Skip to main content

Home/ entreprise2.0/ Group items tagged usage

Rss Feed Group items tagged

Eric Salviac

L'entreprise 2.0 : Besoin de sécurité ou d'éducation ? - 2 views

  • Le web 2.0 a permis l'avènement des usages collaboratifs, de la participation des utilisateurs au travers des sites publics. L’entreprise 2.0 utilise quant à elle les mêmes concepts, mais cette fois afin de mettre à la disposition de ses collaborateurs, clients ou partenaires d'affaire, des outils riches tels que les blogs, les wiki, ou même les réseaux sociaux.
  • Ces nouvelles pratiques amènent la SSI à se voir attribuer un rôle nouveau, où la communication et le "marketing de la sécurité" prennent une place plus importante. Le métier du RSSI change ainsi pour passer d'une position autarcique à un rôle de facilitateur du business, en permettant notamment une utilisation efficace et sûre de ces nouveaux outils.
  • L'efficacité, ici, consiste à éduquer l'utilisateur et l'aider à s'approprier les outils, bien sûr. Mais aussi être en mesure de contrôler ensuite l'utilisation qui en est faite.
  • ...2 more annotations...
  • Cette éducation passe notamment par la sensibilisation des utilisateurs aux risques liés à la communication d'informations via le web 2.0, et à l'impact que la divulgation pourra avoir sur l'entreprise.
  • A noter que pour réussir dans sa mission, le RSSI se doit de maîtriser parfaitement ces outils afin d'aider les utilisateurs à comprendre comment et quand les utiliser. Le RSSI se doit en outre d'utiliser de tels outils afin de bien cerner les moyens de contrôle à sa disposition. A ce sujet, rappelons que le contrôle ne peut pas être seulement technique, mais qu'il devra aussi prendre en compte la dimension d'usage des outils (qu'est ce qui fait sens pour l'utilisateur, donc que peut-on/doit-on contrôler ?).
  •  
    Les nouveaux usages du web appliqué dans l'entreprise modifie profondément le rôle du rssi qui passe d'un rôle autarcique à un rôle de facilitateur et d'éducateur.
Dominique Hebert

Formation L'intranet 2.0 - Benchmark Group - 0 views

  •  
    Formation Benchmark Group sur l'évolution des usages de l'Intranet pour aller vers l'entreprise 2.0
Miguel Membrado

Web 2.0 : les entreprises n'adoptent pas les outils de collaboration - 0 views

  •  
    Malgré leur succès incontesté dans le domaine grand public, les outils de collaboration en ligne du web 2.0 peinent à s'imposer en entreprise. C'est ce que révèle une récente étude du cabinet d'analyse Forrester. Quelques chiffres : 68 % des employés utilisent toujours email & téléphone pour collaborer (!). Ils sont de plus en plus souvent secondés par la messagerie instantanée (15% des employés) et la web conférence (13 %) (seulement !). Les réseaux sociaux ne sont utilisés que par 8 % des employés, les blogs par 5 % des collaborateurs et les wiki par 4 %. MAIS Les outils de bureautique en ligne (Google Apps, Windows Live, etc.) semblent en revanche décoller puisque 16 % des employés y auraient désormais recourt. La transformation des usages vers les nouveaux outils de productivité bureautique est bien en route :)
Miguel Membrado

