dossier scolaire. Confronté à un accroissement important du nombre de nouveaux inscrits dans le supérieur, ce système dual craque depuis trop longtemps. J. Ferrand-Ammar et F. Turc rappellent ensuite que la procédure Admission Post-Bac (APB) a constitué un indéniable saut qualitatif dans l'inscription à l'Université : les algorithmes d'affectation utilisés visent alors à limiter l'injustice et l'arbitraire dans les procédures ainsi qu'à objectiver les choix. Mais le principal grief légitimement formulé à l'encontre d'APB porte aujourd'hui sur la procédure de tirage au sort appliquée en dernier recours - et de façon très marginale (tout au plus 1% des nouveaux inscrits) - pour départager les candidats dans les filières en tension. Ce choix politique a été opéré en 2009 ; il est donc à porter au crédit de Frédérique Vidal d'avoir souhaité mettre réellement fin à cette pratique. Seulement, on peut s'interroger sur le point de savoir si Parcoursup n'est pas un remède pire que le mal. En premier lieu, on peut craindre que cette nouvelle procédure cache une sélection déguisée : les Universités disposent de la possibilité de répondre « oui
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Cour des comptes - - Le Rapport public annuel 2018 : le service civique - 0 views

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    La Cour des comptes consacre une partie de son rapport 2018, publié ce 7 février, au service civique. Et l'intitule ainsi : "Le service civique : une montée en charge réussie, un dispositif mal financé aux effets mal connus".Les Sages de la rue Cambon saluent en effet dans un premier temps la "hausse rapide des effectifs du service civique", rendue possible "par une mobilisation soutenue de l'administration d'Etat". En 2014, le nombre de volontaires était de 35.000 ; il aura presque quadruplé s'il atteint les 135.000 fin 2017 - on comptait 92.000 volontaires en 2016. Pour atteindre ce résultat honorable par rapport aux engagements pris au sommet de l'Etat - le chiffre de 150.000 est évoqué mais c'est plutôt l'objectif de "stabilisation" de l'actuel gouvernement (voir notre article du 28 septembre 2017), François Hollande avait pour ambition d'atteindre 350.000 jeunes en 2018 -, le secteur public s'est "inégalement mobilisé". La cour souligne le succès des "grands programmes ministériels", ayant permis d'accueillir 23.000 volontaires en 2016 dont 10.000 au sein de l'Education nationale. A l'inverse et en dépit des "liens [noués] avec les associations d'élus locaux", "le secteur public local reste en retrait". "Une dizaine seulement de collectivités proposaient plus de cent missions en 2016", illustre le rapport.La Cour des comptes estime par ailleurs que l'Etat ne devrait pas supporter seul le coût du dispositif - qui serait de l'ordre de 448 millions d'euros en 2018, après 385 millions en 2017. Elle n'est pas favorable à "la mise à disposition des volontaires totalement gratuite", susceptible selon elle de "créer une accoutumance porteuse de risque pour le mouvement associatif". Et propose d'"adapter le niveau de l'indemnité forfaitaire aux conditions matérielles de la mission" ou encore de "développer le recours aux fonds privés ou publics d'autres collectivités". Sur le premier point, le ministre de l'Education nationale, Je
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Ifop - Les jeunes et la prévention contre le VIH / SIDA - 0 views

