Skip to main content

Home/ entreprise2.0/ Group items tagged usage

Rss Feed Group items tagged

Yan Thoinet

émergenceweb : blogue » Blog Archive » Pourquoi bloguer ? Pour se souvenir ! - 0 views

  • Comment intégrer les nouvelles générations en entreprises et surtout comment créer à leur intention une mémoire d’entreprise ? J’ai fait de nombreux billets sur mon blogue, au cours des derniers mois, pour expliquer mes réflexions sur la mémoire d’entreprise. Pour la créer, neuf pré-requis : Bâtir les savoirs (multiplication des wikis) Communiquer les savoirs (aggrégation de blogues)* Identifier les savoirs (mise en relation) Localiser les savoirs (géo-localisation) Récupérer les savoirs (Peer-to-peer avec les retraités) Documenter les savoirs (Carnets de vie)* Gérer les savoirs (Les entrepôts de données)* Rechercher les savoirs (tagging, recherche sémantique) Transmettre les savoirs (vLearning)
  • le wiki, les blogues d’entreprise sont des espaces individuels de communication et de partage, qui permettent de regrouper (ou agréger) et mettre en valeur les expertises internes.
  • les blogues sont clairement définis comme un lieu particulier où l’on trouve des groupes d’expertise, des lieux d’échanges et de communication sur des sujets très précis et pertinents à la mission et aux objectifs d’affaires de l’entreprise.
  • ...8 more annotations...
  • mélanger (mashup) deux technologies du Web 2.0, soit le blogue et les fils de presse Web, que l’on nomme habituellement flux RSS (pour Really Simple Syndication), et ainsi de créer un mini-portail personnalisé de blogues d’expertise, selon l’unité, la division, le service.
  • Faites la transposition de Netvibes en entreprise… Il est donc facile de concevoir, par exemple, une agrégation de blogues d’experts en vins à la SAQ, de conseillers en rénovation chez Rona ou d’experts en efficacité énergétique à Hydro-Québec !
  • Pour toutes sortes de raisons, bonnes ou mauvaises, on craint que cette « liberté d’opinion » mette en danger l’image, la sécurité, la réputation et les avantages concurrentiels.
  • Il n’est pas rare de voir des employés d’entreprises ou de sociétés publiques tenir leur propre blogue professionnel. Pourquoi ne pas utiliser ces forces vives pour la construction d’une expertise collective interne
  • À l’interne, on a donc mis ces produits à bon usage. Résultat : 26 000 blogues individuels, 20 000 wikis regroupant 100 000 participants… et un réseau social appelé BluePages qui «réseaute» plus de 400 000 personnes ! Tous les employés peuvent bloguer et «podcaster». Pour éviter les débordements, personne n’est autorisé à rester anonyme dans l’intranet et l’entreprise s’attend à ce que chacun respecte un code de conduite spécifique.
  • Et, en plus de déclencher le partage de connaissance et d’expertise, les agrégations de blogues, ou fermes de blogues, comme certains les nomment, permettent l’articulation et l’organisation des idées, développent et maintiennent les expertises, humanisent l’entreprise, génèrent la communication et favorisent l’appartenance à l’entreprise.
  • dans la majorité des sondages internes effectués par les entreprises sur la satisfaction des employés, la question de la non-reconnaissance de l’expertise et des réalisations des employés revient toujours
  • Combien de fois entend-on la réflexion suivante en entreprise : « Mon expertise n’est pas reconnue. Ils préfèrent écouter un consultant externe » ? Les blogues d’expertise constituent une des réponses à cette question.
Yan Thoinet

Formation Web 2.0 - Séminaire CapGemini Institut - 0 views

  • Web 2.0 : l’état de l’art> nouveaux usages, nouveaux outils, Entreprise 2.0
Yan Thoinet

Bloc Note de Bertrand DUPERRIN » A venir : l'émergence du management 2.0. Mai... - 0 views