L'entreprise 2.0 à l'épreuve de la productivité - Blogs - ZDNet.fr - 0 views

  • L’entreprise 2.0 à l’épreuve de la productivité
  • Tout cela reflète les multiples et insoupçonnés usages susceptibles de se développer à partir d’applications dont l’utilisateur est le centre de gravité
  • Pas encore gagné pour les évangélistes de l’entreprise 2.0 de convaincre des carences de l’e-mail en matière de productivité. L'improductivité est un bon argument pour ne pas s’égarer dans les méandres de l’entreprise 2.0
  • ...4 more annotations...
  • Comment rendre compte de la qualité des échanges ? Comment passer d'une notion quantitative de l'action à une notion qualitative de l'"inter-action" ?
  • Si ces nouveaux outils génèrent les mêmes réactions que le téléphone, l'email et l'usage du web en leur temps, probablement faut-il aussi y voir le fait que la technologie, et ses usages, progresse beaucoup plus vite que les habitudes des décideurs, et qu'ils ont parfois du mal (légitimement) à comprendre l'intérêt de certains outils qu'ils n'ont jamais utilisés... par ailleurs, nombreux sont ceux qui ne jurent que par la relation directe, et qui restent méfiant vis-à-vis des apports des outils électroniques.
  • Le jour où la perte de productivité dûe aux réseaux sociaux ou plus généralement à l'utilisation d'internet dans l'entreprise sera quantifiée au delà du gain permit par ces mêmes outils, je reprends mon souffle car cette phrase est longue, des solutions seront amenées par des prestataires de services pour le contrôle de l'utilisation du réseau
  • Travaillant dans une société qui a mis en place un indicateur sur les mails je suis moins persuadfé que tous les employeurs voient le mail comme un outil de prtoductivité. Je crois qu'il y a un biai commun c'est de confondre l'outil et le besoin. Finalement un messenger, une formation et (même) une machine a café sont à la fois des causes de productivités et de non productivuté. Tous ceci ne sont que des outils et c'est la manière de les utiliser qui changent. Par exemple, aussi bien les mails que les messengers sont des causes d'interruptions dans le travail quotidien. Une interruption sur une tache sur laquelle vous êtes en cours est une cause de non productivité mais aussi souvent de stress ce qui est encore pire. Au global ce qui me soucie dans cette manière d'aborder les choses c'est qu'au lieu de réfléchir outillage il faudrait réfléchir condition et méthodes de travail en premier.
Christophe Deschamps

L'entreprise et le web - 0 views

  • On ne consulte plus le web, on l’utilise.
  • Interfaces légères, utilisation intuitive, dimension sociale : on ne regarde plus le web sans se parler entre nous mais on s’en sert pour intéragir.
  • Soyons honnêtes, tout cela a été quelque peu survendu mais la masse critique était telle qu’il devait forcément en sortir quelque chose.
  • ...10 more annotations...
  • Un des éléments nécessaires au succès était le contexte, une dimension largement moins facile à importer que la technologie elle-même.
  • Pour la première fois l’appropriation technologique que l’entreprise pratiquait jusque là avec succès devait se doubler d’une appropriation comportementale. Un challenge d’autant plus difficile que les personnes en charge de l’un ne sont pas celles en charge de l’autre et que les fameux “usages” inquiétaient à juste titre : il fallait de plus les professionnaliser.
  • La professionalisation des usages est possible mais encore difficile à comprendre pour l’entreprise qui a besoin de quelque chose de plus structurant pour avancer. Ce qui amène à penser que la prochaine étape sera davantagé liée aux processus opérationnels.
  • Il n’est plus question ici d’importer des technologies mais de construire des “services” répondant à des besoins organisationnels. Cela peut sembler complexe mais c’est en fait plus compréhensible pour l’entreprise  car se rapproche de logiques d’organisation de production qui lui sont plus familières que les logiques d’usage. Par services j’entend des couples “outils / mode de travail”
  • Le “web en tant que plateforme” au sein de l’entreprise va servir à enrichir les processus existants et donner de l’autonomie au collaborateur pour atteindre ses objectifs dans une entreprise en réseau.
  • Et dans l’entreprise utilisation signifie production et gains de productivité.
  • Un alignement des outils doit donc également être mis en place. Le collaborateur ne peut passer sa vie à servir de gare de triage entre les flux des outils internes, des outils utilisés avec clients et partenaires et des outils permettant de communiquer avec le monde au sens large.
  • En fait la qualité de l’adoption du web dans une entreprise dépend quasi exclusivement de la capacité de celle-ci  à penser conjointement l’évolution de la technologie, des modes de travail et des rapports de l’entreprise à son ecosystème.
  • La preuve que finalement le web en tant que tel n’a aucune importance : il arrive naturellement dans tout projet d’entreprise bien pensé, s’appuyant sur une vraie vision.
  •  
    Finalement beaucoup de débats actuels sont liés à la capacité de l'entreprise à comprendre, apprivoiser et utiliser le web à son profit, en interne. Un sujet a priori anodin puisque purement technologique et nécessitant des compétences autrement plus simples que celles mises en œuvres jusque là sur les infrastructures d'entreprise. Mais au final un sujet pas si anodin que cela.
Eric Salviac

