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Christophe Deschamps

Les managers de proximité sont des acteurs clés de l'acceptation du 2.0 - 3 views

  • Comme pour toute transformation d’entreprise, ils sont les principaux relais de la direction. Ils sont donc le passage obligé de tout changement et ont un rôle crucial dans l’échec ou la réussite d’un projet de transformation.
  • Cela ne signifie pas forcément qu’il y a une évolution des compétences dont ils vont avoir besoin, mais leur posture va changer. Ils devront endosser un rôle d’animateur, permettre à l’équipe de collaborer et de s’organiser. Leur rôle est moins hiérarchique, c’est plus une question de leadership et de management transverse.
  • A l’inverse ils seront les premiers à faire frein si on ne leur donne pas de possibilités d’évoluer. Ce sont à la fois les plus impactés et ceux qui vont conduire le changement. Les middle managers sont des acteurs clés.
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  • Si on leur demande de travailler au delà de leur département sans que les règles d’évaluation n’aient été changées, il peut y avoir une certaine réticence de la part de leur manager. Donc il faut changer les règles de jeu au niveau du haut de la pyramide. Il ne faut plus noter seulement sur la performance individuelle mais sur le collaboratif.
  • Souvent ce sont des gens de la génération X, contrairement aux idées reçues qui veulent que la génération Y soit forcément championne du collaboratif. Ce sont eux qui vont rendre l’adoption plus facile dans le reste de l’entreprise. Il y a aussi un effet viral.
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    Anthony Poncier revient dans cette interview sur le rôle essentiel du middle-management dans le succès d'un projet 2.0
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0 en 2011 : la valeur ou le déni ? - 3 views

  • Maintenant il y a loin des discours aux actes et tout dépendra de la capacité de l’entreprise 2.0 à sortir d’une forme de déni d’entreprise. Accepter de parler franchement de valeur, mettre les mains dans les sujets complexes et sensibles de la mécanique productive, sortir de la vision idéaliste et angélique d’une entreprise rêvée menée par la passion, l’ouverture et les bons sentiments seront des sujets clé en 2011.
  • 1°) Futile : Beaucoup de temps et d’énergie seront gaspillés à discuter les mérites respectifs de l’entreprise 2.0 et du social business. Ca évitera de parler d’autre chose et laissera les entreprises dans un doute encore plus profond qu’aujourd’hui.
  • il est devenu évident qu’il fallait s’attaquer en profondeur à la structure du travail et de l’organisation (voir mes “prédictions” 2009 et 2010), à la fois pour rendre les choses possibles et pour s’assurer du bénéfice de l’opération en termes de création de valeur. Ce qui a amené un certain consensus courant 2010 vers la nécessité de s’attaquer, entre autres, aux business process à la fois pour des raisons d’alignement et d’impact sur la valeur.
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  • Récapitulons : • Prise de conscience qu’il faut s’attaquer aux rouages, à la mécanique de l’organisation • Prise de conscience qu’il faut articuler les dynamiques “hors flux” et “dans le flux” de travail (in the flow et above the flow pour les érudits). • Prise de conscience qu’il faut aller au delà des simples dynamiques communautaires. • Développement, par ailleurs, d’un grand savoir faire sur la mise en place de ces dynamiques communautaires. Soyons honnêtes : on a les best practices, des monceaux de méthodologie, des cas à foison et des outils pour supporter le tout. On sait faire fonctionner des communautés et ce qui donne le sentiment contraire, fait penser que la réussite dans ce domaine est rare, c’est qu’on veut transformer en communautés ce qui n’en n’est pas (d’où l’intérêt d’aller voir au delà…). • On a des outils qui tiennent la route.
  • N’avez vous pas remarqué que finalement peu de choses nouvelles vraiment intéressantes ont été dites ou écrites ces derniers mois (j’ai dit “peu”…pas “pas”) ? Qu’on pourrait republier nos billets d’il y a un an sans que personne ne s’en rende compte ? Deux reponses à cela : soit nous étions quelques visionnaires vraiment en avance…soit rien n’a changé. Et je penche plutôt pour la seconde solution.
  • La raison ? Le microcosme 2.0 se complait dans une forme d’angélisme fondé sur une sorte de “flower power management” qui aurait été de bon teint dans les années 70. Tout doit n’être qu’engagement volontaire, passion, démonstration, engouement. Le process c’est le vieux monde et c’est sale. La valeur et l’argent aussi. Le ROI n’en parlons pas. Il y a un point de basculement a passer, des choses à acter, une direction à prendre mais au delà du consensus mou il y a une gêne évidente. On rechigne a abandonner le territoire de l’entreprise confraternelle idéalisée pour mettre le bleu de chauffe et aller réparer la chaudière et la tuyauterie dans la salle des machines.
  • quelques tendances fortes pour 2011 :
  • C’est ce qu’il nomme la mise en capacité de l’organisation par la technologie (ou tech-enabled organization). Ce mode de fonctionnement étant rendu souhaitable, voire nécessaire, par la transformation des modes de travail induite par l’évolution de notre économie et des modèles de création de valeur, on a essayé d’implanter ces fameux outils dans l’entreprise. Souvent en vain. On s’est alors rendu compte (pour ceux qui en doutaient) que l’outil n’était qu’un facilitateur
  • 2°) Stratégique : soit l‘entreprise 2.0 reste dans le déni de réalité soit elle met les mains dans le cambouis. Dans le second cas on sera encore là pour parler du sujet dans un an ou deux, avec des résultats tangibles et mesurables, dans le premier les entreprises se seront lassées avant.
  • Avoir le courage de parler des sujets qui font peur : redéfinir le travail, la manière dont on évalue la contribution de chacun à la création de valeur, dont on rémunère les gens en fonction, trouver des indicateurs financiers et comptables pertinents pour rendre les modes de fonctionnement nouveaux acceptables.
  • Assumer le fait que soit on parle d’un projet stratégique d’entreprise qui doit s’imposer à tous, ce qui implique d’assumer ses choix et avoir le courage d’en tirer toutes les conséquences, soit on est dans le nice to have cosmétique et se demander si l’énergie et l’argent dépensés en valent la peine.
  • Et attendons à entendre des choses du genre “pour faire les malins avec des médias sociaux et avoir des discussions sympas y’a du monde, pour régler des vrais problèmes business y’a plus personne”. Et ça sera mérité.
  • On ne transformera pas l’essai tant que les “outils sociaux” constitueront une bulle à part, seront indépendants du reste des outils de l’entreprise. Devoir dire à un utilisateur : “rendez vous sur tel outil” c’est déjà perdre la partie.
  • intégration avec toute type d’outil du SI traditionnel et possibilité d’utiliser (et enrichir)les fonctionnalités de l’application en tant que services hors de l’application, au sein d’une couche sociale commune à l’ensemble du SI.
  • Une entreprise est une structure économique et sociale qui regroupe des moyens humains, matériels, immatériels (service) et financiers, qui sont combinés de manière organisée pour fournir des biens ou des services à des clients dans un environnement concurrentiel (le marché) ou non concurrentiel (le monopole) avec un objectif de rentabilité.
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    Excellent billet de @bduperrin
Christophe Deschamps