  • David Gurteen faisait justement dernièrement le rapprochement entre les usages du web 2.0 et le management 2.0 sur le fondement de ce que Gary Hamel écrivait à ce sujet dans The Future Of Management. Mais il posait également la question suivante : qui seront les managers 2.0 ? Seront ils les managers “1.0″ qui auront changé ? Faut il attendre que les premiers disparaissent du circuit pour voir une nouvelle génération prendre le pouvoir ?
  • j’ai peur que si on attend la passation de pouvoir entre deux générations il sera trop tard.
  • Alors, doit on attendre l’arrivée des digital natives ? Oui certainement. Mais avant eux il y a également une génération intermédiaire qu’il ne faut pas oublier, qui est prise entre deux feux aujourd’hui mais ne demande qu’à jouer le jeu.
  • ...4 more annotations...
  • Peut on “upgrader” les seniors ? Oui, certains en tout cas. Mais pas en passant en force. Cette génération n’est pas foncièrement hermétique, mais l’expérience lui a également appris le recul et la circonspection. Et ils sont habitués à des cycles de changement beaucoup plus longs que ceux que nous connaissons et connaitrons à l’avenir. Le changement passera par l’exemple. Ils ne sont pas contre a priori, mais ils sont également les gardiens d’un système qui fonctionne (plus ou moins) tant que la preuve que quelque chose de plus efficace existe ne leur sera pas apportée de manière tangible. Bien sur qui ne tente rien n’a rien et, c’est peut être là le point d’achoppement principal, ils ont moins la culture de l’expérimentation que leurs successeurs.
  • Bref nous entrons dans une ère de transition où on devra s’appuyer sur des seniors moteurs, en convaincre quelque autres, faire en sorte que les digital natives ne s’acculturent pas et utiliser la génération intermédiaire comme véritable cheville ouvrière
  • construire des synergies entre ces deux tendances qui seront les piliers de l’entreprise dès demain.
  • A moins que la réalité économique ne nous impose une transition plus abrupte…
Miguel Membrado

La culture par objectif favorise le télétravail - 0 views

  •  
    La crise du pétrole va peut-être enfin favoriser l'émergence du télétravail et donc des outils et organisations collaboratives à distance. Il serait temps... Là aussi l'entreprise 2.0, ses outils et son organisation, est taillée pour relever ce défi, bien mieux qu'une organisation traditionnelle
Yan Thoinet

Les outils 2.0 en entreprise exigent un temps d'adaptation - 0 views

  • L'usage des Wikis, des blogs, des flux RSS, des podcasts ou des réseaux sociaux est à peu près partout en augmentation
  • Paradoxalement, les Etats-Unis sont le continent où le web 2.0 suscite le plus de réserves avec environ un tiers de personnes insatisfaites
  • à l'enthousiasme des débuts succède souvent une prise de conscience des difficultés qu'il y a à tirer parti de ces outils qui ne sont pas une fin en soi.
  • ...2 more annotations...
  • percée sur de nouveaux marchés
  • développer l'interactivité avec ses clients et ses partenaires.
Christophe Deschamps

How companies are benefiting from web 2.0: McKinsey Global Survey Results - 0 views