Réseaux Sociaux d'Entreprise - une évolution culturelle en marche - 0 views

  •  
    Etude par USEO des usages, des solutions et des changements induits
Christophe Deschamps

Ce qui manque aux médias sociaux ? L'intelligence - 4 views

  • La valeur de ces outils dans l’entreprise repose sur l’intelligence, et ce à double titre :- l’intelligence que les utilisateurs y déposent- l’intelligence dont ils font preuve pour s’y retrouver
  • Aujourd’hui les utilisateurs les plus actifs en entreprise sont ceux qui satisfont le second critère, que ce soit par habitude personnelle ou capacité à apprendre vite. Ce qui pose deux problèmes :- la valeur résultant d’un certain niveau critique d’utilisation, il faut aller au delà de ce premier groupe de personnes et rendre les choses simples pour n’importe qui dans l’entreprise.- tout étant question de temps, il est logique qu’au niveau de l’entreprise on soit soucieux de voir les collaborateurs utiliser leur temps pour partager de l’intelligence et l’utiliser dans le cadre de leur travail que la trier pour se la rendre utilisable.
  • il serait bon de ne pas seulement se fier à l’intelligence des utilisateurs mais également essayer d’incorporer une forme d’intelligence dans le produit. Autrement dit, après avoir exploré la manière de mettre les logiques de social media au service de la Business Intelligence, essayons de mettre la BI au service de ces outils.
  • ...5 more annotations...
  • il importe donc de réunir l’ensemble de ces signaux en un endroit unique où ils pourront être traités sans que le collaborateur ne se disperse, ce qui rend encore plus indispensable de rendre cet endroit unique intelligent. Cela peut se faire de deux manières :- en laissant l’utilisateur “dire” à l’outil ce qui est le plus important pour lui- en rendant l’outil capable de comprendre les priorités de chacun en apprenant de leurs usages, ce qui est un pur travail de BI.
  • on ne s’attend pas une seconde à ce qu’un outil métier anticipe un besoin et vienne se mêler à une conversation. C’est pourtant quelque chose de souhaitable qui finira bien par arriver.
  • . Plus on rendra le système intelligent plus le collaborateur pourra se consacrer à des tâches où sa valeur ajoutée est unique, où il est irremplaçable. L’outil métier, avant d’intéragir avec l’utilisateur doit en effet être capable d’apprendre de lui.
  • Une dernière raison à cette évolution inéluctable : lorsqu’on regarde le marché des logiciels “sociaux” d’entreprise on ne peut que constater deux choses :- leur valeur réside dans l’intelligence des collaborateurs- en termes de produit n’importe qui peut, avec quelques moyens, développer une application comprenant blogs, wikis, boomarks, microblog, espaces communautaires et activity stream. La preuve : de nouvelles plateformes voient le jour chaque semaine et la plupart se ressemblent trait pour trait.
  • Pour exister durablement sur ce marché, un éditeur devra apporter une valeur ajoutée propre, interne au produit. On va donc passer d’outils “qui ne font rien” et tirent leur valeur de ce que font les utilisateurs à des outils qui “font” et apportent une valeur ajoutée à l’utilisateur.
  •  
    Bertrand Duperrin pour l'intégration d'algos apprenants et de BI dans les plateformes sociales, au service de l'utilisateur final. Comment être contre?
Christophe Deschamps

La productivité en entreprise a besoin des liens humains - 0 views

  • Réseaux sociaux et outils 2.0 ne sont pas un facteur de dissipation en entreprise, au contraire. Ils permettent aux collaborateurs de construire un climat de confiance avec des collègues mais aussi avec d'éventuels clients et partenaires,
  • Donner plus de liberté et de flexibilité aux employés est généralement perçu comme contre-productif, pourtant il s'avère au contraire que cela donne plus de stabilité aux entreprises qui se prêtent au jeu
  • Les technologies et les solutions de gestion qui facilitent la communication changent perpétuellement. Au vu du climat d'affaires actuel, elles représentent une opportunité significative de créer de la valeur",
  • ...1 more annotation...
  • Reste qu'une telle étude doit être prise pour ce qu'elle est : un rapport commandité en partie par un opérateur, qui fournit des outils de collaboration aux entreprises.
Christophe Deschamps