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    "Le niveau d'information des jeunes de 15 à 24 ans sur la contamination par le VIH se maintient à un niveau élevé, 94% d'entre eux étant désormais au courant de l'existence de traitements permettant de vivre après avoir contracté le virus (+4 points par rapport à 2013). Pour autant, le sida continue de faire peur à plus de quatre jeunes de 15 à 24 ans sur cinq (83%). Qui plus est, bien que minoritaires, les jeunes estimant que le nombre de contaminations baisse en France sont de plus en plus nombreux depuis 2009 (38%, +13 points), tout comme ceux qui considèrent qu'ils ont « moins de risque que les autres » d'être contaminés (33%, +11 points) ou encore qu'il existe des médicaments pour « guérir » du sida (23%, +10 points, mais en baisse de 5 points, toutefois, par rapport à 2014). Enfin, un jeune sur dix suppose que l'on peut détecter la contamination d'une personne par le virus du sida en l'observant attentivement. Ces derniers résultats montrent qu'il apparaît nécessaire de maintenir l'information des jeunes sur l'épidémie du sida, les traitements et les risques. Concernant précisément la transmission du VIH, les 15-24 ans interrogés déclarent connaître à la quasi-unanimité les principales pratiques à risque. Le rapport sexuel sans préservatif est ainsi perçu comme la pratique la plus dangereuse, 98% d'entre eux le jugeant comme tel (dont 91% de réponses fermes). En outre, pour 98% d'entre eux, le virus peut être transmis en se faisant piquer avec une seringue usagée, et pour 96%, en entrant en contact avec le sang d'une autre personne. En outre, plus des trois quarts d'entre eux sont conscients de possibles risques de transmission en se faisant piercer ou tatouer (76%). A l'inverse, seule une minorité d'entre eux considère que l'on peut contracter le VIH en embrassant une autre personne (15%), en s'asseyant sur un siège de toilettes publiques (13%), en buvant dans le verre d'un
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INJEP - Evaluation de la phase de préfiguration du Service national universel... - 0 views

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    Le Service National universel (SNU) était une promesse de campagne du Président de la République. L'Institut national de la Jeunesse et de l'Éducation populaire a publié une évaluation de la phase de préfiguration du SNU lancée en 2019 avec 1 978 jeunes, sur 14 sites. Focus sur les trois objectifs principaux * Objectif de mixité : priorité a été donnée à la mixité territoriale, la mixité sociale n'a que partiellement été atteinte. * Objectif de cohésion : les rituels solennels issus de la culture militaire et adaptés au SNU et le port de l'uniforme ont été largement plébiscités. Les temps de « démocratie interne », issus de l'éducation populaire, doivent être restructurés. * Objectif d'éducation à l'engagement (missions d'intérêt général) : la majorité des jeunes souhaitent s'engager (particulièrement dans les secteurs de la défense, de la sécurité et du sport, toutefois davantage dans un champ professionnel que bénévole ou associatif). Le dispositif a été différemment mis en place selon les territoires, majoritairement dans des lycées et des centres de vacances. Les équipes, issues de l'armée, de l'Éducation nationale et de l'éducation populaire se sont fortement engagées mais la collaboration entre local et national n'a pas toujours été facile. Le recrutement des équipes a été « tardif, mais globalement réussi du point de vue des encadrants ». Dans cette organisation pyramidale et hiérarchisée, ont été repérées des fonctions manquantes, particulièrement pour les problèmes sanitaires et sociaux. Dans la mesure où cette première cohorte était basée sur le volontariat, on note une surreprésentation d'enfants de militaires, de familles plutôt aisées, de parents plus engagés que la moyenne des Français, de jeunes venant de filières générales et technologiques et de meilleurs élèves que la moyenne. Les modules « activités sportives et de cohés
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Les universités tombent en ruine... Faute de moyens ? - Le Point - 0 views

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    "uines d'universités est un Tumblr créé par Héloïse Duché dévoilant au grand jour l'état de délabrement de certaines universités françaises. Cafards, rats, fuites d'eau, toilettes défoncées, installations électriques vétustes, bibliothèques fermées pour cause de grand froid, bâtiments abandonnés voués à la destruction ou encore plafonds instables. C'est le triste spectacle que propose de découvrir le Tumblr Ruines d'université qui compile des dizaines de photos des facultés les plus délabrées de France. Créé à l'initiative d'Héloïse Duché, une doctorante de l'université de Saint-Denis (Paris-8), et du collectif Sciences en marche, ce blog fait le buzz sur les réseaux sociaux depuis le début de la semaine. Contactée par Le Point.fr, Héloïse Duché assure avoir pris toutes les dispositions nécessaires pour que les photographies ne soient pas contestées. Ce qu'aucune université n'a jugé utile de faire jusqu'à présent. En dévoilant au grand jour l'état de délabrement de certaines universités, l'étudiante souhaitait surtout "plonger le public et les autorités dans la réalité de notre quotidien". Le site a aussi pour objectif d'étendre le mouvement de contestation et de mieux le faire connaître auprès des étudiants, des enseignements et des chercheurs. Le ministère de l'Enseigne"
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IFOP - Synthèse - Les Français et les parasciences - 0 views