  • 69 percent of respondents report that their companies have gained measurable business benefits, including more innovative products and services, more effective marketing, better access to knowledge, lower cost of doing business, and higher revenues. Companies that made greater use of the technologies, the results show, report even greater benefits.
  • We found that successful companies not only tightly integrate Web 2.0 technologies with the work flows of their employees but also create a “networked company,” linking themselves with customers and suppliers through the use of Web 2.0 tools. Despite the current recession, respondents overwhelmingly say that they will continue to invest in Web 2.0.
  • When we asked respondents about the business benefits their companies have gained as a result of using Web 2.0 technologies, they most often report greater ability to share ideas; improved access to knowledge experts; and reduced costs of communications, travel, and operations. Many respondents also say Web 2.0 tools have decreased the time to market for products and have had the effect of improving employee satisfaction.
  • ...15 more annotations...
  • Respondents also say they have been able to burnish their innovation skills, perhaps because their companies and customers jointly shape and cocreate products using Web 2.0 connections.
  • The median level of gains derived from internal Web 2.0 use ranged from a 10 percent improvement in operational costs to a 30 percent increase in the speed at which employees are able to tap outside experts.
  • Web 2.0 delivers benefits by multiplying the opportunities for collaboration and by allowing knowledge to spread more effectively. These benefits can accrue through companies’ use of automatic information feeds such as RSS2 or microblogs, of which Twitter is the most popular manifestation. Although many companies use a mix of tools, the survey shows that among all respondents deriving benefits, the more heavily used technologies are blogs, wikis, and podcasts—the same tools that are popular among consumers
  • Similarly, among those capturing benefits in their dealings with suppliers and partners, the tools of choice again are blogs, social networks, and video sharing. While respondents tell us that tapping expert knowledge from outside is their top priority, few report deploying prediction markets to harvest collective insights from these external networks.
  • Comparing respondents’ industries, those at high-technology companies are most likely to report measurable benefits from Web 2.0 across the board, followed by those at companies offering business, legal, and professional services
  • These survey results indicate that a different type of company may be emerging—one that makes intensive use of interactive technologies. This networked organization is characterized both by the internal integration of Web tools among employees, as well as use of the technologies to strengthen company ties with external stakeholders—customers and business partners.
  • As such, companies reporting business benefits also report high levels of Web 2.0 integration into employee workflows. They most often deploy three or more Web tools, and usage is high throughout these organizations
  • Respondents reporting measurable benefits say their companies, on average, have Web 2.0 interactions with 35 percent of their customers. These companies forged similar Web ties to 48 percent of their suppliers, partners, and outside experts. An organizational structure that’s more porous and networked may make companies more resilient and adaptive, sharpening their ability to access knowledge and thus innovate more effectively.
  • The survey results confirm that successful adoption requires that the use of these tools be integrated into the flow of users’ work (Exhibit 5). Furthermore, encouraging continuing use requires approaches other than the traditional financial or performance incentives deployed as motivational tools.
  • They also say role modeling—active Web use by executives—has been important for encouraging adoption internally.
    • Christophe Deschamps
       
      Cf le président de Cisco
  •  
    L'entreprise 2.0 n'est pas qu'un concept et cette étude menée sur 1700 dirigeants le prouve.
Christophe Deschamps

SÉCURITÉ : Les entreprises ne s'y retrouvent plus face au Web 2.0 - 0 views

  • Selon l'étude, 95 % des responsables informatiques autorisent actuellement les employés à accéder à certains sites du Web 2.0, une liberté logique, dans la mesure où 62 % des sondés estiment que le Web 2.0 est indispensable à l'activité de leur entreprise.
  • Mais la liberté accordée semble insuffisante : 86 % des responsables interrogés déclarent être sous pression, notamment de la part des cadres dirigeants et des services marketing et commerciaux, pour "autoriser un accès élargi" au Web 2.0, souvent très bridé.
  • Paradoxalement, les sites les plus souvent autorisés sont aussi ceux qui sont, dans d'autres entreprises, le plus souvent bloqués : les webmails (type Hotmail, Gmail, Yahoo Mail, etc.), les portails Web comme iGoogle, les wikis (pages collaboratives, comme Wikipedia) et, évidemment, les réseaux sociaux, dont Facebook,
  • ...4 more annotations...
  • 47 % des responsables interrogés admettent que les employés essaient de contourner la politique de sécurité Web des entreprises.
  • Facebook est, par exemple, un vecteur de codes malicieux, qui se propagent via les applications, des extensions du site créées par tout un chacun, et auxquelles les utilisateurs doivent donner un accès complet à leur profil pour profiter de nouvelles fonctions alléchantes (préparer des sondages pour ses amis, savoir qui a écrit quoi sur quelqu'un, etc.).
  • 80 % des responsables informatiques se déclarent confiants pour la sécurité de leur entreprise. Mais Websense, qui travaille dans le secteur, affirme : "Les chiffres montrent qu'elles (les entreprises, NDLR) ne sont pas bien équipées pour se protéger contre les menaces du Web 2.0." Paradoxalement, lorsque les questions du sondage se font plus précises, seules 9 % des entreprises reconnaissent avoir déployé des moyens de sécurité couvrant tous les vecteurs de menaces : rien à voir avec la confiance affichée au début.
  • L'étude montre une méconnaissance du Web 2.0 et des nouveaux usages d'Internet en général, de la part des entreprises. Peut-être ont-elles besoin de temps pour s'adapter, mais, au vu des menaces, la prise de conscience risque d'être plutôt brutale.
  •  
    via @aponcier Une étude qui montre bien la nécessité d'avancer dans le dialogue sur ce thème.
Pierre Varinard