Employers taking chances when blocking Facebook too, says Deacons - 0 views

  • 14 per cent use it at some time to access social networking sites. Usage is significantly higher among younger workers with 32 per cent of 16-24 year olds and 23 per cent of 25-34 year olds reporting frequent or occasional use. 20 per cent said their employer blocked access to social networking sites while 57 per cent said their employer allowed it (23 per cent did not know). 76 per cent of workers who use the Internet at work could see a benefit to their organisation in allowing access to social networking sites believing it showed: - trust in employees (68 per cent);  - gave people a break from day to day work and kept them fresh (48 per cent); and  - allowed them to better network with other employees, customers and suppliers (40 per cent). Among those who use social networking sites, 91 per cent saw a benefit to their organisation from the activity. In general, younger workers were more likely to see these benefits than their older counterparts. 16 per cent overall said an employer’s policy re on-line social networking would influence their decision to join one employer over another. This view was particularly strong among 16 to 24 year olds, with one in four saying it would. 91 per cent say that they use the Internet appropriately at work, with only 1 per cent admitting to frequent inappropriate use.
  •  
    Etude australienne, avril 2008
Christophe Deschamps

Enterprise Web 2.0: Building the Next-Generation Workplace - the Driving Force behind J... - 0 views

  • Building on the somewhat vague and yet particular usage of the term 'Web 2.0', 'Enterprise Web 2.0' describes a fresh, and some would say new, approach to the design and provision of business applications that incorporates aspects such as social networking, collaboration, and real-time communication. In addition, Enterprise Web 2.0 focuses a great deal of attention on the user's 'experience' or 'joy of use' -- something of a novelty in enterprise IT these days. By comparison, when Butler Group talks about 'Enterprise 2.0', we are focusing on the composition and architecture of the IT ecosystem, and the associated business models that will support Enterprise Web 2.0 applications.
  • Enterprise Web 2.0 is very much concerned with the user experience of corporate systems and applications, and on extracting business value from the social contributions and interactions of the organisation's various stakeholders.
  • The management of customer relationships continues to remain pivotal for most organisations, and so the social aspects of Web 2.0 are mirrored in the corporate world of Enterprise Web 2.0
  • ...8 more annotations...
  • Workforce mobility and changing communication patterns are two more trends that are driving change at the infrastructure layer, and so unified communication and collaboration requirements form an important part of Enterprise 2.0 strategy.
  • Enterprise Web 2.0 might be about putting the user (i.e. employee, customer, or stakeholder) first, but in order to do so it also requires supporting technology. And so at the IT infrastructure level, Enterprise 2.0 means Internet Protocol (IP) everywhere -- voice, video, and data. Enterprise 2.0 also means, 'open' standards rather than proprietary or 'closed' systems. Furthermore, Enterprise 2.0 technology means user-driven technology and not IT-driven technology.
  • Having accepted the fact that 'processes' means 'people', then we have to look for ways in which these people (i.e. processes) can self-organise and reference one another. Then, where possible, we need to somehow incapsulate the processes into a set of business services. One day (we might call it Web 3.0), Artificial Intelligence (AI) will enable organisations to do with computers that which they do via human beings today, but until that day arrives, organisations must do more to aid interdepartment and inter-company collaboration. Workflow has not yet figured largely in the consumer-oriented world of Web 2.0, but Butler Group sees this as pivotal when considering Enterprise Web 2.0.
  • Today applications that embody processes are built by IT professionals, but tomorrow they will be built by a new breed of power user, using mashup builders, software agents, and other Web 2.0 technologies.
  • Business and IT managers must therefore prepare themselves for the new generation of power user who will be creating mashups and situational applications that have a far broader impact than the typical spreadsheet macro of yesteryear, and that if organisations are to avoid a proliferation of unmanageable, siloed, micro-applications, then they must blend the power of personal productivity with an appropriate management layer and a degree of central oversight.
  • Web 2.0 is no longer PC-centric.
  • It is clearly a mistake to think that Web 2.0 is all about technology, and likewise Enterprise Web 2.0, but it is also a mistake to dismiss the technology altogether. Therefore, selecting and implementing enterprise social software solutions, next-generation collaboration solutions, and Rich Internet Applications requires careful thought, consideration, and planning.
  • The driving force behind just about every aspect of Enterprise Web 2.0, is of course, the user -- something that has not always ranked highly on the list of priorities for corporate IT mangers -- and so the challenge for all forward-looking organisations is to refocus on this aspect of their IT strategies.
  •  
    Nouvelle étude de Research & Markets. Pas mal d'infos dans cette synthèse. User-centric
Yan Thoinet

