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Christophe Deschamps

Socialiser son entreprise ? Qu'est ce que ce cela veut dire - 0 views

  • Dites “on va lancer une démarche KM” ne présage en rien de sa réussite mais permet à n’importe qui dans l’entreprise de comprendre de quoi on parle. Dites donc “la solution est une démarche entreprise 2.0″ et voyez l’air dubitatif de 95% des collaborateurs et vous comprendrez que vous n’êtes pas sorti de l’auberge.
  • Toute le monde a besoin de comprendre “pourquoi, quoi, comment ?”. C’est la condition préalable à l’appropriation indispensable qui est une condition de réussite. Et cette appropriation nécessite donc non d’amener l’interlocuteur sur un terrain inconnu donc considéré comme hostile, mais de partir d’un terrain connu et d’en repousser les frontières. Le tout en ayant du sens par rapport à leur quotidien, à ce qui constitue leur paradigme actuel.
  • la nécessité d’impliquer le client dans un grand nombre de processus qui, auparavant, étaient exclusivement internes, est aujourd’hui évidente. Et l’impact sur le cœur du business l’est tout autant. Cela répond à la question “pourquoi faire autrement ce que je fais aujourd’hui très bien en isolant et cloisonnant”
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  • La question n’est pas de mettre du “social” partout et n’importe où mais d’en mettre là où cela contribue à faire mieux.
  • La socialisation permet donc ici d’identifier, mobiliser et faire intéragir de manière plus ou moins provisoire des personnes extérieures à l’équipe “formelle”. Voire de favoriser les intéractions au sein de cette équipe et favoriser la formalisation des expériences “au fil de l’eau”.
  • L’objectif est clair : rendre possible l’exécution d’un process, d’une succession de tâches, en minimisant les retards liés aux circonstances imprévues et en l’améliorant au vu des “correctifs” effectués.
  • ci on crée des intéractions en fonction de besoins réels, de problèmes quotidiens sans essayer de donner corps à d’hypothétiques communautés qu’on aimerait voir échanger dans le vide.
  • un process de résolution de problème et d’amélioration permanent. Une logique qui s’outille avec des wikis, blogs, profils riches, outils de microblogging, réseaux sociaux… mais dont la logique est compréhensible de tous.
  • Bien sur tout ne se socialise pas, d’une part, et selon des périmètres restreints, d’autre part. Parfois ce sera au sein d’une équipe, parfois au niveau de l’entreprise, parfois avec des clients, et d’autres avec le grand public.
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    L'objectif ici n'est pas de disserter sur une quelconque approche du management mais de positionner l'entreprise 2.0 par rapport à l'entreprise "réelle".
Christophe Deschamps

Enterprise 2.0 - an adoption model - 0 views

  • low readiness for change high risk-aversion preference for hierarchy and processes to create knowledge over personal freedom to collaborate and share individual preference for position power and legitimate power over referent powerand expert power
Yan Thoinet

untitled - 0 views

  • Driving successfully web 2.0 into the enterprise
  • A lot of companies are currently planning their web 2.0 strategies and are discovering the opportunities as well as facing the challenges of adopting these technologies in the workplace.
  • Making this type of initiative a success requires aligning the following critical aspects: senior management commitment and involvement, internal communication, company’s culture and organisational change, providing incentives and recognition, and finally selecting the appropriate infrastructure.
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  • The business case, system adoption and issues around fragmentation are typical pain points that companies are dealing with as far as Enterprise 2.0 implementation is concerned.
  • business strategy, aligned with clearly defined outcomes & objectives, and supported by organisational structures, company's culture and adapted technologies.
Yan Thoinet

FredCavazza.net » What is Enterprise 2.0? - 0 views

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    Enterprise 2.0 = Writable Intranet
Christophe Deschamps