L'entreprise 2.0 face au défi de la crise économique - 0 views

  •  
    Débat de très bonne qualité sur nombre d'aspects de l'Entreprise 2.0
Elise Carbone

Usages 2.0 : Serious Games - 0 views

  •  
    Thalès met en place un Serious Games: Moonshield pour recruter
Ray Dacteur

Entreprise Collaborative - Le département de la formation survivra-t-il à l'e... - 5 views

  • l’investissement Formation n’est pas optimisé
  • Trop d’énergie et d’argent sur des tâches sans ou à faible valeur d’apprentissage ajoutée.
  • le département formation et les talents qui le composent doivent prendre conscience des usages 2.0, reprendre l’initiative, innover à nouveau :
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles - 7 views

  • Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. On peut même se dire que par une étrangle ironie du sort, le travail des travailleurs du savoir donne une part encore plus belle à la tâche individuelle de l’individu au sein du groupe : si on peut effectuer une tâche physique ensemble on ne peut penser ensemble. On pense individuellement et le travail de groupe demande de multiplier les intéractions entre tous pour rester coordonné et cohérent.
  • Ce qui se traduit à nouveau par un travail individuel même si ponctué de nombreux échanges qui donnent une impression de collectif. Mais il n’en est pas moins que chacun se retrouve avec une tâche personnelle.
  • Mais l’apport du “2.0″ peut être important dans la multiplication des signaux “informels” donnant aux autres de la visibilité sur son travail et leur permettant de s’adapter en évitant une coordination lourde, peu réactive et chronophage.
  • ...13 more annotations...
  • C’est là qu’une logique “2.0″ commence à porter ses fruits : on s’en remet au réseau, et à d’éventuelles communautés où des discussions sur le sujet auraient lieu. Si le sujet a déjà été traité tant mieux, sinon on trouve des personnes pertinentes à qui le soumettre, soit dans une communauté soit en identifiant un individu à contacter (très souvent on trouve ces personnes car leur activité “sociale” enrichit leur profil…et une recherche suffit.
  • l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Il passe d’un travail solitaire à un travail coordonné dans une équipe définie avant de passer à quelque chose d’informel, avec une logique destructurée, dans un périmètre humain relativement flou.
  • les collaborateurs (et quelle que soit leur génération) tiennent à garder une frontière claire entre leurs vies privées et professionnelles et surtout dans les pratiques liées à chaque. On “socialise” entre amis mais pas dans l’entreprise. Ou avec d’infinies précautions et dans un périmètre connu. Ce qui nous ramène au “moi, mon groupe, mon réseau” énoncé plus haut.
  • il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode “réseau” lorsque le groupe montre ses limites.  Là on entre dans une logique plus “sociale”. Ces communautés seront composées de personnes qui décideront volontairement de partager expériences et réflexions sur un sujet donné, de faire un pas au delà du travail qui leur est demandé, de donner une sorte de supplément d’âme à leur investissement professionnel.
  • on est dans le “pur 2.0″ : des conversations, des communautés qui se forment et vivent librement, de la collaboration “douce”, informelle, non structurée, de l’imprévisible et une importante composante humaine car ici on parle de l’envie d’avancer avec les autres, de partager, d’apprendre, de se lier à des personnes que l’on aurait peut être jamais rencontré autrement. En général c’est surtout cette dimension qui vient à l’esprit lorqu’on parle d’entreprise 2.0
  • On améliore l’efficacité au sein du groupe en se donnant la possibilité d’en sortir si besoin. On est, quoi qu’il en soit, dans une problématique d’organisation : on amplifie le potentiel des pratiques existantes, on en met en place éventuellement de nouvelles mais de manière très “orientée tâche”. On construit du “social” autour d’un business process, d’un workflow dont on essaie d’augmenter la bande passante. On “étend” le périmètre de l’existant.
  • ceux qui n’ont d’autres objectifs que de faire leur travail, se limitent à intéragir dans le périmètre de leur équipe et vont occasionnellement plus loin s’il n’y a pas moyen de faire autrement.
  • ceux qui, en plus, ont envie de s’investir pour échanger, benchmarquer, apprendre, proposer…sur des sujets professionnels,
  • Cela est tout sauf anecdotique lorsqu’on conçoit un projet 2.0 au niveau macro : il faut des scénarios d’usages pour chacun et surtout ne pas s’imaginer qu’on pourra emmener tout le monde dans le communautaire et l’informel, ce que d’aucuns appelleront le chaotique.Il faut penser non pas à ce qu’on aimerait que les gens fassent dans un monde idéal voire fantasmé mais s’adapter à leur logique de collaboration.
  • On dit que l’entreprise 2.0 c’est beaucoup de choses : connecter, engager, partager… Je pense qu’on oublie trop souvent une dimension qui est pourtant l’essence même de l’entreprise: réaliser des choses. C’est pour cela que le collaborateur n’a que faire d’être 1.0 ou 2.0, il veut juste une logique claire qui lui permette de faire son travail plus efficacement.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas la fin du groupware, n’est pas le “tout réseau”, “tout communautaire”. C’est le fait de mettre en face de chaque situation les bons outils et les bons usages en fonction de l’objectif à atteindre et de la capacité d’engagement de chacun.
  • Quoi qu’il en soit il n’y a pas un contexte de travail et de collaboration unique mais une infinité de contextes dans lesquels on peut et doit développer des logiques d’intéractions spécifiques qui permettront aux collaborateurs de passer d’un extrême à l’autre en faisant des petits pas intermédiaires en fonction de son contexte propre.
  • Le collaborateur n’est pas si opposé au changement que cela, il veut juste des petits pas plutôt qu’un grand saut et que le processus respecte sa logique propre, fasse sens par rapport à ses besoins et ne violente pas sa volonté de s’engager ou non.
  •  
    Très intéressant billet de @bduperrin sur les besoins des travailleurs du savoir
Christophe Gauthier