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    "A l'occasion du lancement du nouveau service Astro Consult', l'Ifop pour Femme actuelle a mesuré le niveau de croyance des Français dans les parasciences et leurs attentes en matière de prédictions. Loin d'être un phénome marginal, les parasciences rencontrent un engouement chez les Français, et notamment les plus jeunes :   Contrairement à certaines idées reçues qui tendent à les réduire à des croyances obscures et marginales, les parasciences suscitent un phénomène d'engouement majoritaire : 58%, déclarent croire à au moins une des disciplines de parascience, à savoir l'astrologie (41%), les lignes de la main (29%), la sorcellerie (28%), la voyance (26%), la numérologie (26%) et la cartomancie (23%). Et, ce phénomène n'est pas seulement répandu, il est également en hausse continue depuis au moins une vingtaine d'années : La croyance dans l'astrologie a augmenté de 8 points par rapport à 2000, atteignant aujourd'hui les 41% La croyance dans les prédictions des voyant(e)s a également cru de manière continue en vingt ans (plus 8 points) pour s'élever aujourd'hui à 26%. Cette croyance dans les parasciences se traduit concrètement en actes : plus d'un quart des Français ont déjà consulté un spécialiste (26%) au moins une fois au cours de leur vie, dont 18% pour de l'astrologie, 14% pour de la voyance, 10% pour de la cartomancie, et 6% pour de la numérologie. Et là aussi, le phénomène semble progresser au fil des années, si on en juge par la hausse du taux de consultation de voyant(e)s : plus 5 points entre 1986 et 2020. A noter que ce recours aux parasciences pour chercher une clé d'explication à une/sa situation a été assez répandu à l'occasion de la crise sanitaire puisque 20% des adeptes ont vu un spécialiste cette année à propos du Covid-19."
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Insee - Formations et emploi Edition 2018 - 0 views

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    Les jeunes ont de plus en plus de mal à s'insérer sur le marché du travail, d'après l'édition 2018 "Formation et emploi" de l'Insee, publiée le 10 avril. Le phénomène s'explique par la conjoncture, mais pourrait aussi être le signe d'une transformation plus durable des modalités d'emploi des jeunes. L'insertion professionnelle des jeunes est de plus en plus difficile. C'est ce qui ressort de l'édition 2018 de "Formation et emploi" de l'Insee, publiée le 10 avril. En 2016, le taux de chômage des jeunes ayant terminé leurs études initiales depuis un à quatre ans s'élève ainsi à 19,8%. Il atteint 8% seulement pour ceux ayant plus de dix ans d'ancienneté. Les jeunes sortants sont aussi plus nombreux à appartenir au "halo autour du chômage" explique l'Insee : 6,4% des jeunes ayant terminé leurs études depuis un à quatre ans sont inactifs mais souhaitent travailler, contre 3,7% des personnes de moins de 60 ans ayant achevé leurs études depuis onze ans ou plus. Les emplois qu'ils obtiennent sont aussi moins favorables : il s'agit de "sous-emploi" pour 10,4% des jeunes sortis depuis un à quatre ans de formation initiale (temps partiel pour des personnes souhaitant travailler un plus grand nombre d'heures), contre 5,9% pour les jeunes au-delà de dix ans d'ancienneté sur le marché du travail. Les contrats à durée déterminée, l'apprentissage ou l'intérim, soit des emplois à durée limitée, sont plus fréquents aussi pour cette population : 35,5% contre 7,6%. Et les salaires moins élevés : 1.390 euros contre 1.730 euros. Et ces différences se constatent à niveau de qualification quasiment égal. L'étude révèle par ailleurs que la part des bacheliers dans une génération a progressé depuis 2010. Elle atteint 79% toutes filières confondues en 2017, soit 14 points de plus entre 2010 et 2017. Le nombre de diplômes délivrés dans le supérieur s'est également accru : le nombre de diplômés de niveau bac+5 a ainsi augmenté de 40%.
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IFOP - Résultats - Les Français et les parasciences - 0 views