Intellipedia suffers midlife crisis - 0 views

  • The problem? The growth of the collective intelligence site so far largely has been fueled by early adopters and enthusiasts, according to Rasmussen. About all those who would have joined and shared their knowledge on the social networking site have already done so. If the intelligence agencies want to get further gains from the site, they need to incorporate it into their own formal decision making process, he contended. Until that happens, the social networking aspect of Intellipedia is "just a marginal revolution," he said.
  • Established in 2005, Intellipedia, now managed by the Office of the Director of National Intelligence,  has approximately 100,000 user accounts. Open to anyone with a government e-mail account, it has social bookmarking tool, a document repository, a home page for each user, and collaboration spaces.
  • For true change to occur, other agencies must use Intellipedia as their official conduit, at least for some functions, Rasmussen said. Otherwise, it is just creating additional work for contributors.
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  • Another problem is that managers may not worry that their employees would not be comfortable contributing information to a social-networking tool. Rasmussen said he talked with one executive who said employees may not want to contribute personal items to their home page.
  • " 'Are you kidding?' " Rasmussen responded. "This is work. We force people to do stuff [they don't want to do] all the time — we make people come in sober and wear clothes. In certain cases top-down may not work, but in certain cases it does."
  • Contributors need to learn to accept "an agency-neutral non-ownership" stance to their articles, he said.
  • "If you bring too many locks into an overly cautious culture, that's all you get: locks," Rasmussen said. He also mentioned that mashups remain to be too difficult for non-programmers to create, and social networks continue to be held, presumably unfairly, by higher standards than other technologies.
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    Intelipedia, le réseau social des agences de renseignement US mis en place en 2005, connaît quelques difficultés. Intéressant retour d'expérience sur un projet 2.0 déjà ancien.
Miguel Membrado

Six ways to make Web 2.0 work - The McKinsey Quarterly - Six ways Web 2.0 work - Busine... - 0 views

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    Excellent article from McKinsey about how web 2.0 tools can improve productivity and efficiency in the company. They are also very well explaining difference between participation and collaboration, which we are ourselves explaining it for many years. It's good to see this difference recognized. The different categories are very well explained also. But one of the key point of this article in the introduction of workflow tecnologies in this area. McKinsey is saying that workflow + participatory technologies is a key enhancer for the company. We agree of course with this, first because companies need both world, and second because providing automation and participation capabilities to the information system is the best way to improve it drastically.
Christophe Deschamps

L'évaluation 2.0 pour les salariés : un concept pas si simple par B. Duperrin - 0 views

  • Moralité : avant de noter quoi que ce soit d’autre que la performance individuelle il faut d’abord mettre en œuvre un strict alignement entre l’objectif final des individus et la manière dont on veut qu’ils travaillent. Il s’agit ensuite, et seulement ensuite, de mesurer que les résultats sont atteints, et de de piloter l’utilisation faite de la plateforme en fonction de ses statistiques d’utilisation et des activités de chacun afin de comprendre pourquoi elle est ou non utilisée, pour quoi elle est utilisée et corréler ce qu’on y fait aux résultats opérationnels. En deux mots : on évalue par rapport aux buts du salarié dans l’entreprise et on pilote grâce à l’activité en ligne qui permet de mettre en évidence qu’untel ou untel a ou n’a pas la bonne attitude.
  • j’arrête d’en faire des concurrents pour en faire des partenaires. Une partie de leur évaluation est liée à leur résultat individuel, une autre partie à la performance de l’équipe de manière à ce qu’ils ne perdent rien en donnant du temps et de l’information aux autres. Bien sur cela impacte la rémunération.
  • En conclusion, pour évaluer un projet 2.0 il faut se doter d’indicateurs à 3 niveaux • Indicateurs business classiques en fonction du but du projet. CA, cycle de vente, cycle d’innovation, nombre d’idées générées…des indicateurs de type balanced scorecard feront l’affaire. • Indicateurs de pertinence de l’information partagée : qualitatifs afin de de s’assurer que l’information est utilisable dans le cadre de l’atteinte des objectifs business. • Indicateurs d’activité de la plateforme : car avant de penser à la pertinence de l’information encore faut il que l’information soit générée.
Christophe Deschamps

Six key points for CIOs in creating value from Enterprise 2.0 - 0 views

Christophe Deschamps

Welcome to CubeTree - 0 views

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    Plateforme pour l'entreprise 2.0 (wikis, micro-blogging, blogs,...)
Elise Carbone

Determining the ROI of Enterprise 2.0 - 0 views

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    Un récent article qui se penche sur le ROI de l'entreprise 2.0.
Christophe Deschamps

Management.fr Vs 21ième siècle : le coût de la hiérarchie et du contrôle - 2 views