Sens du client - Le blog des professionnels du marketing client: Les 10 tendances du Se... - 3 views

  • Les 10 tendances du Sens du client 2010
  • LE CLIENT SERA PLUSIEURS Le client est devenu mutliple. Présent à plusieurs endroits sous une forme différente, c’est un individu fragmenté auquel les marketers doivent désormais faire face. Multiples identités (on compte en France 2,4 adresses mails par personne et 65% ont 2 adresses ou plus), contextes variables : le client est plusieurs et il devient parfois invisible. Pour les entreprises qui gèrent des données concernant leurs clients (une catégorie en très forte augmentation), l’organisation de ces données, la déduplication et la segmentation sont devenues des exercices complexes.
  • Au moment ou le marketing de masse laisse place au marketing comportemental ou ciblé, le marketing des données devient un marketing de masse. La preuve : le one-to-one est moins à la mode que la gestion des communautés qui est une espèce de one to many. On parle désormais de social CRM comme pour habiller délicatement l’ignorance dans laquelle se trouvent beaucoup d’entreprises. Les systèmes d’information qui ont couté des millions aux entreprises se révèlent insuffisants pour appréhender la réalité du client. Comment donner du sens à ces masses de données ? Comment appréhender les nouveaux segments de clients ?
  • ...26 more annotations...
  • les nouveaux segments sont devenus un fait acquis, alors demandez-vous : comment concevrais-je mon organisation si je savais que dans les cinq prochaines années, 5 ou 6 segments émergeront pour occuper plus de la moitié de mon chiffre d'affaire ?
  • la convergence des canaux de relation et la cohérence des sollicitations. Comment avoir une vision unique du client et comment gérer la pression de communication ? Comment comprendre un client multiple et anticiper son comportement ?
  • LE CLIENT SERA SEUL Le self-service est un progrès de notre société
  • LE CLIENT SERA ECO-SENSIBLE Passer la marque à la machine sur le programme « GreenWashing » : l'occupation de ces dernières années pour les entreprises au marketing qui lave plus vert. Sous la pression d’une actualité dramatisante et de clients anxieux, presque toutes les entreprises adoptent les valeurs « développement durable » ou « respect de l’environnement », espérant réchauffer le climat entre leurs clients et elles
  • Mais le client veut des marques ou des enseignes disponibles et réactives, il désire être autonome, échanger en temps réel n’importe quel jour et à n’importe quelle heure, dans une relation personnalisée
  • En 2009, 36% des entreprises, soit deux fois plus qu’en 2008, (selon cette étude) « ont opté pour les modes de communication économiques, comme le Web et le self-service ». Parfois mauvais calcul quand on constate que –selon la même étude- « Malgré la mise en place de ces services sur Internet, les centres de contacts constatent que le nombre d’appels entrants n’a pas été impacté
  • Dès qu’on ouvre un nouveau canal de relation avec le client type Serveur Vocal Interactif, celà aurait plutôt tendance à faire croitre le nombre de contact globalement. Au bénéfice de la marque qui maitrise l’information qui la concerne et héberge la conversation, et au bénéfice du client qui choisit son mode de communication