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    A l'occasion du lancement du nouveau service Astro Consult', l'Ifop pour Femme actuelle a mesuré le niveau de croyance des Français dans les parasciences et leurs attentes en matière de prédictions. Loin d'être un phénome marginal, les parasciences rencontrent un engouement chez les Français, et notamment les plus jeunes : Contrairement à certaines idées reçues qui tendent à les réduire à des croyances obscures et marginales, les parasciences suscitent un phénomène d'engouement majoritaire : 58%, déclarent croire à au moins une des disciplines de parascience, à savoir l'astrologie (41%), les lignes de la main (29%), la sorcellerie (28%), la voyance (26%), la numérologie (26%) et la cartomancie (23%). Et, ce phénomène n'est pas seulement répandu, il est également en hausse continue depuis au moins une vingtaine d'années : La croyance dans l'astrologie a augmenté de 8 points par rapport à 2000, atteignant aujourd'hui les 41% La croyance dans les prédictions des voyant(e)s a également cru de manière continue en vingt ans (plus 8 points) pour s'élever aujourd'hui à 26%. Cette croyance dans les parasciences se traduit concrètement en actes : plus d'un quart des Français ont déjà consulté un spécialiste (26%) au moins une fois au cours de leur vie, dont 18% pour de l'astrologie, 14% pour de la voyance, 10% pour de la cartomancie, et 6% pour de la numérologie. Et là aussi, le phénomène semble progresser au fil des années, si on en juge par la hausse du taux de consultation de voyant(e)s : plus 5 points entre 1986 et 2020. A noter que ce recours aux parasciences pour chercher une clé d'explication à une/sa situation a été assez répandu à l'occasion de la crise sanitaire puisque 20% des adeptes ont vu un spécialiste cette année à propos du Covid-19.
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Assemblée nationale / Comm. Aff. Economiques - Rapport d'information sur le l... - 0 views

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    Le logement des jeunes est une urgence absolue : une très grande partie d'entre eux, étudiants, apprentis, stagiaires, intérimaires, inactifs, fait face à une forme ou une autre de précarité, à laquelle participe la difficulté d'accéder au logement. De ce point de vue, les échanges menés par la mission d'information ont fait plus que valider l'intuition initiale qui a occasionné sa création. Vos rapporteurs ont souhaité souligner en particulier quatre thématiques qui ont ponctué les travaux avec une grande régularité, et mettre en avant quatre préconisations qu'ils souhaitent tout spécifiquement voir prospérer : - l'accès au foncier continue d'être le plus grand obstacle au déploiement d'une offre de logements adéquate à la demande des jeunes, dont la démographie est dynamique. Face à cela, il est nécessaire, au-delà des dispositifs de décote qui existent déjà, de porter un véritable choc de mobilisation du foncier, en exigeant de nos collectivités publiques la libération gratuite de leurs terrains en vue de projets de logement, éventuellement assortie de clauses de participation aux bénéfices créés (proposition n° 8) ; - l'autonomisation des universités et la dévolution du patrimoine, processus enclenchés depuis maintenant treize ans, n'ont pas encore porté de fruits à la hauteur des besoins : il est donc nécessaire, à l'heure de la troisième vague de dévolution, de mettre en place un meilleur accompagnement des établissements en termes d'ingénierie et de montée en compétence pour la valorisation immobilière et la gestion d'un parc de logements (proposition n° 15) ; - la connaissance qu'ont les jeunes du secteur du logement reste approximative, ce qui freine leur accès aux droits et à un logement correspondant à leurs besoins : c'est pourquoi il est nécessaire de massifier l'effort de création de guichets uniques d'accès aux droits pour les jeunes, notamment dans
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Marianne - Sondage exclusif - Religion, caricatures, genre… Les jeunes en rup... - 0 views