» Nine ideas for IT managers considering Enterprise 2.0 | Enterprise Web 2.0 ... - 1 views

  • In addition to Web 2.0 itself however, we have two more important enterprise software trends: Office 2.0 and Enterprise 2.0, coined by Ismael Ghalimi and Andrew McAfee respectively.  Office 2.0 represents the increasing use of browser-based software in the office, while Enterprise 2.0 is more Web 2.0-ish in that it specifically describes the use of freeform, emergent, social software to conduct collaboration and share knowledge.
  • Specifically this means the fact that corporate information tends to be non-shared by default, that the easiest productivity tools to use are the ones that have very little collaboration built-in, and that the information that does exist is often impossible to find and is often structured in some formal, centrally controlled way.
    • Yan Thoinet
       
      Very true.
  • Certainly, increased transparency, some loss of control over information flow, and outright abuse of low-barrier Intranet publishing tools gives enterprise IT and business leaders pause for thought.
  • ...16 more annotations...
  • And while some of it must remain under strict control, particularly in public companies, much of it is unnessarily — and usually to a fault — hidden, unreused, and unexploited.
    • Yan Thoinet
       
      Unexploited sources. Action: Implement a Wiki so as to share and keep up to date this wealth of information e.g. manuals, meeting agenda, minutes of meeting. This would act as the memory of the enterprise
  • Explain the reasoning behind retaining more knowledge, in making it public, searchable, and organizing it via tagging.  Describe the benefits of being able to access much fresher and more up-to-date information elsewhere in the organization because their colleagues are managing more of their projects, tasks, and other work via social tools. 
  • Provide useful templates for common activities and reference material such as projects, tasks, resource management, policies, procedures, standards, and so on.  You still have to keep template layouts and template usage simple; excessive structure tends to kill the golden goose of contributions quickly.  But a little basic structure goes a long way and prevents contributors from having to figure out how to structure all the white space and provide a simple layer of consistency.
  • The enterprise has not caught up, largely because most enterprise information doesn't allow a hyperlink structure, and links aren't encouraged very much when it does
  • setting up blog and wiki directories as well as good enterprise search based on link ranking (which is what Google does to make the right information come up in the first few pages of search results.) 
  • Provide your own search engine in the tools only if you must.
  • , the real issue, day in and day out, with getting Enterprise 2.0 to take off is to educate, evangelize, demonstrate, and most importantly, evolve the interface and structure of your tools until you pick the right formula that resonates with your audience.
  • This boils down to having some form of moderation, either human or automated, to ensure that the level of discourse remains at some bare minimimum acceptable standard. 
  • A high-profile executive sponsor that obviously uses the tools can also help in a big way.
  • Triggering an Enterprise 2.0 ecosystem quickly is likely an early activity driver.  This can mean a lot of things but the link structure of Web tools allows information to quickly flow, circulate, and mesh together.  You can leverage this in a almost infinite number of ways to drive user activity, interesting content, create awareness of what the company is "thinking", and more.  For example, create a blog for every employee in the company and mail the link to them with instructions on how to use it. >  Create a social bookmarking site for the enterprise where everyone can see what is being bookmarked by everyone else that day. >  Create an internal Wikipedia that contains a seperate copy of all Intranet content and let users edit away. >  The possibilities are endless and provide a much greater number of "entry points" where people can get started with these tools.
  • The problems will be with the business culture, not the technology. 
  • For example, create a blog for every employee in the company and mail the link to them with instructions on how to use it. 
  • Create a social bookmarking site for the enterprise where everyone can see what is being bookmarked by everyone else that day.
  • Create an internal Wikipedia that contains a seperate copy of all Intranet content and let users edit away.
  • Allowing the output of SQL queries to be inserted into wikis when they load, calling Web services or using Flash badges that access data resources can turn Enterprise 2.0 tools from pure knowledge management into actual hybrids of software and data
  • And the reverse should be true as well, getting data back out into traditional tools including Office documents, PDFs, and XML must be easy to inspire trust and lower barriers to use.
Yan Thoinet