  • Right now, your company has 21st-century Internet-enabled business processes, mid-20th-century management processes, all built atop 19th-century management principles. (Gary Hamel – The Future Of Management)
  • Cette étude visait à démontrer que la culture d’entreprise ne pouvait pas être la même dans toutes les filiales car elle ne faisait nullement disparaître la culture nationale ; dans le meilleur des cas, elle se juxtaposait à elle.
  • Dans le cadre de cette étude, Hofstede mesure les distances hiérarchiques des différentes filiales. Pour un indice médian de 57, il mesure des distances hiérarchiques faibles dans les pays scandinaves (moins de 31) et anglo-saxons (moins de 40) et élevé en France (68).
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  • Dans cette même étude, Hofstede mesure le contrôle d’incertitude.Le contrôle faible suppose davantage d’acceptation des situations comme ambiguës, réversibles dans leurs malheurs et leurs bonheurs. Les personnes sont acceptées comme pouvant changer d’humeur et de décision. Le contrôle fort veut s’appuyer sur des bases assurées qui peuvent aller de précautions concrètes à des précautions juridiques voire religieuses. Le contrôle fort est très en rapport avec le développement de la culture scientifique et techniqueEncore une fois, la France se classe en haut du tableau avec un contrôle fort de l’incertitude (un score de 86) tandis que les pays anglo-saxons ou nordiques affichent des résultats faibles attestant d’un contrôle faible de l’incertitude.
  • la primauté de la hiérarchie va à l’encontre des valeurs ayant emergé de la culture collaborative internet
  • Depuis au moins dix ans, la France est en retard sur les principaux pays de l’OCDE en matière de développement du télétravail (notamment dans l’administration), quelles que soient les sources ou les approches statistiques. Dans les pays scandinaves et anglo-saxons notamment, il concerne deux à trois fois plus de salariés.
  • ce détail a un coût. Cisco a ainsi publié un rapport intitulé the The Economics of Collaboration, et dans lequel l’entreprise explique comment en mettant en oeuvre des outils collaboratifs et en facilitant la mobilité des employés avec entre autres une démocratisation du télétravail, celle-ci a obtenu des résultats étonnants : Cisco IBSG analysis shows that Cisco realized net benefits of $691 million/year through its Web 2.0 and visual collaboration investments in FY08. (…) These benefits represent a 4.9 percent productivity increase for Cisco. We believe this is just the beginning of the value creation we will see around the new collaborative web.
  • These solutions achieve their remarkable benefits by removing the costs and inefficiencies with which our employees have been struggling. Eliminating these inefficiencies not only brings financial benefits to the company; it also increases employees’ work/life balance, reduces stress and fatigue from extensive travel, and increases job satisfaction.
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    Analyse d'études sur le contrôle et la hiérarchie dans les entreprises. Le modèle français est-il encore adapté?
Christophe Gauthier

Collaborative Thinking: 2009: Planning Considerations For Enterprise 2.0 - 0 views

  • Jive: Perhaps the most successful "mini suite" in the market right now and a good option for organizations that don't want to commit to SharePoint and have reservations about IBM.
  • Telligent: Telligent could be the "Jive of 2009" given its latest release (which rounds out the features), its integration with SharePoint, and alignment with a Microsoft environment overall.
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    les tendances pour 2009 en logiciels socialmedia pour l'entreprise 2.0
Miguel Membrado

The AppGap » » The Company as a Wirearchy … in 2013 ?: Work 2.0, Web 2.0, Ent... - 0 views

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    Jon Husband clarifying some concepts about wirearchy. Wirearchy concept is almost the same than heterarchy we have developed within eSangathan project and within Kimind quadrant. Heterarchy is more focus on free participation where wirearchy is focused on connexion between people. But at the end, the result is the same, a horizontal organization instead of a vertical one.
Christophe Deschamps

"C" Words - 0 views

  • Generation of KM Where Knowledge Lives Type of Knowledge Implications First Generation Artifacts Explicit Create the infrastructure for capturing, collecting, refining, and re-using artifacts Second Generation Individuals Tacit Focus on collaborative behaviors and person-to-person knowledge sharing Third Generation The network Emergent Provide the conditions for enabling knowledge and action to emerge.
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    Résumé de l'intervention de Dave Pollard lors du salon Enterprise 2.0
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