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    "Ils avaient entre 13 et 25 ans au moment des attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes, il y a cinq ans. Cette funeste année 2015, l'onde de choc du massacre du Bataclan et des assassinats sur les terrasses parisiennes traversait la France entière. Ce sont également eux qui paient le prix fort de la crise sanitaire qui vient percuter leurs études ou leurs premiers pas dans la vie active. Que pensent-ils aujourd'hui ? Notre partenaire l'Ifop a constitué un large panel, 1 006 jeunes représentatifs de la population française âgés de 18 à 30 ans et questionnés du 13 au 18 novembre. Nous avons interrogé ces adultes encore en construction sur toute une série de sujets : leur vision de la religion, de l'égalité entre les hommes et les femmes, de la discrimination, de la lutte contre les inégalités sociales… Notre enquête met au jour un décalage béant avec le reste de la population sur la question de la laïcité et de la manière d'appréhender le fait religieux. Elle montre aussi à quel point cette classe d'âge est parcourue de profondes lézardes, dont une, principale, qui sépare les femmes et les hommes. Et enfin, elle dévoile, et ce sera un sujet de premier plan pour les candidats à la prochaine présidentielle, à quel point les 18-30 ans sont autant d'individus profondément insatisfaits du fonctionnement de la société. LAÏCITÉ La grande confusion "
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IFOP - Etat d'esprit et comportement des étudiants et lycéens - 0 views

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    Sondage 06.10.2016 Etat d'esprit et comportements des lycéens et étudiants Près des trois quarts des jeunes interrogés, qu'ils soient lycéens ou étudiants se déclarent optimistes pour leur avenir (73%), un optimisme toutefois assez mesuré, seule une minorité d'entre eux (9%) se projetant de manière « très optimiste » pour leur avenir. Ce résultat s'inscrit dans la lignée de ce que nous mesurons depuis 2010. Si le degré d'optimisme des lycéens de terminale (71%) est proche de celui des étudiants (74%), quelques disparités sont à noter notamment en fonction du milieu social dans lequel ils évoluent (78% pour ceux qui issus d'un foyer à dominante CSP+ contre seulement 67% chez eux appartenant à un foyer plus modeste) et de la filière dans laquelle ils étudient. On trouve ainsi les plus optimistes au sein des étudiants évoluant dans les filières médicales (84% en santé à l'université ou 75% dans les formations paramédicales) et dans les écoles de commerce (100% d'optimisme déclaré). Ce premier résultat s'avère toutefois en forte opposition avec le climat et les projections à l'échelle du pays, moins du tiers des jeunes interrogés se déclarant optimistes pour l'avenir de la France (31% dont seulement 1% se déclare « très optimiste »). Ce résultat est en baisse de 7 points par rapport à ce que nous mesurions en 2014, signe d'un contexte économiques et social qui s'est durcit et qui inquiète les jeunes interrogés. Si cette tendance d'un fort pessimisme pour le Pays et d'un relatif optimisme pour sa propre situation est assez habituelle lorsque l'on pose ces deux mêmes questions à l'ensemble des Français, l'écart n'est toutefois pas aussi conséquent. Parmi les moins pessimistes on trouve notamment les étudiants les plus âgés (41% pour ceux ayant plus de 22 ans) et logiquement les plus diplômés (41% au sein des diplômés du supérieur) ainsi que ceux évoluant dans les grandes
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IFOP - Etre jeune en 2017 : quelles valeurs ? quels modèles - 0 views