Les études de cas nous disent "c'est possible" et rien de plus ! | Bloc-Notes... - 5 views

  • au fur et à mesure que les premiers cas solides arrivent à propos des projets étiquetés “social media”, on a l’impression qu’un doute subsiste, ou que les cas ne semblent pas assez nombreux ou assez proches de leurs lecteurs pour les convaincre. Combien de fois entend on “ils n’ont pas notre culture, notre passé, nous ne sommes pas sur le même marché, nos produits sont différents, nos clients sont différents”.
  • D’ailleurs, tout le monde y croyait d’autant plus que toutes les entreprises étant sur un même secteur ou ayant les mêmes besoins déployaient peu ou prou les mêmes logiciels, accompagnées par les mêmes consultants qui en utilisant les mêmes méthodes en arrivaient aux mêmes implémentations.
  • i toutes les entreprises implémentaient les mêmes choses de la même manière, faisaient les mêmes choix, c’est également parce qu’on leur demandait d’être comparables. Les investisseurs avaient bien compris qu’ils ne pouvaient comparer des pommes et des poires alors ils exerçaient, même de manière inconsciente, une pression amenant à l’uniformisation des pratiques et des technologies. Qui aurait pris le risque de se retrouver montré du doigt en raison de choix manageriaux, technologies ou organisationnels non conformistes qui auraient fait qu’on aurait pas pu comparer ses résultats avec les autres, point par point, en utilisant les mêmes indicateurs dans le même contexte.
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  • Le cas “entreprise 2.0″ se distingue par deux aspects. Le premier c’est que le logiciel en question ne fait rien par lui-même, que tout dépend des variables humaines, managériales, etc… qui étaient la variable cachée des cas des années 2000.
  • es réponses apportées par une entreprise A à ces questions sont peut être aux antipodes de celles qui conviennent à une entreprise B.
  • Souvenons nous d’un des principes de base, un des fondements du social media en entreprise. “Rendre les entreprises moins semblables”. Il est donc normal de ne pas trouver de réponse standardisée et standardisable à la manière de réussir.
  • l’apport de l’outil dépend de facteurs qui sont quasi uniques à chaque entreprise. Savoir, culture, capital humain, potentiel innovant…c’est ce qui différencie deux entreprises même lorsqu’elles ont l’air a priori identiques. Ce qui laisse à penser qu’une bonne implémentation de solutions de social software sera beaucoup plus différenciante que d’autres projets informatiques ont pu l’être par le passé. Mais s’agit il encore de projets informatiques ?
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    Billet essentiel de Bertrand Duperrin pour comprendre la logique qui doit animer les projets 2.0 et qui est radicalement différente des projets de type ERP.
Christophe Deschamps