Diigo: excellent outil de travail collaboratif | Activeille - 0 views

  • Mais il me semble qu’il prend toute sa valeur comme outil de travail collaboratif quand on mesure, comme je viens de le faire, que tout ce qui précède semble applicable en intranet
    • Yan Thoinet
       
      Usage en entreprise
  • oilà un outil qui vient de sortir en version publique, après six mois de tests privés, et qui est tout à fait remarquable.
  • La première, celle des concepteurs, permet de découvrir une architecture riche qui couvre la gestion des liens, avec de nombreuses possibilités de classement (répertoires, tags), la recherche dans les signets (incluant le texte de la page et les annotations). Le contenu d’une page web peut être sélectionné (en totalité ou partie) et marqué (par soulignement).
  • ...3 more annotations...
  • En principe en survolant le paragraphe précédent vous devriez en voir le contenu (si vous êtes membre enregistré).
    • Yan Thoinet
       
      Il faut etre enregistré pour voir le contenu surligné!!
  • Encore plus fort: à cette partie, que j’ai soulignée et que vous voyez, vous pouvez associer (si vous êtes enregistré) une note brève que vous créez à la volée. A mon tour je serai en mesure de lire vos commentaires…
  • en lisant une page web intéressante, vous vous dites qu’il y a un ou deux paragraphes qu’il serait intéressant d’envoyer à un collègue. A coups de copier/coller c’est faisable mais plutôt rébarbatif. En deux clics droit de souris Diigo le fait pour vous.
    • Yan Thoinet
       
      simplicité de l'outil
Yan Thoinet

Web 2.0 : la révolution par les usages - 0 views

  • Tout au plus les technologies sur lesquelles est fondé l'Internet (HTML, javascript, CSS...) ont-elles légèrement évolué vers un cadre mieux défini, plus ouvert et plus standard.
  • "Une participation plus forte des internautes"
  • Des utilisateurs qui partagent plus
  • ...5 more annotations...
  • De même, les wikis connaissent également une forte croissance. Wikipedia, l'encyclopédie en ligne collaborative, en est la figure emblématique. Tellement emblématique qu'elle en devient la cible de critiques organisées. Qu'à cela ne tienne, de nombreuses déclinaisons existent déjà : WikiNews, WikiBooks, WikiTravel et même YelloWikis (les pages jaunes en version collaborative).
  • un système de classification basé sur des mots-clés collectifs (ou tags). Le principe est simple : ce sont les utilisateurs qui organisent leur contenu (photos, liste de liens, musique...) en appliquant à chacun des éléments un ou plusieurs tags. Ces tags sont ensuite mis en commun et les plus pertinents ressortent statistiquement du lot. Il s'agit en quelque sorte d'une forme de classement empirique qui repose sur l'appréciation de chacun.
    • Yan Thoinet
       
      Bonne definition
  • Les folksonomies en sont un bon exemple avec des services aux noms étranges comme del.icio.us ou FlickR.
  • Les réseaux sociaux trouvent également d'autres domaines d'application comme les ressources humaines où les sites de recrutement reposant sur le principe de cooptation commencent à voir le jour : Jobster aux Etats-Unis ou encore Cooptin lancé récemment par Keljob.
  • "Une ère nouvelle où les utilisateurs sont contributeurs et bénéficiaires"
1 - 20 of 34 Next ›
Showing 20 items per page