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    Venant confirmer d'autres enquêtes menées par l'Ifop, la jeunesse de France doute ouvertement de la place qui lui est faite dans la société française. Seule une courte majorité des personnes âgées de 15 à 22 ans se déclare satisfaite de la place occupée par leurs pairs dans la société tandis qu'à peine un tiers a le sentiment que cette société accorde une place satisfaisante aux jeunes pour qu'ils réussissent professionnellement. Dans le détail, se font jour deux éléments aggravants : - D'une part, le constat le plus sombre sur cette place insuffisante laissée aux jeunes émanent de la génération des plus de 20 ans, particulièrement pessimiste sur ce point (25 points d'écart avec les moins de 18 ans). A cet égard, ce sont ces plus de 20 ans qui caractérisent le plus leur état d'esprit par la révolte mais aussi par la résignation. - D'autre part, le sentiment de vivre dans un quartier en difficulté exacerbe ce soupçon d'une société empêchant la réussite professionnelle des jeunes : seuls 40% des jeunes ayant le sentiment de vivre dans un quartier en difficulté affirment être satisfaits de leur place dans la société (21 points d'écart avec les interviewés qui n'ont pas ce ressenti concernant leur lieu de vie) et à peine un quart estime que cette même société leur accorde une place pour réussir leur vie professionnelle (23%, 14 points d'écart).
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INJEP - La mobilité internationale des jeunes dans un cadre non formel : revu... - 0 views

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    Contexte de l'étude Cette revue de littérature est le fruit d'une commande institutionnelle émanant de l'INJEP pour le compte de la direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (DJEPVA). Issue d'une recommandation adoptée dans le cadre du Comité permanent de la mobilité européenne et internationale des jeunes, elle a pour objectif de faire le point sur les travaux de recherche, d'étude et d'évaluation disponibles sur les mobilités internationales apprenantes dans le cadre non formel des jeunes de 13 à 30 ans.Résumé Instrument de l'action publique dédiée à la jeunesse, la mobilité internationale réalisée dans un cadre non formel génère des attentes politiques en partie divergentes avec celles - nombreuses, diversifiées et différenciées - des jeunes bénéficiaires. Le développement de l'employabilité, à titre d'exemple, n'arrive généralement pas en tête des motivations des jeunes. Les expériences de mobilité internationales restent également sélectives, marquées des déterminismes sociaux et influencées par un ensemble de freins et d'obstacles - individuels, institutionnels, organisationnels et sociétaux - et ce, malgré l'existence de dispositifs et programmes censés la faciliter. Régulièrement évalués, ces derniers permettent néanmoins aux jeunes bénéficiaires - sous certaines conditions - de faire des apprentissages multiples et multidimensionnels qui peuvent infléchir leur parcours de vie et leurs trajectoires sociales et professionnelles. La reconnaissance individuelle de ces acquis reste toutefois plus ou moins accompagnée et formalisée, et inachevée dans ses volets social et institutionnel. Enfin, l'impact de la mobilité internationale non formelle sur les professionnels, les organisations et les territoires semble moins prononcé, même si des investigations complémentaires restent nécessaires sur ces champs de recherche.
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Les volontaires du Service Civique et leur rapport au vote, à l'engagement et... - 0 views

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    "Au vu des résultats de cette enquête, on constate que les volontaires du Service Civique sont des jeunes plus engagés et plus politisés que l'ensemble des jeunes Français. Ils s'intéressent davantage au monde qui les entoure, qu'il s'agisse de politique (56% vs. 49%) ou d'actualité (89% vs. 82%). Ils expriment également un besoin plus fort d'aider les autres (89% vs. 83%) et sont plus confiants dans leur capacité à agir, notamment là où ils habitent (80% vs. 62%). Ils jugent également plus importantes des valeurs comme le don, l'entraide et le bénévolat, ce qui se traduit par une plus grande envie de rendre service à leurs proches et voisins (96% vs. 89%) et de participer à des associations (84% vs. 64%). Les jeunes volontaires font donc preuve d'un altruisme qui ne se limite pas à la sphère de proximité stricto sensu, même s'ils privilégient l'engagement local. Par ailleurs, les jeunes volontaires ont davantage le sentiment d'être accompagnés par les pouvoirs publics que les autres jeunes (42% vs. 35%) et de bénéficier d'opportunités offertes par l'Europe (72% vs. 56%), peut-être parce qu'ils connaissent mieux les programmes et initiatives dont ils peuvent bénéficier."
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The Conversation - Hausse des frais d'inscription en fac : une tendance contr... - 0 views