  • apporter un vrai bénéfice au client lorsqu’il est seul. Seul face à un site Internet, avec un SVI, une borne interactive, il se sent trop souvent abandonné
  • Bénéfices évidents du client seul : l’aspect pratique et la réduction des prix.
  • LSA nous rapporte qu’une enseigne espagnole a conçu et marketé son espace de vente en trois circuits d’achat : court (convenience store), moyen (achats quotidiens) et longs (courses de la semaine) pour répondre aux besoins du client.
  • LE CLIENT SERA ORGANISE On sait que le client est multiple, tout comme le sont les propositions commerciales qui s’adressent à lui. Lorsque celles–ci manquent de clarté ou sont défaillantes dans le bénéfice réel, le client revoit ses préférences et hiérarchise ses fournisseurs. Parfois perdu (8 français sur 10 ignorent encore ce que sont les soldes flottants ), souvent sur-sollicité (rappelons que nous sommes confrontés à 400 messages commerciaux par jour-source Francoscopie 2010), le client doit s’organiser
  • les marques ont l’occasion unique de redonner du sens à leur discours avec des valeurs et de créer du lien avec leurs clients. Seront gagnantes les marques qui apporteront des preuves concrètes, qui feront des gestes sans calcul cynique sur un sujet qui n’est pas prêt de quitter l’esprit du client
  • LE CLIENT SERA AMELIORE (Photo Avatar). Le client est un roi doté de super-pouvoirs. Entourés, enrichis, connectés, les français sont 67% à avoir accès à Internet chez eux (+6% en un an), et 82% des Français de plus de 12 ans ont un téléphone mobile. Le monde dans le creux de sa main est une réalité pour déjà 5 millions de personnes utilisant Internet mobile (doublement en un an) Source : ARCEP. Le client est assisté, aidé : il ne faut plus faire partie d'une minorité de privilégiés pour savoir qu'il faut tourner à droite dans 200 mètres avec son GPS embarqué dans sa voiture ou sur son téléphone mobile... Le client français a adopté les réseaux sociaux : près de 16 millions d’inscrits dont les trois quarts pour « rester en contact avec leurs amis ». Le réseau social virtuel qui entoure le client l’aide aussi à faire des choix dans sa consommation. Selon Harris interactive (pour Fleishman Hillard), "50% des français pensent qu’Internet les aide à prendre de meilleures décisions d’achat" et "85% des consommateurs consultent les avis des internautes avant d’acheter". Le téléphone est devenu « smart » pour 3,5 millions d’utilisateurs nouveaux en une année, et pas tous des professionnels ! Que vous partiez en voyage ou que vous vous rendiez au restaurant du coin, vous trouverez sur la route de votre choix des avis de consommateurs en qui vous avez confiance.
  • prendre sa place dans un monde digital et virtuel pour y accueillir son client. Proposer de nouvelles voies d'accès et de dialogue avec lui.
  • LE CLIENT SERA OCCUPE La moitié des adolescents regardent déjà la télé en surfant sur le net et 47% utilisent leur téléphone mobile en étant connectés (source Forrester). La multi-activité se développe
  • Le client est surbooké et ce que nous nommons une maladie pour nos enfants n’est que la caricature et le signe précurseur d’un futur proche de consommateur de média. Le client n’est pas absent ou distrait, il est très occupé. Les Français ont eu en moyenne 40,4 contacts par jour avec une activité média ou multimédia (hors ordinateur) en 2009, un chiffre toujours en augmentation. Un français sur deux se connecte chaque jour à Internet, et les médias sont de plus en plus consultés sur de nouveaux supports
