"Quand les journalistes parisiens cherchent une paroisse « verte », il y a de fortes chances qu'ils trouvent celle de Menilmontant. En effet, depuis 2011, l'église Notre-Dame-de-la-Croix a pris un tournant écoresponsable important qui peut donner des idées à bien d'autres. Même si rien n'est jamais définitivement gagné. Courage, Laura."
"Communiqué de presse conjoint de la Commission européenne et de l'Agence européenne pour l'environnement sur le rapport «Tendances et projections en Europe 2015»"
"Les samedi 7 et dimanche 8 avril, Pèlerin donne rendez-vous* à tous ceux qui veulent agir contre la violence des crises écologiques, économiques et sociales. Un forum convivial pour se mettre en route ensemble. "
"Lancée en 2017 par les frères de Saint-Jean, l'Académie pour une écologie intégrale tient son premier colloque ce week-end à Notre-Dame du Chêne, dans la Sarthe. Dans ce sanctuaire marial, ils ont également décidé de consacrer quatre hectares à la permaculture. Quand la terre se fait spirituelle."
"Organisé par le Centre Pastoral Saint-Merry et Chrétiens Unis pour la Terre en partenariat avec la Mission de France, la JOC, le CERAS, la Conférence des Baptisés, Témoignage Chrétien, le Forum 104, le CCFD-Terre Solidaire et les éditions de l'Atelier."
"Plomb à Notre-Dame: «Les autorités ont laissé les ouvriers inconscients des risques et sans protection.
L'association Robin des bois a déposé plainte pour "mise en danger de la vie d'autrui". Son président, Jacky Bonnemains, dénonce les «carences fautives d'information» après l'incendie de la cathédrale."
"Incendie de Notre-Dame : 175 enfants dépistés pour le plomb
Deux d'entre eux ont des taux supérieurs au seuil de déclaration obligatoire, et seize sont situés dans l'intervalle de vigilance."
Mercredi 12 février 2020, le quatrième conseil de défense écologique s'est tenu sous la présidence du Président de la République. Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, y a annoncé des mesures sur les services publics écoresponsables, la prévention des inondations, la résilience du trait de côte et les aires protégées.
Quatre thèmes principaux abordés
* Prendre des mesures de protection face aux inondations grâce au renforcement des programmes d'action et de prévention des inondations, mais aussi à l'accompagnement de 9 sites dans la réduction de leur exposition au risque d'inondation.
* Faire face au recul du trait de côte en adaptant les règles de construction à court et long terme pour limiter l'érosion et en informant les citoyens lorsqu'ils décident de s'installer dans ces zones.
* Protéger la biodiversité pour que, d'ici 2022, 30% de notre territoire soit sous statut d'aire protégée dont 10% sous protection forte.
* Accélérer la transformation écologique de nos services publics avec 20 mesures concrètes pour des services publics écoresponsables, qui feront de 2,4 millions d'agents de l'État des acteurs du changement.
Le Haut conseil pour le climat (HCC), institution indépendante récemment mise en place par le Gouvernement pour renforcer les politiques climatiques de la France et en évaluer la cohérence, a publié en juin 2019 son premier rapport annuel Agir en cohérence avec les ambitions. Il porte sur le respect de la trajectoire de baisse des émissions de GES.
Conformément au décret de création du HCC, le Gouvernement a indiqué, dans un rapport du 10 janvier 2020, au Parlement et au CESE, les suites qu'il entend donner au rapport du HCC.
C'est dans un exercice inédit, que le CESE analyse, à travers le projet de résolution préparée par la section de l'environnement, la réponse du gouvernement au rapport du HCC.
"Un nichoir à faucon pèlerin a été installé, mercredi 10 mai, sur le clocher de l'église lyonnaise de l'Annonciation de Vaise. Résultat d'une fructueuse collaboration entre la délégation à l'écologie du diocèse de Lyon et la Ligue de protection des oiseaux (LPO) du Rhône, comme l'explique Cyrille Frey, membre de la délégation diocésaine et salarié de la LPO."
Les questions environnementales sont devenues l'un des sujets les plus marquants de l'agenda politique. Cela est dû à un consensus quasi unanime parmi la communauté scientifique, selon lequel les atteintes à l'environnement représentent une menace pour la vie sur Terre, en particulier les gaz à effet de serre (GES) rejetés dans l'atmosphère, qui provoquent un changement climatique. Néanmoins, jusqu'à récemment, les progrès vers des solutions politiques aux problèmes environnementaux ont été lents à se mettre en place. Cela est souvent lié aux craintes que la réglementation environnementale risque d'entraver le développement économique. L'Europe a toujours constitué une exception de ce point de vue. En effet, à partir des années 1960, elle a progressivement réussi à adopter une législation environnementale parmi les plus ambitieuses au monde. Or, dans le même temps, elle a connu un développement économique stable, démontrant ainsi que les deux aspects sont compatibles et peuvent se renforcer mutuellement[1]. Depuis les années 1990, l'Europe s'est appuyée sur cette base solide pour jouer un rôle de premier plan dans l'émergence du régime climatique mondial. Cela a contribué à façonner l'identité et la politique étrangère naissante de l'Union européenne (UE) en la positionnant comme puissance normative, utilisant une diplomatie multilatérale capable d'influer sur la politique internationale.
"Ce dimanche 10 décembre, le Pape a apporté son soutien, à l'issue de la prière de l'Angélus, au Sommet sur le climat qui s'ouvrira ce mardi 12 décembre dans la capitale française."