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    "Le 19 novembre 2018, le premier ministre Édouard Philippe annonçait le plan « Bienvenue en France » portant sur l'accueil des étudiants étrangers non-européens. La principale mesure de ce plan est une hausse spectaculaire des frais d'inscription, de 170€ à 2 770€ en licence, de 243€ à 3 770€ en master et de 380€ à 3 770€ en doctorat. Cette annonce a provoqué un rejet inédit dans la communauté universitaire, des syndicats d'étudiants à la conférence des présidents d'université, en passant par le Conseil scientifique du CNRS. Tribunes et motions se sont multipliées, à un rythme pratiquement quotidien depuis 2 mois. Une pétition a recueilli plus de 300 000 signatures. Face à ces réactions, la ministre Frédérique Vidal a constitué une commission de cinq personnalités chargées de mener une concertation sur tous les points avancés dans ce plan… hormis sur les frais d'inscription ! Économistes de l'enseignement supérieur, auteurs de plusieurs articles sur la question des frais d'inscription et co-auteurs avec le collectif de recherche ACIDES de l'ouvrage Arrêtons les frais, David Flacher (professeur à l'Université de technologie de Compiègne) et moi-même pensions n'avoir rien à apporter à cette concertation tronquée. La commission a néanmoins souhaité nous entendre, en nous assurant être ouverte à discuter de tout le plan et à inclure toute remarque pertinente dans son rapport. Cet article revient sur les principaux arguments exposés lors de cette audition, le 4 février 2019."
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DARES - Emploi et chômage des 15-29 ans en 2015 : un jeune sur dix au chômage - 0 views

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    En 2015, 53,3 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans sont sur le marché du travail en France : 43,2 % occupent un emploi et 10,1 % sont au chômage, soit un taux de chômage de 18,9 %. 14,7 % des jeunes ne sont ni en emploi, ni en formation (part de « NEET »). Après s'être nettement dégradés suite à la crise de 2008, ces indicateurs ont peu varié de début 2013 à fin 2015. La part et le taux de chômage des jeunes ont baissé d'environ un demi-point, mais la part des jeunes sans emploi ni formation s'est accrue d'autant. Sur la même période, le taux d'emploi des 15-29 ans s'est stabilisé. 13,5 % des jeunes en cours d'études initiales travaillent, une proportion stable depuis fin 2007. Parmi ceux qui ont terminé leurs études initiales, les deux tiers sont en emploi en 2015. La situation des jeunes sur le marché du travail est très différente selon l'âge. Les parts de NEET et de chômage sont nettement plus faibles pour les 15-24 ans que pour les 25-29 ans mais, à l'inverse, concernant les taux d'emploi, de chômage et la part des contrats temporaires, la situation est plus favorable pour les 25-29 ans que pour les 15-24 ans. Ainsi, moins d'un salarié de 25 à 29 ans sur quatre est en contrat temporaire, contre plus d'un sur deux entre 15 et 24 ans.
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IFOP - Résultats pour les étudiants de confessions juives - Le regard des étu... - 0 views

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    "Le sexisme, le racisme, l'homophobie et l'antisémitisme sont des phénomènes jugés par les étudiants comme étant répandus au sein de l'enseignement supérieur Près des 2/3 des étudiants estiment que le sexisme est un phénomène répandu dans les universités et grandes écoles en France (63% dont 19% qui pensent qu'il s'agit d'un phénomène très répandu). Sur ce point, on observe un vrai clivage entre les hommes et les femmes (52% contre 72%). Le racisme et l'homophobie sont également des phénomènes jugés par plus d'un étudiant sur deux comme étant répandus (53% et 52%). Les étudiants sont un peu moins nombreux à estimer que l'antisémitisme est un phénomène répandu au sein de l'enseignement supérieur (34% dont 8% très répandu). Néanmoins, cet antisémitisme est perçu comme étant en augmentation."
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