  • LE CLIENT SERA FAN Les grandes marques vont sortir de la crise avec panache et le client n’attend que ça. Pourquoi ? Parce qu’il a désormais la possibilité de se manifester et de faire savoir qu’il aime une marque ou qu’il s’y intéresse sur les réseaux sociaux. 40% des inscrits à Facebook sont amis ou fans des marques et 25% « suivent » des marques sur Twitter selon Razorfish
  • LE CLIENT SERA BAVARD Si je me fie à ce compteur Twitter, au mois de mars prochain, nous passerons la barre des 10 milliards de tweets. Rien qu’en France, si on suit les 25 premiers utilisateurs de ce réseau social, on peut lire 360 000 posts de 140 caractères Pour 23% des Français de plus de 12 ans inscrits sur les réseaux sociaux , le quotidien est fait de conversations.
  • Un tweet sur 5 concernerait un échange d’expérience à propos d’une marque. C’est considérable. A la recherche de la relation authentique, de l’avis sincère, le client est prêt à contribuer et donner de son temps. Sur le très fiable site d’avis consommateurs Beauté Test par exemple, tous les jours, 400 nouveaux avis sont postés et 10 à 20 nouveaux produits sont référencés. On donne la parole au client, il en fait un usage à son profit !
  • les avis seront de plus en plus donnés en temps réel (18% des membres Facebook mettent à jour leur profil depuis un téléphone mobile)
  • favoriser l’expression du client en la rationnalisant. Et face à l’infopollution, investir dans le tri sélectif
  • LE CLIENT SERA AVENTUREUX Seuls 15 %, c’est-à dire un client sur sept se déclare «fidèle » aux marques et 21 % sont moins fidèle qu’avant, c’est ce qu’avait révélé l’étude faite en 2009 à l’occasion de la Saint Fidèle sur ce blog.
  • Laurent Habib de RSCG C&O déclarait à LSA le 29 octobre dernier : «les marques ne parviennent plus à justifier leur positionnement premium, ni a susciter la préférence et la fidélité». Sensible au prix, le client observe avec un scanner dans les yeux les propositions low cost et les propositions premium, délaissant un ventre mou sans odeur et sans saveur. Il privilégie la valeur d’usage et se montre critique envers les innovations sans bénéfice
  • proposer aux clients de vraies innovations, prendre des risques. C’est le moment de mettre en pratique le subtil précepte de Jacques Séguéla (qui a le sens de la formule) : « moins de tests, plus de testicules »
  • LE CLIENT SERA ENTENDU 20% des français ont déjà dénoncé en ligne des entreprises ayant mal agi à leurs yeux TNS Sofres LSA 11/09. Nous sommes entrés dans le nouvel âge de la relation client, l’époque où le client peut s’exprimer et être entendu par des milliers de personnes (cf mon billet à ce sujet). Le patron d’Amazon disait "Si vous rendez vos clients mécontents dans le monde réèl, ils sont susceptibles d'en parler chacun à 6 amis. Sur internet, vos clients mécontents peuvent en parler chacun à 6000 amis."
  • gérer sa réputation et repenser son organisation pour l’orienter vers un client omniprésent. Il ne s’agit plus de surveiller ou faire du buzz monitoring mais bien de pratiquer une écoute active et participer à un nouvel échange.
‹ Previous 21 - 34 of 34
Showing 20 items per page