D'une façon générale, les Français comme l'ensemble des Européens se préoccupent en priorité de la pollution de l'air, de la pollution de l'eau et de l'impact sur la santé des produits chimiques utilisés dans les produits de tous les jours. Mais à l'échelle de leur logement et de leur quartier, c'est la pollution sonore qui les soucie le plus. L'Ile-de-France, où vivent 12 millions d'habitants, se distingue car elle est exposée à un fort niveau de nuisances sonores. En cause, un habitat concentré, une exceptionnelle
densité des infrastructures de transports et des activités économiques. L'association Bruitparif, Observatoire du bruit en Ile-de-France, a confié au CRÉDOC la réalisation d'une enquête auprès des Franciliens pour caractériser la perception qu'ils ont des nuisances sonores.
Les résultats montrent que le bruit dans les transports est celui qui gêne le plus les habitants devant ceux de l'espace public, du domicile, du travail, et des loisirs. Un quart des Franciliens auraient déjà songé à déménager à cause du bruit. 4 sur 10 déclarent avoir déjà ressenti les effets du bruit sur leur santé, notamment des problèmes d'audition mais aussi de la fatigue et de l'irritabilité. Une majorité se déclare favorable à la limitation de la circulation en ville et près des habitations ainsi qu'à des sanctions contre les deux-roues qu'ils jugent particulièrement bruyants. Beaucoup souhaiteraient avoir davantage d'information sur le bruit, notamment au moment de choisir un logement.
D'une façon générale, les Français comme l'ensemble des Européens se préoccupent en priorité de la pollution de l'air, de la pollution de l'eau et de l'impact sur la santé des produits chimiques utilisés dans les produits de tous les jours. Mais à l'échelle de leur logement et de leur quartier, c'est la pollution sonore qui les soucie le plus. L'Ile-de-France, où vivent 12 millions d'habitants, se distingue car elle est exposée à un fort niveau de nuisances sonores. En cause, un habitat concentré, une exceptionnelle
densité des infrastructures de transports et des activités économiques. L'association Bruitparif, Observatoire du bruit en Ile-de-France, a confié au CRÉDOC la réalisation d'une enquête auprès des Franciliens pour caractériser la perception qu'ils ont des nuisances sonores.
Les résultats montrent que le bruit dans les transports est celui qui gêne le plus les habitants devant ceux de l'espace public, du domicile, du travail, et des loisirs. Un quart des Franciliens auraient déjà songé à déménager à cause du bruit. 4 sur 10 déclarent avoir déjà ressenti les effets du bruit sur leur santé, notamment des problèmes d'audition mais aussi de la fatigue et de l'irritabilité. Une majorité se déclare favorable à la limitation de la circulation en ville et près des habitations ainsi qu'à des sanctions contre les deux-roues qu'ils jugent particulièrement bruyants. Beaucoup souhaiteraient avoir davantage d'information sur le bruit, notamment au moment de choisir un logement.
Face au développement de la production décentralisée d'énergie renouvelable et des « réseaux intelligents », comment repenser la gouvernance des systèmes électriques européens et financer la décarbonation de notre électricité ?
L'électricité est devenue un bien essentiel, pour ne pas dire vital, sous l'effet de la double transition numérique et écologique. Du véhicule électrique aux pompes à chaleur, réduire les émissions de CO2 passe par une électrification des usages. Ces évolutions mettent les systèmes électriques face à de nouveaux défis : intégration des énergies renouvelables, développement de moyens de production et de stockage décentralisés, arrivée des « réseaux intelligents ». Et parce que l'électricité est « une industrie du temps long », c'est dès maintenant qu'il faut penser sa transformation pour prévenir le risque d'une déstabilisation du système dans son ensemble. Dans cette perspective, France Stratégie met en ligne deux contributions au débat.
Dans ce , Dominique Auverlot a demandé à trois économistes européens, Dieter Helm, Marc-Oliver Bettzüge et Fabien Roques de formuler des propositions pour réorganiser le secteur au niveau européen, cinq ans après leur contribution sur la crise du système électrique. Quelles sont les régulations nécessaires à horizon 2030 pour assurer la transition vers la neutralité carbone du système énergétique européen? C'est en somme à cette question que le groupe d'experts international se propose de répondre, en tenant compte notamment du problème du prix de l'électricité pour le client final, de la dépendance de l'Europe aux importations d'hydrocarbures et d'équipements tels les panneaux solaires photovoltaïques ou les batteries, et de l'intégration des énergies renouvelables intermittentes dans le système électrique, intégration qui tend à le fragiliser.
"Un reportage au vert… dans un établissement scolaire parisien ? Quelle drôle d'idée ! Pourtant, le lycée Saint-Nicolas reçoit chaque année depuis 3 ans le label Éco-lycée. Nous avons poussé ses portes afin d'en connaître les raisons."
"Le moine bouddhiste Matthieu Ricard invite à aller puiser en soi, ainsi que dans des actes bienveillants à l'égard d'autrui, de quoi surmonter cette crise, avec sagesse et sans nier la réalité." [RDP du 22 décembre 2020]
"Des représentants des cultes catholique, protestant, musulman, juif et bouddhiste ont mené ensemble une action symbolique de protestation contre les « bombes climatiques » que sont les projets Tilenga et Eacop en Ouganda et en Tanzanie."