Twitter, blogs and other Web 2.0 tools revolutionize government business - 0 views

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    Cet article donne plusieurs exemples de la manière dont les outils 2.0 ont modifié le fonctionnement de certains services de l'administration US.
Christophe Deschamps

destinationCRM.com: The 7 Evolutionary Phases of Enterprise 2.0 - 0 views

  • Islands of Me — the beginning of organizational use of personal computers in which there was a culture of protectionism within facets of an organization; One-Way Me/Enterprise 1.0 — coworkers ask each other for information, but still only on a "need-to-know" basis; Team Me — employees understand their own individual power within their work community, but it does not expand enterprisewide; Proactive Me/Enterprise 1.5 — the ability to always be connected as workers could be distributed globally; Two-Way Me — communities are explicitly and purposefully created, and collective intelligence is beginning to surface -- albeit not in an automatic way; Islands of We — focus is on a larger team level and explicitly looks at how networking and community development can drive benefits to the entire organization; and Extended Me/Enterprise 2.0 (still in the early-adopter phase) — utilizes different information systems in order to foster transparency, has developed a participatory and engaged community, and has the agility to quickly adapt to changing environments.
Christophe Deschamps

TakingAIIM: KM, E2.0 and The Law - 0 views

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    Slideshow de K. Frappado sur entreprise 2.0 et KM 2.0
Yan Thoinet

Entreprise 2.0 at Savoirs en réseau - 0 views

  • 2008, l’année de l’entreprise 2.0 selon Forrester 03.02.08 - 12:45 Selon le Forrester Research, l’année 2008 sera l’année de l’entreprise 2.0. Toujours selon lui, 42 % des entreprises n’envisagent pas de recourir aux technologies Web 2.0. Et pourtant, trois raisons résumées par Anthony Poncier, devraient les faire changer d’avis : 1. De nombreuses personnes qui travaillent dans les nouvelles techonologies utilisent déjà des services web […]
Yan Thoinet

Symposium Gartner Les trois domaines impactés par l'Entreprise 2.0 - 0 views

  • Symposium Gartner Les trois domaines impactés par l’Entreprise 2.0 jeudi 08 novembre 2007 Par Bernard Laur, consultant Synthèse Informatique. Quel sera l'impact des évolutions actuelles du Web 2.0 sur l'entreprise et son système d'information ? La question mérite d'être posée même si l'on a du mal à imaginer le type d'intégration envisageable et applicable au phénomène actuel marqué par les réseaux sociaux et autres « mashups ».  Les analystes du Gartner ont évalué trois grands domaines dans lesquels cet impact devrait se faire sentir : les utilisateurs, les services et les architectures applicatives.  Les utilisateurs sont incontestablement un des facteurs qui devraient favoriser (pousser) l'utilisation du Web 2.0 en entreprise. Les « Digital natives », nés dans les années 90's et élevés devant un PC connecté au Net,  portent aujourd'hui les technologies Web 2.0 et  vont intégrer les entreprises dans les toutes prochaines années. Il faut s'attendre à ce qu'ils demandent à retrouver en entreprises, comme collaborateurs ou comme clients, certains des outils et services auxquels ils se sont habitués très tôt dans leur utilisation du Web « grand public ». Soit dit en passant, on peut s'attendre également à ce que la fracture se creuse entre les « Digital natives » et les « Digital migrants » au sein de l'entreprise, les modes d'utilisation des premiers nommés n'ayant guère à voir avec ceux des utilisateurs classiques d'entreprise, à l'âge moyen plus élevé et au « passé » d'Internaute nettement moins riche.
Christophe Deschamps

Cases 2.0 / Cases 2.0 - 0 views

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    Cas d'entreprises 2.0
Christophe Deschamps

Businesses Can't Hide From 2.0: A Look At 2.0's Impact Across Industries - 0 views

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    Nombreux outils ou suite d'outils 2.0 pour l'entreprise
Christophe Deschamps

How to Use Web 2.0 Inside Your Company | BNET - 0 views

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    Etude de cas: déploiement d'outils 2.0 en entreprise
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0 + Télétravail 2.0 = Entreprise 3.0 - TeCoMan : La collaboratio... - 0 views

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    Bon article de synthèse sur l'entreprise 2.0 avec une ouverture sur l'entreprise 3.0.
Frank Hamm

Enterprise 2.0: Noch nicht richtig vom Fleck » netzwertig.com - 0 views

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    Ich bin eine Minderheit. Andreas Göldi auf Netzwertik.com: "Für die meisten von uns ist der geschäftliche Einsatz von Web-2.0-Technologien eine Selbstverständlichkeit. Aber wir sind eine Minderheit. Eine neue Studie zeigt: Enterprise 2.0 wird bisher erst von 25% der Unternehmen genutzt."
Christophe Deschamps

Socialiser son entreprise ? Qu'est ce que ce cela veut dire - 0 views

  • Dites “on va lancer une démarche KM” ne présage en rien de sa réussite mais permet à n’importe qui dans l’entreprise de comprendre de quoi on parle. Dites donc “la solution est une démarche entreprise 2.0″ et voyez l’air dubitatif de 95% des collaborateurs et vous comprendrez que vous n’êtes pas sorti de l’auberge.
  • Toute le monde a besoin de comprendre “pourquoi, quoi, comment ?”. C’est la condition préalable à l’appropriation indispensable qui est une condition de réussite. Et cette appropriation nécessite donc non d’amener l’interlocuteur sur un terrain inconnu donc considéré comme hostile, mais de partir d’un terrain connu et d’en repousser les frontières. Le tout en ayant du sens par rapport à leur quotidien, à ce qui constitue leur paradigme actuel.
  • la nécessité d’impliquer le client dans un grand nombre de processus qui, auparavant, étaient exclusivement internes, est aujourd’hui évidente. Et l’impact sur le cœur du business l’est tout autant. Cela répond à la question “pourquoi faire autrement ce que je fais aujourd’hui très bien en isolant et cloisonnant”
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  • La question n’est pas de mettre du “social” partout et n’importe où mais d’en mettre là où cela contribue à faire mieux.
  • La socialisation permet donc ici d’identifier, mobiliser et faire intéragir de manière plus ou moins provisoire des personnes extérieures à l’équipe “formelle”. Voire de favoriser les intéractions au sein de cette équipe et favoriser la formalisation des expériences “au fil de l’eau”.
  • L’objectif est clair : rendre possible l’exécution d’un process, d’une succession de tâches, en minimisant les retards liés aux circonstances imprévues et en l’améliorant au vu des “correctifs” effectués.
  • ci on crée des intéractions en fonction de besoins réels, de problèmes quotidiens sans essayer de donner corps à d’hypothétiques communautés qu’on aimerait voir échanger dans le vide.
  • un process de résolution de problème et d’amélioration permanent. Une logique qui s’outille avec des wikis, blogs, profils riches, outils de microblogging, réseaux sociaux… mais dont la logique est compréhensible de tous.
  • Bien sur tout ne se socialise pas, d’une part, et selon des périmètres restreints, d’autre part. Parfois ce sera au sein d’une équipe, parfois au niveau de l’entreprise, parfois avec des clients, et d’autres avec le grand public.
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    L'objectif ici n'est pas de disserter sur une quelconque approche du management mais de positionner l'entreprise 2.0 par rapport à l'entreprise "réelle".
Elise Carbone

La gestion des talents et le travail collaboratif - 0 views

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    Travail collaboratif et gestion des talents tiré de M2IE : le blog du management de l'IE et de l'entreprise 2.0. Présentation et article sur le thème comment tirer profit du 2.0 pour gérer les talents au sein de l'organisation.
Elise Carbone

RH 2.0 7 innovations web 2.0 qui transforment l'entreprise - 0 views

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    Une entrée en la matière pour la RH 2.0
Gregory Culpin

Using Enterprise 2.0 to prepare for recovery (part II) - Whitepaper to download - 0 views

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    In a business world where change is constant, knowledge becomes an essential asset for any organization. Survival and growth require the development of solutions that will optimize collaboration and knowledge management. Focussing on this topic we recently produced our first whitepaper. It analyses the benefits associated with the introduction of Enterprise 2.0 solutions, and positions the collaborative management of knowledge as a stable and lasting solution, especially in these times of economic tumult.
Gregory Culpin

L'Entreprise 2.0 pour préparer la reprise (part II) - Whitepaper à télécharger - 0 views

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    Dans un monde des affaires en perpétuelle mutation, la connaissance devient un capital essentiel pour toute organisation. Leur survie et croissance passe par la mise en place de solutions optimisant la collaboration et la gestion des connaissances. Forts de ce constat, nous avons récemment travaillé à l'écriture de notre premier livre blanc (disponible en anglais uniquement). Il se veut être une analyse des avantages liés à l'introduction d'outils de l'Entreprise 2.0, et positionne la gestion collaborative des connaissances comme une solution stable et durable, plus particulièrement en ces périodes de tumulte économique.
Christophe Deschamps

New Info Series Clarifies Social Knowledge Management and Enterprise 2.0 Strategies - 2 views

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    Plusieurs articles autour du KM et de l'entreprise 2.0
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